Titre de l'histoire érotique : Jeunes infirmières libérées
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : Jeunes infirmières libérées
Cette histoire fait partie du cycle : "Histoires de la Bienheureuse Agnès"
Ses études d’infirmière terminées, Agnès avait été affectée aux services des
soins aux accidentés à l’Hôpital Sainte-Anne à Paris. Un des très gros hôpitaux de la
capitale, où il fallait faire face à de très nombreux malades souvent jeunes et
parfois dans un état grave avec d’importantes blessures. La journée (et la nuit !) de
ces jeunes infirmières se passaient à courir d’un côté et de l’autre sans le moindre
répit. Et quand il pouvait y avoir à quelques moments de décompression, ils étaient
les bienvenus…
Un jour Agnès eut a donné des soins à un jeune homme d’environ 25 - 26 ans. Le
garçon, suite à un accident où sa moto avait pris feu entre ses jambes, avait celles-
ci gravement brûlées et en particulier l’intérieur des cuisses avec deux plaies
ouvertes jusqu’au périnée. Pour lui prodiguer les soins, il fallait bien évidemment
lui faire écarter le plus possible les jambes, et lui soutenir le sexe et les parties
pour accéder aux endroits atteints.
Il va de soi que ces soins sont très délicats compte tenu de la situation et la
technicité requise pour panser ces brûlures. Aussi la surveillante, chef du service
des soins avait-elle demandé à ce qu’il y ait toujours deux infirmières pour soigner
ce patient.
Agnès faisait souvent équipe avec Cécile, une jeune infirmière de son âge, jolie brune
bien faite et plutôt avenante. Il fallait deux séances de soins par jour, matin et
soir. Chaque séance était fort longue, durant laquelle, l’une ou l’autre devait
prendre en main la verge du garçon et lui soutenir, ainsi que les testicules pour que
l’autre puisse prodiguer les soins… Il faut dire que le gars était hyper bien membré.
Une verge qui au repos faisait déjà plus de 15 cm de long pour un diamètre de plus 5 !
Et mettons-nous à la place de ces jeunes filles : tenir ainsi un membre en main
pendant plus de 20 à 30 minutes, cela ne peut laisser indifférent, même si on est très
professionnelle et si on est là pour soigner… Justement pour soigner et donc pour
s’occuper de l’autre !...
Et puis le gars en question, malgré ses brûlures et la douleur vive, d’être ainsi pris
en main avec douceur l’amenait invariablement à bander. D’abord un peu, puis de plus
en plus au fil de la séance. Souvent, alors qu’elle s’activait, le nez à quelques
centimètres des plaies, Agnès regardait à la dérobée le beau membre qui se dressait
juste à côté de son visage. Elle sentait sa jeune fente la démanger et la picoter dans
son string. Si elle avait eu une main de libre, elle se serait volontiers caressée ! A
plusieurs reprises le gars surprit son regard et elle rougit sans pouvoir contrôler ce
fait, jusqu’à la racine des cheveux. La brune Cécile, elle aussi, matait du coin de
l’œil la verge qui lui grossissait dans la main. Elle aussi avait une forte
démangeaison de son entrejambes. Elle serrait ses cuisses l’une contre l’autre et
insensiblement effectuait un mouvement imperceptible de l’extérieur, mais qui lui
branlait le haut de la fente, le clitoris et les petites lèvres.
Elles n’en étaient pas encore à la moitié de la séance de soins que le jeune gars
bandait à fond. La menotte gantée de Cécile était plus que largement débordée par le
membre. Sa main n’en faisait plus le tour et la bite décalottait déjà à fond…
D’autant que de l’autre main mise en creux, elle soutenait les couilles chaudes du
jeune type…
Tout en restant attentive aux soins qu’elle donnait au garçon, Agnès sentait sa petite
moule se mouiller, tant cette bite superbe lui faisait de l’effet… Elle se disait
qu’il y avait longtemps qu’elle n’avait pas eu un engin comme ça entre ses jambes et
dans sa fente… D’ailleurs en avait-elle déjà vu d’aussi gros et d’aussi longs… Et
disons le mot : d’aussi jolis ! Depuis qu’elle était entrée dans ce service, donc
depuis maintenant 5 mois, c’était le désert sexuel… Certes sa dernière année
d’infirmière, "son internat" comme on l’appelait avait été bien occupé de ce côté-là,
et les internes ne l’avaient pas laissée chômer !... Mais depuis ?...
Et un si beau membre qui reste inutilisé se disait-elle en revenant au présent de ses
soins… Non, c’est sûr, elle ne s’était jamais fait baisée par un aussi beau braquemart
!... Tout en effectuant les pansements, elle n’arrêtait pas d’imaginer ce membre entre
ses lèvres de sa bouche et sa langue aller et venir sur l’énorme gland… Elle avait
beau se concentrer sur son travail, sans cesse cette image du vit dans sa bouche
revenait à son esprit… Quand ce n’était pas l’image de la bite directement dans son
trou de femme !… "Arrête de penser comme une salope ! " se disait-elle pour stopper le
dévergondage de son esprit… Mais rien à faire. Plus elle se l’interdisait et plus elle
sentait que son désir augmentait et que sa fente se mouillait de ses idées trop
précises… Elle serrait les jambes pour contenir son envie de se passer la main entre
les cuisses.
