Titre de l'histoire érotique : Hôtesse de gite rural 3/3 - histoire érotique

En fin de semaine Jérôme carrément sur les rotules est inquiet de savoir s’il pourra satisfaire sa femme qui arrive le lendemain ? quant à Adrien grâce a ses purges sexuelles répétées avec moi a retrouvé une peau de bébé sur le visage, fini l’acné grâce a ma chatte qui, elle, est limite irritée, aussi je prête mon scooter au garçon afin qu’il aille draguer mes copines du village que j’ai misent au courant, les nouvelles têtes sont très appréciées ! je ne regrette pas cette semaine de folie !
Le samedi matin vers Jérôme revient de la gare, une belle femme brune au regard perçant descend de la voiture, par politesse je dois l’accueillir avec toutefois l’appréhension qu’elle sache tout, son mari devient subitement distant avec moi

- Mademoiselle Aline je vous présente Éloïse mon épouse
- Enchantée, je vous souhaite un bon séjour
- Mon mari m’a dit le plus grand bien sur votre hospitalité !
- Merci, il est très aimable, tout comme votre fils
- A ce propos il parait que l’air de la campagne a été bénéfique a son acné ?
- Ici l’air est pur et favorable à une parfaite santé
- Humm, ça ne doit pas marcher pour mon mari, il parait très fatigué !
- Je fais de longues marches tous les jours chérie
- Je compte sur vous mademoiselle pour me montrer les dessous des travaux à la ferme
- Ha, si vous voulez, cet après midi il va se passer quelque chose de spécial...
- Et quoi donc ?? je suis très curieuse de nature
- C’est vraiment très spécial … Marguerite, une de nos vaches va se faire saillir par le taureau du père Mathieu, derrière ce hangar
- NOOOOOONNN !!! je peux y assister ?
- Chérie c’est vraiment particulier …
- Je veux voir ça !!
- Parfais je viendrais vous chercher cet après midi
- Jérôme viens me montrer nos locaux, Adrien n’est pas là et je suis impatiente de te retrouver …. si tu vois ce que je veux dire
- Avec plaisir chérie ….

Mon Jérôme me jette un œil paniqué, il va devoir assumer le devoir conjugal avec ses bourses plus ou moins vides ! en attachant marguerite a l’anneau afin qu’elle ne se dérobe pas au mâle j’ai dit au père Mathieu qu’une touriste allait assister a la saillie il s’est frotté les mains

- Encore une vicieuse en talons hauts qui aimerait bien se faire saillir par un paysan comme moi !
- Ça peut peut-être s’arranger …
- Et comment ?
- Je peux lui vanter vos capacités de taureau, justement en ce moment son mari donne de gros signes de fatigue, elle va être émoustillée devant un tel spectacle, je le sais car moi même n’y reste pas indifférente ...
- TOI ? tu ?…
- Et oui, je mouille à chaque fois lorsque je vois ce long manche disparaitre dans le ventre d’une vache !
- Petite cachotière tu aurais put me le dire
- Pour que vous me sautiez dans la grange ?
- J’dirais pas non !! t’es en âge de connaitre le loup !
- Nous verrons …mais d’abord la vacancière
- Ho putain ! je bande
- Teu-teu-teu attendez un peu !!! bon, je vais la chercher
- Je descends Azor de la bétaillère, il a déjà senti la femelle en rut, il ne tient plus en place
- Comme vous !!

Éloïse est apparemment déçue par la prestation de Jérôme, très bonne affaire …je remarque ses tétons qui pointent sous le corsage léger avant même que nous soyons sur place, je fais le pari de lui ôter sa petite culotte après la séance …qui en profiteras ? Mathieu ou moi ? celui-ci roule des yeux en voyant ce châssis approcher

- Alors comme ça m’dame veux s’encoquiner ?
- Mon ami je ne comprends pas votre réflexion
- Il veut dire que vous voulez vous exciter...
- Ça me ferait du bien, car je suis déçue de l’accueil de mon mari !
- Laissez lui du temps, venez prés de moi ça va commencer
- Quelle belle bête …
- Il en a une belle paire hein ? vous allez voir sa trique !

Je serre les cuisses en voyant la matrice de marguerite qui perd de longs filaments glaireux dût a ses chaleurs, attaché plus loin Azor, un mastodonte de sept cent kilos impatient de tirer son coup gratte le sol de ses sabots et souffle bruyamment par les naseaux

- Préparez vous au spectacle les filles ça va aller vite, ne ratez rien, allez mon gros vient embrasser ta fiancée
- C’est impressionnant la grosseur de ses testicules
- Celles de votre mari sont heureusement moins grosses !
- A propos de mon mari, faites moi penser a élucider un mystère après cette action
- Bien Éloïse …regardez l’animal …quelle souplesse pour son poids
- Il chevauche la vache avec une agilité incroyable
- Attention les filles c’est maintenant …et hop !!
- Wouuaaaaaah quelle longueur il vient de lui mettre
- J’en ai les jambes qui flageolent ! ça me démange quelque part
- Attention il ressort sa trique… hhhhhooooooooooo quel fouet !!
- C’est finit mesdames, alors ? qu’en pensez-vous ?
- Quand je vois tout ce jus qui s’écoule de la matrice quel gâchis !
- Trop court, enfin je veux dire la séance est trop courte
- Il faut que je m’assoie quelque part sinon je vais tourner de l’œil
- Allez dans la grange il y a des bottes de paille, le temps d’attacher Azor et je vous rejoins les filles

