Titre de l'histoire érotique : Il en avait une belle 1/2
Récit érotique écrit par Rollerbi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : Il en avait une belle 1/2
C’était une fin d’après-midi d’été assez commune. J’avais passé la journée à lézarder au bord de la mer. J’ai toujours eu horreur de la plage, aussi avais-je jeté mon dévolu pour une crique assez isolée, bordée de rochers surplombant une petite plage. Ceux qui s’aventuraient là le faisaient afin de pouvoir profiter du soleil et de l’eau sans le moindre vêtement. S’il y avait toujours quelques couples, l’endroit était fréquenté principalement par des hommes. L’absence de végétation empêchait que ce site merveilleux soit un baisodrome. On y venait “avant tout” pour y être tranquille, mais il était connu également pour y faire des rencontres intéressantes.
À cette époque, j’étais gardien d’une propriété distante d’une trentaine de kilomètres dans l’arrière-pays. Comme très souvent, les propriétaires étaient absents et je m’octroyais un peu de bon temps en ce vendredi. Livre, musique, sea and sun avait été l’unique programme de la journée. Ma copine était partie dix jours chez sa sœur, personne ne m’attendait à la maison, j’avais tout mon temps. Il devait être 17h00 et je m’apprêtais doucement à rassembler mes affaires lorsqu’un nouvel arrivant vînt s’installer à quelques mètres de moi. À sa décharge, il ne restait plus beaucoup de places vacantes sur la petite bande de sable et les rochers étaient également bien occupés.
Bermuda, chemise et mocassins habillaient ce beau quadragénaire, plutôt grand et svelte à la peau bronzée. Caché derrière ses lunettes de soleil, il posa à terre le petit sac marin qu’il avait sur l’épaule, puis étendit une serviette et s’y assis sans ôter le moindre vêtement, se contentant de me saluer d’un hochement de tête lorsqu’il regarde mon côté. De sa chemise ouverte s’échappait une dense pilosité aussi brune que ses cheveux.
Je répondis à son salut, trouvant mon nouveau voisin plutôt à mon goût ; s’il restait vêtu, peut-être alors venait-il simplement pour se rincer l’œil. De là à penser qu’il ait choisi cet emplacement pour en découvrir davantage... Toujours est-il qu’allongé sur le côté, il ne pouvait rien avoir perdu de mon intimité. Alanguis au soleil depuis des plombes, mes bourses généreuses pendaient plus que jamais sur ma cuisse, accompagnées de ma verge tout autant attirée par la gravité. Sans vantardise, je sais que mon corps plait, à côtoyer les deux sexes depuis des années. Je n’ai jamais vraiment besoin de draguer, les mecs viennent à moi assez aisément. Je peux choisir mes amants, en général.
Comme il ne semblait pas vraiment décidé à se dévêtir, je pensais vraiment à quitter les lieux. Mais en regardant cette belle crique, j’optais pour une dernière baignade. Je me levais et descendis jusqu’à un petit promontoire avant de piquer une tête. Quel plaisir de nager nu ! J’invite celui qui ne l’a jamais fait à découvrir les exquises sensations renforçant le sentiment de liberté que donne le naturisme. Je me rafraîchis de longues minutes avant de remonter sur mon belvédère.
L’homme était toujours assis et vêtu quand je sortis de l’eau, mais il ne perdait pas une miette de mon ascension. Il souriait en me voyant me tordre les pieds sur les pierres aussi acérées que brûlantes.
— Difficile de tenir debout sur ces fichus cailloux ! dit-il comme j’arrivais à ma place.
— En effet, mais le sable qui colle de partout, très peu pour moi. répondis-je en prenant mon temps pour remettre ma serviette en place. Sans même parler d’être les uns sur les autres !
Sa voix grave concordait avec son physique agréable. Je m’allongeais sur le ventre pour offrir ma croupe au soleil autant qu’à sa vue et l’invitais à s’installer plus près pour que nous puissions papoter. Il réinstalla sa serviette et se rassis à peine à un mètre de moi, puis commença à se dévêtir. Ses mains étaient magnifiques, pourvues de longs doigts, d’un pouce très large, ses ongles bien coupés... Sa chemise ôtée, je découvrais son corps musclé. De ses pectoraux bien dessinés jusqu’à la ceinture de son bermuda, une toison brune le recouvrait. Son ventre plat plissait à peine et ses muscles dorsaux se bandaient au moindre mouvement de ses bras. Ses mocassins quittèrent ses pieds puis enfin, sans se relever, son short glissa sur ses cuisses fermes. Il ne portait aucun sous-vêtement et son bronzage était intégral ; l’homme était donc un adepte du naturisme.
Je ne pouvais voir son sexe dans cette position, mais j’espérais quelque chose en conséquence. En l’état, son physique ne me laissait pas vraiment de marbre. Nous parlions de loisirs, de temps libre et de la chance que nous avions de pouvoir être nus au soleil plutôt qu’habillé sous un ciel gris. J’apprenais qu’il s’appelait Guy, qu’il avait 20 ans de plus que moi, j’en avais presque 30... il en paraissait pourtant à peine 40. Il n’était jamais venu ici, mais fréquentait régulièrement avec Madame une plage naturiste “conventionnelle”. Il avait entendu parler de ce lieu à maintes reprises et profitait que son épouse est absente quelques jours pour s’y risquer. Tiens !
Je comprenais mieux sa réserve et cela le rendait à mes yeux encore plus charmant. Monsieur espérait probablement “tirer” quelques bénéfices de son audace ! Quand il s’allongea, je pus m’apercevoir que l’homme était puissant. Un beau cylindre brun d’une longueur déjà conséquente reposait sur son bas-ventre, écrasant une belle touffe de poil. Si ses bourses, de là où je l’observais, demeuraient encore un mystère, le “haut moteur” me convenait amplement. Et dire que je voulais partir...
Je m’allongeais sur le côté, campé sur mon coude, espérant pouvoir réfréner un début d’érection en regardant le paysage. Mais mon regard revenait sans cesse vers cette verge si présente et ne semblant pas le moins du monde rapetisser. Ses bourses avaient elles aussi bénéficié de ses hormones de croissance et je regrettais qu’il y ait tant de monde autour de nous. Me saisir de cette verge et faire glisser son prépuce pour découvrir son gland bien en relief sous la fine peau...
— Est pour voir d’autres rivages que vous êtes venu, ou pour d’autres envies ? osais-je demander pour éclaircir la situation. Après tout, il venait à moi, non ?
— Euh... comment dire ? Un peu des deux, peut-être.
— Je peux vous mettre à l’aise ?
