Titre de l'histoire érotique : Inspecteur Manuel 19 - histoire érotique

On a repris le chemin en sens inverse et la pluie est arrivée après un coup de tonnerre lointain. Je leur ai dit d'accélérer mais Denis grimaçait à chaque pas un peu rapide, les poids tirant sur ses couilles. Aller Denis il faut au moins passer la forêt avant l'orage. Il se pressait mais a du glisser dansla terre humide de temps en temps. Les autres nous avaient distancés quand on est arrivé à l'espace dégagé.
Il faut arrêter de courir et s'allonger par terre. L'orage est en plein sur nous. j'étais allongé derrière lui et sans doute inconsciemment il montait son trou sans pudeur, se cambrant, sans doute gêné par les poids. J'ai avancé et lui ai monté dessus, dégageant mon short pour enfoncer ma queue. Ne t'inquiètes pas c'est pour te protéger de la pluie.
Dans un petit rire il m'a répondu: ah bon je croyais que c 'était par plaisir.
Tu le sens bien mon plaisir non? Et toi tu dois préparer la terre pour planter des fleurs. J'avais passé la main ou lui et il bandait un maximum sur l'herbe grasse et humide. Je l'ai baisé à petits coups, prenant mon temps, l'orage ne dure jamais longtemps chez nous. Il répondait bien en se cambrant et sa main s'activait sous lui. Quand j'ai roulé sur le coté il s'est tourné vers moi pour têter les dernères gouttes. je lui ai roulé une pelle avant de remonter mon short. Un timide soleil apparaîssait et une petite brume montait de l'herbe. Aller on les rejoins. Je sais pas si plus tard on se revois mais j'aime ton cul.
Il a ri beaucoup plus décontacté que ce matin. J'ai cru le remarquer oui et moi j'aime le tien comme tes idées et toi les miennes.
Faudra un jour se revoir ici ou ailleurs. On arrivait et personne ne sortait. Dans la cuisine j'ai compris en entendant les couinements de Rapha qui descendait des chambres. On s'est rapproché, Dominique défonçait Rapha à grands coups de pine le faisant couiner de plaisir.
On a été dans l'autre chambre ou j'ai libéré Denis des poids et de l'anneau qui entourait la base du sac. La vache je sais pas ce que t'as ressenti toi mais c'est géant après. Si je mets un short elles vont sortir par le coté!
Y a que ceux que ça intéresse qui le remarqueront et ça remonte après. Bon ils se calment dans la piaule,allons voir. Sur le grand lit Rapha remerciait à sa façon Dominique en léchant sa queue. Bon les potes comme on doit rentrer demain tôt et à part Rapha qui n'a rien à faire demain pour ce soir on se calme, on se fait une bouffe et au dodo. La petite lécheuse de bites passera voir chacun et DODO! ok? Ils se sont marrés. OUI CHEF!
On a éclaté de rire et on s'est installé dans les divans autour de la pièce pour l'apéro, on était repu de sexe pour la journée. Rapha a servi l'aperitif avant de s'occuper de la bouffe.
J'en ai profité pour montrer à Dominique une pilule de la même taille que d'autres mais à avaler si il se sentait piégé. Avec ça mec on te localise et on intervient. Ce sera chaud mais pas plus pour toi que la surprise qui les attend. Demain je te laisse rentrer à pince vers ton hôtel, en passant tu devrais le voir ouvert et prêt à accueillir de nouveau la clientèle. Vas y. Moi je passe au quai vérifier une des photos du dossier et convoquer la pute déja marquée et on attend que tu te signales. Ou que tu sois, ce bijou de technologie nous dira ou te retrouver et les choper en pleine action. Donc fait l'effrayé pour les amuser mais on sera la au bon moment. Confiance mon pote. On picolait tranquilles Rapha est venu nous dire que tout était prêt et on a eu qu'à passer à table. Il s'était bien débrouillé. On est montés peu après, repus et fatigués.