Si Éloïse est dans le même état d’esprit que moi je suppose que sa culotte aussi, elle est mûre pour sauter le pas, la femme de Jérôme s’assied, chancelante elle se laisse tomber a la renverse entrainant sa jupe qui remonte haut sur ses cuisses, un appel a la caresse suprême que j’ose exécuter sans attendre, au risque de prendre une baffe ma main remonte entre le compas qui s’ouvre au fur et a mesure que mes doigts glissent sur la peau veloutée de l’intérieur des cuisses

- Aline …
- Oui Éloïse … ?
- Que fait ta petite culotte souillée sous l’oreiller de Jérôme ?
- C’est une longue histoire que je te raconterais plus tard, ne perd pas le bénéfice de l’acte irréel auquel nous venons d’assister
- Tu as raison, caresse moi la chatte
- Je vais même te lécher si tu veux
- Hhhooooouuuuuuiiiiii ! j’ai envie de la bouche d’une femme entre mes jambes
- Soulève-toi afin que je fasse glisser ton string
- Le père Mathieu va venir...
- Et alors ? il mérite bien sa récompense
- Si tu reste ainsi les fesses en l’air il va en profiter pour te posséder…
- Je n’attends que ça depuis longtemps, écarte les cuisses que je te broute...mmmuuuuummm quel abricot juteux
- Quel taureau fougueux cet Azor !
- Quel joli tableau, ne bougez pas mesdames j’arrive, haaaaaa cette petite Aline quel mignon postérieur tel que je l’imaginais

L’air frais atteste que ma jupe vient d’être relevée sur mes reins, aussitôt c’est a mon minou de profiter de la même fraicheur, deux doigts rugueux investissent ma vulve pour en vérifier l’humidité, le grognement de satisfaction que pousse l’homme prouve qu’elle est a point, sans plus tarder ses mains accrochent mes hanches tandis que la bitte raide en cherche l’entrée a coups de reins de plus en plus précis, au troisième je me cambre interrompant involontairement ma succion , Eloïse désappointée pense que je la laisse tomber, je la rassure très vite une fois investie totalement par le membre en recollant ma bouche a son con baveux comme une ventouse
Notre trio encore sous la vision de la saillie hors norme s’en donne a cœur joie, le père Mathieu me défonce allégrement la choune en maugréant qu’il y avait longtemps qu’il attendait cette occasion, j’ai toujours pensé qu’il était un bon coup mais être voisins et notre différence d’âge mettaient un frein a ce genre de relation
Au moment où mon amant lâche sa purée dans mon ventre je revois ma vache se cambrer lorsqu’Azor a juté en elle, ce qui déclenche mon orgasme, a cet instant je mords le clitoris d’Éloïse qui décharge dans ma bouche, j’allais remonter a culotte lorsque Mathieu, les bretelles aux chevilles pousse un juron

- Vingt dieu les gonzesses je n’ai qu’une couille de vidée, changez de place, Aline fait-toi bouffer la figue et toi la touriste montre moi ta fente baveuse
- Vous allez me baiser aussi ?
- Ben oui
- Aaaaaaaaahhhhhhhhhhhh, je vais jouir enfin !

Si tout le monde est content alors je m’allonge docilement donnant ma chatte à nettoyer à ma ‘rivale’, elle a de quoi se goinfrer car le père Mathieu avait les testicules bien gonflées, un coup de menton sur ma moule et un cri bref m’apprennent qu’elle vient de se faire saillir comme une vache, en quelques secondes le rythme est trouvé, chaque coups de reins viril est ponctué par le choc des mâchoires sur mon vagin ce qui écrase mon clitoris, je découvre une nouvelle façon de me faire jouir, un jet dru fuse de ma gaine vaginale faisant hoqueter Eloïse, Mathieu croyant l’avoir faite jouir lui met le reste de sa sauce dans le ventre
Le paysan remonte son froc et ses bretelles, je n’avais pas remarqué qu’il avait gardé ses bottes recouvertes de bouse odorante et de paille, haaaaaa, vive la campagne !

- Aline … je te pardonne la relation que tu as eue avec Jérôme… comme celle que tu as eu avec notre fils
- Merci Éloïse
- Tu ne m’en tiens pas rigueur ?
- Bien sur que non, pour te le prouver vient ce soir nous retrouver, Adrien sera parti voir ses nouvelles copines, grâce a toi il est devenu un homme
- Et un bon amant !
- Je veux te regarder faire l’amour avec mon mari
- Un bon amant aussi …
- Tu me l’as crevé cette semaine !
- Il commençait à prendre du ventre !!

La semaine a été courte mais intense en relations, non seulement avec le couple mais aussi certaines nuits avec le fils, vive la campagne !!