Titre de l'histoire érotique : Homme de ménage à disposition pour tous types de services
Récit érotique écrit par Quintessence2017 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Homme de ménage à disposition pour tous types de services
"Recherche homme de ménage pour travaux ponctuels non rémunérés. De caractère soumis et docile, vous serez à ma disposition durant quelques heures sur des créneaux définis ensemble à l'avance afin d'effectuer diverses tâches ménagères en tenue d'Adam.
Possibilité de relations sexuelles si accord mutuel, néanmoins la fellation est obligatoire si vous désirez postuler. Enfin, je me réserve le droit d'infliger des punitions en cas de travail non satisfaisant.
Veuillez m'envoyer vos candidatures accompagnées d'une lettre de motivation et d'une photo."
C'est à peu de choses près ce que disait l'annonce.
Ni une, ni deux je dégaine ma plus belle plume afin de rédiger la lettre de motivation demandée. Dans un style parfaitement lèche-cul, ou plutôt suce-boules, je digresse pendant deux bonnes pages sur ma capacité à obéir aux ordres, mon don inné pour le ménage et le suçage de bites, mon amour de la sodomie et bien évidemment ma nécessité absolue de décrocher ce job. A tout prix.
La lettre rédigée, je tombe le pantalon pour me photographier devant mon miroir, le cul tendu, avec un mémorable regard lubrique de salope dévouée.
Si avec ça je décroche pas le job... Je suis bon pour me goder en direct à la webcam pour un vieux dégueulasse.
Ellipse temporelle, deux semaines plus tard : toujours pas de nouvelles.
"C'est foutu" je me dis, il doit avoir trouvé mieux. J'aurais peut-être du joindre un CV. Avec des lettres de recommandation signées par ceux qui ont eu le loisir de m'insérer leur membre quelque part, à défaut d'un réel CV d'homme de ménage.
J'ouvre ma boite mail. Tressaillement, j'ai reçu un mail dont l'objet ne laisse aucun doute sur le contenu :
"Votre candidature au poste d'homme de ménage"
Ce type est dominateur, il ne se serait pas donné la peine de me répondre pour me dire que ma candidature ne correspond pas au profil recherché.
Bingo : je suis retenu ! Rendez-vous samedi à 14h, chez lui.
Nouvelle ellipse : nous voilà samedi.
J'ai eu du mal à me concentrer toute la semaine au boulot, j'avais déjà l'esprit en train d'astiquer son parquet.
D'autant qu'il a passé la semaine à m'envoyer des messages bien chauds, en m'expliquant à quel point j'avais intérêt à bien faire les corvées sinon j'allais le regretter.
Mais voilà, on y est, dans vingt minutes je serai à poil en train de faire le larbin pour un type en train de me reluquer en ne pensant qu'à une chose : me la mettre.
Le temps de me préparer, de prendre ma voiture et me voilà devant la porte.
Lorsqu'il m'ouvre, je vois qu'il n'a pas perdu de temps : il a un collier en cuir dans la main, comme un collier d'animal de compagnie.
"- Enfile ça, dépêche-toi."
J'obéis sans me faire prier, je suis là pour ça après tout.
"- Ce collier, c'est le symbole que tu m'appartiens. Quand tu le portes, tu fais tout ce que je te dis, tu es mon esclave.
Quand tu le retires tu es à nouveau libre. Tu l'enfiles en arrivant. Tu le retires en partant. Ni avant, ni après.
C'est bien compris ?"
Il ne me laisse pas le temps de répondre et me tire par le collier en direction du salon.
"Bon, qu'est-ce que t'attends pour te déshabiller ?"
Belle entrée en matière. En même temps il n'allait pas me proposer un café.
Je tombe les fringues et relève la tête pour le voir en train de m'analyser, des pieds à la tête.
"- Pas mal. Tourne-toi, que je voie si ton cul est aussi joli en vrai."
Je me retourne, et reçois aussitôt une main au cul. Il palpe fermement, puis pousse un léger sifflement de satisfaction. J'en déduis que mon cul est aussi joli en vrai.
Je jette un coup d'oeil à la pièce et ne peux m'empêcher de constater qu'elle est déjà impeccable.
Je me doute bien que le ménage n'est qu'un prétexte au jeu sexuel, mais il aurait au moins pu faire semblant.
