Titre de l'histoire érotique : J'étais malade
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 973 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 7.3 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Baiserjouir ont reçu un total de 8 603 087 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 15 051 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : J'étais malade
Je relève d'une maladie crevante. Actuellement, je me sens bien mieux. La semaine avait été difficile pour moi : infirmière tous les jours, piqûres, etc....
Je me sens revivre, d'autant plus que mes parents, habitants tout près me secondaient en me donnant du courage. Enfin je peux recevoir des visites. Les copains se succèdent presque sans arrêt. Ils arrivent à me dérider, c'est le principal. Je suis encore un peu fatigué et malgré ça sans raisons particulières je me mets à bander. Je résiste bien un peu: comment faire quand la gaule gonfle ? Je commence par ne rien faire dans le vain espoir que je vais débander. Il me faut absolument jouir. Tant pis je prend ma bite en main et me voila parti vers des fantasmes pas possibles. Je me vois avec de splendides créatures hollywoodiennes bien mieux encore que dans les films d'avant guerre. Je jouis trop vite à mon goût : c'est normal depuis le temps où je n'ai pas baisé.
Je m'endors comme un bébé. Mes parents passent pour prendre de mes nouvelles. Je me sens d'attaque. Tant mieux, mes parents sont venus avec Dédé, une cousine du genre sexy et qui ne rechigne pas pour donner et prendre du plaisir. Elles reste pour me tenir compagnie: elle s'empare du fauteuil de ma chambre, s'y assoit, et commence à bavarder, comme souvent avec elle de choses strictement inintéressantes. Pour une fois elle se tient convenablement. J'ai un besoin urgent d'aller aux toilettes et lui demande de me laisser un moment, le temps pour moi de passer au moins un slip.
Elle ne bouge pas:
- J'aime te voir tout nu : te me plais ainsi.
- Sans doute, ce n'est pas le moment.
- C'est pas un crime: vas nu aux toilettes.
Je ne peux réellement plus tenir, tant pis: elle veux me voir nu, elle me verra.
Je me lève sans honte, fais ce que j'ai à faire, revient dans la chambre. Dédé est toujours sur le fauteuil, cette fois elle doit avoir oublié ses bonnes manières. Elle a remonté sa jupe vers sa ceinture, enlevé, à moins qu'elle n'en ait pas mis de culotte. Sa main gauche est sur le haut de son sexe, pour libérer son clitoris qu'elle caresse gentiment. Évidement mon arrivée n'est pas faite pour qu'elle arrête sa masturbation.
- Tu vois, je me branle, j'en avait envie: ça te plait ?
- Qu'est ce que tu crois que je suis de marbre ? Tu vois que tu me fais bander.
- Tant mieux, viens me sucer.
- Non, je me recouche, viens si tu veux.
Elle ne se fait pas répéter deux fois la même chose, sauf qu'avant de venir, elle se met nue, comme je le suis. Elle n'oublie rien: je dois la sucer. Elle se met contre moi, m'embrasse sur la bouche, juste le temps de mélanger nos langues. Elle se relève, se tourne, s'accroupit sur mon visage: je n'ai qu'à sortir ma langue pour lui donner du plaisir: elle cherche tous les endroits sensibles. Elle va de bas en haut, en commençant par l'anus que je sais très sensible: elle gémit
- Oui, continue avec la langue sur mon petit trou: tu peux me faire jouir ainsi
Si je la fais jouir ainsi, comme elle dit, je n'ai pas fini d'éteindre l'incendie de son sexe. Je préfère lécher les lèvres jusqu'au niveau du vagin. J'y entre juste ce qu'il faut pour atteindre son point faible. Oh, je ne la lèche pas longtemps pour qu'elle ne jouisse pas encore. Je me consacre à son bouton. Il est toujours aussi agréable à sucer tant de texture que de goût. Il est assez grand pour que je l'aspire en léchant.
- Oui, continue, tu es un salop: tu aurais pu me faire jouir plusieurs fois depuis tout à l'heure. Salop, te me suce bien, encore, Mets moi un doigts dans le cul, n'ai pas peur, enfonce le bien. J'ai envie que tu m'encules. Oui, oui, je jouis.
Pourtant elle reste là où elle est. Elle veut que je lui suce le clitoris. Je recommence et pour lui donner le plaisir recherché je lui rentre un doigt dans son cul. C'est facile: son anus est plus qu'habitué à être occupé. Je l'y rentre presque complètement et commence les vas et viens. Je sens son anus s'ouvrir et se fermer à chaque orgasme.
Elle se met en position normale près de moi pour m'embrasser encore. Enfin, elle prend ma bite dans une main. Elle ne me branle pas à proprement parler; elle se contente de la serrer et la desserrer dans la main.
-- Branles moi ou baisons, je n'en peux plus.
- J'ai pas envie de te branler: ça tu sais te le faire tout seul, même devant moi: je t'ai déjà vu.
