Titre de l'histoire érotique : J'ai trempé dans l'ambiance de l'Etoile
Récit érotique écrit par Albin Thai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : J'ai trempé dans l'ambiance de l'Etoile
Je me prépare pour une nouvelle visite à l'Etoile. J'ai demandé à un copain couturier et gay de surcroît, de me fabriquer un vêtement opaque, et jetable.
Les seuls autres vêtements que je portais dessous, étaient des mocassins.
Quand dans votre entourage, tous vos amis, hommes ou femmes, vous disent que vous avez le plus beau cul, qu'il leur a été donné de voir, et éventuellement de toucher, voire de posséder, pour moi, ça me donne au moins une obligation : En faire profiter les autres.
J'essaie bien d'en profiter moi aussi. En premier lieu, j'aime les caresses et qu'on me déshabille. Ensuite, mon cul, j'aime le montrer. Enfin, j'aime l'offrir.
Je trouve tout ça dans un cinéma. Et surtout, à l'Etoile. C'est le seul établissement qui offre des films pornos gay.
Pour assouvir la première partie, je m'assied en bordure d'allée. Un quidam quelconque, vient et caresse mes cuisses. Puis il vérifie que je réagi à ces amuse-gueules, sentir que je bande. Une fois rassuré, il plonge sa main dans la salle du trésor, mon slip. Il caresse mes fesses et sonde mon cul avec un doigt. Ces préliminaires achevés, il sait qu'il peut me branler, peut-être même me sucer. Le doigt dans le cul, lui indique qu'il pourra m'enculer. Si en plus il voit mon cul, non seulement il saura, mais il exigera de tout faire. Y compris, le sucer, lui.
Il m'attire dans un coin bien peuplé de la salle obscure. Il défait mon pantalon, et le saisissant en même temps que le slip, il dévoile mon cul à tous les regards. Les badauds s'attroupent autour de nous. Le quidam décide de me mettre à poil. Il met ses mains sur mes épaules, et me fait mettre à genoux. Il sort sa bite et la fourre dans ma bouche. Mon travail est de le faire jouir. Quand c'est fait, je lui restitue sa semence pour lubrifier sa queue. Il me relève et me pousse vers le dossier d'un fauteuil. Il me courbe dessus, écarte mes fesses et pose son gland sur ma rondelle. Un petit coup de reins, et sa pine est en moi. Il agrippe le dossier et se met à me pilonner. Son sperme ne tarde pas à m'inonder.
Parmi les spectateurs, il y en a toujours qui profitent, et d'autres qui se contentent des restes. Le résultat est que je me retrouve toujours dans ma position favorite. Une bite dans la bouche, et deux autres dans le cul.
Pourtant, cette fois-là, j'ai voulu m'offrir tout en même temps. J'ai enfilé un slip transparent et la redingote en papier. A la réception, tout le personnel aime me voir arriver. J'attire les clients, comme le miel, les abeilles. Je leur ai laissé un sac à dos avec des vêtements pour rentre chez moi.
Le premier qui m'a mis la main au cul, a été surpris. Il a tiré sur la redingote, et je me suis retrouvé à poil. Quelques rôdeurs se sont précipités. Pour les habitués, il n'y a qu'un cul comme le mien. Des dizaines de mains flattent mon cul, comme on flatte celui d'un cheval.
- Du plastique ?
Ils m'ont attrapé par les bras et m'ont débarrassé du slip transparent. Plusieurs doigts se sont enfoncés dans mon cul, simultanément. Puis, ce fut la ruée. Ils m'ont mis à genoux, deux pines sont entrées dans ma bouche, deux autres dans mon cul. En l'espace de 10 mn, j'étais couvert de sperme. Je ne sais pas combien ils étaient, mes assez nombreux pour baigner dans une mare gluante.
Quand je suis rentré chez moi, les gens me dévisageaient l'air incrédule. Mes cheveux étaient poisseux, et je sentais une odeur qu'ils reconnaissaient tous, le sperme.
Les seuls autres vêtements que je portais dessous, étaient des mocassins.
Quand dans votre entourage, tous vos amis, hommes ou femmes, vous disent que vous avez le plus beau cul, qu'il leur a été donné de voir, et éventuellement de toucher, voire de posséder, pour moi, ça me donne au moins une obligation : En faire profiter les autres.
J'essaie bien d'en profiter moi aussi. En premier lieu, j'aime les caresses et qu'on me déshabille. Ensuite, mon cul, j'aime le montrer. Enfin, j'aime l'offrir.
Je trouve tout ça dans un cinéma. Et surtout, à l'Etoile. C'est le seul établissement qui offre des films pornos gay.
Pour assouvir la première partie, je m'assied en bordure d'allée. Un quidam quelconque, vient et caresse mes cuisses. Puis il vérifie que je réagi à ces amuse-gueules, sentir que je bande. Une fois rassuré, il plonge sa main dans la salle du trésor, mon slip. Il caresse mes fesses et sonde mon cul avec un doigt. Ces préliminaires achevés, il sait qu'il peut me branler, peut-être même me sucer. Le doigt dans le cul, lui indique qu'il pourra m'enculer. Si en plus il voit mon cul, non seulement il saura, mais il exigera de tout faire. Y compris, le sucer, lui.
Il m'attire dans un coin bien peuplé de la salle obscure. Il défait mon pantalon, et le saisissant en même temps que le slip, il dévoile mon cul à tous les regards. Les badauds s'attroupent autour de nous. Le quidam décide de me mettre à poil. Il met ses mains sur mes épaules, et me fait mettre à genoux. Il sort sa bite et la fourre dans ma bouche. Mon travail est de le faire jouir. Quand c'est fait, je lui restitue sa semence pour lubrifier sa queue. Il me relève et me pousse vers le dossier d'un fauteuil. Il me courbe dessus, écarte mes fesses et pose son gland sur ma rondelle. Un petit coup de reins, et sa pine est en moi. Il agrippe le dossier et se met à me pilonner. Son sperme ne tarde pas à m'inonder.
Parmi les spectateurs, il y en a toujours qui profitent, et d'autres qui se contentent des restes. Le résultat est que je me retrouve toujours dans ma position favorite. Une bite dans la bouche, et deux autres dans le cul.
Pourtant, cette fois-là, j'ai voulu m'offrir tout en même temps. J'ai enfilé un slip transparent et la redingote en papier. A la réception, tout le personnel aime me voir arriver. J'attire les clients, comme le miel, les abeilles. Je leur ai laissé un sac à dos avec des vêtements pour rentre chez moi.
Le premier qui m'a mis la main au cul, a été surpris. Il a tiré sur la redingote, et je me suis retrouvé à poil. Quelques rôdeurs se sont précipités. Pour les habitués, il n'y a qu'un cul comme le mien. Des dizaines de mains flattent mon cul, comme on flatte celui d'un cheval.
- Du plastique ?
Ils m'ont attrapé par les bras et m'ont débarrassé du slip transparent. Plusieurs doigts se sont enfoncés dans mon cul, simultanément. Puis, ce fut la ruée. Ils m'ont mis à genoux, deux pines sont entrées dans ma bouche, deux autres dans mon cul. En l'espace de 10 mn, j'étais couvert de sperme. Je ne sais pas combien ils étaient, mes assez nombreux pour baigner dans une mare gluante.
Quand je suis rentré chez moi, les gens me dévisageaient l'air incrédule. Mes cheveux étaient poisseux, et je sentais une odeur qu'ils reconnaissaient tous, le sperme.
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