Titre de l'histoire érotique : Inspecteur Manuel 9 - histoire érotique

J'avais passé une bonne journée et j'ai dormi comme un loir, réveillé par la sonnerie du smartphone. J'ai réalisé et j'ai claqué les fesses du bâtard.
Va préparer le café et pisser un peu je t'attends dès que le café sera prêt. Je file me doucher. Je l'ai détaché pour qu'il obéisse et suis allé me laver. j'étais de retour avant lui et me suis allongé en l'attendant. Il est venu avec une tasse et du sucre. Je ne sais pas la quantité de café que vous prenez le matin maître.
C'est bien comme ça. Va prendre ta douche et lave jusqu'au fond de ton cul comme une pute doit avoir le cul! Impeccable! Tu gardes la cage jusqu'à ce que je décide. Ce matin on va aller voir ton garage. Si il y en a un! File, je bois et m'habille. Je te dirais quoi mettre. Il est ou ce garage? Dans quelle banlieue? Vers Epinay maître. Bon on en a pour un moment en RER. Alors fonce et nettoie bien!
J'ai pris le temps de boire le café trop fort mais bon il apprendrait et de passer une chemisette et un jean. J'enfilais mes tennis quand il est revenu. Je m'habille comment maître?
Je lui ai tendu un jogg en coton avec une large ceinture mais que je savais lache et un marcel un peu troué. Mets ces tennis la mais sans fermer les lacets et sans chaussette. Je veux que tu fasses ce que tu es. Une salope mâle à bites mâles.
Je garde la cage maître?
Evidemment et elle se devinera sois en sur puisque tu vas mouiller de te savoir comme ça!
Il a rougi encore, comme quoi il n'était pas si expérimenté que je le pensais. Il traînait la savate sans les lacets et remontait souvent la ceinture de son pantalon en coton et on a marché un peu jusqu'à ma station de métro J'avais mon passe mais je lui ai filé de quoi payer son ticket jusqu'à Epinay. Peu de monde sur le quai mais dans la rame si et je l'ai guidé au fond contre la porte qui ne s'ouvrait pas. J'ai passé la main dans son jogging jusqu'à sa fente que j'ai titillée le temps du trajet jusqu'au changement de Chatelet pour le RER. Cette fois on voyait une tache au niveau de son sexe sur le jogging gris. T'es mignon comme ça! On a peu attendu et la rame n'était pas pleine. J'ai trouvé deux places assises face à la montée. N'importe qui montant le voyait je l'avais fait asseoir coté couloir.
Ecarte les cuisse, n'ai pas honte de ce que tu es! Tu baves ? Et alors! Moi je ne suis pas gêné! Il a fait celui qui dort mais je voyais la bosse bouger et pas de gauche à droite mais de bas en haut. Il a fallu le secouer à l'arrivée. Aller sors et remonte ton jogging. On est monté pour sortir de la station. C'est par ou?
Au bout de la rue d'en face au carrefour à droite et à gauche ou les arbres. j'y ai peu dormi. Avance tu me diras ça plus tard. T'as pris la clé j'espère! Pas besoin y a un endroit à pousser et on peux entrer. On est passé près des anciens studios Eclair et il s'est arrêté devant un vieux volet roulant rouillé. C'est la.
Ben ouvre.
Il a pousse un coin du garge du pied et tiré sur la poignée, dévoilant un espace pratiquement vide avec un sac gonflé et une sorte de boite de canne à pêche en plus gros. C'est tout à toi ça?
Oui tout. Il a pâli un instant. J'ai ouvert le sac , le faisant reculer . Y avait peu de vêtements, plus de sous vêts de tout style , du PQ et une trousse de toilette. Y a quoi dans l'autre sac?
Ben, il s'est tortillé très mal à l'aise. Euh ... mon vrai sexe toy. celui que j'ai fait avec un morceau d'escalier.
J'ai ouvert et en longueur dans la boîte se trouvait un balustre de belle taille qu'il avait éffilé au bout et visiblement enduit de vernis. C'est avec ça que tu branlais ton cul?
Oui maître. Il gardait les yeux baissés.
Bien et bien je préfère ça. On a eu de gros doutes avec Dominique hier de te voir recevoir sa queue à fond et en jouir! T'as payé combien pour ce coin?
Bah 30€ et j'espèrais ne pas y rester.
Tu as deviné que si tu restais chez moi ce serait pire à chaque fois ou presque?
Oui je pense et aussi être fait pour obéir et servir sans état d'âme.
Bon ok pour un moment prends tout avec toi laisse l'étuide ton truc tu le tiendras à la main pour rentrer.
Ooooh.
Commence à t'assumer! Et laisse le garage ouvert ton proprio saura qu'il est libre. Je suis reparti vers la gare, il tentait de cacher son balustre mais vu la taille ce n'était pas évident.
Ne fais pas cette tête! Il faut sourire quand on est plus seul et qu'on a un maître. Si tu voyais ton entrejambe, tu baves comme une limace. Mignon tout plein à voir. On a attendu sur le quai puis on est reparti je l'ai laissé poser son truc entre nous. Je le voulais humilié mais progressivement.
Dans le métro la cohue m'a permis de glisser à nouveau la main et cette fois j'ai trouvé son trou humide au point que mes doigts glissaient dan la fente. Ce n'était plus un mec mais une fille qui mouillait du cul. Il a du s'excuser quand involontairement son truc a touché un jeune. Il a vu ce que c'était et a ri un bon coup en comprenant l'usage qu'il devait en faire. On est sorti du métro et de dos comme de face on voyait une trace humide à l'entrejambe.
Une fois à l'appartement je l'ai fait dessaper avant de lui passer un fin collier de cuir marqué esclave et un anneau de l'autre coté. Je vais bosser tu as de quoi t'ocuper, y a du linge a repasser et une panière à laver. Si tu dois sortir tu t'habille uniquement avec ce que tu a déjà porté et tu ne retires pas ton collier! Laisse ton sac la on verra ce soir ce que tu as!
Je lui ai laissé une clé en prenant dans la poche sa CI et suis parti au taf. Les gens ne voient que les flics en uniforme et répressifs mais si vous saviez le tas de paperasse à remplir chaque jour vous comprendriez mieux leur moral. J'avais en arrivant mon lot de papiers à remplir plus dans la corbeille d'autres à lire . Certains, écris de façon administrative, étaient si long qu'on aurait pu les résumer en 3 lignes. Il faut aussi qu'une catégorie de personnel justifie sa présence en pondant un tas de papiers, certains contredisant le précédent puis l'autre revenant sur le précédent. Mais il fallait lire et apposer sa signature pour en certifier la lecture. Je suis monté à la cafeteria et j'ai déjeuné avec des collègues échangeant des propos sans conséquence, autant sur leur vie que sur la mienne. Tout ça sans méchanceté et même pour certains avec respect, ce qui était du à ma précédente affaire mais je n'y étais pas habitué. Après un café à la machine je suis retourné à mon poste. Un post it me demandait de passer voir mon chef pour un point.
Je suis allé dans son bureau lui expliquer comment Dominique s'investissait et les premières avancées. Il a pianoté sur son ordi. Oui possible qu'il soit dans le coup ce François mais pour le moment je ne vois pas le lien avec votre canadien. Si on echope un ils se reformeront chef et je préfère choper les meneurs, tous les meneurs.
Bon Manuel votre dernière affaire a été une réussite et si vous continuez ...
J'espère bien chef.
Bon rentrez chez vous une fois les affaires courantes expédiées.