On dirait qu'il a compris mon regard car il m'interpelle puis, en me regardant droit dans les yeux, renverse un cendrier qui était posé sur la table par terre.
"- Allez au boulot. Tu as la pelle et la balayette juste ici. Et que ce soit bien fait, je vais m’asseoir dans le canapé et t'observer. Si tu fais la moindre erreur, je le saurai immédiatement et tu recevras une correction."
Il n'a pas l'air de plaisanter : sur la table où était posé le cendrier, il y a également une cravache et un plug de taille conséquente.
Je me met au boulot sans attendre, à quatre pattes et que ça brille.
Au fur et à mesure que je nettoie, il se lève du canapé, renverse des choses, et retourne s'asseoir. La main dans le futal, il s'astique en me regardant d'un air de chien en rut. Il a l'oeil vicieux. Pervers même. Ça ne me déplaît pas.
J'ai l'impression d'être un bout de viande. Un bout de viande à poil, qui fait le ménage, et qui n'attend que de se faire prendre sauvagement sur le canapé.
Voilà qu'il sort carrément son engin et commence à le branler furieusement en passant sa langue sur ses lèvres.
Je vais lui donner ce qu'il veut tiens : je me retourne et feinte de frotter une tâche vraiment incruster pour bien lever mon cul ouvert dans sa direction, bien cambré.
Ça a l'air de faire son petit effet parce qu'il redouble d'ardeur à s'astiquer, je l'entends.
"- Alors c'est comme ça hein, tu m'aguiches ? Ça suffit. Viens-là."
J'obéis, je m'avance jusqu'au canapé, à quatre pattes, l'air joueur. J'arrive entre ses jambes, sans le quitter du regard.
Il m'attrape le collier et me tire pour me rouler une grosse pelle, presque de force. Il n'y va pas avec le dos de la cuillère, il me lèche tour à tour les lèvres, puis la langue. Je dois avouer que ça me dégoûte un peu, mais je me force, jeu de rôle oblige.
Je suis complètement dans mon personnage de petit esclave bien docile. Ce qui excite mon Maître m'excite aussi, par extension.
"- Branle-moi, esclave."
Ça y est, le mot est lâché : esclave. Bon, ça ne me déplaît pas. Je rebondis directement, à fond dans le rôle :
"- Vos désirs sont des ordres, Maître."
Je commence à lui astiquer le membre, tout doucement d'abord, mais langoureusement. Puis de plus en plus vite.
Le bazar est assez gros, j'y met les deux mains. Un coup de langue de la base au gland et voilà que je me reçois une grande claque et qu'il me tire par le collier.
Il colle presque son visage au mien et, les yeux exorbités, m'aboie dessus :
"- Est-ce que je t'ai dit d'y mettre la langue, petite salope ?"
Il ne rigole pas.
"- Non Maître, pardonnez-moi."
J'ai merdé, je crois que je vais prendre une branlée, sans mauvais jeu de mot.
"- File chercher les instruments sur la table."
Mon compte est bon. Je file les chercher et lui ramène. Il me fourre le plug dans la bouche, et me lance :
"- Tu vas prendre dix coups de cravache pour commencer."
Il commence fort, puis de plus en plus fort.
"- Zut. J'ai perdu le compte. Je vais devoir recommencer."
J'aimerais bien protester mais j'ai la bouche pleine.
Douze coups de cravache plus tard, je crois que je me suis bien fait baiser.
Il m'ôte le plug de la bouche et le pose sur la table basse.
"- Bon, maintenant tu vas me sucer.
- Merci Maître."
Je commence par un bon coup de langue sous les couilles, puis remonte le long de son mat en posant des baisers à intervalles réguliers. Lorsque j'arrive au gland, un bon coup de langue circulaire puis je le rentre tout doucement.
Visiblement je ne vais pas assez vite pour lui car il me prend la tête, et m'empale la bouche sur son vit.
Il commence littéralement à me baiser la bouche, à grands coups de reins. J'essaye de lutter mais il me tient trop fort.
Il continue comme ça pendant un moment, et lorsqu'il se retire, j'ai le tour de la bouche couvert de salive.
Il me colle sa main dessus et l'étale sur mon visage, puis il m'attrape par le collier et me crache à la figure.
"- T'es une vrai cochonne, pas vrai ? Allez, remet-toi au boulot."
