Titre de l'histoire érotique : Histoire d'Ô, revisitée à la sauce gay. - histoire érotique

Pendant mon séjour à Los Angeles, je suis monté à l'assaut de Hollywood. Vêtu d'un short en cuir noir hyper moulant, et d'une chemisette blanche, je remontai, Rodeo Drive, à pied. Une grosse décapotable descendait. Quand elle m'eut dépassé, j'ai entendu une voix féminine hurler :
- Stop !
Le véhicule fit une marche arrière, et je reconnus un certain A.K. Je ne sais pas qui était la femme. Elle dit à A.K. :
- You have seen his back ?
Il s'approcha de moi, et dit :
- Vous êtes Français, n'est-ce pas ?
- Comment vous savez ?
- Il n'y a qu'un fou, ou un Français pour remonter Rodeo Drive à pied !
- J'aime marcher. C'est bon pour muscler les fesses !
- Je ne sais pas pour les autres, mais pour vous, ça a l'air de marcher. Regardez les yeux de ma femme. Elle ne voit que ça !
- J'en rougis de plaisir, minaudai-je, avec un sourire complice.
- Montez, dit-il en désignant sa voiture. J'ai une proposition à vous faire...
Je suis monté dans le carrosse, qui a fait demi-tour. Je pensais que nous irions dans leur maison, nous n'avons fait que passer devant.
- C'est ici, chez moi, dit-il en montrant une réplique du château de Chambord, enfin, c'est là que je vis ! D'abord, nous allons aux studios. J'allais entrer dans Hollywood !
Une fois à l'intérieur, j'ouvris toutes grandes mes mirettes. Hollywood, vous comprenez ?
- Ca vous dérange, de vous déshabiller, murmura A.K. Je veux dire, entièrement...
- Vous savez, je suis un peu exhibitionniste.
- Avec un cul pareil, je ne suis pas étonné. Faites ! Pendant ce temps, je vais donner des ordres.
Je me suis mis à poil, et des employés, sont venus prendre des mesures. Mon tour de taille, de cuisses, le volume de mes fesses, la taille de ma bite.
A la fin de la journée, on m'apporta un vêtement spécial. Il épousait parfaitement mes formes. C'était une sorte de caleçon spécialement fabriqué pour moi. Sur le devant, à l'intérieur du caleçon, un fourreau de la couleur de ma peau, accueillit ma bite, ce qui la rendit invisible. Sur l'arrière, une échancrure laissait libre l'accès à mon anus. Une fois revêtu du caleçon en question, je fus amené devant A.K.
- Comment vous appelez-vous, jeune homme ?
- David ! répondis-je.
- David, je vais tourner une nouvelle version d"histoire d'Ô...Vous vous appellerez Ovide, pour les besoins du film. Vous avez vu la version originale du film ?
- Avec Christine Boisson ?
- Oui ! Mais avec quelques modifications. Vous avez compris que vous reprendriez son rôle. Vous avez des remarques à faire ?
- Euh, oui, au moins une !
- Et c'est ?
- La scène du tatouage...
- Non, elle est supprimée. On en utilisera un temporaire, comme ceux pour les enfants. Par contre, les scènes de sexe, doivent être réalistes !
- Oh pour ça, pas de souci. Je pratique la fellation et la sodomie fréquemment.
- Les doubles ou triples pénétrations aussi ?
- Hé ! Vous êtes au fait des pratiques sexuelles gay !
- Dans mon métier, il faut mieux être au courant de tout ! Ah, fit-il, les scènes de flagellations doivent sembler réelles. Vous voulez qu'on vous double ?
- N'y pensez même pas, rétorquais-je, j'aime être puni !
- Ah oui ? Et comment vous faites pour garder un cul aussi beau ?
- Et pourquoi, croyez-vous que je prends des vacances ! Je passe presque tout mon argent pour protéger et entretenir mon cul !
Et c'est comme ça, que la version gay d'histoire d'Ô est née, et immédiatement censurée. Il n'y a que A.K. qui en ai une copie.
Malgré que je sache que j'ai un beau cul, et une belle gueule, je n'aurais jamais cru que je pourrais sucer toutes ces bites, et me faire enculer autant de fois. Pourtant, j'y ai pris tellement de plaisir, que je suis prêt à recommencer.