Elle jeta un regard rapide vers Cécile. Celle-ci était cramoisie, rouge jusqu’à la
racine des cheveux. Elle se tenait raide le long du lit essayant de fixer son
attention sur le travail d’Agnès, pour ne pas regarder le vit magnifique qu’elle
tenait en main… En réalité, ce soutien était complètement inutile, tant le pieu tenait
tout seul. D’ailleurs dès qu’Agnès eut terminé les soins et n’avait plus que les
affaires à ranger sur le chariot, Cécile demanda précipitamment :
- " Agnès, je vois que tu as terminé, tu veux bien que je te laisse ranger ?
La séance a duré particulièrement longtemps, je vais voir si on a besoin au P.C. ".
Elle n’attendit pas la réponse et s’éclipsa rapidement sans un regard vers le patient
qui restait dans sa position tendue.
Agnès fut surprise de la réaction de Cécile. Ce brusque départ était en effet
inhabituel, la consigne étant de rester à deux pour effectuer la totalité des soins,
rangement compris. Mais elle n’y prêta pas davantage attention et rangea avec soin
tout le matériel. Cela lui prit quelques minutes et elle s’appliquait à tourner le dos
au jeune homme. Elle se disait que si elle se retournait vers lui, elle ne répondrait
plus de rien : maintenant qu’elle était seule avec le type, elle n’avait plus qu’une
envie : empoigner la bite si tentante et l’enfourner pour la sucer à fond et qui sait
peut-être même la chevaucher !
A la fin du rangement, il fallu pourtant aller remettre le drap sur le corps du
garçon. Pour les soins, le drap avait été replié tout à fait au pied du lit pour qu’il
ne gêne pas le travail des infirmières. Lorsqu’elle ramena le drap sur le corps
superbe du patient, elle sentait qu’elle était rouge comme une pivoine et la vue de
nouveau du vit tendu à l’extrême et pointant vers le plafond la troubla si
profondément qu’elle sentit ses jambes fléchir et se dérober sous elle. Elle dû
s’appuyer sur le bord du lit. Le type lui sauva la mise car il avança le bras et pris
le drap qu’elle avait en main en disant :
-" Laissez !... Je vais le remettre… Heureusement mes bras sont valides ! " Dérobant
ainsi à la vue d’Agnès l’objet de sa convoitise…
Elle sortit de la chambre, les jambes encore flageolantes. Elle sentait son
entrejambes inondé par sa cyprine. Sans doute d’ailleurs, se disait elle, sa mouille
avait du déborder son mini string, car même l’intérieur de ses cuisses étaient
mouillées. Elle alla au P.C. ranger le chariot des soins. La surveillante lui demanda
si la séance s’était bien passé et où était Cécile. Cela ne manqua pas de surprendre
Agnès qui croyait que Cécile était passée au P.C. Elle comprit soudain et dit pour
couvrir sa jeune collègue :
- " Elle arrive, madame. "
D’ailleurs c’était vrai, Cécile arrivait au bout du couloir.
Agnès profita d’un moment où elle était seule avec Cécile et lui demanda :
- " Mais où étais-tu passée ? La surveillante a failli te pincer…". Cécile eut un
sourire à l’adresse d’Agnès et lui répondit s’un ton chargé de sous entendus :
- " Devine !... " Agnès comprenait tout à fait ce qu’elle ne faisait jusqu’alors que
supposer…
-" Non, dit-elle, tu étais aux toilettes et tu…"
-" Oui, ma vieille, la coupa Cécile, je me "faisait un doigt", justement !... Non,
mais tu as vu comment il est monté le mec ?!... L’engin qu’il a le salaud !... Et il
ne peut s’empêcher de bander comme un taureau… Ou alors, il le fait exprès !... "
- "Oui, ça j’ai vu !... Tu parles !... J’en étais toute retournée !... Et tu crois
qu’il le faisait exprès ?... ", dit Agnès.
- "J’en sais rien, répliqua Cécile, en tous cas je ne pouvais plus tenir !... Putain
la bite !! Enorme elle est !… Et moi qui la tenais, je peux te dire l’effet produit
!... D’ailleurs c’est simple, j’en pouvais plus !... Une minute de plus et le mec je
le branlais à fond… Et je vais te dire, il n’aurait sans doute pas fallu l’asticoter
beaucoup pour qu’il envoie sa purée… Putain de dieu …! J’en ai le con encore tout
mouillé… Tu aurais vu ce que j’ai mouillé !? … Surtout qu’il y a longtemps que je n’ai
pas baisé !! Et de plus, avec un engin comme ça !… Tu aurais fait le moindre signe,
on se le faisait le gars… Tu sais, il ne demandait que ça !..."
- " Oui, dit Agnès, moi aussi j’en avais envie !... Tu sais, j’ai mouillé énormément
aussi, hein !... D’accord pour se le faire, mais si la surveillante était arrivée là-
dessus, on était bonne pour le conseil de discipline !... Tu sais, c’est pas des trucs
à faire ce genre de choses… Ca ne pardonnerait pas !... "
- " T’as toujours peur de tout toi !..., repris Cécile, qui ajouta en riant, mais si
la surveillante était entrée, on l’aurait invitée !... Et après un petit temps elle
continua : N’empêche, je me le ferais bien moi le type !... Oh lala, le passage aux
chiottes ne m’a pas suffit, hein, il va me falloir plus… Puis baisant le ton : là
maintenant à cette heure présente, j’ai tellement envie de baiser que je suis prête à
me faire mettre par n’importe qui ! "
- " Et moi, alors qu’est-ce que tu crois ?!... Je suis dans le même état que toi,
évidemment !... Moi aussi je suis prête à m’envoyer l’air !... Mais toute seule, cela
ne me dit pas trop…"
L’événement fut clos pour la journée. Et rentrée dans son studio, Agnès ne manqua pas
se faire plaisir avec ses godes, beaucoup plus longuement que d’habitude…
Le lendemain, ce fut le tour de Cécile de faire les soins et à Agnès de tenir la bite.