Quand il a eu fini de nettoyer et de ranger Rapha est venu et l'un après l'autre nous a sucé à fond avant de se retirer dans la chambre à un lit. Peu après tout le monde dormait. Au matin juste au point du jour on a pris la voiture et le temps de mettre un mot à l'embranchement du chemin du voisin on est reparti. Chacun dans ses pensées. Denis pensait autant à ses soumis habituels qu'a ce qui venait de lui arriver. Dominique lui se demandait si tout allait bien marcher comme moi. Il n'y a que Rapahel qui était surement celui qui avait le moins dormi qui dormait appuyé sur le coté du siège arrière. Comme à chaque fois pour moi, remonter à Paris était un mélange d'excitation pour le travail et de regrets de quitter ma terre. Le tajet m'a paru plus long. J'ai descendu la voiture dans un garage proche du périph pour "imposer" une dernière pipe à Denis mais il la fait avec plaisir plus du tout gêné d'obéir. On l'a laché la avec consigne de ne pas chercher Domiique. Lui je l'ai laissé coté nord de périph, plus proche de son hôtel mais pas trop avec une étreinte d'amitié. Je suis passé à l'appart ou j'ai laissé Rapha et j'ai remis la voiture à mon garagiste. Un passage à l'appart prendre une douche et m'habiller plus convenable et j'étais au quai devant mon chef.
Pendant que vous batifoliez dans vos montagnes on a avancé. Le gnome du Quebec est réputé casser les culs de ses putes avant de les faire marquer. Il est paraît-il monstrueusement monté. et je ne connais pas trop mais peu refusent un sexe après lui. Il en a même envoyé à l'hôpital. Le Pradeski a lui fait établir de faux papiers très bien imités mais il était fiché chez nous et son vrai nom et Pradès, né à l'ouest de Clermont-Ferrand, la trentaine et fournisseur de jeunes éphèbes russes qui une foi passé sous la loi du nommé Gordon sont tatoués aussi. J'ai fait isoler deux témoins qui les ont reconnus sur photo et peuvent témoigner si ils sont protégés. Il reste a attendre que Dominique se fasse convoquer par eux et de les prendre en plus en flagrant délit, pour avoir un dossier parfait pour le juge qui souhaiterais non pas voir mais être proche pour les saisir officiellement de suite.
De mon coté je lui ai expliqué pour la pilule, de ne l'avaler que quand il sent vraiment que ça chauffe et qu'il faut démarrer le système de suivi. Je voudrais que ce soit moi qui donne le signal pour les arrêter si possible chef.
Vous en avez assez fait pour que je vous laisse cette initiative. J'ai vérifié et pour le moment on le suit très bien. Il vient de rentrer à son hôtel. Avec les données GPS militaires on sait au mètre près ou il se trouve. La il ne bouge pas, soit dans sa douche soit allongé. Va t'allonger dans la salle de repos dè que ça bouge on t'appelle. J'ai du après un moment a ruminer m'endormir. C'est la main d'un collège qui me remuait l'épaule qui m'a réveillé instantanément. Viens, ça bouge , il est visiblement dans une voiture.
Quelle direction? L'ouest ils viennent de sortir du périph porte Maillot. Le chef t'attend au garage. Il était en plein speech avant l'intervention. Donnant ses consignes. Ce ne sont pas des gens armés à priori mais il faut s'attendre à une intervention musclée. Ils ne devraien être que 4 ou 5 les gardes compris mais ils ne faut pas en laisser échapper un sinon ce serait un échec pour moi. Compris?
Tous aux voitures et sirènes en marche juqu'au signal de les éteindre. J'ai pris le volant de sa voiture et on est parti par les Champs et vers la porte Maillot puis le boulevard vers la défense. On filait et sur le mini périph de la défense on a tous éteint les sirènes et les gyros. Le chef connaissait mieux le coin et on s'est dirigé vers différents parkings, tous reliés entre eux. Aussitôt après la descente il m'a fait couper le moteur laissant la direction et pas de phares.Fenêtres ouvertes on est descendus .J'évitais de faire crisser les pneux sur la peinture. Il m'a fait arrêter et on est descendu guidé par le tracker. J'angoissais pour Dominique mais après un coude une bâche tendue fermait un coin du parking. J'entendais des gémissements assourdis mais il a fallu attendre le regroupement.