Titre de l'histoire érotique : Il faut savoir tromper l'ennui... - histoire érotique

Lorsque je suis entré sans cette salle de ciné j’y venais pour passer le temps qui me séparait des deux heures de ma correspondance a cause du retard de mon TGV, face a la gare j’ai vu cette salle de ciné, qu’importe le film je serais au chaud, je me suis assis au dernier rang afin d’éventuellement somnoler, voire ronfler sans déranger personne
La salle est loin d’être comble, la lumière venait juste de s’éteindre lorsque qu’un jeune couple s’est assis juste devant moi comme j’étais tellement avachi dans mon fauteuil que je me demande s’ils se sont rendu compte de ma présence
Très vite ils se sont enlacés, embrassés, dits des mots doux voire coquins, la fille gloussait en demandant a son compagnon d’arrêter ses papouilles

- Pas ici chéri, je crois qu’il y a quelqu’un derrière nous
- Et alors ? il ne voit rien ! laisse toi faire, laisse-moi ouvrir ton chemisier
- Bon, juste ça hein ?
- J’aime quand tu ne mets pas de soutient gorge, mmmuuuuummm tes tétés sont brulants !
- Arrête ! ça me fait des choses
- C’est bien pour ça que je pince tes tétons !
- Embrasse-moi …

Leurs bouches soudées laissent échapper des murmures qui en disent long sur leur état d’excitation, si vous me demandez si je bande a cet instant précis la réponse est : OUI ! ma queue prend de l’embonpoint dans mon slip taille basse, avec précaution je me redresse pour essayer de voir où sont les mains du garçon... quasiment tous les boutons sont dépattés, les deux seins bien ronds que je qualifieraient de quatre vint dix A sont sortis du chemisier, la main fébrile va d’un nichon a l’autre, les cuisses de la fille gainées de nylon crissent l’une sur l’autre attendant qu’il se décide a les visiter
Une main de la nana est crispée sur la braguette certainement prête à exploser, a-t-elle senti mon souffle dans son cou ? toujours est-il qu’elle repousse son compagnon

- Je t’avais bien dit qu’il y avait quelqu’un derrière
- Il est mécontent du spectacle ?
- Idiot chéri ! il nous mate
- Oublie-le, concentre toi sur nous, et si tu ouvrais ma braguette ?
- Tu veux que je te masturbe malgré notre voisin ?
- Oui et moi je vais en faire autant avec toi
- NON ! je ne veux pas écarter les cuisses dans ces conditions !
- Alors je vais lui demander de m’aider à t’ôter la culotte !
- Tu ne ferais pas ça ?
- Monsieur ? monsieur ? passez devant, ma copine veut faire votre connaissance
- Chéri voyons !!
- C’est gentil à vous mais je ne voudrais pas vous déranger !
- Venez puisqu’il vous le demande !
- Dans ces conditions …

Il ne m’a fallu qu’un bond pour franchir l’obstacle et m’assoir a coté de la jeune fille pas du tout désagréable à regarder, elle a repris une position décente sans toutefois avoir pris la peine de réajuster son chemisier

- Bonjour, je m’appelle …
- Pas de confidences inutiles, mon amie a seulement besoin de câlins
- Elle a des seins magnifiques
- Vous pouvez tester leur naturel, prenez le gauche je m’occupe du droit

Elle a posé délibérément une main sur chacune de nos cuisses tandis que je palpe gentiment ses glandes mammaires, les tétons érigés feraient le bonheur d’un nourrisson, et pourquoi pas d’un homme normalement constitué ! alors je me penche sur le sein pour aspirer le bout granulé
Son ami en fait autant, la fille renverse sa nuque sur le dossier nous offrants sa poitrine, ses doigts se crispent sur ma cuisse par trois fois, preuve d’une certaines impatience, elle se laisse glisser pour passer chacune de ses jambes sur chacun de nos genoux ce qui donne une exposition provocante, la jupe remontée ses cuisses gainées de nylon luisent sous la lumière blafarde de l’écran, je pose une main juste au dessus du genou avant de glisser a l’intérieur, lorsque son copain en fait autant elle laisser échapper un ‘oooooouuuuuuuiiiiiiiiii’ a peine audible

- Nous allons nous occuper de toi mon bébé, tu veux sortir nos membres ?
- Si vous voulez

Je retire un instant ma main pour dégrafer ma ceinture et tirer sur le zip de ma braguette que je sais dur à faire coulisser, immédiatement ma queue est enserrée et décalottée par ses doigts fins, ceci fait je replonge ma main entre les cuisses brulantes, arrivé au dessus de la bande adhésive, là ou la peau est la plus soyeuse j’y rencontre la main de son ami, par politesse je me retire vivement

- Reste, y’a de la place pour nous deux
- OK …
- Écarte-toi bien bébé...
- Oooouuuuuuiiiii
- Ton petit slip est bien imbibé …
- J’ai trop envie …touchez moi …
- Je vais pousser le string dans l’aine, passe un doigt avec moi dans sa chatte
- Elle mouille vachement, elle a le bonbon très délicat
- Et étroit hein ?
- Très serré effectivement