— Ça se voit tant que ça que je suis stressé ?
— Un peu. Moi, j’aime autant les femmes que les hommes, si cela peut vous rassurer. Ce sont deux plaisirs totalement différents et il m’est à ce jour impossible de faire un choix tranché.
— Vous n’y allez pas par quatre chemins !
— Je vous mets à l’aise : tout plaisir perdu n’est pas récupérable. Si vous n’êtes pas là pour le décor, qu’espérez-vous, honnêtement ?
— Ça fait des années que j’ai ce que l’on pourrait appeler “des fantasmes”, mais je n’ai pas vraiment eu l’occasion de tenter quoi que ce soit. Ou plutôt pas eu le courage.
— J’ai eu longtemps ce type de fantasmes, jusqu’au jour où j’ai enfin décidé de me jeter à l’eau.
— Puis-je vous demander ce qui a motivé votre “essai” ?
— Par où commencer ? Déjà, l’éducation est un vrai conditionnement. Pourtant, je rêvais éveillé de sexe d’hommes dès l’adolescence. Pour faire court, un soir, je venais de quitter ma copine et me suis dit : ce soir ou jamais.
— Et c’était le bon soir, de toute évidence.
— Exact. La meilleure façon de se débarrasser d’un fantasme, c’est finalement d’y céder. Les regrets viennent après si c’était foireux. Si on ne tente rien, ils s’installent doucement, et un jour on se retrouve à penser : merde, j’aurais du... Enfin, c’est comme ça que je fonctionne.
— Des regrets après ce fameux soir ?
— Oh que non, même s’il m’a fallu du temps pour accepter d’avoir “fait des trucs avec un homme”. À 19 ans, on n’est pas assez mûr !
Je commençais à le sentir se détendre et lui proposais de nous tutoyer. Je n’ai jamais aimé jouer les folles ni “les salopes” et je vais voir un homme pour sa virilité, pas pour me sentir femme, même si avec certains... Vivant avec une femme, je lui expliquais longuement ce que j’attendais d’un homme et ce que je leur refusais. J’observais discrètement son sexe réagir à mes propos sobrement, et s’il ne bandait pas, c’était certainement parce qu’il était habitué à la nudité. Du moins, j’espérais que ce ne soit pas pour une raison “mécanique”. Il me rassura sans le savoir en me parlant de sa femme. Cette dernière n’était pas très portée sur le sexe, le renvoyant fréquemment dans ses buts. Elle n’aimait pas trop sucer et y mettait si peu d’entrain qu’il préférait encore sa main. Pour les positions, c’était du classique et “passer par-derrière” relevait de la perversité. Bref, autant dire que mon Guy devait avoir les couilles dans les chaussettes !
Le soleil commençait à se casser la figure, glissant lentement sur l’horizon quand je lui demandais s’il me trouvait suffisamment à son idée pour oser tenter quelque chose, en lui précisant qu’il me plaisait énormément. Je le mettais en garde sur le fait que je n’embrasse pas les hommes, ce qu’il n’avait par ailleurs même pas imaginé. Après de longs palabres, nous renfilâmes nos vêtements et quittâmes les lieux ensemble jusqu’au parking, en lui demandant s’il préférait venir chez moi ou plutôt un endroit neutre. La nature lui convenait, je connaissais un petit coin sympa, et il faisait si beau !
Nous sommes partis avec sa voiture plutôt que de nous suivre. Nous n’avions que 5 ou 6 kilomètres à parcourir pour nous éloigner de la côte et retrouver la petite clairière dans laquelle j’avais déjà connu pas mal de “prétendants. Je glisser une main sur l’intérieur de sa cuisse en lui disant qu’il pouvait me demander d’arrêter quand il le désirait, que rien n’était imposé. Sous ma paume, son sexe prenait vie. Je me rappelle lui avoir dit qu’il me tardait de le sucer et que sa compagnie m’était très agréable.
Le moteur coupé, je sentis de nouveau sa gêne et lui répétais que rien n’était imposé. Son sexe roulait toujours sous mes doigts et je dégrafais son bermuda, rêvant depuis plusieurs heures de le prendre en bouche. Lui déboutonna sa chemise, je sus alors qu’il était prêt. À ma demande, il inclina son siège et le recula, j’en fis de même avant de faire glisser son short. La grosse queue, presque noire tant elle avait doré au soleil, gisait sur sa cuisse, à demi molle, sublimée par la lumière bonde de cette fin de journée.
Loin de me jeter dessus, je glissais mes doigts entre ses poils, caressant sa poitrine et son ventre en lui disant qu’il avait un corps de rêve, ferme, musclé, très bien entretenu. Sa main se posa timidement sur mon dos comme je découvrais le volume de ses bourses en me penchant pour embrasser son sexe. Il sentait bon l’homme soigné, je m’en rappelle très bien. De ma main gauche, j’attrapais la base de sa hampe épaisse pour l’orienter vers mes lèvres. Ma langue se glissa alors entre le gland et le prépuce pour décrire quelques cercles autour du méat. Son goût salé électrisa mes papilles et un flot de salive inonda ma bouche. Comme je tirais la peau fripée en arrière sur sa hampe, il décalotta naturellement et mes lèvres glissaient sur son gros gland violet. Enfin, je suçais sa grosse quéquette.
Déjà grosse, elle remplissait amplement ma bouche impatiente. Son nœud lisse avait une belle forme et ne souffrait d’aucun aspect disgracieux. Ses testicules fermes roulaient entre mes doigts cajoleurs pendant que sa hampe gonflait en déformant mes lèvres lorsque ma tête plongeait sur elle. Silencieux, l’homme semblait apprécier ma caresse et promenait sa main sur mon dos, n’hésitant pas à aller de plus en plus bas. En quelques minutes, il bandait ferme, révélant “sa vraie grandeur”. Imposante au repos, il en avait une belle entre les jambes une fois bandée.
Je salivais en prenant un réel plaisir à découvrir sa chair intime, souhaitant qu’à terme il éjacule en proportion du volume de ses organes. Sa main glissait volontiers sous la ceinture de mon short, je décidais alors de lui laisser le loisir de découvrir mon corps. Reluquant sa robuste bite pointant vers le ciel, je retirais intégralement mes habits, il en profita pour se retrouver entièrement nu également. Profitant de cette pause, ses doigts attrapèrent mon paquet en me disant que mon corps lui plaisait beaucoup. Sans plus attendre, il se pencha et prit ma queue en bouche. Un homme sait d’instinct ce qu’il doit faire et mon membre glissait entre ses lèvres.