- Alors baisons !!
- Non tu ne peux pas me baiser, tu es encore malade.
- Baises moi.
Cette fois elle n'hésite pas non plus, elle m'enjambe, s'installe confortablement, ma bite bien dressée juste sous son con. Elle me fait face, me regarde bien dans les yeux. Sans plus rien dire, elle se laisse lentement tomber sur ma queue. Je me retrouve au milieu de son vagin bien au chaud. Elle ne bouge pas pendant un long instant. Comme je ne peux rien faire, enfin elle se met à baiser lentement au début. Je sens que je vais jouir rapidement. Elle le sait: elle se relève, je sors de son con. Ce n'est pas encore perdu: elle recule de quelques centimètres se laisse aller encore une fois: je suis dans son cul. Elle est légèrement penchée en arrière, cadence ses allers et venues. Elle pose sa main sur son clitoris pour bien mélanger les deux plaisirs. J'aime la regarder se branler dans cette condition. J'essais sans succès de caresser sa poitrine.
Elle jouis plusieurs fois à chaque fois pour enfin me donner le plaisir que j'attendais depuis un moment
Je pense qu'on en a fini: pas question. Il lui manque le principal: elle veux que je jouisse dans sa bouche !
Je ne suis plus en forme: elle s'arrange avec art à me faire à nouveau bander. Elle arrive à me faire grossir encore plus. En étant en 69, elle me donne toute sa fente. Je reprends mes activités linguales. Elle est très près de ma bite, qu'elle prend en main. Cette fois elle me branle un peu, continue à me tenir la queue, ouvre sa bouche, en sort la langue qu'elle passe sur le gland. Elle prend ma pine dans la bouche, elle la rentre jusqu'à ce que sa bouche touche sa main. Elle me branle en même temps. J'espère qu'elle ne va pas arrêter ainsi. Soudain, au moment où je lui mettais un doigt dans le cul, elle me prend totalement: ses lèvres sont plus qu'agréable le long de mon pieu. Elle sait doser son pompier.
Je la sens jouir encore avec mon doigt toujours dans son anus.
Soudain tout s'accélère: c'est à croire que ses lèvres sont prises de frénésie. Elles vont à une vitesse folle. Le résultat ne se fait pas attendre: mon sperme gicle dans la bouche. Elle me garde jusqu'à la dernière goutte.
Satisfaite de notre baise et du sperme qu'elle aime, elle vient se serrer contre moi. Elle m'embrasse, me demande de lui embrasser les seins. Je crois savoir qu'elle est encore prête pour tirer encore un coup. J'ai eu a dose. Alors tout simplement elle se masturbe.
Je me sens revivre, d'autant plus que mes parents, habitants tout près me secondaient en me donnant du courage. Enfin je peux recevoir des visites. Les copains se succèdent presque sans arrêt. Ils arrivent à me dérider, c'est le principal. Je suis encore un peu fatigué et malgré ça sans raisons particulières je me mets à bander. Je résiste bien un peu: comment faire quand la gaule gonfle ? Je commence par ne rien faire dans le vain espoir que je vais débander. Il me faut absolument jouir. Tant pis je prend ma bite en main et me voila parti vers des fantasmes pas possibles. Je me vois avec de splendides créatures hollywoodiennes bien mieux encore que dans les films d'avant guerre. Je jouis trop vite à mon goût : c'est normal depuis le temps où je n'ai pas baisé.
Je m'endors comme un bébé. Mes parents passent pour prendre de mes nouvelles. Je me sens d'attaque. Tant mieux, mes parents sont venus avec Dédé, une cousine du genre sexy et qui ne rechigne pas pour donner et prendre du plaisir. Elles reste pour me tenir compagnie: elle s'empare du fauteuil de ma chambre, s'y assoit, et commence à bavarder, comme souvent avec elle de choses strictement inintéressantes. Pour une fois elle se tient convenablement. J'ai un besoin urgent d'aller aux toilettes et lui demande de me laisser un moment, le temps pour moi de passer au moins un slip.
Elle ne bouge pas:
- J'aime te voir tout nu : te me plais ainsi.
- Sans doute, ce n'est pas le moment.
- C'est pas un crime: vas nu aux toilettes.
Je ne peux réellement plus tenir, tant pis: elle veux me voir nu, elle me verra.
Je me lève sans honte, fais ce que j'ai à faire, revient dans la chambre. Dédé est toujours sur le fauteuil, cette fois elle doit avoir oublié ses bonnes manières. Elle a remonté sa jupe vers sa ceinture, enlevé, à moins qu'elle n'en ait pas mis de culotte. Sa main gauche est sur le haut de son sexe, pour libérer son clitoris qu'elle caresse gentiment. Évidement mon arrivée n'est pas faite pour qu'elle arrête sa masturbation.
- Tu vois, je me branle, j'en avait envie: ça te plait ?
- Qu'est ce que tu crois que je suis de marbre ? Tu vois que tu me fais bander.
