Titre de l'histoire érotique : Géraldine, superbe jeune fille
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : Géraldine, superbe jeune fille
J'ai rencontré mon ex-femme, quand j'ai quitté la précédente. Elle venait de divorcer, elle aussi. Elle avait une petite fille de dix ans, Géraldine. Un petit bout de chou attachant, dont je me suis épris, tout de suite. Après 15 ans de vie commune, sa mère et moi, nous sommes séparés. Géraldine a voulu rester avec moi. Aujourd'hui, Géraldine est devenue une superbe jeune fille.
Les regards en dessous, que j'essaie de cacher, lui montrent que je sais qu'elle est belle. Mais, Géraldine est devenue une vraie salope. Elle couche tous les soirs avec un garçon différent. Elle voyait que je souffrais de la voir s'éclater comme ça, pendant que moi j'étais en manque.
Un jour, en rentrant du travail, elle m'entraîna dans ma chambre et déplaça ma photo de mariage. Elle avait percé un trou minuscule dans le mur commun qui séparait ma chambre de la sienne.
- A défaut de te branler, me dit-elle, tu pourras toujours mater !
- Ca va pas non ! Tu es ma fille !
- Depuis quand ? C'est pas parce que tu as épousé ma mère, que ça fait de toi, mon père. Et puis moi, ça m'excite qu'on me regarde baiser !
Ca m'a pris du temps pour glisser mon oeil sur le trou. Puis, je me suis dit :
- Après tout, elle a raison...C'est une femme comme les autres...
Elle choisissait des mecs plûtot bien montés et chauds lapins. Elle se donnait toute entière, par tous les trous. Elle suçait comme une déesse, avalant le sperme comme un élixir. Sa chatte et son cul recevaient les hommages des queues les plus énormes.
Elle chevauchait aussi trés bien. Sa poitrine fière tressautait quand elle enfourchait ses cavaliers.
Un autre jour, sachant que je regardais, elle accueillit trois mecs. A tour de rôle, ils se glissèrent dans sa bouche, sa chatte et son cul. Puis elle leur demanda de la prendre, les trois ensemble. Le premier se coucha sur le dos. Géraldine l'enfourcha, et sa moule avala la pine turgescente. Le deuxième se glissa entre ses cuisses. Avec ses mains, il lui écarta les fesses et s'enfonça dans son cul. Le dernier se mit à genoux au dessus de la tête de son copain. Elle les avait disposés de manière à faire face au trou dans le mur. Tout en me lançant un clin d'oeil, elle ouvrit la bouche et avala la grosse bite, tendue vers ses lèvres.
Je pris ceci pour une invite. A partir de ce moment-là, j'ai su que je la baiserai.
Le lendemain, j'étais couché quand la porte s'ouvrit. Géraldine était là, nue et magnifique, dans l'embrasure de la porte. J'ai rabattu les draps, je l'attendais.
Elle a fait poser des miroirs sur les murs et au plafond. Quelle que soit notre position, on pouvait se voir en train de baiser.
- Qu'est ce que j'ai dû faire pour t'amener jusque-là ! Ca fait 5 ans que j'attends ça ! Ma mère a mit du temps à comprendre que tu étais à moi. Elle a fini par me laisser la place. Tu sais, j'avais fini par croire que c'était toi, mon père. Au début, j'ai cru que j'étais pas normale. J'avais envie de coucher avec mon père. Quand ma mère a écrit un autre nom sur mes cahiers d'école, j'ai compris tout de suite. J'ai explosé de joie. Maintenant, ma bouche, ma chatte et mon cul, ne recevront que ta queue. Je t'aime, dit-elle. Elle se pencha et m'embrassa avec fougue.
Aujourd'hui, Géraldine a 45 ans, et elle a tenu sa promesse. Plus aucune bite n'a jamais plus pénétré son corps. En dehors de la mienne !
Les regards en dessous, que j'essaie de cacher, lui montrent que je sais qu'elle est belle. Mais, Géraldine est devenue une vraie salope. Elle couche tous les soirs avec un garçon différent. Elle voyait que je souffrais de la voir s'éclater comme ça, pendant que moi j'étais en manque.
Un jour, en rentrant du travail, elle m'entraîna dans ma chambre et déplaça ma photo de mariage. Elle avait percé un trou minuscule dans le mur commun qui séparait ma chambre de la sienne.
- A défaut de te branler, me dit-elle, tu pourras toujours mater !
- Ca va pas non ! Tu es ma fille !
- Depuis quand ? C'est pas parce que tu as épousé ma mère, que ça fait de toi, mon père. Et puis moi, ça m'excite qu'on me regarde baiser !
Ca m'a pris du temps pour glisser mon oeil sur le trou. Puis, je me suis dit :
- Après tout, elle a raison...C'est une femme comme les autres...
Elle choisissait des mecs plûtot bien montés et chauds lapins. Elle se donnait toute entière, par tous les trous. Elle suçait comme une déesse, avalant le sperme comme un élixir. Sa chatte et son cul recevaient les hommages des queues les plus énormes.
Elle chevauchait aussi trés bien. Sa poitrine fière tressautait quand elle enfourchait ses cavaliers.
Un autre jour, sachant que je regardais, elle accueillit trois mecs. A tour de rôle, ils se glissèrent dans sa bouche, sa chatte et son cul. Puis elle leur demanda de la prendre, les trois ensemble. Le premier se coucha sur le dos. Géraldine l'enfourcha, et sa moule avala la pine turgescente. Le deuxième se glissa entre ses cuisses. Avec ses mains, il lui écarta les fesses et s'enfonça dans son cul. Le dernier se mit à genoux au dessus de la tête de son copain. Elle les avait disposés de manière à faire face au trou dans le mur. Tout en me lançant un clin d'oeil, elle ouvrit la bouche et avala la grosse bite, tendue vers ses lèvres.
Je pris ceci pour une invite. A partir de ce moment-là, j'ai su que je la baiserai.
Le lendemain, j'étais couché quand la porte s'ouvrit. Géraldine était là, nue et magnifique, dans l'embrasure de la porte. J'ai rabattu les draps, je l'attendais.
Elle a fait poser des miroirs sur les murs et au plafond. Quelle que soit notre position, on pouvait se voir en train de baiser.
- Qu'est ce que j'ai dû faire pour t'amener jusque-là ! Ca fait 5 ans que j'attends ça ! Ma mère a mit du temps à comprendre que tu étais à moi. Elle a fini par me laisser la place. Tu sais, j'avais fini par croire que c'était toi, mon père. Au début, j'ai cru que j'étais pas normale. J'avais envie de coucher avec mon père. Quand ma mère a écrit un autre nom sur mes cahiers d'école, j'ai compris tout de suite. J'ai explosé de joie. Maintenant, ma bouche, ma chatte et mon cul, ne recevront que ta queue. Je t'aime, dit-elle. Elle se pencha et m'embrassa avec fougue.
Aujourd'hui, Géraldine a 45 ans, et elle a tenu sa promesse. Plus aucune bite n'a jamais plus pénétré son corps. En dehors de la mienne !
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