Il s’occupa de longues minutes à me sucer, m’avouant qu’il n’imaginait pas que cela distendait autant la mâchoire, mais qu’il appréciait. Je retournais le pomper en y mettant toute mon âme et Guy devenait plus expansif, commentant volontiers ce qu’il ressentait et ce qu’il voyait. Ses yeux, comme ses mains d’ailleurs, pointaient vers mes fesses nues, lisses et bronzées. Il les écartait en me disant que “j’avais un très beau cul”, qu’il m’avait bien observé quand j’étais descendu me baigner ou pendant que nous discutions. Je l’invitais à y plonger ses doigts, m’imaginant que cela précipiterait sa jouissance...
— Elle te plaît ma queue ? demandait-il, prenant de l’assurance, ou voulant être rassuré.
— Oui, elle est grande et bien épaisse, j’adore. J’ai hâte de goûter ton sperme !
— Hummmmm... pas si vite ! Tes fesses me font envie !
— Tu as des capotes ?
— Non ! Mais j’aimerais beaucoup essayer de te prendre.
Je n’avais aucune protection et ne me voyais pas faire sans. Pourtant, il s’occupait très bien de mon séant, y mettant aisément deux doigts tout en me masturbant de sa main libre. Sa verge était si longue qu’il en restait assez à sucer, même lorsqu’il se penchait sur moi. Monsieur semblait très endurant, quel que soit le rythme de ma fellation, il ne donnait aucun signe de faiblesse, continuant à plonger ses doigts en moi.
La lumière baissait, mes maxillaires souffraient et Guy ne jouissait toujours pas. Il adorait se faire sucer goulument, chose que sa femme lui refusait, le trouvant trop gros pour sa bouche. Ça, je le comprenais bien, puisque j’en souffrais à force d’avoir la mienne grande ouverte. Il insistait pour que je cède à ses avances... ses arguments eurent raison de ma bonne conscience comme de ma mâchoire. Sa voiture était spacieuse et confortable, mais il insista pour que nous en sortions.
Il m’avait vraiment chauffé et j’étais presque impatient de l’accueillir. Tous deux contre l’aile de son véhicule, penché sur sa queue, je la salivais abondamment en toisant le beau calibre bien rigide que j’allais recevoir. Moi qui adore les hommes bien montés, je disposais d’un morceau de choix, avec de belles bourses bien pendues que je sentais presque déjà balloter entre mes jambes. On ne croise pas ce genre de sexe à chaque rencontre ! Ses mains flattaient ma croupe et à cet instant, je ne saurais dire lequel de nous deux était le plus en manque. Après avoir étalé un peu de ma salive sur l’anus, je me penchais sur le capot en tenant mes fesses offertes. J’étais prêt, il posa son beau gland directement sur mon mignon.
— Va doucement, s’il te plaît. Tu es vraiment très gros, tu sais ? Je ne fais pas ça tous les jours !
— Si tu as mal, j’arrête. Guide-moi, tu es le premier...
— Alors, viens, prends-moi lentement. Ouiiii... appuie un peu plus.
Comme je poussais, son gland me perforait, me pénétrant pratiquement du premier coup. Attentif à mes consignes, il s’immobilisa une poignée de secondes avant de remettre un peu de pression. Pourtant habitué, j’avais la sensation d’être écartelé et distendu à chacune de ses poussées, mais ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin. Après quelques minutes, je lui demandais de ressortir pour qu’il crache sur mon anus, ce qui l’excita. Puis il replanta son arme entre mes fesses, saisit mes hanches et reprit un long va-et-vient. Je pris confiance, il ne chercha pas à “m’enculer bien droit”, mais réalisait un vieux fantasme. Il me parlait, se souciait de mon état, de mon plaisir, ne s’enfonçant davantage en moi que si je l’y invitais, et j’appréciais véritablement ce moment.
La chaleur de l’air, combinée à celle du capot moteur, faisait déjà perler mon front, mais une petite voix me disait que je n’avais pas fini de transpirer, avec Guy. Son gros calibre allait toujours plus avant et pourtant, l’homme couvrait mon dos de sa poitrine venue. Il ne donnait aucun coup de reins, mais jouait de son bassin comme un violoniste joue de son Stradivarus. Ma main gauche vint étreindre sa hanche en signe d’accompagnement, d’adhésion. Je lui répétais qu’il me sautait trop bien et que j’adorais sentir sa grosse queue en moi. Lui m’avouait trouver mon cul divin, qu’il n’imaginait pas prendre autant de plaisir ”au cul d’un mec”.
L’absence de capote, normalement indispensable, rendait cet accouplement formidablement jouissif. Il coulissait en moi sans échauffement, sans heurts. Lorsqu’il posa son genou sur l’aile, que ses mains se placèrent juste sous mes aisselles, je compris qu’il allait me servir les derniers centimètres de sa verge interminable. Un court instant, j’imaginais les douleurs que peuvent ressentir certaines femmes lorsque l’on bute leur matrice et pense que son épouse pouvait peut-être souffrir de tant d’endurance avec de telles mensurations ! Mais je me cambrais au maximum et lui demandais de me faire sentir ses couilles contre les miennes.
Il variait de rythme, reculait, revenait poser son lourd paquet contre mon scrotum, tout cela en m’arrachant des râles de plaisir. Guy se révélait être un amant formidable, un Dieu de la bite disposant des clefs de ma jouissance. Sa sueur gouttait sur mon épaule et ruisselait de son pubis dans ma raie, provoquant les bruits caractéristiques d’une partie de jambes en l’air. Ma queue pendait contre l’aile tiède et maintenant poisseuse de sueur, mon amant m’enfilait de merveilleux coups de verge, mon rectum vibrait de toutes ses terminaisons nerveuses. Une énorme boule d’énergie s’accumulait sous ma vessie et je la sentis exploser de toutes parts. Je criais mon orgasme, les jambes tremblantes, le corps parcouru de frissons, l’anus palpitant autour de cette puissante verge qui m’offrait un véritable feu d’artifice.
Je jouis magistralement, lâchant presque prise avec le monde environnant. Seuls les cris de mon amant me parvenaient de ce monde extérieur. Il jouissait à son tour ! Pour le monde intérieur, ses bourses plaquèrent les miennes, son ventre se décolla du bas de mon dos et son gland se mit à gonfler étrangement pour m’inséminer de longs jets de sperme. Je ressentis son éjaculation comme jamais auparavant, un peu comme l’on ressent le vibreur d’un téléphone portable dans sa poche. Guy déchargeait et cela me parut... long, bien plus long que mes amants prédédants. Pourtant, sa jouissance s’ajoutait à la mienne tant je la ressentis au plus profond de mon ventre.
