Titre de l'histoire érotique : Inspecteur Manuel - histoire érotique

Je vais vous conter l'histoire d'un flic peu ordinaire. Commencé comme inspecteur à la brigade des moeurs, passé à la brigade de répression du proxéntisme. Plus spécialement chargé des enquêtes de moeurs ou sont impliqués des homosexuels. Il a attiré l'attention de ces supérieurs pour avoir démantelé un réseau de riches pédophiles. Après quelques mois de repos forcés pour se refaire une santé dans sa ferme du coté de Mende en Lozère, il est rentré au travail. Ses supérieurs au courant de ses moeurs dissolus mais réglos d'homosexuel dominant, lui ont laissé un dossier a étudier et résoudre, lui faisant miroiter un avancement rapide. Il a suite a son précédent succès un bureau à lui dan l'open space plus pratique quand il s'agit de partager des informations. Tous ses collègues sont au courant de sa vie et de ses amours particuliers plutôt vache mais en voient tellement qu'ils aiment les gens francs.
Il est allé faire un tour à son ancien appartement ou rien n'avait changé. La forte odeur de renfermé mise à part. On sentait malgré tout encore une odeur de sexe après ces 3 mois passés à l'écart.
Il a tout ouvert pour chasser l'odeur de renfermé et s'est rapidement dessapé avant de lire le courrier reçu. Il y en avait étonnamment peu, la publicité étant blouée par le gardien qui passait une fois par jour , ne laissant que les lettres personnelles. Il avait posé le dossier du bureau sur une table basse et allongé nu, a commencé à en prendre connaissance.
Plusieurs pages agraphées entre elles avec des photos et plusieurs dossiers.
J'ai commencé par les photos du premier dossier. Noir et blanc pour la plupart montrant des images révoltantes pour qui n'était pas formé à tout voir. Un mec , nu totalement, de dos, penché en avant, prépuce retenu en arrière par des pinces crocodiles, cuisses grande ouvertes et donc anus bien visible, maintenu ouvert par un écarteur. Sur la photo suivante Il était de face avec un écarteur de dentiste qui lui maintenait la bouche grande ouverte et cette fois plus bas, une cage coinçait son sexe tenu rabougri. Je connaissais cette cage pour l'avoir fait porter à une de mes salopes et une tige rentrait dans l'urêtre. Celle ci était creuse et il n pouvait pas retenir ce qui en coulait. Enfin sur son ventre lisse et surement épilé on voyait un numéro qui devait correspondre à son nom mais je ne pense pas que ce n'était que ça. Son visage était de type slave, et sur une petite photo couleur on voyait ses yeux vert et la blondeur de ses cheveux. Même ainsi et le sachant devenu esclave sexuel exploité par un groupe il me faisait bander. Au dos de la petite photo, juste un prénom. Sacha.
Je me suis attaqué au dossier, finalement assez bref. Il avait été plusieurs fois ramassé dans des partouzes organisées sans qu'on ne puisse savoir qui l'engageait , mais toujours dans des situations assez délirantes pour lui. Les lieux indiqués de la rafle était pratiquement toujours des usines ou entrepôts de banlieue et les participants tous honorablement connus. Le fait qu'il ne parlait que très peu le français n'arrangeait pas les choses. Même avce un interprète il disait toujours faire ça pour le plaisir et un peu d'argent. L'interprète signalant seulement qu'il avait une peur incontrôlable dès qu'on abordait pour tenter de savoir comment il avait connu ces gens.
Tous les dossiers disaient la même chose et on voyait sur chacun le tatouage chiffré avec des variantes. Tous aussi devaient avoir entre 20 et 25ans, rasés.
L'air entretemps devenu plus sain j'ai pris une douche avant d'aller traîner dans mes boîtes préférées ou des jeunes totalement volontaire eux , se faisaient plaisir en donnant leur corps pour pratiquement tout. J'étais connu comme bon client mais très peu me savaient flic.
Après avoir salué le barman d'une franche poignée de main, il m'a indiqué un jeune assis dans un coin. Celui ci devrait te plaire. Une petite tronche comme tu les aimes et il a rembarré qualques crânes rasés qui le serraient un peu trop. Toi qui sait y faire tu devrais emballé. Ce soir c'est mon cadeau pour ton retour. Les vacances étaient bonnes?
Oui ça va merci. Tu lui sers un verre et tu lui dis que c'est de ma part.
Yes mec! C'est parti.
Quand il a amené le verre à sa table il a levé la tête vers moi. Petit sourire, visage glabre et cheveux bouclés, il me semblait parfait pour reprendre contact avec Paris. Il a fait un signe vers le siège face à lui et je l'ai rejoins.
Salut! Moi c'est Manuel.
Moi c'est Raphael mais appelez moi comme vous voulez.
Tu sais ou tu es ici?
Oui je sais.
Alors baisse ton froc aux chevilles.
Euh la? De suite?
Ok dommage salut et j'ai fait mine de me lever.
Nooon attends. ill avait rougi violemment et a défait la ceinture, se soulevant pour faire glisser la pantalon. Il portait un slip et un tee-shirt. J'ai passé la main entre ses cuisses, sur le slip. J'ai senti un truc métal.
Tu portes une cage?
Oui.
Donne moi les 3 clès.
Euh oui pardon les voilà. Il avait fouillé dans son pantalon et j'ai vu que son slip était un jock.
Bien comme ça je sais pourquoi t'es venu. T'es juste une salope à bite.
Oui maître.
Bon fini ton verre et rhabille toi on va chez moi.