Agnès avait pris un slip un peu plus grand que celui de la veille et elle avait pris
soin de se garnir d’une serviette périodique absorbante. Sage précaution parce dès
qu’elle eut pris le chibre dans sa main droite gantée pour la soulever, elle sentit
qu’elle commençait à décharger. Le gars ne tarda pas à grossir du côté de son engin.
Tout doucement, il atteignait des dimensions vertigineuses. Agnès remarqua alors que
Cécile tout en nettoyant les plaies et faisant les soins attendus, caressait
subrepticement le bas des couilles du type, juste en dessous de la main gantée d’Agnès
qui les soutenait. Evidemment le jeune homme bandait de plus belle.
Pour faire les soins Cécile devait se tenir debout très près du lit, juste au-dessus
des plaies du patient, la tête à quelques centimètres de l’intérieur des cuisses du
jeune homme, tout près de la bite qui maintenant bandait pratiquement à fond… Agnès
remarqua alors un curieux manège : le type avait passé sa main droite sous la jupe de
Cécile (à cette époque, les infirmières portaient un uniforme avec une jupe et une
blouse) et sans doute il devait lui peloter les fesses. Cela était si discrètement
fait que si quelqu’un était entré, il n’aurait rien pu voir de la situation, la porte
de la chambre étant à l’opposé de Cécile. Agnès voyait nettement les mouvements du
bras droit du mec qui allait et venait doucement. De façon synchrone, Cécile
effectuait de légers mouvements du bassin et de temps à autres fléchissait sur ses
jambes. Agnès compris vite que le jeune homme avait mis sa main dans la fente de jeune
brune et que celle-ci aidait aux mouvements qui la branlaient en écartant doucement
les cuisses par le fléchissement de ses jambes… La situation était torride et Agnès
sentait qu’elle déchargeait encore et que ses mains serraient maintenant plus fort la
hampe dressée du vit du garçon… Elle eut une forte envie de le sucer, mais elle
réussit à contenir son envie.
La jupe plutôt courte de Cécile, qui était de plus en plus remontée, laissait voir par
moment les doigts du type qui étaient dans la chatte de la belle infirmière. Agnès à
une ou deux reprises pu voir qu’en réalité, Cécile avait pris un slip fendu en son
milieu, slip qui laissait ainsi le libre accès direct à la moule. La garce, pensa
Agnès, elle a bien préparé son coup la salope, elle avait mis ça dès ce matin, sachant
que c’était à elle d’être debout près du mec. Celui-ci s’activait avec adresse dans
la fente de Cécile, qui avait arrêté de prodiguer les soins aux brûlures. Elle était
tendue au-dessus du lit, les reins creusés, les jambes écartées. Elle avait passé une
main dans son soutien-gorge et se caressait doucement la pointe d’un sein. Bientôt,
elle avança une chaise à côté d’elle et y mit son pied gauche, de sorte qu’ainsi elle
avait la moule ouverte face à l’homme qui la branlait tout à son aise… La jupe
maintenant complètement remontée laissait voir tout le travail du jeune gars au con de
Cécile. Agnès malgré son excitation et le déferlement de cyprine au fond de son slip,
fut brusquement prise d’une grande crainte.
- " Cécile, dit-elle doucement, d’une voix où perçait la peur… Et si quelqu’un
entrait… Nous serions perdues !... Cécile, penses-y !!... " Cécile la regarda durement
de ses yeux pleins de jouissance et elle dit à l’adresse d’Agnès d’une voix
entrecoupée de halètements :
- " Branle-le Agnès… Branle-le !... Vas-y, chérie, branle-le où je me baise sur sa
bite ! " Agnès eut un temps bref de réflexion. Elle alla à la porte et mis prestement
le verrou avant de revenir prendre en main le braquemart qui n’était pas retombé. De
la main gauche elle baissa sa culotte à mi-cuisses, puis s’empoigna la chagatte
qu’elle commença à malmener tout en branlant de l’autre main, le vit énorme du type.
Elle faisait allait et venir sa main serrant ferme la hampe. Elle s’était mis un doigt
dans le trou de son jeune con et le gars la regardait se branler. Lui, de sa main
gauche, lui tenait la jupe relevée pour bien voir comment elle s’astiquait la
craquette. Agnès sentait que maintenant toute sa main dans sa culotte ruisselait de sa
mouille chaude et onctueuse. Elle eut envie de venir s’empaler sur le membre tendu
qu’elle branlait à grands coups de poignet… La bite énorme et bien bandée devrait
glisser superbement dans sa fente tant celle-ci ruisselait, pensa-t-elle… Elle
entendait Cécile gémir doucement sous les doigts que le garçon lui avait enfoncés dans
le con, la branlant à grands va-et-vient de sa main droite.