Lorsqu’il s’immobilisa, un silence que seuls nos souffles courts troublaient s’installa, puis il se rallongea sur moi, comme éteint. Nos cœurs encore emballés mirent longtemps avant de retrouver leurs cycles standards. Après quelques minutes pendant lesquelles aucun de nous n’osait parler, je sentais mon ventre se détendre, accompagné de drôle de gargouillis comme sa verge diminuait de volume. Ma poitrine glissait dans sa transpiration, Guy collait à mon dos, ma verge goutait encore les restes de mon plaisir physique. Quant au plaisir cérébral, j’étais encore perché.
— Dis-moi que je ne rêve pas, s'il te plaît ? parvins-je enfin à prononcer.
— Tu ne rêves pas. dit-il en se redressant à peine.
— Que c’était bon ! Ta queue en moi... wouaahh !
Ma main vint chercher le flanc de sa fesse pour la caresser respectueusement et le tenir en moi alors qu’il se redressait.
— Reste encore en moi, j’aime te sentir débander lentement. Tu as aimé me prendre ?
— J’ai adoré, mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
— Tu plaisantes, j’espère. Tu es hyper endurant ! Quel baiseur tu es. dis-je en serrant les fesses sur son membre. Tu m’as fait jouir comme je n’ai plus joui depuis trèèès longtemps.
Il caressa mon dos en se disant flatté, m’assurant avoir énormément pris de plaisir et qu’il aimerait beaucoup remettre cela, si c’était possible. Je n’en espérais pas plus. Puis, toujours avec délicatesse, il commença à se retirer ; mais je sentais une chaleur inhabituelle reculer en même temps. Lorsque, presque à regret tant j’appréciais de le sentir en moi, il déboucha mon anus distendu par le puissant orgasme que je venais de vivre, une incroyable coulée de sperme quitta mon rectum, ruisselant sur mes cuisses et mes bourses. Guy m’avait inséminé une quantité de foutre impensable, jusqu’alors inédite malgré le grand nombre de partenaires rencontrés. Je réalisais instantanément l’origine de l’étrange sensation perçue alors qu’à demi conscient, je trouvais cela presque exagéré. J’avais derrière moi un phénomène, une perle rare.
— Mais tu as déchargé un demi-litre ?
— J’aurais dû te prévenir... dit-il d’une voix penaude. Je suis assez... expansif.
— Tu plaisantes ? Si tu jouis toujours autant, c’est génial ! dis-je en m’accroupissant devant son sexe pendant, mais pourtant encore long et large.
— Tu sais, ce n’est pas tous les jours sa fête !
Son gland encore renflé retenait toujours son prépuce lorsque je l’enfournais entre mes lèvres. Je savourais ce sexe dépassant tous mes espoirs de drague, encore imprégné du goût de sa semence. Les genoux écartés, je sentais le frais pénétrer mon anus quelque peu fiévreux de ses assauts, duquel gouttait encore du sperme tant il me l’avait ouvert et rempli. Je nettoyais ce sexe avec des mouvements amples et respectueux, un peu comme un cavalier flatte son cheval en sueur lorsqu’il vient de remporter une coupe. Bandée comme débandée, elle était tout aussi bonne et volumineuse. Ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur, il se laissait faire docilement, soufflant même un peu quand je gobais ses belles couilles poilues.
Mon forfait terminé, nous nous sentions si bien, tous deux appuyés à sa voiture, dans le calme sécurisant de cette clairière et la fraîcheur relative de ce début de soirée. Notre suée séchait, nos organes se remettaient de leurs émotions et l’ambiance était au dialogue. Il voulait savoir, comprendre, comparer...Il m’expliquait se sentir libéré d’avoir osé franchir le pas après des mois, ou plutôt des années de questionnement. Je lui répondais comprendre ses envies secrètes ainsi que le poids de tels désirs. Mais il fallait également comprendre que Madame n’avait peut-être pas la capacité physiologique de gérer un organe de cette dimension ! Il acquiesçait, argumentant que de toute façon, le dialogue était difficile avec sa femme, qu’elle se braquait aisément et pouvait refroidir un régiment en quelques mots. Lui restait alors son jardin secret... et son poignet droit. Je réalisais à quel point ma copine me correspondait, même si ce soir, je craquais pour ce beau mec.
La pénombre s’installait et pourtant, ni l’un ni l’autre n’étions pressé de nous rhabiller. J’allais chercher une cigarette dans mon short et revins à côté de lui. Dieu qu’elle était bonne, cette clope ! de ma main libre, je saisis sa queue et la caressais tendrement.
— Tu viendrais chez moi ? risquais-je, la tête pleine de projet pour mon nouvel ami.
— Pourquoi pas. J’ai confiance en toi. Mais...
— Mais ?
— Je me sens à l’aise avec toi. En fait, j’aimerais bien essayer d’autres choses avec toi.
— Comme quoi ?
— Comme inverser les rôles. Te sucer... que tu me prennes...
— Tant que tu n’as pas des lubies sadomasochistes ou l’envie de me travestir, aucun problème ! Et si l’envie de réitérer l’exploit que tu viens de me faire vivre te reprend, je suis ton homme. Tu m’as si bien pris !
— Comment refuser ! conclut-il en passant sa main sur mes fesses.
— Prêt à te recevoir quand tu le désires !
Deux doigts trouvèrent mon trou et y entrèrent sans trouver la moindre résistance. Je tirais sur ma cigarette en grognant de plaisir. Comme il persistait à me doigter, la laissais tomber pour me pencher sur sa queue. Je l’aspirais et commençais une fellation appuyée dans l’espoir de le refaire bander. Sa main glissa hors de mon anus pour descendre saisir mes couilles à pleine main, les serrant fort. L’homme était un chaud, remettre le couvert n’était pas insurmontable, pour lui.
J’avalais cette queue qui rapidement gonflait en lui tenant également les couilles. Il sentait le stupre et mon nez dans ses poils, je m’excitais déjà à l’idée d’en reprendre quelques bons coups. Je n’eus pas à le sucer longtemps pour qu’il bande assez. Avidement, je dirigeais son vît entre mes fesses en l’invitant à s’y introduire. Son sperme m’avait si bien lubrifié qu’il me pénétra d’un long trait continu.
— Ooooohhhhh, ce que tu m’encules bien ! feulais-je, mes mains prenant appui sur la voiture. C’est trop bon, remets-la-moi, s'il te plaît.
Docile, il ressortit entièrement pour repointer son gland contre ma petite porte, et poussa de nouveau jusqu’à venir buter contre mes fesses.
