Titre de l'histoire érotique : Jeune et déjà dévergondée 1/2 - histoire érotique

A dix sept ans je suis déjà vicieuse dans l’âme je n’ai pourtant pas encore connu d’homme, à part la vision furtive de la quéquette de mon frère et celles bien grosses et dépourvues de poils que j’ai vues dans les revues pornos qu’il laisse trainer dans sa chambre je n’ai aucune idée de la vérité sur le vrai calibre d’une bitte
Aussi ai-je eue une idée de génie complètement folle, pour en apercevoir je me suis déguisée en garçon, jean troué et veste ample a capuche pour dissimuler mon visage et ma poitrine bien formée, je suis allée dans les toilettes hommes du super marché voisin, il y a trois ‘bols’ pour pisser je me suis postée au milieu et j’ai attendu faisant semble de tenir ‘ma verge’, un homme est venu prés de moi, serrant sous un bras une sacoche il sifflotais en sortant sa queue , au début je n’ais pas osé regarder, mais lorsque son portable s’est mis a sonner j’ai tourné les yeux pour apercevoir un bout rose qui dépassait de sa main, au risque de me prendre une baffe je me suis enhardie lorsqu’il a pesté en grommelant qu’il allais se pisser dessus car il voulait a tous prix avoir cet appel, a mon grand étonnement j’ai tendu le bras en direction de son bas ventre posant ma main sur la sienne en prenant la voix la plus grave que je puisse faire

- Je peux vous aider ?
- Mais ? après tout va-y, tient la moi s’il te plait, c’est un coup de fil très important

Enfin je serrais dans ma main ce manche de chair tant convoité d’un soyeux inattendu, qui, soudain se mis à se transformer glissant entre mes doigts, en se développant il devenait dur, je la triture d’avant en arrière sans que son propriétaire accaparé par sa conversation ne s’en émeuve, par contre ma petite culotte subie des dommages, c’est la première fois que je mouille autant sans me toucher

- Bien, nous ferons donc ainsi, au revoir cher ami … mais que fais-tu petit ? je ne peux plus pisser je bande trop !
- C’est plutôt marrant
- Quel âge as-tu ?
- 18 monsieur
- Dix huit ? tu es en pleine mue ? ta voix est aussi fluette que celle d’une fille
- Ça arrive la preuve
- Dis moi, tu viens souvent ici ?
- Tous les jours à la même heure
- Bon puisque tu a l’air d’aimer ça finit moi, si tu entends le porte d’entrée s’ouvrir tu me lâche la bite immédiatement
- D’accord … elle est devenue très grosse !
- C’est une bite de quarante ans ! tu me montreras la tienne ?
- Vous seriez déçu elle est très petite
- Ah bon ? astique moi la queue … décalotte mon gland… ooouuuuiiiii plus fort, plus vite, ça vient rrrrrhhhhhhoooooooooooooooooooo !!

De longs filaments blancs s’échappent du bout en saccades rapprochées éclaboussant la faïence et mes doigts, l’homme reprend sa queue pour l’essuyer et le remettre dans son slip
, mes doigts sont poisseux mais je n’ai pas envie de les essuyer avant de définir ce qu’est cette sauce, je me précipite dans un WC et me renferme le cœur battant, assise sur la lunette je fais glisser le sperme bien accroché entre mes doigts et les portent a mes narines… ça sent le fade …et le goût ? j’en lèche un peu de ma langue pointue... bofff …hooff pas si dégueulasse que ça … et … et si j’en passait sur ma chatte ?

Lorsque je me lave les mains il ne reste pas grand-chose sur mes doigts, mes poils pubiens sont collés et par ma mouille et par le foutre, ma bouche garde un goût acre, c’est un peu comme si j’avais fait une pipe ! je reviendrais demain …le lendemain a la même heure je fais les cent pas devant les toilettes, le voilà …

- Salut petit, déjà là ?
- Oui
- Tu entre ?
- Si vous voulez
- Attends, j’ai une meilleure idée, ça te dit de me suivre dans ma voiture ? nous y serions plus tranquilles les vitres sont fumées
- Vous ne sortez pas du parking hein ?
- Non, j’adore ta voix de fillette
- Ne vous moquez pas
- Tu me plais bien toi ! aller vient

Il ouvre un gros quatre-quatre aux glaces teintées et m’invite à prendre place, je me réfugie tout au fond tandis qu’a peine installé il défait sa ceinture de pantalon

- Tu veux me la toucher ?
- J’aimerais tout voir...
- Tout voir ? mes couilles aussi ?
- Oui
- T’as du poil au cul ?
- Bien sûr, enfin, un peu
- Tu va voir des couilles d’ours !

Il fait glisser son froc jusqu’aux chevilles ensuite c’est au tour du boxer déjà tendu par la verge bandée qui surgit du sous vêtement comme un diable de sa boite, hier je ne pouvais pas la voir en entier, cette fois je vois une queue monstrueusement longue et épaisse, il la soulève pour me montrer ses couilles tapissées de poils bouclés

- Approche … pose ta main dessus, tu dois avoir chaud ainsi vêtu ôte donc ta veste
- NON !!
- Bon ça te regarde, alors ? qu’en penses-tu ?
- C’est vachement doux, c’est des boules qui se baladent à l’intérieur ?
- Des testicules comme les tiennes pardi … t’es bizarre toi …tu ne veux vraiment pas me montrer ta pine d’ado ? je ne me moquerais pas promis
- Plus tard, je vous branle ?
- Va-y petit astique moi le chibre
- Mes doigts n’en font pas le tour !
- Tes mains sont très fines, tu veux me sucer ?
- Sucer ??? …… j’sais pas ….
- Essaie juste un peu

Lentement je me penche sur son entrejambes poilu, ma main caresse longuement ce cylindre chaud ainsi que les lourdes bourses, ma langue effleure le gland d’un velouté encore plus marqué que le manche, je tente une approche avec mes lèvres …un coup de reins brusque et il enfile un bout de cinq centimètres dans mon palais, … c’est booooooooonnnnnnnnnn !