Nos doigts touillent le vagin créant des clapotis sonores heureusement étouffés par le vacarme du film d’action, le clitoris n’est pas épargné, la fille excitée se trémousse de plus en plus

- J’ai envie que tu me mange chéri …
- Et si je laissais ma place a notre invité surprise ?
- Comme tu veux, mais faites vite

Je me dégage et glisse sur le sol pour me faufiler entre ses cuisses, les deux pieds posés sur le dossier d’en face j’ai le champ libre pour brouter le minou a mon aise, l’odeur et la quantité de sécrétions est divine ma langue ramasse le plus gros avant de plonger entre ses pétales roses, elle devient subitement chienne, a l’aide de ses reins elle me barbouille du menton au nez, si j’en crois les murmures étouffés elle pompe son mec en même temps

Ma bite et mes couilles me font mal à force d’être hyper tendu, j’ai très envie de baiser cette nana mais c’est hard de faire ça ici et puis sera-t-il d’accord ? tandis que je me pose ces questions je reçois la conséquence de sa jouissance en pleine bouche, le col de ma chemise a dégusté aussi !
Je me relève discrètement et me rassois le pantalon a mis cuisses, elle a cessé sa pipe, le garçon lui parle a l’oreille

- Tu veux qu’ont fasse ça ici ?
- Y’a quasiment personne, je ferais le guet
- Je vais seulement le sucer, raide comme il est ça va aller vite
- Comme tu veux …passe entre ses jambes
- Écartez les genoux monsieur…
- Vous avalez ?
- Oui, j’aime le sperme

Sitôt dit sitôt embouché, elle met de l’ardeur à pomper mon nœud, ses doigts ne restent pas inactifs et branlent ma tige, vus de la salle ont croirait que je suis seul dans cette rangée car son copain s’est accroupis a son coté pour lui tripoter l’entrejambe, la jupe relevée sur les reins il essaie de la brancher en tâtonnant avec sa queue, sa souplesse et son envie de baiser font qu’elle arrive à lui fournir un accès, un ‘oui !’ de victoire et il se met allégrement a limer le con, les mouvements saccadés lui font avaler ma verge a l’extrême, de temps a autre les dents râpent mon gland, une onde bien connue éclate dans ma tête et mes premiers jets fusent dans la gorge accueillante , le fait de voir sa copine ingurgiter mon foutre déclenche sa propre décharge, elle absorbe par les deux bouts notre semence en couinant

- Oui-oui-oui-Ouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiii !
- Chhhhuuuuuuuuuutt !
- C’est trop bon !j’en veux encore ? tu permets
- Quoi ?
- Ça !

D’un bond tout en souplesse elle saute sur mes genoux, elle guide ma queue collée a sa fente gluante carrément happée par le conduit béant, je n’ose penser dans quel état je vais retrouver mon pantalon pour reprendre le train, au diable ! je baise !
Ma position bloquée m’empêche de gérer le coït, elle fait tout le travail en bougeant d’avant en arrière, le mec l’encourage tout en faisant le guet

- C’est bon hein mon bébé ?
- Hhhhhhhoooooooooouuuuuuuuuuuiiiiii je me frotte là où ça m’excite, sa queue est juste recourbée comme il faut !
- Je veux te voir jouir
- Mais ? que fais-tu ?

En fait il vient de lui enfoncer deux doigts dans l’anus, je suis bien placé pour le savoir car il caresse la colonne et le frein sous mon gland, c’est surprenant et agréable mais ça ne m’arrange pas, l’agrément causé va me faire décharger rapidement, si la place le permettait je suis certain qu’il là prendrait en double et a en croire ses soupirs elle n’attend que ça, elle part en jouissance, même si elle est étouffée elle est non simulée, pressé par les contractions de son vagin j’en fais autant lui arrosant copieusement l’utérus , essoufflés nous reprenons nos places respective pour réajuster nos tenues, il était temps, la lumière inonde la salle

- Hhhoooooooouuuuu ! vous m’avez fait du bien mes salauds
- Et si nous allions à l’appartement ?
- Toooouuut ? tous les trois ?
- Évidement
- Vous êtes libre monsieur ?
- C’est que je suis là pour passer le temps, j’attends ma correspondance …
- Dites plutôt que je ne vous plais pas ?
- Vous voulez rire ? la preuve est votre bouche et aussi dans votre chatte !
- Et mon anus ? il n’a rien eu mon anus ? à part deux doigts !
- Une femme vous attend ?
- Non...
- Alors vous n’avez pas d’excuses, partons
- Ça vous dit une double vaginale ?
- Et pourquoi pas anale ?
- Si vous me prenez par les sentiments ….

J’ai passé une journée à baiser la femme et une nuit pour me reposer de nos prouesses sexuelles à trois chez ce jeune couple avant de reprendre le train