— Je ne pensais pas que ce puisse être si bon, chuchota mon amant dans mon dos. Ta façon “d’aimer ça” me fait envie !
— Alors, filons chez moi, nous serons mieux dans un lit.
À cette époque, j’étais gardien d’une propriété distante d’une trentaine de kilomètres dans l’arrière-pays. Comme très souvent, les propriétaires étaient absents et je m’octroyais un peu de bon temps en ce vendredi. Livre, musique, sea and sun avait été l’unique programme de la journée. Ma copine était partie dix jours chez sa sœur, personne ne m’attendait à la maison, j’avais tout mon temps. Il devait être 17h00 et je m’apprêtais doucement à rassembler mes affaires lorsqu’un nouvel arrivant vînt s’installer à quelques mètres de moi. À sa décharge, il ne restait plus beaucoup de places vacantes sur la petite bande de sable et les rochers étaient également bien occupés.
Bermuda, chemise et mocassins habillaient ce beau quadragénaire, plutôt grand et svelte à la peau bronzée. Caché derrière ses lunettes de soleil, il posa à terre le petit sac marin qu’il avait sur l’épaule, puis étendit une serviette et s’y assis sans ôter le moindre vêtement, se contentant de me saluer d’un hochement de tête lorsqu’il regarde mon côté. De sa chemise ouverte s’échappait une dense pilosité aussi brune que ses cheveux.
Je répondis à son salut, trouvant mon nouveau voisin plutôt à mon goût ; s’il restait vêtu, peut-être alors venait-il simplement pour se rincer l’œil. De là à penser qu’il ait choisi cet emplacement pour en découvrir davantage... Toujours est-il qu’allongé sur le côté, il ne pouvait rien avoir perdu de mon intimité. Alanguis au soleil depuis des plombes, mes bourses généreuses pendaient plus que jamais sur ma cuisse, accompagnées de ma verge tout autant attirée par la gravité. Sans vantardise, je sais que mon corps plait, à côtoyer les deux sexes depuis des années. Je n’ai jamais vraiment besoin de draguer, les mecs viennent à moi assez aisément. Je peux choisir mes amants, en général.
Comme il ne semblait pas vraiment décidé à se dévêtir, je pensais vraiment à quitter les lieux. Mais en regardant cette belle crique, j’optais pour une dernière baignade. Je me levais et descendis jusqu’à un petit promontoire avant de piquer une tête. Quel plaisir de nager nu ! J’invite celui qui ne l’a jamais fait à découvrir les exquises sensations renforçant le sentiment de liberté que donne le naturisme. Je me rafraîchis de longues minutes avant de remonter sur mon belvédère.
L’homme était toujours assis et vêtu quand je sortis de l’eau, mais il ne perdait pas une miette de mon ascension. Il souriait en me voyant me tordre les pieds sur les pierres aussi acérées que brûlantes.
— Difficile de tenir debout sur ces fichus cailloux ! dit-il comme j’arrivais à ma place.
— En effet, mais le sable qui colle de partout, très peu pour moi. répondis-je en prenant mon temps pour remettre ma serviette en place. Sans même parler d’être les uns sur les autres !
Sa voix grave concordait avec son physique agréable. Je m’allongeais sur le ventre pour offrir ma croupe au soleil autant qu’à sa vue et l’invitais à s’installer plus près pour que nous puissions papoter. Il réinstalla sa serviette et se rassis à peine à un mètre de moi, puis commença à se dévêtir. Ses mains étaient magnifiques, pourvues de longs doigts, d’un pouce très large, ses ongles bien coupés... Sa chemise ôtée, je découvrais son corps musclé. De ses pectoraux bien dessinés jusqu’à la ceinture de son bermuda, une toison brune le recouvrait. Son ventre plat plissait à peine et ses muscles dorsaux se bandaient au moindre mouvement de ses bras. Ses mocassins quittèrent ses pieds puis enfin, sans se relever, son short glissa sur ses cuisses fermes. Il ne portait aucun sous-vêtement et son bronzage était intégral ; l’homme était donc un adepte du naturisme.
Je ne pouvais voir son sexe dans cette position, mais j’espérais quelque chose en conséquence. En l’état, son physique ne me laissait pas vraiment de marbre. Nous parlions de loisirs, de temps libre et de la chance que nous avions de pouvoir être nus au soleil plutôt qu’habillé sous un ciel gris. J’apprenais qu’il s’appelait Guy, qu’il avait 20 ans de plus que moi, j’en avais presque 30... il en paraissait pourtant à peine 40. Il n’était jamais venu ici, mais fréquentait régulièrement avec Madame une plage naturiste “conventionnelle”. Il avait entendu parler de ce lieu à maintes reprises et profitait que son épouse est absente quelques jours pour s’y risquer. Tiens !
Je comprenais mieux sa réserve et cela le rendait à mes yeux encore plus charmant. Monsieur espérait probablement “tirer” quelques bénéfices de son audace ! Quand il s’allongea, je pus m’apercevoir que l’homme était puissant. Un beau cylindre brun d’une longueur déjà conséquente reposait sur son bas-ventre, écrasant une belle touffe de poil. Si ses bourses, de là où je l’observais, demeuraient encore un mystère, le “haut moteur” me convenait amplement. Et dire que je voulais partir...
Je m’allongeais sur le côté, campé sur mon coude, espérant pouvoir réfréner un début d’érection en regardant le paysage. Mais mon regard revenait sans cesse vers cette verge si présente et ne semblant pas le moins du monde rapetisser. Ses bourses avaient elles aussi bénéficié de ses hormones de croissance et je regrettais qu’il y ait tant de monde autour de nous. Me saisir de cette verge et faire glisser son prépuce pour découvrir son gland bien en relief sous la fine peau...
— Est pour voir d’autres rivages que vous êtes venu, ou pour d’autres envies ? osais-je demander pour éclaircir la situation. Après tout, il venait à moi, non ?
— Euh... comment dire ? Un peu des deux, peut-être.
— Je peux vous mettre à l’aise ?
— Ça se voit tant que ça que je suis stressé ?
— Un peu. Moi, j’aime autant les femmes que les hommes, si cela peut vous rassurer. Ce sont deux plaisirs totalement différents et il m’est à ce jour impossible de faire un choix tranché.
— Vous n’y allez pas par quatre chemins !
— Je vous mets à l’aise : tout plaisir perdu n’est pas récupérable. Si vous n’êtes pas là pour le décor, qu’espérez-vous, honnêtement ?
— Ça fait des années que j’ai ce que l’on pourrait appeler “des fantasmes”, mais je n’ai pas vraiment eu l’occasion de tenter quoi que ce soit. Ou plutôt pas eu le courage.
