Titre de l'histoire érotique : L'auberge des jonquilles : Erika

- Par l'auteur HDS Azenor -
Récit érotique écrit par Azenor [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : L'auberge des jonquilles : Erika Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Titre de l'histoire érotique : L'auberge des jonquilles : Erika
Bonjour ! Me voici avec un troisième texte pour la série de l’auberge des jonquilles. J’espère qu’il vous plaira !

Il n’y a pas grand-monde en ce jeudi à l’auberge des jonquilles et de toute la journée, je n’ai eu qu’une seule cliente. Contrairement à ce que la majorité des gens pensent, ce n’est pas parce que je vends mes charmes que je passe mon temps les doigts fourrés dans mes endroits les plus intimes ou que je regarde des films pornos toute la journée, un plug anal dans mon petit trou, et un gode entre les cuisses. Cela pourrait être tentant, mais non. J’ai donné un coup de main pour le ménage, auquel nous participons toutes, mais vers 18h30, Megumi est venue me chercher dans ma chambre.
- Erika, y a une cliente pour toi à l’accueil.
- Ok, j’arrive. Merci Meg.

J’aime bien Meg. Elle et moi avons partagé quelques moments intimes et je dois dire que jamais je n’oublierai mes nuits avec Marge Simpson, Blanche-Neige ou Hermione Granger… En arrivant à l’accueil, je m’attends à tout sauf à ça. On voit tout de suite qu’elle n’a sûrement pas l’habitude à faire appel à une prostituée. Je lis la même surprise sur son visage.
- Tu t’attendais à trouver une armoire à glace hommasse sur les bords, n’est-ce pas ? Tu ne t’attendais pas à une blonde féminine ?
- Euh… Et bien… Oui, c’est vrai.
- Tu me diras, tu n’as rien d’une amatrice de minous…
- J’ai des amis qui sont venus ici, pour leur anniversaire.
- C’est Sybille qui s’est occupé d’eux, non ?
- Oui !
- Normal, elle est spécialisée dans les « visites de groupe ».
- Avant de commencer, on peut discuter ?
- Bien sûr.

Je demande à une collègue de nous amener deux verres d’Asti, et nous nous installons dans le salon. Ma cliente n’a pas plus de trente ans, elle est plutôt petite et a des seins qui, sans être énormes, sont plutôt généreux aux vues de sa minceur. Elle a des cheveux châtains et une jolie petite bouche que j’ai bien envie de goûter.
- Voila… Jusqu’à maintenant, je croyais que j’étais hétéro mais en vérité je n’en suis plus si sûre. J’ai un mec mais, à chaque fois qu’on fait l’amour, je simule. Le seul plaisir que je prends, c’est quand je me caresse et je me suis rendu compte qu’en faisant ça, je pensais à l’une de mes collègues.
- Et du coup tu t’es dit que tu allais te payer une goudou. Comment tu t’appelles ?
- Emma. Oui. Vous seriez d’accord ?
- Ah, moi, du moment que tu payes et dans la limite de ce qui n’est pas dangereux, je suis toujours d’accord. Finis ton verre, je vais te faire monter.

Nous ne travaillons pas dans nos chambres personnelles. Notre patronne est formelle là-dessus, cela évite les vols et tout autre problème. Une aile du bâtiment est spécialement dédié aux « salles de travail ». J’en choisi une assez petite, qui conférera une ambiance plutôt intimiste à notre entrevue.

Emma a quelque chose de touchant. Elle est là, avec moi, un peu gauche et je me réfrène pour ne pas la prendre comme une sauvage. Non, au lieu de ça je me montre douce. Je commence par caresser ses seins à travers son chemisier. Elle ne tarde pas à soupirer et ne tarde pas à se dénuder d’elle-même. Sa poitrine est magnifique. Encore jeune, ses deux globes de chair ne connaissent pas la loi de la gravité et au contraire, leurs pointes dardent fièrement vers moi et me chantent un chant de sirène. Mes deux index viennent flatter les auréoles, puis je les fais balloter légèrement.
- Tu as des seins de reine !
- Merci, me dit-elle en rougissant.

Je les lèche l’un après l’autre alors que je guide l’une des mains de ma timide entre mes cuisses, sous ma jupe. Mon sexe transpire de bonheur, et lorsqu’elle commence à en effleurer les grandes lèvres, je sais que bientôt, ce sera les grandes eaux entre mes cuisses. Je remonte et l’embrasse, Emma ne m’opposant aucune résistance et ouvrant même ses lèves à ma langue. Elle s’enhardit à enfoncer un premier doigt dans ma grotte, et je romps un instant notre baiser pour exprimer ma surprise et ma satisfaction.
- Viens sur le lit.

