Titre de l'histoire érotique : L'ascenseur - histoire érotique

Depuis mes 18 ans je n'ai pas cessée de renouveler les expériences sexuelles très diverses, c'est un besoin que je ne peux pas refréner, en voilà encore un exemple.

Un grand centre commercial s'est ouvert il y a quelques mois dans ma ville à côté de la gare SNCF, pas loin de mon lieu de résidence.
Il y a beaucoup de magasins sur deux étages et je m'y promène souvent.
Je prends beaucoup de plaisir à passer de l'un à l'autre et d'essayer des vêtements la plupart du temps sans acheter.
Beaucoup ont du personnel exclusivement féminin.
Ce n'est que lorsque je dois faire un cadeau à mon mari que je m'intéresse à ceux qui vendent des vêtements masculins. Je prends mon temps et en visite beaucoup cherchant à me faire remarquer par les vendeurs et accaparer leur attention ce qui n'est pas difficile pour la salope que je suis.

Dans un magasin d'articles pour hommes un vendeur avec beaucoup de patience me conseille et je suis très indécise, je reviens plusieurs fois voir les mêmes choses à plusieurs jours d'intervalle.
L'homme est assez grand, brun et mignon et je ne dirais pas non pour une petite aventure.
La même personne se précipite à chaque fois et semble plus attirée par moi que par une vente. Comme la bonne salope que je suis je décide d'en profiter.
Pour commencer je joue les allumeuses: je me baisse pour regarder longuement les articles placés les plus bas sur les étagères et évidement quand je suis courbée ma jupe courte ne dissimule pas mon string et mes fesses et je me penche en avant pour voir les articles posées sur les tables centrales et avec mon maillot à bretelles mes seins sont apparents, je fais semblant de ne m'apercevoir de rien lui laissant largement le temps de s'user les yeux et de fantasmer.
Le vendeur troublé ne peut détacher son regard du spectacle que je lui offre.
<<je suis vraiment intéressée par ce pull et cette chemise mais c'est trop cher pour mon budget>>.
Je ne suis pas à un mensonge près moi qui as déjà réglé des achats en écartant les cuisses.
<<c'est dommage, je n'ai pas de solution à vous proposer mais vous pouvez choisir d'autres articles>>.
<<non mon choix est définitif>>.
lors de ma troisième visite je viens habillée très sexy, à son regard il n'est pas indifférent à mon charme, j'avance mes pions.
Ce n'est pas la remise qu'il peut me faire qui m'intéresse mais l'homme.
<<je sais que vous avez des solutions pour faire baisser la facture: une remise à certains clients est possible ou bien vous faites comme-ci vous achetiez vous même les articles et me faites profiter de l'avantage que vous avez automatiquement en travaillant pour cette enseigne>>.
<<je ne peux pas faire ça, vous me demandez l'impossible>>.
<<si je vous donne une compensation>>.
<<je ne comprends pas>>.
<<je pense que vous me comprenez très bien mais peut être que je suis trop laide et que je ne vous plais pas>>.
Il ne sait plus ou il en est ni quelle attitude adopter.
<<non vous êtes très belle mais je n'ai pas l'habitude de ce genre de situation>>.
<<réfléchissez je reviens demain matin à l'ouverture>>.
<<cela va être difficile, dans la journée je ne peux pas m'absenter et mon épouse est vendeuse dans un magasin à l'étage avec les mêmes horaires que moi>>.
<<le centre commercial est vaste, il y a d'autres solutions, je pense qu'avec un peu d'imagination vous allez trouver comment faire pour que nous passions un bon moment ensemble>>.

Le lendemain je suis ponctuelle et quand Daniel le vendeur me voit arriver il sort du magasin et me demande d'aller l'attendre devant une porte de service.
Heureusement qu'il m'a bien décrit les lieux car il faut emprunter des couloirs et je me serais perdue.
Quelques minutes plus tard il arrive poussant un chariot rempli de cartons vides qu'il a aplatis.
Nous atteignons un ascenseur, il pénètre à l'intérieur et je le suis, il y a de l'espace car il sert pour les livraisons qui arrivent souvent par palettes.
Arrivés à destination il actionne un interrupteur sur le tableau de commandes et l'ascenseur s'immobilise.

Excité il me plaque contre une paroi et m'embrasse, nos langues s'activent dans des baisers qui durent.
Je sens contre mon ventre son sexe bien gonflé et qui me semble avoir de bonnes dimensions, je le caresse par dessus son pantalon.
Tout en m'embrassant il se montre impatient une de ses mains se glisse dans mon maillot, soulève mon soutien-gorge et caresse mes seins.
<<ils te plaisent, tu veux les voir>>.
<<si tu veux>>.
je retire mon maillot, il les regarde et les malaxe.
Sa bouche lèche et embrasse ma poitrine, suce les tétons comme s'il tétait pendant que sa main à soulevée ma jupe et s'est glissée dans mon string, il caresse mon sexe.
J'ai déboutonné son pantalon et descendu le zip, le vêtement git maintenant à ses pieds acompagné de son caleçon.
Je triture et caresse sa grosse queue bien érigée.
Il dégrafe ma jupe qui tombe au sol, je l'aide pour que mon string la rejoigne.
Nous posons nos babits devenus inutiles sur les cartons.
Daniel regarde mon corps pendant un moment.
<<ça te conviens, tu n'es pas déçu>>.
<<tu as un beau corps et de beaux seins>>.
Accroupie j'embrasse et lèche son gros pénis pendant qu'il caresse mes cheveux une main posée sur une de mes épaules, son corps frémit.
Il sursaute quand je prends sa queue dans ma bouche et que je la fais pénétrer jusqu'au fond de ma gorge mais pas entièrement car elle est trop longue.
Je suce avec application malgré qu'avec ses dimensions sa verge écartèle ma machoire.
Son corps bouge pendant que je lui fais une fellation, il me paraît très sensible.
Ma bouche fait des aller-retour rapides sur sa queue et ne tarde pas à déclencher sa jouissance. Elle augmente encore de volume et avec des soubresauts importants éjacule au fond de ma gorge pendant que les mains de Daniel broient mes épaules. j'avale une bonne quantité de sperme.
Je me relève, il me plaque jambes écartées contre la paroi de l'ascenseur et face à moi plante son pieu dans ma chatte et jambes un peu pliées il défonce ma chatte tout en pétrissant mes seins ou m'embrassant, je caresse son dos ou me tiens à ses épaules.
Il ne me fait pas de cadeau, sa grosse queue qui force les chairs de mon intimité commence à me faire de l'effet et je mouille.
Il s'active un bon moment et le plaisir monte dans mon ventre jusqu'au moment ou son corps se raidit et agité de tremblements il éjacule dans mon vagin.
Il se retire et me courbe les bras en appui sur les cartons et sa queue coulisse dans ma chatte pendant qu'il me prend en levrette.
Il me défonce longtemps pendant que je triture ses bourses, le plaisir devient insupportable dans mon ventre et avec des contractions de mon vagin j'ai un orgasme pendant que de la cyprine s'échappe de ma chatte bien remplie par son pénis.
Il continue à me défoncer pendant que le plaisir que je ressens ne baisse pas et qu'enfin il arrose encore mon vagin.
Nous nous rhabillons et il va mettre les cartons dans un local puis remet l'ascenseur en route pour remonter à l'étage. Ce qui est bien quand l'ascenseur s'arrête à cet endroit personne ne peut y accéder sans avoir la clé de la porte du local.
<<c'était super, je ne suis pas contre une nouvelle séance un autre jour>>.
<<tu es insatiable avec ton gros pieu>>.
<<tu as aimé>>.
<<tu t'en es aperçu car tu as réussis à me faire jouir>>.

Il remet l'ascenseur en route et quand arrivé à l'étage la porte s'ouvre plusieurs personnes sont là à attendre énervées et les réflexions fusent.
Dans les couloirs en regagnant son magasin il me demande d'attendre avant d'y aller afin qu'on ne nous voie pas ensemble.
J'ai quand même le temps de l'embrasser et de caresser son sexe sans qu'il aie le temps de m'en empêcher.
<<tu es une petite salope>>.
<<pas que, mais on ne se refait pas>>.

Quand j'entre dans le magasin Gabriel est en train de raconter à ses collègues qu'il s'est trouvé bloqué à l'étage des poubelles car quelqu'un avait monopolisé l'ascenseur. Il se précipite vers moi le sourire aux lèvres.
<<bonjour madame, vous arrivez bien, vos articles sont prèts, je les ai mis dans un sac.
<<vous êtes bien aimable, je vous remercie>>.
Je le suis à la caisse et constate en regardant le ticket de caisse qu'il ne s'est pas moqué de moi.
Je paie et lui murmure.
<<tu n'as pas déduis le nettoyage de ma culotte que tu as salie en laissant un souvenir dans mon vagin>>.
Il sourit.
<<revenez quand vous voulez je suis à votre disposition>>.
<<je n'y manquerais pas, je serais toujours ravie de faire appel à vos services>>.
Je sors du magasin mon achat à la main satisfaite de la petite récréation et prête à renouveler l'expérience une autres fois.