— J’ai eu longtemps ce type de fantasmes, jusqu’au jour où j’ai enfin décidé de me jeter à l’eau.
— Puis-je vous demander ce qui a motivé votre “essai” ?
— Par où commencer ? Déjà, l’éducation est un vrai conditionnement. Pourtant, je rêvais éveillé de sexe d’hommes dès l’adolescence. Pour faire court, un soir, je venais de quitter ma copine et me suis dit : ce soir ou jamais.
— Et c’était le bon soir, de toute évidence.
— Exact. La meilleure façon de se débarrasser d’un fantasme, c’est finalement d’y céder. Les regrets viennent après si c’était foireux. Si on ne tente rien, ils s’installent doucement, et un jour on se retrouve à penser : merde, j’aurais du... Enfin, c’est comme ça que je fonctionne.
— Des regrets après ce fameux soir ?
— Oh que non, même s’il m’a fallu du temps pour accepter d’avoir “fait des trucs avec un homme”. À 19 ans, on n’est pas assez mûr !
Je commençais à le sentir se détendre et lui proposais de nous tutoyer. Je n’ai jamais aimé jouer les folles ni “les salopes” et je vais voir un homme pour sa virilité, pas pour me sentir femme, même si avec certains... Vivant avec une femme, je lui expliquais longuement ce que j’attendais d’un homme et ce que je leur refusais. J’observais discrètement son sexe réagir à mes propos sobrement, et s’il ne bandait pas, c’était certainement parce qu’il était habitué à la nudité. Du moins, j’espérais que ce ne soit pas pour une raison “mécanique”. Il me rassura sans le savoir en me parlant de sa femme. Cette dernière n’était pas très portée sur le sexe, le renvoyant fréquemment dans ses buts. Elle n’aimait pas trop sucer et y mettait si peu d’entrain qu’il préférait encore sa main. Pour les positions, c’était du classique et “passer par-derrière” relevait de la perversité. Bref, autant dire que mon Guy devait avoir les couilles dans les chaussettes !
Le soleil commençait à se casser la figure, glissant lentement sur l’horizon quand je lui demandais s’il me trouvait suffisamment à son idée pour oser tenter quelque chose, en lui précisant qu’il me plaisait énormément. Je le mettais en garde sur le fait que je n’embrasse pas les hommes, ce qu’il n’avait par ailleurs même pas imaginé. Après de longs palabres, nous renfilâmes nos vêtements et quittâmes les lieux ensemble jusqu’au parking, en lui demandant s’il préférait venir chez moi ou plutôt un endroit neutre. La nature lui convenait, je connaissais un petit coin sympa, et il faisait si beau !
Nous sommes partis avec sa voiture plutôt que de nous suivre. Nous n’avions que 5 ou 6 kilomètres à parcourir pour nous éloigner de la côte et retrouver la petite clairière dans laquelle j’avais déjà connu pas mal de “prétendants. Je glisser une main sur l’intérieur de sa cuisse en lui disant qu’il pouvait me demander d’arrêter quand il le désirait, que rien n’était imposé. Sous ma paume, son sexe prenait vie. Je me rappelle lui avoir dit qu’il me tardait de le sucer et que sa compagnie m’était très agréable.
Le moteur coupé, je sentis de nouveau sa gêne et lui répétais que rien n’était imposé. Son sexe roulait toujours sous mes doigts et je dégrafais son bermuda, rêvant depuis plusieurs heures de le prendre en bouche. Lui déboutonna sa chemise, je sus alors qu’il était prêt. À ma demande, il inclina son siège et le recula, j’en fis de même avant de faire glisser son short. La grosse queue, presque noire tant elle avait doré au soleil, gisait sur sa cuisse, à demi molle, sublimée par la lumière bonde de cette fin de journée.
Loin de me jeter dessus, je glissais mes doigts entre ses poils, caressant sa poitrine et son ventre en lui disant qu’il avait un corps de rêve, ferme, musclé, très bien entretenu. Sa main se posa timidement sur mon dos comme je découvrais le volume de ses bourses en me penchant pour embrasser son sexe. Il sentait bon l’homme soigné, je m’en rappelle très bien. De ma main gauche, j’attrapais la base de sa hampe épaisse pour l’orienter vers mes lèvres. Ma langue se glissa alors entre le gland et le prépuce pour décrire quelques cercles autour du méat. Son goût salé électrisa mes papilles et un flot de salive inonda ma bouche. Comme je tirais la peau fripée en arrière sur sa hampe, il décalotta naturellement et mes lèvres glissaient sur son gros gland violet. Enfin, je suçais sa grosse quéquette.
Déjà grosse, elle remplissait amplement ma bouche impatiente. Son nœud lisse avait une belle forme et ne souffrait d’aucun aspect disgracieux. Ses testicules fermes roulaient entre mes doigts cajoleurs pendant que sa hampe gonflait en déformant mes lèvres lorsque ma tête plongeait sur elle. Silencieux, l’homme semblait apprécier ma caresse et promenait sa main sur mon dos, n’hésitant pas à aller de plus en plus bas. En quelques minutes, il bandait ferme, révélant “sa vraie grandeur”. Imposante au repos, il en avait une belle entre les jambes une fois bandée.
Je salivais en prenant un réel plaisir à découvrir sa chair intime, souhaitant qu’à terme il éjacule en proportion du volume de ses organes. Sa main glissait volontiers sous la ceinture de mon short, je décidais alors de lui laisser le loisir de découvrir mon corps. Reluquant sa robuste bite pointant vers le ciel, je retirais intégralement mes habits, il en profita pour se retrouver entièrement nu également. Profitant de cette pause, ses doigts attrapèrent mon paquet en me disant que mon corps lui plaisait beaucoup. Sans plus attendre, il se pencha et prit ma queue en bouche. Un homme sait d’instinct ce qu’il doit faire et mon membre glissait entre ses lèvres.
Il s’occupa de longues minutes à me sucer, m’avouant qu’il n’imaginait pas que cela distendait autant la mâchoire, mais qu’il appréciait. Je retournais le pomper en y mettant toute mon âme et Guy devenait plus expansif, commentant volontiers ce qu’il ressentait et ce qu’il voyait. Ses yeux, comme ses mains d’ailleurs, pointaient vers mes fesses nues, lisses et bronzées. Il les écartait en me disant que “j’avais un très beau cul”, qu’il m’avait bien observé quand j’étais descendu me baigner ou pendant que nous discutions. Je l’invitais à y plonger ses doigts, m’imaginant que cela précipiterait sa jouissance...