Je me remet au travail, plus excité que jamais, le cul bien tendu. Je nettoie les choses qu'il renverse au fur et à mesure pendant une bonne demi-heure, lorsque, sans prévenir, il m'enfonce un doigt dans le cul.
J'avoue que je suis un peu pris au dépourvu, je sursaute. Il commence à me masser l'intérieur avec son doigt spéléologue, bientôt rejoint par un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième. Difficile de se concentrer sur son travail dans ces conditions.
Finalement, il retire brusquement ses doigts, m'écarte les fesses, et me crache dans le trou.
"- Maintenant on va passer aux choses sérieuses, voir si tu tiens vraiment la route !"
Et à peine a t-il fini de prononcer ces paroles, qu'il m'empale d'un coup d'un seul, sur son gros membre turgescent. Incapable de retenir un gémissement, je me laisse aller. Ça l'amuse visiblement beaucoup puisqu'il se met à rire et m'envoie une grande claque sur les fesses.
Il atteint très vite une vitesse de va-et-viens conséquente, heureusement qu'il m'a préparé car ça me fait déjà un peu mal, je n'imagine même pas sans préparation.
Il me pilonne comme ça sans s'arrêter, tantôt m'envoyant une volée de fessées, tantôt me crachant sur le cul.
Comme il me maintient par le collier qui fait de moi son esclave, chaque coup de rein m'étrangle légèrement.
Il y va fort, on dirait un chien en rut, on dirait qu'il n'a pas baisé depuis des mois.
Et voilà qu'il me renvoie une volée de claques, cette fois on peut être sûr qu'il a perdu le compte.
D'ailleurs il ne s'embête même pas à compter, il se contente de maltraiter mon pauvre cul déjà bien rougi.
Au bout d'un moment il s'arrête brusquement et se retire. Je me crois tiré d'affaire. Soupir de soulagement, bien vite interrompu : il vient de m'enfoncer son plug dans le cul.
"- Ce n'est pas fini. On va garder ton cul bien ouvert, et tu vas te remettre au travail."
J'essaie de me remettre au travail, mais il m’interrompt bien vite en me fourrant sa grosse bite dans la bouche.
Impossible de travailler dans ces conditions ma parole !
Rebelote, il me viole carrément la bouche qui dégouline de salive. Il y va encore plus fort que tout à l'heure, à grands renforts de coups de cravache dans le dos.
Il y va de plus en plus vite, de plus en plus fort. Entre son membre dans ma bouche et les coups de cravache je sens les larmes qui pointent au coin de mes yeux.
Tout à coup, il se retire et jouit abondamment sur le sol. Il y en a une quantité impressionnante, je n'ai jamais vu ça.
"- T'as vu ce que tu as fait ? T'as tout dégueulassé ! Il va falloir nettoyer maintenant, je te préviens."
Il m'envoie une paire de claques et me choppe par le collier pour me coller le nez dans la flaque.
Sans perdre une seconde, j'attrape de quoi nettoyer et je répare mes bêtises, sous les crachats de mon employeur tortionnaire.
Lorsque j'ai enfin fini, il me retire le plug, et crache dans mon anus bien dilaté. Puis il me relève en me tirant par le collier et me roule une grosse galoche bien dégoulinante dont il a le secret.
"- Bon, file te doucher."
Je vais me doucher, moitié tremblant. Quelle séance, on peut dire qu'il n'y est pas allé de main morte.
Sous la douche je me décontracte tranquillement, lorsque soudain, je sens mon bras se tordre dans mon dos.
C'est mon Maître qui vient me rendre une petite visite.
Et quelle visite, il me plaque le torse contre le mur de la douche et m'envoie directement un deuxième tarif à grand coups de bite dans le derrière.
"- Je t'avais pourtant prévenu, tant que tu portes ce collier tu m'appartiens. Tu as oublié de le retirer, alors voilà ta punition."
Il me ponce le trou sauvagement, et chose incroyable, il parvient à jouir une deuxième fois en moins d'une heure, et me balance la sauce à l'intérieur.
Autant dire que j'ai mis un moment à finir ma douche. Une fois sorti, j'ai finalement pu me rhabiller, sans oublier de retirer le collier cette fois.
Je l'ai finalement remercié, le comble, et suis rentré chez moi, chancelant d'avoir été aussi maltraité.