Agnès vit nettement le moment où Cécile déchargea abondamment sa cyprine brûlante sur
l’avant bras de son branleur. La décharge de la brune détermina celle du mec. Le
foutre chaud partit en un énorme jet à une hauteur formidable, avant de retomber en
une gerbe éparse sur le lit, les jambes, le ventre, le torse du gars, et le bras
d’Agnès. Ce jet fut suivi de deux puis de trois autres, tout aussi intenses, mais dont
la hauteur s’amenuisait chaque fois… Bientôt le sperme blanchâtre s’écoulait de la
papille au sommet du gland et venait engluer la main gantée d’Agnès. Elle aussi
déchargea inondant de façon définitive sa culotte et sa protection, tandis qu’elle
s’affaissait sur le bord du lit…
Elle eut une forte envie de prendre en bouche le braquemart qu’elle sentait s’amollir
dans sa main et de le sucer pour lui pomper le reste de foutre. Agnès raffolait du
sperme chaud des hommes. Elle adorait sucer les bites et elle ne manquait jamais une
occasion de les faire décharger dans sa bouche. - On retrouvera cette gourmandise dans
plusieurs récits – Elle réussit à se retenir et tandis qu’elle rajustait son slip de
sa main gauche, elle porta à sa bouche et à son nez sa main droite et son gant d’où le
sperme dégoulinait. L’odeur forte et âcre du sperme chaud la fit défaillir. Se
tournant légèrement vers le fond de la chambre, elle lécha furtivement le foutre
poisseux sur son gant de deux ou trois coups de langue rapides. Le goût si particulier
de la décharge dont elle raffolait tant, se rappela à son souvenir et lui fit chavirer
les sens. Elle sentit qu’elle tirait une nouvelle bordée de cyprine dans sa culotte
déjà outrageusement mouillée.
A regret elle déchaussa son gant qu’elle mit dans la poubelle. Elle sentait sa moule
complètement ouverte et avide de bites de fort calibre, comme elle en avait connu à la
fin de ses études dans les soirées avec les internes… Il lui semblait qu’il y avait si
longtemps déjà !... A cet instant elle se serait fourrée n’importe quoi dans le con
pourvu qu’elle se sente remplie… Elle avait hâte de sortir d’ici maintenant, pour
aller le plus vite possible dans les toilettes avec un flacon de n’importe quoi,
qu’elle allait enfin se mettre dedans… Oh oui, alors !... C’est ça, qu’il lui fallait
maintenant !
Elle prit conscience que de l’autre côté du lit Cécile avait commencé à ranger les
ustensiles de soins. Elle s’était rajustée et adressait à Agnès des coups d’œil
complices. Le garçon avait la bite amollie sur le ventre ; elle était toujours énorme
bien que devenue flasque. Il regardait les filles avec un sourire satisfait. Il était
comblé et soulagé. Les deux infirmières d’un commun accord du regard, avaient pris
chacune une compresse avec du sérum physiologique, qu’elles passaient chacune de leur
côté, sur les jambes, le corps, le ventre et le torse du type. Elles enlevaient ainsi
les gouttelettes de sperme qui s’étaient éparpillées ça et là un peu partout sur la
peau du garçon et sur le lit.
Alors qu’elles allaient sortir, le gars leur demanda un baiser, juste un petit baiser
pour les remercier de leurs "soins". Ce fut Cécile qui y alla la première, Agnès
tenant la poignée de la porte au cas où… Cécile se pencha au-dessus du lit du côté
opposé à celui où elle s’était tenue lors des soins. Agnès ne vit pas Cécile embrasser
le mec, mais elle aperçut nettement qu’il lui remettait une dernière fois la main à la
chatte un court instant. Elle vit Cécile fléchir légèrement les genoux ; les doigts du
mec devaient de nouveau lui entrer dans la fente…
Après quelques instants, elle se releva et vint à la porte prendre la place d’Agnès
qui alla vers le lit. Elle se pencha à son tour sur le visage de l’homme et lui roula
un patin fort intense et profond. Elle sentit qu’il empoignait son entrejambes. Il
contourna le bord du slip et lui insinua un doigt dans la fente. Il ne put s’aventurer
davantage, la protection périodique imbibée de mouille faisant obstacle. Rapidement,
elle lança sa main gauche sous le drap et se saisit de la bite encore turgescente,
même si elle ne bandait plus et la prenant à pleine main, elle vint déposer un baiser
furtif sur le bout du gland, retrouvant un temps bref, l’odeur du mâle mêlée à celui
du foutre. De nouveau elle sentit ses sens chavirer… Mais elle se ressaisit très vite
et rejoignit rapidement Cécile à la porte. En hâte, elle sortit la première sans se
retourner. Alors qu’elle filait vers les toilettes, Cécile, rouge et le souffle court
l’interpella :
- " Tu vois que l’on a bien fait !... Oh putain, ce mec !… Quelle bite ma douée !...
Tu sais, il part dans 3 jours, il faut absolument que l’on prenne un service de nuit
d’ici là… Et là, c’est sûr, on va s’arranger pour qu’il nous baise… On sait maintenant
qu’il ne demandera pas mieux !... Oh oui, oui… Il nous faut ça maintenant chérie,
hein… Tu serais d’accord ? "
- " Et comment, lui répondit Agnès encore sous le choc de l’épisode. Il nous faut AU
MOINS ça !... "
Ce qui fut dit, fut fait.