— Elle te plaît ma queue ? demandait-il, prenant de l’assurance, ou voulant être rassuré.
— Oui, elle est grande et bien épaisse, j’adore. J’ai hâte de goûter ton sperme !
— Hummmmm... pas si vite ! Tes fesses me font envie !
— Tu as des capotes ?
— Non ! Mais j’aimerais beaucoup essayer de te prendre.
Je n’avais aucune protection et ne me voyais pas faire sans. Pourtant, il s’occupait très bien de mon séant, y mettant aisément deux doigts tout en me masturbant de sa main libre. Sa verge était si longue qu’il en restait assez à sucer, même lorsqu’il se penchait sur moi. Monsieur semblait très endurant, quel que soit le rythme de ma fellation, il ne donnait aucun signe de faiblesse, continuant à plonger ses doigts en moi.
La lumière baissait, mes maxillaires souffraient et Guy ne jouissait toujours pas. Il adorait se faire sucer goulument, chose que sa femme lui refusait, le trouvant trop gros pour sa bouche. Ça, je le comprenais bien, puisque j’en souffrais à force d’avoir la mienne grande ouverte. Il insistait pour que je cède à ses avances... ses arguments eurent raison de ma bonne conscience comme de ma mâchoire. Sa voiture était spacieuse et confortable, mais il insista pour que nous en sortions.
Il m’avait vraiment chauffé et j’étais presque impatient de l’accueillir. Tous deux contre l’aile de son véhicule, penché sur sa queue, je la salivais abondamment en toisant le beau calibre bien rigide que j’allais recevoir. Moi qui adore les hommes bien montés, je disposais d’un morceau de choix, avec de belles bourses bien pendues que je sentais presque déjà balloter entre mes jambes. On ne croise pas ce genre de sexe à chaque rencontre ! Ses mains flattaient ma croupe et à cet instant, je ne saurais dire lequel de nous deux était le plus en manque. Après avoir étalé un peu de ma salive sur l’anus, je me penchais sur le capot en tenant mes fesses offertes. J’étais prêt, il posa son beau gland directement sur mon mignon.
— Va doucement, s’il te plaît. Tu es vraiment très gros, tu sais ? Je ne fais pas ça tous les jours !
— Si tu as mal, j’arrête. Guide-moi, tu es le premier...
— Alors, viens, prends-moi lentement. Ouiiii... appuie un peu plus.
Comme je poussais, son gland me perforait, me pénétrant pratiquement du premier coup. Attentif à mes consignes, il s’immobilisa une poignée de secondes avant de remettre un peu de pression. Pourtant habitué, j’avais la sensation d’être écartelé et distendu à chacune de ses poussées, mais ne comptais pas m’arrêter en si bon chemin. Après quelques minutes, je lui demandais de ressortir pour qu’il crache sur mon anus, ce qui l’excita. Puis il replanta son arme entre mes fesses, saisit mes hanches et reprit un long va-et-vient. Je pris confiance, il ne chercha pas à “m’enculer bien droit”, mais réalisait un vieux fantasme. Il me parlait, se souciait de mon état, de mon plaisir, ne s’enfonçant davantage en moi que si je l’y invitais, et j’appréciais véritablement ce moment.
La chaleur de l’air, combinée à celle du capot moteur, faisait déjà perler mon front, mais une petite voix me disait que je n’avais pas fini de transpirer, avec Guy. Son gros calibre allait toujours plus avant et pourtant, l’homme couvrait mon dos de sa poitrine venue. Il ne donnait aucun coup de reins, mais jouait de son bassin comme un violoniste joue de son Stradivarus. Ma main gauche vint étreindre sa hanche en signe d’accompagnement, d’adhésion. Je lui répétais qu’il me sautait trop bien et que j’adorais sentir sa grosse queue en moi. Lui m’avouait trouver mon cul divin, qu’il n’imaginait pas prendre autant de plaisir ”au cul d’un mec”.
L’absence de capote, normalement indispensable, rendait cet accouplement formidablement jouissif. Il coulissait en moi sans échauffement, sans heurts. Lorsqu’il posa son genou sur l’aile, que ses mains se placèrent juste sous mes aisselles, je compris qu’il allait me servir les derniers centimètres de sa verge interminable. Un court instant, j’imaginais les douleurs que peuvent ressentir certaines femmes lorsque l’on bute leur matrice et pense que son épouse pouvait peut-être souffrir de tant d’endurance avec de telles mensurations ! Mais je me cambrais au maximum et lui demandais de me faire sentir ses couilles contre les miennes.
Il variait de rythme, reculait, revenait poser son lourd paquet contre mon scrotum, tout cela en m’arrachant des râles de plaisir. Guy se révélait être un amant formidable, un Dieu de la bite disposant des clefs de ma jouissance. Sa sueur gouttait sur mon épaule et ruisselait de son pubis dans ma raie, provoquant les bruits caractéristiques d’une partie de jambes en l’air. Ma queue pendait contre l’aile tiède et maintenant poisseuse de sueur, mon amant m’enfilait de merveilleux coups de verge, mon rectum vibrait de toutes ses terminaisons nerveuses. Une énorme boule d’énergie s’accumulait sous ma vessie et je la sentis exploser de toutes parts. Je criais mon orgasme, les jambes tremblantes, le corps parcouru de frissons, l’anus palpitant autour de cette puissante verge qui m’offrait un véritable feu d’artifice.
Je jouis magistralement, lâchant presque prise avec le monde environnant. Seuls les cris de mon amant me parvenaient de ce monde extérieur. Il jouissait à son tour ! Pour le monde intérieur, ses bourses plaquèrent les miennes, son ventre se décolla du bas de mon dos et son gland se mit à gonfler étrangement pour m’inséminer de longs jets de sperme. Je ressentis son éjaculation comme jamais auparavant, un peu comme l’on ressent le vibreur d’un téléphone portable dans sa poche. Guy déchargeait et cela me parut... long, bien plus long que mes amants prédédants. Pourtant, sa jouissance s’ajoutait à la mienne tant je la ressentis au plus profond de mon ventre.
Lorsqu’il s’immobilisa, un silence que seuls nos souffles courts troublaient s’installa, puis il se rallongea sur moi, comme éteint. Nos cœurs encore emballés mirent longtemps avant de retrouver leurs cycles standards. Après quelques minutes pendant lesquelles aucun de nous n’osait parler, je sentais mon ventre se détendre, accompagné de drôle de gargouillis comme sa verge diminuait de volume. Ma poitrine glissait dans sa transpiration, Guy collait à mon dos, ma verge goutait encore les restes de mon plaisir physique. Quant au plaisir cérébral, j’étais encore perché.