Une semaine après, j'avais encore des marques sur les fesses.
Possibilité de relations sexuelles si accord mutuel, néanmoins la fellation est obligatoire si vous désirez postuler. Enfin, je me réserve le droit d'infliger des punitions en cas de travail non satisfaisant.
Veuillez m'envoyer vos candidatures accompagnées d'une lettre de motivation et d'une photo."
C'est à peu de choses près ce que disait l'annonce.
Ni une, ni deux je dégaine ma plus belle plume afin de rédiger la lettre de motivation demandée. Dans un style parfaitement lèche-cul, ou plutôt suce-boules, je digresse pendant deux bonnes pages sur ma capacité à obéir aux ordres, mon don inné pour le ménage et le suçage de bites, mon amour de la sodomie et bien évidemment ma nécessité absolue de décrocher ce job. A tout prix.
La lettre rédigée, je tombe le pantalon pour me photographier devant mon miroir, le cul tendu, avec un mémorable regard lubrique de salope dévouée.
Si avec ça je décroche pas le job... Je suis bon pour me goder en direct à la webcam pour un vieux dégueulasse.
Ellipse temporelle, deux semaines plus tard : toujours pas de nouvelles.
"C'est foutu" je me dis, il doit avoir trouvé mieux. J'aurais peut-être du joindre un CV. Avec des lettres de recommandation signées par ceux qui ont eu le loisir de m'insérer leur membre quelque part, à défaut d'un réel CV d'homme de ménage.
J'ouvre ma boite mail. Tressaillement, j'ai reçu un mail dont l'objet ne laisse aucun doute sur le contenu :
"Votre candidature au poste d'homme de ménage"
Ce type est dominateur, il ne se serait pas donné la peine de me répondre pour me dire que ma candidature ne correspond pas au profil recherché.
Bingo : je suis retenu ! Rendez-vous samedi à 14h, chez lui.
Nouvelle ellipse : nous voilà samedi.
J'ai eu du mal à me concentrer toute la semaine au boulot, j'avais déjà l'esprit en train d'astiquer son parquet.
D'autant qu'il a passé la semaine à m'envoyer des messages bien chauds, en m'expliquant à quel point j'avais intérêt à bien faire les corvées sinon j'allais le regretter.
Mais voilà, on y est, dans vingt minutes je serai à poil en train de faire le larbin pour un type en train de me reluquer en ne pensant qu'à une chose : me la mettre.
Le temps de me préparer, de prendre ma voiture et me voilà devant la porte.
Lorsqu'il m'ouvre, je vois qu'il n'a pas perdu de temps : il a un collier en cuir dans la main, comme un collier d'animal de compagnie.
"- Enfile ça, dépêche-toi."
J'obéis sans me faire prier, je suis là pour ça après tout.
"- Ce collier, c'est le symbole que tu m'appartiens. Quand tu le portes, tu fais tout ce que je te dis, tu es mon esclave.
Quand tu le retires tu es à nouveau libre. Tu l'enfiles en arrivant. Tu le retires en partant. Ni avant, ni après.
C'est bien compris ?"
Il ne me laisse pas le temps de répondre et me tire par le collier en direction du salon.
"Bon, qu'est-ce que t'attends pour te déshabiller ?"
Belle entrée en matière. En même temps il n'allait pas me proposer un café.
Je tombe les fringues et relève la tête pour le voir en train de m'analyser, des pieds à la tête.
"- Pas mal. Tourne-toi, que je voie si ton cul est aussi joli en vrai."
Je me retourne, et reçois aussitôt une main au cul. Il palpe fermement, puis pousse un léger sifflement de satisfaction. J'en déduis que mon cul est aussi joli en vrai.
Je jette un coup d'oeil à la pièce et ne peux m'empêcher de constater qu'elle est déjà impeccable.
Je me doute bien que le ménage n'est qu'un prétexte au jeu sexuel, mais il aurait au moins pu faire semblant.
On dirait qu'il a compris mon regard car il m'interpelle puis, en me regardant droit dans les yeux, renverse un cendrier qui était posé sur la table par terre.
"- Allez au boulot. Tu as la pelle et la balayette juste ici. Et que ce soit bien fait, je vais m’asseoir dans le canapé et t'observer. Si tu fais la moindre erreur, je le saurai immédiatement et tu recevras une correction."