Mais ceci, est une autre histoire…
Ses études d’infirmière terminées, Agnès avait été affectée aux services des
soins aux accidentés à l’Hôpital Sainte-Anne à Paris. Un des très gros hôpitaux de la
capitale, où il fallait faire face à de très nombreux malades souvent jeunes et
parfois dans un état grave avec d’importantes blessures. La journée (et la nuit !) de
ces jeunes infirmières se passaient à courir d’un côté et de l’autre sans le moindre
répit. Et quand il pouvait y avoir à quelques moments de décompression, ils étaient
les bienvenus…
Un jour Agnès eut a donné des soins à un jeune homme d’environ 25 - 26 ans. Le
garçon, suite à un accident où sa moto avait pris feu entre ses jambes, avait celles-
ci gravement brûlées et en particulier l’intérieur des cuisses avec deux plaies
ouvertes jusqu’au périnée. Pour lui prodiguer les soins, il fallait bien évidemment
lui faire écarter le plus possible les jambes, et lui soutenir le sexe et les parties
pour accéder aux endroits atteints.
Il va de soi que ces soins sont très délicats compte tenu de la situation et la
technicité requise pour panser ces brûlures. Aussi la surveillante, chef du service
des soins avait-elle demandé à ce qu’il y ait toujours deux infirmières pour soigner
ce patient.
Agnès faisait souvent équipe avec Cécile, une jeune infirmière de son âge, jolie brune
bien faite et plutôt avenante. Il fallait deux séances de soins par jour, matin et
soir. Chaque séance était fort longue, durant laquelle, l’une ou l’autre devait
prendre en main la verge du garçon et lui soutenir, ainsi que les testicules pour que
l’autre puisse prodiguer les soins… Il faut dire que le gars était hyper bien membré.
Une verge qui au repos faisait déjà plus de 15 cm de long pour un diamètre de plus 5 !
Et mettons-nous à la place de ces jeunes filles : tenir ainsi un membre en main
pendant plus de 20 à 30 minutes, cela ne peut laisser indifférent, même si on est très
professionnelle et si on est là pour soigner… Justement pour soigner et donc pour
s’occuper de l’autre !...
Et puis le gars en question, malgré ses brûlures et la douleur vive, d’être ainsi pris
en main avec douceur l’amenait invariablement à bander. D’abord un peu, puis de plus
en plus au fil de la séance. Souvent, alors qu’elle s’activait, le nez à quelques
centimètres des plaies, Agnès regardait à la dérobée le beau membre qui se dressait
juste à côté de son visage. Elle sentait sa jeune fente la démanger et la picoter dans
son string. Si elle avait eu une main de libre, elle se serait volontiers caressée ! A
plusieurs reprises le gars surprit son regard et elle rougit sans pouvoir contrôler ce
fait, jusqu’à la racine des cheveux. La brune Cécile, elle aussi, matait du coin de
l’œil la verge qui lui grossissait dans la main. Elle aussi avait une forte
démangeaison de son entrejambes. Elle serrait ses cuisses l’une contre l’autre et
insensiblement effectuait un mouvement imperceptible de l’extérieur, mais qui lui
branlait le haut de la fente, le clitoris et les petites lèvres.
Elles n’en étaient pas encore à la moitié de la séance de soins que le jeune gars
bandait à fond. La menotte gantée de Cécile était plus que largement débordée par le
membre. Sa main n’en faisait plus le tour et la bite décalottait déjà à fond…
D’autant que de l’autre main mise en creux, elle soutenait les couilles chaudes du
jeune type…
Tout en restant attentive aux soins qu’elle donnait au garçon, Agnès sentait sa petite
moule se mouiller, tant cette bite superbe lui faisait de l’effet… Elle se disait
qu’il y avait longtemps qu’elle n’avait pas eu un engin comme ça entre ses jambes et
dans sa fente… D’ailleurs en avait-elle déjà vu d’aussi gros et d’aussi longs… Et
disons le mot : d’aussi jolis ! Depuis qu’elle était entrée dans ce service, donc
depuis maintenant 5 mois, c’était le désert sexuel… Certes sa dernière année
d’infirmière, "son internat" comme on l’appelait avait été bien occupé de ce côté-là,
et les internes ne l’avaient pas laissée chômer !... Mais depuis ?...
Et un si beau membre qui reste inutilisé se disait-elle en revenant au présent de ses
soins… Non, c’est sûr, elle ne s’était jamais fait baisée par un aussi beau braquemart
!... Tout en effectuant les pansements, elle n’arrêtait pas d’imaginer ce membre entre
ses lèvres de sa bouche et sa langue aller et venir sur l’énorme gland… Elle avait
beau se concentrer sur son travail, sans cesse cette image du vit dans sa bouche
revenait à son esprit… Quand ce n’était pas l’image de la bite directement dans son
trou de femme !… "Arrête de penser comme une salope ! " se disait-elle pour stopper le
dévergondage de son esprit… Mais rien à faire. Plus elle se l’interdisait et plus elle
sentait que son désir augmentait et que sa fente se mouillait de ses idées trop
précises… Elle serrait les jambes pour contenir son envie de se passer la main entre
les cuisses.