Je la guide et nous nous retrouvons allongées. Je la laisse me déshabiller et je lui retire son pantalon et son tanga, trempés tous les deux. Je prends ce dernier et en hume le fumet.
- Hummmm ! Sens ! Allez, n’aie pas peur, respire ton plaisir. Tu t’es déjà reniflée, goûtée à cet endroit là ?
- Oui.

Satisfaite de sa réponse, qui signifie qu’elle connaît tout de même deux ou trois choses, je prends son sous-vêtement et le renifle à plein nez. J’ai envie de le garder… Parfois, cela m’arrive, je garde une pièce de lingerie ayant appartenu à une cliente et certains soirs, quand je suis seule avec mes doigts pour seule compagnie, avoir ces quelques vêtements si intimes me comble.

Si je pensais qu’elle avait des seins de reine, j’étais encore loin du compte car son derrière est celui d’une déesse. Je la complimente et à nouveau, elle rougit. Pour dissiper sa gêne, je l’embrasse de nouveau puis lui murmure à l’oreille de me montrer comme elle se touche. Elle s’execute et se cale contre un oreiller. Le spectacle de ses mains, l’une écartant ses grandes lèvres, et l’autre enfonçant de plus en plus frénétiquement son majeur et son index en elle, détrempe mon entrejambe. Ses cris de jouissance me donnent envie de la baiser, encore et encore…

Lorsqu’elle a repris ses esprits après son premier orgasme, je viens frotter « sa caverne » avec mes seins. Chaque fois que mes tétons entrent en contact avec son clitoris, j’ai l’impression d’être traversée par un courant électrique. Que c’est bon ! Quand je la sens bien mouillée, je viens déguster ce précieux nectar de plaisir. Emma pousse des cris et se tortille sous moi. Finalement, lorsqu’un second orgasme la fauche, je décide de faire une courte pause. Emma vient se blottir contre mes seins, où elle laisse même un baiser sur chacun d’entre eux. D’un seul coup, quelque chose d’absurde me vient à l’esprit.
- Je crois que je ne t’ai même pas dit mon prénom.
- Je le connais. C’est Erika. C’était marqué dans le classeur avec ta fiche.
- Tu as une bonne mémoire, la complimentai-je.

Nous restâmes un moment dans les bras l’une de l’autre, puis je senti qu’une petite main, vraiment très coquine, caressait mes seins. Mes tétons durcirent presque aussitôt, et l’envie d’explorer le corps de ma cliente revint.
- Tu as aimé le cuni que je t’ai fait ?
- Oui.
- Tu sais les faire ?
- Non.
- Alors viens, je vais te donner l’occasion de t’exercer.


En position de grenouille accroupie, je m’installe sur son visage et lui offre mon « coquillage ». Ses coups de langue sont d’abord timides, avant de devenir de plus en plus hardis. Je fais bouger mon bassin, lui offrant tous les angles possibles… Lorsque le plaisir me prend, je viens dans sa bouche, même s’il y a trop de mouille pour tout avaler d’un coup. Pour l’aider, je viens l’embrasser et en aspire la moitié.
- Tu sais pourquoi les lesbiennes n’ont pas le droit de jouer au shifumi ?
- Non, me rétorque-t-elle surprise.
- Parce qu’elles font toujours les ciseaux avec leurs puits.

Emma rit, et j’en profite pour m’installer et lui faire découvrir la joie des ciseaux. Sa figue de plaisir a une toison bien entretenue mais relativement courte, tout comme la mienne. Nous nous frottons l’une contre l’autre jusqu’à explosion du plaisir sur nos sexes respectifs. Finalement, Emma reste toute la nuit. Au petit matin, elle me laisse son tanga et me demande :
- Je peux revenir la semaine prochaine ?
- Bien sûr !

J’avais déjà hâte d’y être !

Les avis des lecteurs

@ Florence27 : joli mot : lupanar... il rappelle les prostituées de la Rome antique, les louves "lupa".
Comme quoi érotisme et culture peuvent cohabiter, si je puis me permettre !

D'accord avec Florence !
Mais quelle belle écriture, merci !

Délicieux comme les précédents bien que j'aime moins le coté "prostitué et lupanar" qui à mon sens n'ajoute rien au récit.



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : L'auberge des jonquilles : Erika
Histoire sexe : Une rose rouge
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