- OUUUUUUIII ! suce petit, tu te débrouille bien … tu avale ?
- Huuummm-huuummm
- Je suppose que ça veut dire oui, attend je vais te caresser le cul
- RHHHUUUUUMMMM !!!
- Non ? juste sur ton jean aller laisse toi faire... quel petit cul serré ! décidément t’as tout d’une fille, ne t’arrête pas ça vient … branle moi à fond…. Ooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !avale tout
- Huuuuuuuuuuummmmmm ! j’étouffe !
- Quand ça vient ça vient chez moi ! essuie-toi le menton

En voulant m’aider il fait glisser ma capuche découvrant mes cheveux noués en chignon

- Mais t’es une fille ma parole ?
- Oui ….
- Merde alors, tu veux m’envoyer en taule ?
- Je vous jure que ça restera entre nous
- Enlève cette veste et ce jean, je veux te voir nue
- Seulement voir ?
- Oui
- Bon …

Dans un état second je me déshabille, tandis qu’il continue à manipuler son sexe qui reprend lentement de la vigueur, je me surprends à penser que je la prendrais bien dans la chatte ainsi que toute la purée qu’elle crache, pour sauver la face je fais ma mijaurée

- Slip et soutient gorge aussi ?
- Tout !
- J’ai honte … c’est la première fois
- T’es pucelle ?
- Oui
- T’as réellement dix huit ans ?
- Dix sept …
- Alors je vais seulement te bouffer la cramouille
- Vous pourrez aussi frotter votre verge sur ma fente ?
- Si tu y tiens, allonge-toi sur le siège, personne ne peut nous voir de l’extérieur
- Comme ça ?

J’ai levée une jambe sur le dossier et l’autre pendante hors du siège, je ne peux plus être écartée, ma petite chatte en baille, l’homme roule des yeux, sa queue tressaute de plaisir, il aimerait bien me baiser de suite comme une chienne… que je suis
Le temps de trouver une étroite place entre les banquettes il avance sa bouche entre mes cuisses quasi religieusement, ses lèvres se collent à ma vulve, comme pour un baiser bouche à bouche sa langue sort et tournoie entre mes lèvres, ses doigts ne restent pas inactifs et visitent mon entrecuisse jusqu'à ma rondelle fripée un doigt va jusqu'à s’y hasarder ce qui ne me déplait pas le moins du monde, je lui fais savoir en ondulant de la croupe accompagné de gémissements subjectifs, il grogne en redoublant d’efforts, je n’en peut plus …

- Baisez moi … baisez moi … baisez moi !
- Mmuuuuuummmmmm !
- BAISE-MOI !

Sans dire un mot il se redresse la bouche barbouillée de ma sève intime, sa queue menaçante pointe devant lui, sans s’aider des mains il la dirige sur ma chatte, le gland rubicond posé sur ma fente il le fait glisser pour repousser mes lèvres, je ne perds rien de ses mouvements attendant l’instant ultime où sa queue va disparaitre en moi, mais le nœud glisse au dernier moment et va dénicher mon clitoris m’arrachant un cri de joie

- Chuuuuuutt, tu vas ameuter le quartier !
- Baise-moi !
- Une minute que diable, savoure cet instant, dés que je t’aurais percée tu ne seras plus vierge
- J’veux d’la bite !
- Tu va en avoir calme toi, laisse moi jouer avec ton minou

Il recommence des fois et des fois, je vais finir par jouir du clitoris et soudain, j’essaie vainement de l’agripper aux hanches pour l’attirer en moi, au moment où je m’y attendais le moins une brulure fulgurante traverse ma chatte pour aussitôt me procurer la sensation d’être envahie par un corps étranger qui succède a un bien-être sublime lorsqu’il se met a me pistonner lentement la chatte, je suis femme !

- Ça va ? tu saigne à peine
- Défonce-moi ! Défonce-moi !
- Accroche-toi à moi
- J’veux de la bite ! j’veux de la queue, beaucoup de queues qui crachent dans ma chatte de salope !
- T’es sérieuse ? tu veux baiser avec plusieurs mâles ?
- Ouuuuuuuuiiiii !
- En même temps ?
- Hooooouuuuuiiiiiii !
- A peine dépucelée et déjà a-croc, tu va me faire décharger avec tes conneries, prend ça dans ta choune de dévergondée … hhhhhhooooooooooouuuuuuuuuuuuuuuuuuuu !
- Je joooooouuuuuiiiiiiiiiiis ! hhhaaaaaaaaaaaaoooooouuuuuiiiiiiiiii !

Je reprends lentement mes esprits et mon souffle, toujours planté en moi l’homme me regarde intensément

- T’était sérieuse ?
- Pour ?
- Ce que tu m’as dit en baisant
- Quoi donc ?
- De vouloir plusieurs bites à ta disposition …
- C’est sorti comme ça …
- Dans ces moments là c’est le cri du cœur, tu en as envie n’est-ce pas ? n’ai jamais honte de tes fantasmes
- C’est vrai j’en rêve depuis longtemps
- Avec des gars de ton âge ?
- NON ! avec des mecs comme toi qui savent baiser
- Il se trouve que nous somment une bande de copains qui se retrouvent pour jouer au poker
- C’est vrai ? servir d’enjeu me plairais énormément !
- C’est exactement a quoi je pensais …

A SUIVRE …….