Elle jeta un regard rapide vers Cécile. Celle-ci était cramoisie, rouge jusqu’à la
racine des cheveux. Elle se tenait raide le long du lit essayant de fixer son
attention sur le travail d’Agnès, pour ne pas regarder le vit magnifique qu’elle
tenait en main… En réalité, ce soutien était complètement inutile, tant le pieu tenait
tout seul. D’ailleurs dès qu’Agnès eut terminé les soins et n’avait plus que les
affaires à ranger sur le chariot, Cécile demanda précipitamment :
- " Agnès, je vois que tu as terminé, tu veux bien que je te laisse ranger ?
La séance a duré particulièrement longtemps, je vais voir si on a besoin au P.C. ".
Elle n’attendit pas la réponse et s’éclipsa rapidement sans un regard vers le patient
qui restait dans sa position tendue.
Agnès fut surprise de la réaction de Cécile. Ce brusque départ était en effet
inhabituel, la consigne étant de rester à deux pour effectuer la totalité des soins,
rangement compris. Mais elle n’y prêta pas davantage attention et rangea avec soin
tout le matériel. Cela lui prit quelques minutes et elle s’appliquait à tourner le dos
au jeune homme. Elle se disait que si elle se retournait vers lui, elle ne répondrait
plus de rien : maintenant qu’elle était seule avec le type, elle n’avait plus qu’une
envie : empoigner la bite si tentante et l’enfourner pour la sucer à fond et qui sait
peut-être même la chevaucher !
A la fin du rangement, il fallu pourtant aller remettre le drap sur le corps du
garçon. Pour les soins, le drap avait été replié tout à fait au pied du lit pour qu’il
ne gêne pas le travail des infirmières. Lorsqu’elle ramena le drap sur le corps
superbe du patient, elle sentait qu’elle était rouge comme une pivoine et la vue de
nouveau du vit tendu à l’extrême et pointant vers le plafond la troubla si
profondément qu’elle sentit ses jambes fléchir et se dérober sous elle. Elle dû
s’appuyer sur le bord du lit. Le type lui sauva la mise car il avança le bras et pris
le drap qu’elle avait en main en disant :
-" Laissez !... Je vais le remettre… Heureusement mes bras sont valides ! " Dérobant
ainsi à la vue d’Agnès l’objet de sa convoitise…
Elle sortit de la chambre, les jambes encore flageolantes. Elle sentait son
entrejambes inondé par sa cyprine. Sans doute d’ailleurs, se disait elle, sa mouille
avait du déborder son mini string, car même l’intérieur de ses cuisses étaient
mouillées. Elle alla au P.C. ranger le chariot des soins. La surveillante lui demanda
si la séance s’était bien passé et où était Cécile. Cela ne manqua pas de surprendre
Agnès qui croyait que Cécile était passée au P.C. Elle comprit soudain et dit pour
couvrir sa jeune collègue :
- " Elle arrive, madame. "
D’ailleurs c’était vrai, Cécile arrivait au bout du couloir.
Agnès profita d’un moment où elle était seule avec Cécile et lui demanda :
- " Mais où étais-tu passée ? La surveillante a failli te pincer…". Cécile eut un
sourire à l’adresse d’Agnès et lui répondit s’un ton chargé de sous entendus :
- " Devine !... " Agnès comprenait tout à fait ce qu’elle ne faisait jusqu’alors que
supposer…
-" Non, dit-elle, tu étais aux toilettes et tu…"
-" Oui, ma vieille, la coupa Cécile, je me "faisait un doigt", justement !... Non,
mais tu as vu comment il est monté le mec ?!... L’engin qu’il a le salaud !... Et il
ne peut s’empêcher de bander comme un taureau… Ou alors, il le fait exprès !... "
- "Oui, ça j’ai vu !... Tu parles !... J’en étais toute retournée !... Et tu crois
qu’il le faisait exprès ?... ", dit Agnès.
- "J’en sais rien, répliqua Cécile, en tous cas je ne pouvais plus tenir !... Putain
la bite !! Enorme elle est !… Et moi qui la tenais, je peux te dire l’effet produit
!... D’ailleurs c’est simple, j’en pouvais plus !... Une minute de plus et le mec je
le branlais à fond… Et je vais te dire, il n’aurait sans doute pas fallu l’asticoter
beaucoup pour qu’il envoie sa purée… Putain de dieu …! J’en ai le con encore tout
mouillé… Tu aurais vu ce que j’ai mouillé !? … Surtout qu’il y a longtemps que je n’ai
pas baisé !! Et de plus, avec un engin comme ça !… Tu aurais fait le moindre signe,
on se le faisait le gars… Tu sais, il ne demandait que ça !..."
- " Oui, dit Agnès, moi aussi j’en avais envie !... Tu sais, j’ai mouillé énormément
aussi, hein !... D’accord pour se le faire, mais si la surveillante était arrivée là-
dessus, on était bonne pour le conseil de discipline !... Tu sais, c’est pas des trucs
à faire ce genre de choses… Ca ne pardonnerait pas !... "
- " T’as toujours peur de tout toi !..., repris Cécile, qui ajouta en riant, mais si
la surveillante était entrée, on l’aurait invitée !... Et après un petit temps elle
continua : N’empêche, je me le ferais bien moi le type !... Oh lala, le passage aux
chiottes ne m’a pas suffit, hein, il va me falloir plus… Puis baisant le ton : là
maintenant à cette heure présente, j’ai tellement envie de baiser que je suis prête à
me faire mettre par n’importe qui ! "
- " Et moi, alors qu’est-ce que tu crois ?!... Je suis dans le même état que toi,
évidemment !... Moi aussi je suis prête à m’envoyer l’air !... Mais toute seule, cela
ne me dit pas trop…"
L’événement fut clos pour la journée. Et rentrée dans son studio, Agnès ne manqua pas
se faire plaisir avec ses godes, beaucoup plus longuement que d’habitude…
Le lendemain, ce fut le tour de Cécile de faire les soins et à Agnès de tenir la bite.