Il n'a pas l'air de plaisanter : sur la table où était posé le cendrier, il y a également une cravache et un plug de taille conséquente.
Je me met au boulot sans attendre, à quatre pattes et que ça brille.
Au fur et à mesure que je nettoie, il se lève du canapé, renverse des choses, et retourne s'asseoir. La main dans le futal, il s'astique en me regardant d'un air de chien en rut. Il a l'oeil vicieux. Pervers même. Ça ne me déplaît pas.
J'ai l'impression d'être un bout de viande. Un bout de viande à poil, qui fait le ménage, et qui n'attend que de se faire prendre sauvagement sur le canapé.
Voilà qu'il sort carrément son engin et commence à le branler furieusement en passant sa langue sur ses lèvres.
Je vais lui donner ce qu'il veut tiens : je me retourne et feinte de frotter une tâche vraiment incruster pour bien lever mon cul ouvert dans sa direction, bien cambré.
Ça a l'air de faire son petit effet parce qu'il redouble d'ardeur à s'astiquer, je l'entends.
"- Alors c'est comme ça hein, tu m'aguiches ? Ça suffit. Viens-là."
J'obéis, je m'avance jusqu'au canapé, à quatre pattes, l'air joueur. J'arrive entre ses jambes, sans le quitter du regard.
Il m'attrape le collier et me tire pour me rouler une grosse pelle, presque de force. Il n'y va pas avec le dos de la cuillère, il me lèche tour à tour les lèvres, puis la langue. Je dois avouer que ça me dégoûte un peu, mais je me force, jeu de rôle oblige.
Je suis complètement dans mon personnage de petit esclave bien docile. Ce qui excite mon Maître m'excite aussi, par extension.
"- Branle-moi, esclave."
Ça y est, le mot est lâché : esclave. Bon, ça ne me déplaît pas. Je rebondis directement, à fond dans le rôle :
"- Vos désirs sont des ordres, Maître."
Je commence à lui astiquer le membre, tout doucement d'abord, mais langoureusement. Puis de plus en plus vite.
Le bazar est assez gros, j'y met les deux mains. Un coup de langue de la base au gland et voilà que je me reçois une grande claque et qu'il me tire par le collier.
Il colle presque son visage au mien et, les yeux exorbités, m'aboie dessus :
"- Est-ce que je t'ai dit d'y mettre la langue, petite salope ?"
Il ne rigole pas.
"- Non Maître, pardonnez-moi."
J'ai merdé, je crois que je vais prendre une branlée, sans mauvais jeu de mot.
"- File chercher les instruments sur la table."
Mon compte est bon. Je file les chercher et lui ramène. Il me fourre le plug dans la bouche, et me lance :
"- Tu vas prendre dix coups de cravache pour commencer."
Il commence fort, puis de plus en plus fort.
"- Zut. J'ai perdu le compte. Je vais devoir recommencer."
J'aimerais bien protester mais j'ai la bouche pleine.
Douze coups de cravache plus tard, je crois que je me suis bien fait baiser.
Il m'ôte le plug de la bouche et le pose sur la table basse.
"- Bon, maintenant tu vas me sucer.
- Merci Maître."
Je commence par un bon coup de langue sous les couilles, puis remonte le long de son mat en posant des baisers à intervalles réguliers. Lorsque j'arrive au gland, un bon coup de langue circulaire puis je le rentre tout doucement.
Visiblement je ne vais pas assez vite pour lui car il me prend la tête, et m'empale la bouche sur son vit.
Il commence littéralement à me baiser la bouche, à grands coups de reins. J'essaye de lutter mais il me tient trop fort.
Il continue comme ça pendant un moment, et lorsqu'il se retire, j'ai le tour de la bouche couvert de salive.
Il me colle sa main dessus et l'étale sur mon visage, puis il m'attrape par le collier et me crache à la figure.
"- T'es une vrai cochonne, pas vrai ? Allez, remet-toi au boulot."
Je me remet au travail, plus excité que jamais, le cul bien tendu. Je nettoie les choses qu'il renverse au fur et à mesure pendant une bonne demi-heure, lorsque, sans prévenir, il m'enfonce un doigt dans le cul.