— Dis-moi que je ne rêve pas, s'il te plaît ? parvins-je enfin à prononcer.
— Tu ne rêves pas. dit-il en se redressant à peine.
— Que c’était bon ! Ta queue en moi... wouaahh !
Ma main vint chercher le flanc de sa fesse pour la caresser respectueusement et le tenir en moi alors qu’il se redressait.
— Reste encore en moi, j’aime te sentir débander lentement. Tu as aimé me prendre ?
— J’ai adoré, mais je n’ai pas pu me retenir plus longtemps.
— Tu plaisantes, j’espère. Tu es hyper endurant ! Quel baiseur tu es. dis-je en serrant les fesses sur son membre. Tu m’as fait jouir comme je n’ai plus joui depuis trèèès longtemps.
Il caressa mon dos en se disant flatté, m’assurant avoir énormément pris de plaisir et qu’il aimerait beaucoup remettre cela, si c’était possible. Je n’en espérais pas plus. Puis, toujours avec délicatesse, il commença à se retirer ; mais je sentais une chaleur inhabituelle reculer en même temps. Lorsque, presque à regret tant j’appréciais de le sentir en moi, il déboucha mon anus distendu par le puissant orgasme que je venais de vivre, une incroyable coulée de sperme quitta mon rectum, ruisselant sur mes cuisses et mes bourses. Guy m’avait inséminé une quantité de foutre impensable, jusqu’alors inédite malgré le grand nombre de partenaires rencontrés. Je réalisais instantanément l’origine de l’étrange sensation perçue alors qu’à demi conscient, je trouvais cela presque exagéré. J’avais derrière moi un phénomène, une perle rare.
— Mais tu as déchargé un demi-litre ?
— J’aurais dû te prévenir... dit-il d’une voix penaude. Je suis assez... expansif.
— Tu plaisantes ? Si tu jouis toujours autant, c’est génial ! dis-je en m’accroupissant devant son sexe pendant, mais pourtant encore long et large.
— Tu sais, ce n’est pas tous les jours sa fête !
Son gland encore renflé retenait toujours son prépuce lorsque je l’enfournais entre mes lèvres. Je savourais ce sexe dépassant tous mes espoirs de drague, encore imprégné du goût de sa semence. Les genoux écartés, je sentais le frais pénétrer mon anus quelque peu fiévreux de ses assauts, duquel gouttait encore du sperme tant il me l’avait ouvert et rempli. Je nettoyais ce sexe avec des mouvements amples et respectueux, un peu comme un cavalier flatte son cheval en sueur lorsqu’il vient de remporter une coupe. Bandée comme débandée, elle était tout aussi bonne et volumineuse. Ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur, il se laissait faire docilement, soufflant même un peu quand je gobais ses belles couilles poilues.
Mon forfait terminé, nous nous sentions si bien, tous deux appuyés à sa voiture, dans le calme sécurisant de cette clairière et la fraîcheur relative de ce début de soirée. Notre suée séchait, nos organes se remettaient de leurs émotions et l’ambiance était au dialogue. Il voulait savoir, comprendre, comparer...Il m’expliquait se sentir libéré d’avoir osé franchir le pas après des mois, ou plutôt des années de questionnement. Je lui répondais comprendre ses envies secrètes ainsi que le poids de tels désirs. Mais il fallait également comprendre que Madame n’avait peut-être pas la capacité physiologique de gérer un organe de cette dimension ! Il acquiesçait, argumentant que de toute façon, le dialogue était difficile avec sa femme, qu’elle se braquait aisément et pouvait refroidir un régiment en quelques mots. Lui restait alors son jardin secret... et son poignet droit. Je réalisais à quel point ma copine me correspondait, même si ce soir, je craquais pour ce beau mec.
La pénombre s’installait et pourtant, ni l’un ni l’autre n’étions pressé de nous rhabiller. J’allais chercher une cigarette dans mon short et revins à côté de lui. Dieu qu’elle était bonne, cette clope ! de ma main libre, je saisis sa queue et la caressais tendrement.
— Tu viendrais chez moi ? risquais-je, la tête pleine de projet pour mon nouvel ami.
— Pourquoi pas. J’ai confiance en toi. Mais...
— Mais ?
— Je me sens à l’aise avec toi. En fait, j’aimerais bien essayer d’autres choses avec toi.
— Comme quoi ?
— Comme inverser les rôles. Te sucer... que tu me prennes...
— Tant que tu n’as pas des lubies sadomasochistes ou l’envie de me travestir, aucun problème ! Et si l’envie de réitérer l’exploit que tu viens de me faire vivre te reprend, je suis ton homme. Tu m’as si bien pris !
— Comment refuser ! conclut-il en passant sa main sur mes fesses.
— Prêt à te recevoir quand tu le désires !
Deux doigts trouvèrent mon trou et y entrèrent sans trouver la moindre résistance. Je tirais sur ma cigarette en grognant de plaisir. Comme il persistait à me doigter, la laissais tomber pour me pencher sur sa queue. Je l’aspirais et commençais une fellation appuyée dans l’espoir de le refaire bander. Sa main glissa hors de mon anus pour descendre saisir mes couilles à pleine main, les serrant fort. L’homme était un chaud, remettre le couvert n’était pas insurmontable, pour lui.
J’avalais cette queue qui rapidement gonflait en lui tenant également les couilles. Il sentait le stupre et mon nez dans ses poils, je m’excitais déjà à l’idée d’en reprendre quelques bons coups. Je n’eus pas à le sucer longtemps pour qu’il bande assez. Avidement, je dirigeais son vît entre mes fesses en l’invitant à s’y introduire. Son sperme m’avait si bien lubrifié qu’il me pénétra d’un long trait continu.
— Ooooohhhhh, ce que tu m’encules bien ! feulais-je, mes mains prenant appui sur la voiture. C’est trop bon, remets-la-moi, s'il te plaît.
Docile, il ressortit entièrement pour repointer son gland contre ma petite porte, et poussa de nouveau jusqu’à venir buter contre mes fesses.
— Je ne pensais pas que ce puisse être si bon, chuchota mon amant dans mon dos. Ta façon “d’aimer ça” me fait envie !
— Alors, filons chez moi, nous serons mieux dans un lit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
salut a toi merci pour cette belle histoire de partage d envie du bon sexe de decouverte vivement la suite bisous
superbe récit et bien écrit, aucun détails n'y échappés (^^)
vous m'avez phé bander tout le long
vive la suite..
vous m'avez phé bander tout le long
vive la suite..