Agnès avait pris un slip un peu plus grand que celui de la veille et elle avait pris
soin de se garnir d’une serviette périodique absorbante. Sage précaution parce dès
qu’elle eut pris le chibre dans sa main droite gantée pour la soulever, elle sentit
qu’elle commençait à décharger. Le gars ne tarda pas à grossir du côté de son engin.
Tout doucement, il atteignait des dimensions vertigineuses. Agnès remarqua alors que
Cécile tout en nettoyant les plaies et faisant les soins attendus, caressait
subrepticement le bas des couilles du type, juste en dessous de la main gantée d’Agnès
qui les soutenait. Evidemment le jeune homme bandait de plus belle.
Pour faire les soins Cécile devait se tenir debout très près du lit, juste au-dessus
des plaies du patient, la tête à quelques centimètres de l’intérieur des cuisses du
jeune homme, tout près de la bite qui maintenant bandait pratiquement à fond… Agnès
remarqua alors un curieux manège : le type avait passé sa main droite sous la jupe de
Cécile (à cette époque, les infirmières portaient un uniforme avec une jupe et une
blouse) et sans doute il devait lui peloter les fesses. Cela était si discrètement
fait que si quelqu’un était entré, il n’aurait rien pu voir de la situation, la porte
de la chambre étant à l’opposé de Cécile. Agnès voyait nettement les mouvements du
bras droit du mec qui allait et venait doucement. De façon synchrone, Cécile
effectuait de légers mouvements du bassin et de temps à autres fléchissait sur ses
jambes. Agnès compris vite que le jeune homme avait mis sa main dans la fente de jeune
brune et que celle-ci aidait aux mouvements qui la branlaient en écartant doucement
les cuisses par le fléchissement de ses jambes… La situation était torride et Agnès
sentait qu’elle déchargeait encore et que ses mains serraient maintenant plus fort la
hampe dressée du vit du garçon… Elle eut une forte envie de le sucer, mais elle
réussit à contenir son envie.
La jupe plutôt courte de Cécile, qui était de plus en plus remontée, laissait voir par
moment les doigts du type qui étaient dans la chatte de la belle infirmière. Agnès à
une ou deux reprises pu voir qu’en réalité, Cécile avait pris un slip fendu en son
milieu, slip qui laissait ainsi le libre accès direct à la moule. La garce, pensa
Agnès, elle a bien préparé son coup la salope, elle avait mis ça dès ce matin, sachant
que c’était à elle d’être debout près du mec. Celui-ci s’activait avec adresse dans
la fente de Cécile, qui avait arrêté de prodiguer les soins aux brûlures. Elle était
tendue au-dessus du lit, les reins creusés, les jambes écartées. Elle avait passé une
main dans son soutien-gorge et se caressait doucement la pointe d’un sein. Bientôt,
elle avança une chaise à côté d’elle et y mit son pied gauche, de sorte qu’ainsi elle
avait la moule ouverte face à l’homme qui la branlait tout à son aise… La jupe
maintenant complètement remontée laissait voir tout le travail du jeune gars au con de
Cécile. Agnès malgré son excitation et le déferlement de cyprine au fond de son slip,
fut brusquement prise d’une grande crainte.
- " Cécile, dit-elle doucement, d’une voix où perçait la peur… Et si quelqu’un
entrait… Nous serions perdues !... Cécile, penses-y !!... " Cécile la regarda durement
de ses yeux pleins de jouissance et elle dit à l’adresse d’Agnès d’une voix
entrecoupée de halètements :
- " Branle-le Agnès… Branle-le !... Vas-y, chérie, branle-le où je me baise sur sa
bite ! " Agnès eut un temps bref de réflexion. Elle alla à la porte et mis prestement
le verrou avant de revenir prendre en main le braquemart qui n’était pas retombé. De
la main gauche elle baissa sa culotte à mi-cuisses, puis s’empoigna la chagatte
qu’elle commença à malmener tout en branlant de l’autre main, le vit énorme du type.
Elle faisait allait et venir sa main serrant ferme la hampe. Elle s’était mis un doigt
dans le trou de son jeune con et le gars la regardait se branler. Lui, de sa main
gauche, lui tenait la jupe relevée pour bien voir comment elle s’astiquait la
craquette. Agnès sentait que maintenant toute sa main dans sa culotte ruisselait de sa
mouille chaude et onctueuse. Elle eut envie de venir s’empaler sur le membre tendu
qu’elle branlait à grands coups de poignet… La bite énorme et bien bandée devrait
glisser superbement dans sa fente tant celle-ci ruisselait, pensa-t-elle… Elle
entendait Cécile gémir doucement sous les doigts que le garçon lui avait enfoncés dans
le con, la branlant à grands va-et-vient de sa main droite.