- Tant mieux, viens me sucer.
- Non, je me recouche, viens si tu veux.
Elle ne se fait pas répéter deux fois la même chose, sauf qu'avant de venir, elle se met nue, comme je le suis. Elle n'oublie rien: je dois la sucer. Elle se met contre moi, m'embrasse sur la bouche, juste le temps de mélanger nos langues. Elle se relève, se tourne, s'accroupit sur mon visage: je n'ai qu'à sortir ma langue pour lui donner du plaisir: elle cherche tous les endroits sensibles. Elle va de bas en haut, en commençant par l'anus que je sais très sensible: elle gémit
- Oui, continue avec la langue sur mon petit trou: tu peux me faire jouir ainsi
Si je la fais jouir ainsi, comme elle dit, je n'ai pas fini d'éteindre l'incendie de son sexe. Je préfère lécher les lèvres jusqu'au niveau du vagin. J'y entre juste ce qu'il faut pour atteindre son point faible. Oh, je ne la lèche pas longtemps pour qu'elle ne jouisse pas encore. Je me consacre à son bouton. Il est toujours aussi agréable à sucer tant de texture que de goût. Il est assez grand pour que je l'aspire en léchant.
- Oui, continue, tu es un salop: tu aurais pu me faire jouir plusieurs fois depuis tout à l'heure. Salop, te me suce bien, encore, Mets moi un doigts dans le cul, n'ai pas peur, enfonce le bien. J'ai envie que tu m'encules. Oui, oui, je jouis.
Pourtant elle reste là où elle est. Elle veut que je lui suce le clitoris. Je recommence et pour lui donner le plaisir recherché je lui rentre un doigt dans son cul. C'est facile: son anus est plus qu'habitué à être occupé. Je l'y rentre presque complètement et commence les vas et viens. Je sens son anus s'ouvrir et se fermer à chaque orgasme.
Elle se met en position normale près de moi pour m'embrasser encore. Enfin, elle prend ma bite dans une main. Elle ne me branle pas à proprement parler; elle se contente de la serrer et la desserrer dans la main.
-- Branles moi ou baisons, je n'en peux plus.
- J'ai pas envie de te branler: ça tu sais te le faire tout seul, même devant moi: je t'ai déjà vu.
- Alors baisons !!
- Non tu ne peux pas me baiser, tu es encore malade.
- Baises moi.
Cette fois elle n'hésite pas non plus, elle m'enjambe, s'installe confortablement, ma bite bien dressée juste sous son con. Elle me fait face, me regarde bien dans les yeux. Sans plus rien dire, elle se laisse lentement tomber sur ma queue. Je me retrouve au milieu de son vagin bien au chaud. Elle ne bouge pas pendant un long instant. Comme je ne peux rien faire, enfin elle se met à baiser lentement au début. Je sens que je vais jouir rapidement. Elle le sait: elle se relève, je sors de son con. Ce n'est pas encore perdu: elle recule de quelques centimètres se laisse aller encore une fois: je suis dans son cul. Elle est légèrement penchée en arrière, cadence ses allers et venues. Elle pose sa main sur son clitoris pour bien mélanger les deux plaisirs. J'aime la regarder se branler dans cette condition. J'essais sans succès de caresser sa poitrine.
Elle jouis plusieurs fois à chaque fois pour enfin me donner le plaisir que j'attendais depuis un moment
Je pense qu'on en a fini: pas question. Il lui manque le principal: elle veux que je jouisse dans sa bouche !
Je ne suis plus en forme: elle s'arrange avec art à me faire à nouveau bander. Elle arrive à me faire grossir encore plus. En étant en 69, elle me donne toute sa fente. Je reprends mes activités linguales. Elle est très près de ma bite, qu'elle prend en main. Cette fois elle me branle un peu, continue à me tenir la queue, ouvre sa bouche, en sort la langue qu'elle passe sur le gland. Elle prend ma pine dans la bouche, elle la rentre jusqu'à ce que sa bouche touche sa main. Elle me branle en même temps. J'espère qu'elle ne va pas arrêter ainsi. Soudain, au moment où je lui mettais un doigt dans le cul, elle me prend totalement: ses lèvres sont plus qu'agréable le long de mon pieu. Elle sait doser son pompier.
Je la sens jouir encore avec mon doigt toujours dans son anus.
Soudain tout s'accélère: c'est à croire que ses lèvres sont prises de frénésie. Elles vont à une vitesse folle. Le résultat ne se fait pas attendre: mon sperme gicle dans la bouche. Elle me garde jusqu'à la dernière goutte.
Satisfaite de notre baise et du sperme qu'elle aime, elle vient se serrer contre moi. Elle m'embrasse, me demande de lui embrasser les seins. Je crois savoir qu'elle est encore prête pour tirer encore un coup. J'ai eu a dose. Alors tout simplement elle se masturbe.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Baiserjouir
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...