J'avoue que je suis un peu pris au dépourvu, je sursaute. Il commence à me masser l'intérieur avec son doigt spéléologue, bientôt rejoint par un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième. Difficile de se concentrer sur son travail dans ces conditions.
Finalement, il retire brusquement ses doigts, m'écarte les fesses, et me crache dans le trou.
"- Maintenant on va passer aux choses sérieuses, voir si tu tiens vraiment la route !"
Et à peine a t-il fini de prononcer ces paroles, qu'il m'empale d'un coup d'un seul, sur son gros membre turgescent. Incapable de retenir un gémissement, je me laisse aller. Ça l'amuse visiblement beaucoup puisqu'il se met à rire et m'envoie une grande claque sur les fesses.
Il atteint très vite une vitesse de va-et-viens conséquente, heureusement qu'il m'a préparé car ça me fait déjà un peu mal, je n'imagine même pas sans préparation.
Il me pilonne comme ça sans s'arrêter, tantôt m'envoyant une volée de fessées, tantôt me crachant sur le cul.
Comme il me maintient par le collier qui fait de moi son esclave, chaque coup de rein m'étrangle légèrement.
Il y va fort, on dirait un chien en rut, on dirait qu'il n'a pas baisé depuis des mois.
Et voilà qu'il me renvoie une volée de claques, cette fois on peut être sûr qu'il a perdu le compte.
D'ailleurs il ne s'embête même pas à compter, il se contente de maltraiter mon pauvre cul déjà bien rougi.
Au bout d'un moment il s'arrête brusquement et se retire. Je me crois tiré d'affaire. Soupir de soulagement, bien vite interrompu : il vient de m'enfoncer son plug dans le cul.
"- Ce n'est pas fini. On va garder ton cul bien ouvert, et tu vas te remettre au travail."
J'essaie de me remettre au travail, mais il m’interrompt bien vite en me fourrant sa grosse bite dans la bouche.
Impossible de travailler dans ces conditions ma parole !
Rebelote, il me viole carrément la bouche qui dégouline de salive. Il y va encore plus fort que tout à l'heure, à grands renforts de coups de cravache dans le dos.
Il y va de plus en plus vite, de plus en plus fort. Entre son membre dans ma bouche et les coups de cravache je sens les larmes qui pointent au coin de mes yeux.
Tout à coup, il se retire et jouit abondamment sur le sol. Il y en a une quantité impressionnante, je n'ai jamais vu ça.
"- T'as vu ce que tu as fait ? T'as tout dégueulassé ! Il va falloir nettoyer maintenant, je te préviens."
Il m'envoie une paire de claques et me choppe par le collier pour me coller le nez dans la flaque.
Sans perdre une seconde, j'attrape de quoi nettoyer et je répare mes bêtises, sous les crachats de mon employeur tortionnaire.
Lorsque j'ai enfin fini, il me retire le plug, et crache dans mon anus bien dilaté. Puis il me relève en me tirant par le collier et me roule une grosse galoche bien dégoulinante dont il a le secret.
"- Bon, file te doucher."
Je vais me doucher, moitié tremblant. Quelle séance, on peut dire qu'il n'y est pas allé de main morte.
Sous la douche je me décontracte tranquillement, lorsque soudain, je sens mon bras se tordre dans mon dos.
C'est mon Maître qui vient me rendre une petite visite.
Et quelle visite, il me plaque le torse contre le mur de la douche et m'envoie directement un deuxième tarif à grand coups de bite dans le derrière.
"- Je t'avais pourtant prévenu, tant que tu portes ce collier tu m'appartiens. Tu as oublié de le retirer, alors voilà ta punition."
Il me ponce le trou sauvagement, et chose incroyable, il parvient à jouir une deuxième fois en moins d'une heure, et me balance la sauce à l'intérieur.
Autant dire que j'ai mis un moment à finir ma douche. Une fois sorti, j'ai finalement pu me rhabiller, sans oublier de retirer le collier cette fois.
Je l'ai finalement remercié, le comble, et suis rentré chez moi, chancelant d'avoir été aussi maltraité.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ce qui me fais penser, que j'ai un peu de ménage à faire... Merci excitant !
Super histoire, j en ai le boxer déformé , la suite ......
histoire très sympas j'ai le caleçon tout tendu a très vite :)
salut a toi merci pour cette belle histoire qui ma bien fait bander d imagination j espère lire la suite bientot