Agnès vit nettement le moment où Cécile déchargea abondamment sa cyprine brûlante sur
l’avant bras de son branleur. La décharge de la brune détermina celle du mec. Le
foutre chaud partit en un énorme jet à une hauteur formidable, avant de retomber en
une gerbe éparse sur le lit, les jambes, le ventre, le torse du gars, et le bras
d’Agnès. Ce jet fut suivi de deux puis de trois autres, tout aussi intenses, mais dont
la hauteur s’amenuisait chaque fois… Bientôt le sperme blanchâtre s’écoulait de la
papille au sommet du gland et venait engluer la main gantée d’Agnès. Elle aussi
déchargea inondant de façon définitive sa culotte et sa protection, tandis qu’elle
s’affaissait sur le bord du lit…
Elle eut une forte envie de prendre en bouche le braquemart qu’elle sentait s’amollir
dans sa main et de le sucer pour lui pomper le reste de foutre. Agnès raffolait du
sperme chaud des hommes. Elle adorait sucer les bites et elle ne manquait jamais une
occasion de les faire décharger dans sa bouche. - On retrouvera cette gourmandise dans
plusieurs récits – Elle réussit à se retenir et tandis qu’elle rajustait son slip de
sa main gauche, elle porta à sa bouche et à son nez sa main droite et son gant d’où le
sperme dégoulinait. L’odeur forte et âcre du sperme chaud la fit défaillir. Se
tournant légèrement vers le fond de la chambre, elle lécha furtivement le foutre
poisseux sur son gant de deux ou trois coups de langue rapides. Le goût si particulier
de la décharge dont elle raffolait tant, se rappela à son souvenir et lui fit chavirer
les sens. Elle sentit qu’elle tirait une nouvelle bordée de cyprine dans sa culotte
déjà outrageusement mouillée.
A regret elle déchaussa son gant qu’elle mit dans la poubelle. Elle sentait sa moule
complètement ouverte et avide de bites de fort calibre, comme elle en avait connu à la
fin de ses études dans les soirées avec les internes… Il lui semblait qu’il y avait si
longtemps déjà !... A cet instant elle se serait fourrée n’importe quoi dans le con
pourvu qu’elle se sente remplie… Elle avait hâte de sortir d’ici maintenant, pour
aller le plus vite possible dans les toilettes avec un flacon de n’importe quoi,
qu’elle allait enfin se mettre dedans… Oh oui, alors !... C’est ça, qu’il lui fallait
maintenant !
Elle prit conscience que de l’autre côté du lit Cécile avait commencé à ranger les
ustensiles de soins. Elle s’était rajustée et adressait à Agnès des coups d’œil
complices. Le garçon avait la bite amollie sur le ventre ; elle était toujours énorme
bien que devenue flasque. Il regardait les filles avec un sourire satisfait. Il était
comblé et soulagé. Les deux infirmières d’un commun accord du regard, avaient pris
chacune une compresse avec du sérum physiologique, qu’elles passaient chacune de leur
côté, sur les jambes, le corps, le ventre et le torse du type. Elles enlevaient ainsi
les gouttelettes de sperme qui s’étaient éparpillées ça et là un peu partout sur la
peau du garçon et sur le lit.
Alors qu’elles allaient sortir, le gars leur demanda un baiser, juste un petit baiser
pour les remercier de leurs "soins". Ce fut Cécile qui y alla la première, Agnès
tenant la poignée de la porte au cas où… Cécile se pencha au-dessus du lit du côté
opposé à celui où elle s’était tenue lors des soins. Agnès ne vit pas Cécile embrasser
le mec, mais elle aperçut nettement qu’il lui remettait une dernière fois la main à la
chatte un court instant. Elle vit Cécile fléchir légèrement les genoux ; les doigts du
mec devaient de nouveau lui entrer dans la fente…
Après quelques instants, elle se releva et vint à la porte prendre la place d’Agnès
qui alla vers le lit. Elle se pencha à son tour sur le visage de l’homme et lui roula
un patin fort intense et profond. Elle sentit qu’il empoignait son entrejambes. Il
contourna le bord du slip et lui insinua un doigt dans la fente. Il ne put s’aventurer
davantage, la protection périodique imbibée de mouille faisant obstacle. Rapidement,
elle lança sa main gauche sous le drap et se saisit de la bite encore turgescente,
même si elle ne bandait plus et la prenant à pleine main, elle vint déposer un baiser
furtif sur le bout du gland, retrouvant un temps bref, l’odeur du mâle mêlée à celui
du foutre. De nouveau elle sentit ses sens chavirer… Mais elle se ressaisit très vite
et rejoignit rapidement Cécile à la porte. En hâte, elle sortit la première sans se
retourner. Alors qu’elle filait vers les toilettes, Cécile, rouge et le souffle court
l’interpella :
- " Tu vois que l’on a bien fait !... Oh putain, ce mec !… Quelle bite ma douée !...
Tu sais, il part dans 3 jours, il faut absolument que l’on prenne un service de nuit
d’ici là… Et là, c’est sûr, on va s’arranger pour qu’il nous baise… On sait maintenant
qu’il ne demandera pas mieux !... Oh oui, oui… Il nous faut ça maintenant chérie,
hein… Tu serais d’accord ? "
- " Et comment, lui répondit Agnès encore sous le choc de l’épisode. Il nous faut AU
MOINS ça !... "
Ce qui fut dit, fut fait.
Mais ceci, est une autre histoire…
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Trés bien écrit,fort agréable a lire,une suite sera plaisante sans doutes aucuns!
La suite!!! Très belle histoire
Bien long pour peu de choses sortant de l'ordinaire