Titre de l'histoire érotique : L'éducation de Papillon - Episode 14
Récit érotique écrit par Zootman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2012 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : L'éducation de Papillon - Episode 14
(Merci pour les commentaires, toujours appréciés, quels qu'ils soient. N'hésitez-pas à
me laisser votre adresse mail pour faire plus ample connaissance, surtout vous
mesdames.... Je cherche toujours la sex-friend bien dans sa peau et sa vie, qui veut y
ajouter un peu de piment coquin, et à la mienne aussi...)
Une fois le bateau amarré, les compères de promènent dans Piriac, qui est resté un
beau village, bien rénové et un peu bobo, mais ou ils rejoignent le restaurant.
Ils mangent léger, les discussions partent dans tous les sens, et quelques bouteilles
se vident peu à peu.
De retour au bateau, chaque couple rejoint sa cabine, un peu éméché.
Dès la porte fermée, dans la cabine avant, Jean attrape Papillon par la taille,
l’embrasse tendrement.
- « Quelle énergie encore ! Après ce que tu as bu, tu sembles d’attaque», lui
dit-elle, « Et surtout, ta séance de cet après-midi ne t’a pas épuisé ? » sourit-elle.
Jean lui raconte la scène de l’après-midi, ce qui excite Papillon. Elle fait asseoir
Jean sur la couchette, lui baisse le pantalon, sort la queue du caleçon et le prend en
bouche. Jean durcit rapidement. Elle se déshabille à son tour, le rejoint sur la
couchette et se mettant à quatre pattes : « Encule-moi tout de suite, j’ai envie de
sentir ta queue en moi ».
Jean se positionne, pose son gland sur l’anus, laisse tomber un peu de salive pour
humecter le trou, puis s’enfonce lentement en elle. « Hummmm, j’adore ça, continue,
vas lentement, bien au fond, ta bite est bien dure, j’aime que tu m’encules ainsi ».
Dans un petit miroir sur la cloison, Jean voit les seins de Papillon qui se balancent,
et cela l’émeut encore une fois. Il aime tant le corps de sa femme, ses rondeurs, ses
petits défauts qu’il a vu apparaitre au fil du temps, et surtout, il aime la voir
prendre du plaisir, fermer les yeux pour ressentir le manche qui la pourfend, voir ses
lèvres se pincer, un petit bout de langue les humectant, la voir se pencher, mettre
ses seins sur le matelas, ne laissant que son cul se dresser à la rencontre du vit.
Il la bourre gentiment, comme elle aime, lui tenant les hanches fermement, pour qu’il
puisse s’enfoncer au bout de son conduit, là ou il sait qu’elle ressent le plus de
sensations.
Parallèlement, dans la cabine arrière, Anne et Louis ont aussi décidé de se faire du
bien. Louis n’a pas fait part de ses soupçons à Anne sur l’après-midi, et elle ne veut
pas lui en parler, de peur de le blesser. Elle aime son mari, et même si elle est une
salope qui se fait déboîter au supermarché, elle veut le préserver.
Nus sur la couchette, Louis s’est allongé sur le dos. Anne est venue sur lui, le suce
longuement pour le faire durcir, Puis elle se redresse, s’avance, et viens poser ses
genoux de part et d’autre de sa tête, lui pose sa chatte sur la bouche.
Louis commence à la lécher. Il adore cette position, ou il voit sa femme en
contreplongée, les seins se soulevant avec la respiration qui s’accélère. Il aime
l’odeur, le goût de son jus, attraper son clitoris entre les lèvres, tenter de
pénétrer la chatte le plus loin possible avec sa langue.
Il tend les bras pour lui attraper les seins, et Anne passe une main derrière elle
pour le branler. Elle avance un peu le bassin, et maintenant c’est son anus qu’il
lèche, essayant de l’ouvrir pour en recueillir les effluves.
-« Mmm cochon, c’est bon ».
-« C’est toi ma belle cochonne, qui aime que je lui lèche le cul ». Ils se font du
bien.
Jean, lui, continue de bourrer le cul de Papillon. L’alcool aidant, il tarde à jouir,
mais cela ne fait qu’ajouter à leur plaisir. Papillon s’est retournée, et il l’encule
de face, pendant qu’elle se caresse le clito d’une main et se malaxe les seins de
l’autre.
Anne s’est retournée aussi, et toujours les fesses sur le nez de Louis, elle lui prend
les couilles et les tord un peu, sans faire mal, mais Louis durcit encore sous cette
caresse.
Puis elle se penche et ils commencent un 69. Louis suce le jus, lèche la fente, et
introduit un, puis deux doigts dans le cul d’Anne, qui se tend. « Petit salaud, tu
sais que j’aime çà, continue »
De son côté, tout en le suçant, elle lui met aussi un doigt dans le cul et lui branle
l’anus, allant le plus loin possible.
-« Toi aussi tu sais que j’aime ça, petite salope » dit-il, et longuement ils se
donnent du plaisir, l’un ralentissant ses mouvements pour ressentir ce que l’autre lui
fait, alternativement.
Papillon sent que ce soir, elle va jouir du cul, et elle encourage Jean à la pénétrer
encore et encore.
-« Vas-y, mon loup, je sens ton gourdin, je vais jouir, continue, mm, oui, là, ahhhh,
»
Et elle lance un cri de jouissance puissant. Jean, excité à mort de voir le plaisir
faire tressaillir Papillon, à son tour lâche son jet dans le cul de Papillon en
poussant un râle puissant.
De leur côté, Anne et Louis qui ont entendu les cris, sont eux-aussi au bord de la
jouissance. Louis encule Anne de ses doigts, et de l’autre main a enfoncé 3 doigts
dans sa chatte. Il fait aller et venir ses mains, heureux de voir ces trous qui
s’ouvrent pour son plaisir. Anne, après avoir bien mouillé son vit, le branle
maintenant fortement, tout en lui pénétrant le cul.
Rapidement, ensemble, ils crient leur jouissance. Louis gicle son foutre sur le visage
d’Anne, pendant qu’elle l’inonde de sa mouille.
Puis le silence se fait sur le bateau, chacun reprenant ses esprits.
Au bout d’un moment, Jean sort de la cabine pour aller boire. Louis l’entend et fait
de même. Ils sont bientôt rejoints par les filles. Tous nus, ils s’asseyent autour de
la table du carré.
- « On dirait que nous avions tous envie de la même chose ce soir » dit Papillon
en riant.
Tous rient avec elle.
- « Finalement, on est bien nus tous ensemble » dit Anne, « je pense qu’il n’est
plus utile d’avoir trop de pudeur entre nous »
- - « oui, mais il ne faudra pas vous étonner de voir nos queues se dresser de
temps en temps » dit Jean.
- « Et que l’on en profite pour vous caresser les seins en passant » ajoute
Louis.
- « Dis moi, Anne, puisque nous parlons sexe, tu as déjà goûté aux femmes ?»
demande Papillon.
Anne est gênée tout à coup, elle se tourne vers Louis, ne sachant que répondre.
- « Ne t’inquiète pas ma chérie, je crois que nous pouvons tout nous dire
maintenant, et que si tu as des petits secrets, je ne t’en veux pas, car j’ai les
miens aussi ».
- « Louis, tu sais que je t’aime, mais il faut que je te dise : j’adore le sexe,
Et parfois, je suis prise d’envies de baiser frénétiquement. Je ne voulais pas te
forcer à me faire tout le temps l’amour, j’avais peur de te lasser, que tu me prennes
pour une nympho débile ».
- « Mon amour, je crois que nous allons nous rattraper alors. Moi aussi j’aime
le sexe, et moi aussi j’avais peur de te paraître trop empressé ».
Ils se donnent la main, se rapprochent, et s’embrassent tendrement sous les yeux
rieurs de Jean et Papillon, qui enfin arrivent à leurs fins avec leurs amis.
Papillon glisse à l’oreille de Jean « embrasse-moi aussi » et les voila qui se
bécotent, les mains partant déjà explorer les contours de leurs corps.
Se reprenant, Papillon dit : «Puisque nous en sommes aux confidences, je pense qu’il
est temps de nous dire les choses. Hier, j’ai baisé avec Louis, dans le bureau de
votre maison, et aujourd’hui, Jean et Anne ont fait de même sur le bateau. Puisque
nous avons déjà échangé nos partenaires, je propose que dorénavant, nous nous
autorisions à le faire ensemble, ce qui n’exclura des apartés coquins…. Etes-vous tous
d’accord ?»
Ils se regardent tous les uns après les autres, en souriant.
- «Voila qui me plait » dit Anne, et elle se lève, contourne la table, vient
s’asseoir à côté de Jean, et lui pose la main sur la queue.
- « Je suis d’accord aussi » dit Louis, et il attrape la main de Papillon par-
dessus la table, l’invite à se lever et à le rejoindre. Quand elle s’est assise à côté
de lui, il pose sa main sur son pubis.
- « On se dit tout, on s’autorise tout, dans le respect des envies de chacun »
lâche Jean.
- « Du plaisir, rien que du plaisir » finit Papillon « voila quelle sera notre
devise ».
Et elle tend une main au dessus de la table, et chacun vient ajouter la sienne au
dessus.
- « C’est notre serment de Piriac » dit Papillon
- « C’est le serment de Piriac » reprennent les autres en chœur.
Et ils éclatent de rire, heureux de franchir une nouvelle étape dans leur amitié,
heureux de se sentir libres de s’aimer autant qu’ils le veulent, heureux de pouvoir
donner libre cours à leurs envies de sexe.
me laisser votre adresse mail pour faire plus ample connaissance, surtout vous
mesdames.... Je cherche toujours la sex-friend bien dans sa peau et sa vie, qui veut y
ajouter un peu de piment coquin, et à la mienne aussi...)
Une fois le bateau amarré, les compères de promènent dans Piriac, qui est resté un
beau village, bien rénové et un peu bobo, mais ou ils rejoignent le restaurant.
Ils mangent léger, les discussions partent dans tous les sens, et quelques bouteilles
se vident peu à peu.
De retour au bateau, chaque couple rejoint sa cabine, un peu éméché.
Dès la porte fermée, dans la cabine avant, Jean attrape Papillon par la taille,
l’embrasse tendrement.
- « Quelle énergie encore ! Après ce que tu as bu, tu sembles d’attaque», lui
dit-elle, « Et surtout, ta séance de cet après-midi ne t’a pas épuisé ? » sourit-elle.
Jean lui raconte la scène de l’après-midi, ce qui excite Papillon. Elle fait asseoir
Jean sur la couchette, lui baisse le pantalon, sort la queue du caleçon et le prend en
bouche. Jean durcit rapidement. Elle se déshabille à son tour, le rejoint sur la
couchette et se mettant à quatre pattes : « Encule-moi tout de suite, j’ai envie de
sentir ta queue en moi ».
Jean se positionne, pose son gland sur l’anus, laisse tomber un peu de salive pour
humecter le trou, puis s’enfonce lentement en elle. « Hummmm, j’adore ça, continue,
vas lentement, bien au fond, ta bite est bien dure, j’aime que tu m’encules ainsi ».
Dans un petit miroir sur la cloison, Jean voit les seins de Papillon qui se balancent,
et cela l’émeut encore une fois. Il aime tant le corps de sa femme, ses rondeurs, ses
petits défauts qu’il a vu apparaitre au fil du temps, et surtout, il aime la voir
prendre du plaisir, fermer les yeux pour ressentir le manche qui la pourfend, voir ses
lèvres se pincer, un petit bout de langue les humectant, la voir se pencher, mettre
ses seins sur le matelas, ne laissant que son cul se dresser à la rencontre du vit.
Il la bourre gentiment, comme elle aime, lui tenant les hanches fermement, pour qu’il
puisse s’enfoncer au bout de son conduit, là ou il sait qu’elle ressent le plus de
sensations.
Parallèlement, dans la cabine arrière, Anne et Louis ont aussi décidé de se faire du
bien. Louis n’a pas fait part de ses soupçons à Anne sur l’après-midi, et elle ne veut
pas lui en parler, de peur de le blesser. Elle aime son mari, et même si elle est une
salope qui se fait déboîter au supermarché, elle veut le préserver.
Nus sur la couchette, Louis s’est allongé sur le dos. Anne est venue sur lui, le suce
longuement pour le faire durcir, Puis elle se redresse, s’avance, et viens poser ses
genoux de part et d’autre de sa tête, lui pose sa chatte sur la bouche.
Louis commence à la lécher. Il adore cette position, ou il voit sa femme en
contreplongée, les seins se soulevant avec la respiration qui s’accélère. Il aime
l’odeur, le goût de son jus, attraper son clitoris entre les lèvres, tenter de
pénétrer la chatte le plus loin possible avec sa langue.
Il tend les bras pour lui attraper les seins, et Anne passe une main derrière elle
pour le branler. Elle avance un peu le bassin, et maintenant c’est son anus qu’il
lèche, essayant de l’ouvrir pour en recueillir les effluves.
-« Mmm cochon, c’est bon ».
-« C’est toi ma belle cochonne, qui aime que je lui lèche le cul ». Ils se font du
bien.
Jean, lui, continue de bourrer le cul de Papillon. L’alcool aidant, il tarde à jouir,
mais cela ne fait qu’ajouter à leur plaisir. Papillon s’est retournée, et il l’encule
de face, pendant qu’elle se caresse le clito d’une main et se malaxe les seins de
l’autre.
Anne s’est retournée aussi, et toujours les fesses sur le nez de Louis, elle lui prend
les couilles et les tord un peu, sans faire mal, mais Louis durcit encore sous cette
caresse.
Puis elle se penche et ils commencent un 69. Louis suce le jus, lèche la fente, et
introduit un, puis deux doigts dans le cul d’Anne, qui se tend. « Petit salaud, tu
sais que j’aime çà, continue »
De son côté, tout en le suçant, elle lui met aussi un doigt dans le cul et lui branle
l’anus, allant le plus loin possible.
-« Toi aussi tu sais que j’aime ça, petite salope » dit-il, et longuement ils se
donnent du plaisir, l’un ralentissant ses mouvements pour ressentir ce que l’autre lui
fait, alternativement.
Papillon sent que ce soir, elle va jouir du cul, et elle encourage Jean à la pénétrer
encore et encore.
-« