Titre de l'histoire érotique : L'association et le sexe
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : L'association et le sexe
En cette fin d'année, je me rends comme d'habitude dans l'association ou je viens aider une ou deux fois par semaine.
Bernard le responsable m'appelle et m'informe qu'un inventaire doit être fait.
C'est un homme à lunettes de taille moyenne dans la cinquantaine, ni beau ni laid qui est loin de m'intéresser.
Il me demande de venir pour aider le lendemain matin qui se trouve être un samedi.
<<pourquoi moi, tes employées peuvent faire sans moi le travail pour lequel elles sont plus compétentes>>.
<<elles ne sont pas disponibles ou ne veulent pas travailler plus que leurs horaires normaux sans être payées, c'est pour ça que je demande à des bénévoles donc à toi qui est la seule présente aujourd'hui>>.
Je ne suis pas très convaincue par l'argument mais j'accepte de venir aider.
Donc le samedi matin j'arrive dans les locaux de l'association et je constate que je suis seule avec lui.
Nous discutons pendant quelques instants puis il me demande de lui amener des documents.
<<le dernier état dont j'ai besoin est dans un dossier rangé dans cette étagère>>.
Je me dirige vers le lieu qu'il m'indique.
Je cherche les documents, les noms des dossiers sont écrits en gros caractères au feutre et je m'aperçois facilement que celui que je cherche est classé en haut de l'étagère ce qui m'interpelle.
Je prends un escabeau rangé dans une petite pièce adjacente qui sert de débarras et le déplie.
L'escabeau qui est vieillot est un peu bancal et je ne suis pas rassurée, à part grimper les premières marches qui me permettent encore de me tenir je ne me vois pas debout sur la marche supérieure et en plus si je dois lever les bras pour attraper un dossier la position est périlleuse et je risque de tomber.
<<je ne vais pas monter la dessus, c'est trop risqué>>.
<<ne t'en fais pas je vais te tenir pour que tu ne tombes pas>>.
Pendant que, pas très rassurée, je monte les marches, en me tenant à l'étagère, il me soutient en mettant ses mains sur mes hanches.
Debout sur la marche supérieure j'attrape le dossier que le responsable veut.
En tournant la tête je remarque que sans gêne Bernard mate mes fesses, je comprends que c'est lui qui a placé intentionnellement les documents en haut de l'étagère.
Une fois que j'ai entre les mains le dossier demandé je fais un mouvement avec mon corps pour redescendre et je me retrouve un peu en déséquilibre
L'escabeau boîte et soudain les mains de Bernard se retrouvent sous mes fesses.
Surprise je commence à descendre de l'escabeau mais avant que mes pieds ne touchent le sol je sursaute car une main se ballade sous ma jupe et se pose sur mon entre-jambes.
<<qu'est ce que tu fais>>.
<<tu vois bien, ce dont j'avais envie depuis un moment>>.
<<ce n'est pas sérieux>>.
Souvent lors de mes interventions dans cette association j'avais senti et surpris son regard posé sur moi mais je ne pensais pas qu'il en arriverait là.
Je recule, il me suit et se colle contre moi.
Je continue à reculer et mon dos vient buter contre un mur, je suis coincée et je suis indécise sur l'attitude à adopter.
Bernard est de nouveau contre moi, j'essaye de le repousser sans succès.
Ses mains se promènent sur mes seins et entre mes cuisses.
Ses lèvres cherchent les miennes, je tourne la tête, le manège dure un petit moment avant que je ne capitule.
Sa langue pénètre dans ma bouche et cherche la mienne, après un instant d'hésitation je réponds à son baiser et nos langues se mêlent pendant que ses mains n'arrêtent pas de me peloter.
Des envies montent dans mon ventre, je passe mes bras autour de son cou et nous continuons à nous embrasser pendant un moment.
Bernard passe une main sous mon maillot, déplace mon soutien-gorge et caresse mes seins puis ses doigts s'en prennent aux tétons.
Je ne peux plus faire marche arrière, résignée je le laisse faire puis je décide de participer, je caresse son sexe par dessus le pantalon.
Enhardi il soulève ma jupe, sa main se glisse dans ma culotte et caresse mon intimité dans laquelle il finit par introduire un doigt, machinalement j'écarte les jambes.
Pendant qu'il me doigte je baisse le zip de son pantalon et je fouille dans son slip pour en sortir sa queue de grosseur moyenne qui est bien gonflée par l'envie.
Je caresse son membre puis le masturbe doucement pendant que des doigts s'en prennent à mon clitoris qu'ils agacent.
Je suis toujours dans la même position, debout le dos plaqué contre le mur.
Il retrousse ma jupe et l'enroule au niveau de ma taille puis il baisse ma culotte qui glisse jusqu'à mes pieds, je soulève une jambe puis l'autre pour m'en débarrasser.
Il se colle contre moi et je sens sa verge qui bute contre mon sexe sans trouver l'orifice, comme il galère pour trouver ce qu'il cherche je décide de l'aider après l'avoir laissé un peu s'énerver.
J'attrape le membre avec une main et le positionne à l'entrée de mon intimité, il pousse avec le poids de son corps et la queue s'enfonce dans ma chatte.
Les doigts agrippés à mes hanches et les jambes un peu fléchies il donne des coups de reins mais les va-et-vient du pénis ne durent pas longtemps. Agité par des soubresauts son membre envoie des giclées de sperme dans mon vagin.
Après quelques aller-retour supplémentaires il se recule et le pénis quitte mon intimité.
Bernard bande toujours, je caresse un peu sa queue gluante pendant que du sperme s'échappe de mon vagin, coule sur mes cuisses et tombe également sur le sol
Il n'est pas décidé à clore les ébats.
Me tenant par un bras il m'amène contre le bureau et me fait pivoter pour que je sois face à celui-ci.
Je courbe le dos et appuie mes bras repliés sur le bureau puis pose ma tête dessus.
Il se positionne derrière moi.
Sa verge est entre mes fesses, avec une main je l'aide à la faire pénétrer dans mon intimité.
Il me prend en levrette.
Il remue à grands coups de reins pour faire aller et venir son pénis dans ma chatte.
Il me défonce pendant un bon moment et les va-et-vient de la verge dans mon intimité commencent à me faire de l'effet.
Je passe une main entre mes cuisses, j'attrape ses testicules et les triture.
Le plaisir monte dans mon ventre.
Ses doigts se crispent, il se raidit et je sens le sperme couler dans mon vagin puis il se retire sans se soucier de sa semence qui sort de mon intimité et coule sur mes cuisses.
Je m'essuie un peu avec de l'essuie-tout que je trouve sur un meuble.
Bernard récupère assis sur une chaise, sa queue ramollie pend lamentablement.
Rapidement, car je suis restée sur ma faim, j'interviens n'étant pas décidée à le voir ranger son instrument.
Je m'agenouille entre ses jambes.
Avec une main je commence à caresser la verge puis je la masturbe d'abord doucement puis vigoureusement pendant un bon moment avant qu'elle ne grossisse de nouveau.
Quand je considère que son membre ne va pas perdre sa vigueur je le lèche partout sans oublier un morceau de peau puis ma langue s'acharne sur le gland qu'ensuite je suçote pendant un moment jusqu'à énerver Bernard.
Il sursaute quand j'enfonce son pénis dans ma bouche et en serrant bien les lèvres je lui fais une fellation.
Je fais pénétrer au maximum la verge dans ma gorge puis ma bouche fait des aller-retour rapides sur le membre pendant un moment.
Je cesse de sucer la verge et me relève. Il ne bouge pas et me laisse prendre l'initiative.
Je me positionne à califourchon au dessus de ses cuisses tout en lui faisant face, j'introduis son pénis dans mon intimité et je m'assois pratiquement sur lui.
Ensuite les bras autour de son cou je fais bouger mon corps pendant que ses mains passées autour de ma taille il subit et les yeux mi-clos il apprécie les va-et-vient de ma chatte sur son membre.
Je m'active un long moment.
Comme mon intimmité est très gluante avec ma mouillure et son sperme j'ai peur de ne pas arriver à le faire jouir car il ne m'aide pas, je change de stratégie.
Je décide de le faire profiter d'un endroit moins humide ou sa queue sera plus enserrée.
Je me lève et lui tourne le dos, je prends sa queue dans une main et me baisse puis je m'empale sur son sexe qui s'enfonce lentement dans mon anus.
Pendant que je fais monter et descendre mes fesses à la force de mes jambes pour faire aller et venir sa verge en moi il passe ses mains autour de mon torse, caresse mes seins et triture les tétons.
En tournant le buste et la tête pour le regarder je vois qu'il y prend du plaisir.
Je remue encore pendant un bon moment, je commence à bien mouiller quand son corps se tend et ses ongles s'incrustent dans ma peau à travers le tissu de mon maillot pendant que sa queue s'agite dans mon vagin en y déversant du sperme.
Sa verge qui rétrécit vite sort de ma chatte, je me relève.
Je me rends dans le local ou se trouve un lavabo, je nettoie et essuie mes parties intimes.
Je remets ma culotte et mets également de l'ordre dans mes vêtements.
Je rejoins Bernard qui a remballé son instrument après l'avoir essuyé.
<<c'était bien, on pourra recommencer quand nous serons de nouveau seuls ici>>.
<<au contraire de toi je n'ai peut être pas envie de recommencer et puis les conditions ne sont pas idéales>>.
<<pourquoi si ça nous plait à tous les deux>>.
Cette réflexion est certainement valable pour lui mais pas pour moi.
<<qui te dit que ça m'a plu, ce qui s'est passé aujourd'hui je pense que tu l'as fait aussi avec tes employées>>.
<<oui, avec certaines>>.
<<celles qui ont toujours un emploi ici>>.
<<exact, elles tiennent à leur place et sutout au salaire qui va avec et puis vous les femmes vous aimez ça, vous faites semblant de résister pour mieux nous exciter>>.
<<c'est comme ça que tu vois les femmes>>.
<<la preuve c'est que tu n'as pas fait trop de difficultés avant de passer à la casserole>>.
<<donc il n'y avait pas d'inventaire à faire, c'était une excuse pour m'attirer ici et en profiter >>
<<je voulais me trouver seul avec toi pour faire ce qu'on a fait, je savais que tu n'attendais qu'une occasion>>.
Je ne dis plus rien, je tourne les talons et je sors du local.
Je ne sais pas si je vais revenir dans cette association mais ce qui est sur c'est qu'il ne va pas s'en tirer comme ça.
Bernard le responsable m'appelle et m'informe qu'un inventaire doit être fait.
C'est un homme à lunettes de taille moyenne dans la cinquantaine, ni beau ni laid qui est loin de m'intéresser.
Il me demande de venir pour aider le lendemain matin qui se trouve être un samedi.
<<pourquoi moi, tes employées peuvent faire sans moi le travail pour lequel elles sont plus compétentes>>.
<<elles ne sont pas disponibles ou ne veulent pas travailler plus que leurs horaires normaux sans être payées, c'est pour ça que je demande à des bénévoles donc à toi qui est la seule présente aujourd'hui>>.
Je ne suis pas très convaincue par l'argument mais j'accepte de venir aider.
Donc le samedi matin j'arrive dans les locaux de l'association et je constate que je suis seule avec lui.
Nous discutons pendant quelques instants puis il me demande de lui amener des documents.
<<le dernier état dont j'ai besoin est dans un dossier rangé dans cette étagère>>.
Je me dirige vers le lieu qu'il m'indique.
Je cherche les documents, les noms des dossiers sont écrits en gros caractères au feutre et je m'aperçois facilement que celui que je cherche est classé en haut de l'étagère ce qui m'interpelle.
Je prends un escabeau rangé dans une petite pièce adjacente qui sert de débarras et le déplie.
L'escabeau qui est vieillot est un peu bancal et je ne suis pas rassurée, à part grimper les premières marches qui me permettent encore de me tenir je ne me vois pas debout sur la marche supérieure et en plus si je dois lever les bras pour attraper un dossier la position est périlleuse et je risque de tomber.
<<je ne vais pas monter la dessus, c'est trop risqué>>.
<<ne t'en fais pas je vais te tenir pour que tu ne tombes pas>>.
Pendant que, pas très rassurée, je monte les marches, en me tenant à l'étagère, il me soutient en mettant ses mains sur mes hanches.
Debout sur la marche supérieure j'attrape le dossier que le responsable veut.
En tournant la tête je remarque que sans gêne Bernard mate mes fesses, je comprends que c'est lui qui a placé intentionnellement les documents en haut de l'étagère.
Une fois que j'ai entre les mains le dossier demandé je fais un mouvement avec mon corps pour redescendre et je me retrouve un peu en déséquilibre
L'escabeau boîte et soudain les mains de Bernard se retrouvent sous mes fesses.
Surprise je commence à descendre de l'escabeau mais avant que mes pieds ne touchent le sol je sursaute car une main se ballade sous ma jupe et se pose sur mon entre-jambes.
<<qu'est ce que tu fais>>.
<<tu vois bien, ce dont j'avais envie depuis un moment>>.
<<ce n'est pas sérieux>>.
Souvent lors de mes interventions dans cette association j'avais senti et surpris son regard posé sur moi mais je ne pensais pas qu'il en arriverait là.
Je recule, il me suit et se colle contre moi.
Je continue à reculer et mon dos vient buter contre un mur, je suis coincée et je suis indécise sur l'attitude à adopter.
Bernard est de nouveau contre moi, j'essaye de le repousser sans succès.
Ses mains se promènent sur mes seins et entre mes cuisses.
Ses lèvres cherchent les miennes, je tourne la tête, le manège dure un petit moment avant que je ne capitule.
Sa langue pénètre dans ma bouche et cherche la mienne, après un instant d'hésitation je réponds à son baiser et nos langues se mêlent pendant que ses mains n'arrêtent pas de me peloter.
Des envies montent dans mon ventre, je passe mes bras autour de son cou et nous continuons à nous embrasser pendant un moment.
Bernard passe une main sous mon maillot, déplace mon soutien-gorge et caresse mes seins puis ses doigts s'en prennent aux tétons.
Je ne peux plus faire marche arrière, résignée je le laisse faire puis je décide de participer, je caresse son sexe par dessus le pantalon.
Enhardi il soulève ma jupe, sa main se glisse dans ma culotte et caresse mon intimité dans laquelle il finit par introduire un doigt, machinalement j'écarte les jambes.
Pendant qu'il me doigte je baisse le zip de son pantalon et je fouille dans son slip pour en sortir sa queue de grosseur moyenne qui est bien gonflée par l'envie.
Je caresse son membre puis le masturbe doucement pendant que des doigts s'en prennent à mon clitoris qu'ils agacent.
Je suis toujours dans la même position, debout le dos plaqué contre le mur.
Il retrousse ma jupe et l'enroule au niveau de ma taille puis il baisse ma culotte qui glisse jusqu'à mes pieds, je soulève une jambe puis l'autre pour m'en débarrasser.
Il se colle contre moi et je sens sa verge qui bute contre mon sexe sans trouver l'orifice, comme il galère pour trouver ce qu'il cherche je décide de l'aider après l'avoir laissé un peu s'énerver.
J'attrape le membre avec une main et le positionne à l'entrée de mon intimité, il pousse avec le poids de son corps et la queue s'enfonce dans ma chatte.
Les doigts agrippés à mes hanches et les jambes un peu fléchies il donne des coups de reins mais les va-et-vient du pénis ne durent pas longtemps. Agité par des soubresauts son membre envoie des giclées de sperme dans mon vagin.
Après quelques aller-retour supplémentaires il se recule et le pénis quitte mon intimité.
Bernard bande toujours, je caresse un peu sa queue gluante pendant que du sperme s'échappe de mon vagin, coule sur mes cuisses et tombe également sur le sol
Il n'est pas décidé à clore les ébats.
Me tenant par un bras il m'amène contre le bureau et me fait pivoter pour que je sois face à celui-ci.
Je courbe le dos et appuie mes bras repliés sur le bureau puis pose ma tête dessus.
Il se positionne derrière moi.
Sa verge est entre mes fesses, avec une main je l'aide à la faire pénétrer dans mon intimité.
Il me prend en levrette.
Il remue à grands coups de reins pour faire aller et venir son pénis dans ma chatte.
Il me défonce pendant un bon moment et les va-et-vient de la verge dans mon intimité commencent à me faire de l'effet.
Je passe une main entre mes cuisses, j'attrape ses testicules et les triture.
Le plaisir monte dans mon ventre.
Ses doigts se crispent, il se raidit et je sens le sperme couler dans mon vagin puis il se retire sans se soucier de sa semence qui sort de mon intimité et coule sur mes cuisses.
Je m'essuie un peu avec de l'essuie-tout que je trouve sur un meuble.
Bernard récupère assis sur une chaise, sa queue ramollie pend lamentablement.
Rapidement, car je suis restée sur ma faim, j'interviens n'étant pas décidée à le voir ranger son instrument.
Je m'agenouille entre ses jambes.
Avec une main je commence à caresser la verge puis je la masturbe d'abord doucement puis vigoureusement pendant un bon moment avant qu'elle ne grossisse de nouveau.
Quand je considère que son membre ne va pas perdre sa vigueur je le lèche partout sans oublier un morceau de peau puis ma langue s'acharne sur le gland qu'ensuite je suçote pendant un moment jusqu'à énerver Bernard.
Il sursaute quand j'enfonce son pénis dans ma bouche et en serrant bien les lèvres je lui fais une fellation.
Je fais pénétrer au maximum la verge dans ma gorge puis ma bouche fait des aller-retour rapides sur le membre pendant un moment.
Je cesse de sucer la verge et me relève. Il ne bouge pas et me laisse prendre l'initiative.
Je me positionne à califourchon au dessus de ses cuisses tout en lui faisant face, j'introduis son pénis dans mon intimité et je m'assois pratiquement sur lui.
Ensuite les bras autour de son cou je fais bouger mon corps pendant que ses mains passées autour de ma taille il subit et les yeux mi-clos il apprécie les va-et-vient de ma chatte sur son membre.
Je m'active un long moment.
Comme mon intimmité est très gluante avec ma mouillure et son sperme j'ai peur de ne pas arriver à le faire jouir car il ne m'aide pas, je change de stratégie.
Je décide de le faire profiter d'un endroit moins humide ou sa queue sera plus enserrée.
Je me lève et lui tourne le dos, je prends sa queue dans une main et me baisse puis je m'empale sur son sexe qui s'enfonce lentement dans mon anus.
Pendant que je fais monter et descendre mes fesses à la force de mes jambes pour faire aller et venir sa verge en moi il passe ses mains autour de mon torse, caresse mes seins et triture les tétons.
En tournant le buste et la tête pour le regarder je vois qu'il y prend du plaisir.
Je remue encore pendant un bon moment, je commence à bien mouiller quand son corps se tend et ses ongles s'incrustent dans ma peau à travers le tissu de mon maillot pendant que sa queue s'agite dans mon vagin en y déversant du sperme.
Sa verge qui rétrécit vite sort de ma chatte, je me relève.
Je me rends dans le local ou se trouve un lavabo, je nettoie et essuie mes parties intimes.
Je remets ma culotte et mets également de l'ordre dans mes vêtements.
Je rejoins Bernard qui a remballé son instrument après l'avoir essuyé.
<<c'était bien, on pourra recommencer quand nous serons de nouveau seuls ici>>.
<<au contraire de toi je n'ai peut être pas envie de recommencer et puis les conditions ne sont pas idéales>>.
<<pourquoi si ça nous plait à tous les deux>>.
Cette réflexion est certainement valable pour lui mais pas pour moi.
<<qui te dit que ça m'a plu, ce qui s'est passé aujourd'hui je pense que tu l'as fait aussi avec tes employées>>.
<<oui, avec certaines>>.
<<celles qui ont toujours un emploi ici>>.
<<exact, elles tiennent à leur place et sutout au salaire qui va avec et puis vous les femmes vous aimez ça, vous faites semblant de résister pour mieux nous exciter>>.
<<c'est comme ça que tu vois les femmes>>.
<<la preuve c'est que tu n'as pas fait trop de difficultés avant de passer à la casserole>>.
<<donc il n'y avait pas d'inventaire à faire, c'était une excuse pour m'attirer ici et en profiter >>
<<je voulais me trouver seul avec toi pour faire ce qu'on a fait, je savais que tu n'attendais qu'une occasion>>.
Je ne dis plus rien, je tourne les talons et je sors du local.
Je ne sais pas si je vais revenir dans cette association mais ce qui est sur c'est qu'il ne va pas s'en tirer comme ça.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Extra,tu es la salope que j'aurais aimé être,chaque fois que je te lis il faut que j'ai une main dans ma culotte et depuis que tu as changé de photo ,je me suis rasé les poiles de ma chatte .Bizous
Bonjour Laure,une belle petite histoire classique,qui fait du bien.
Il faut profiter de ces bons moments,comme moi j'en ai profité aussi,la vie est courte.
Luce
Il faut profiter de ces bons moments,comme moi j'en ai profité aussi,la vie est courte.
Luce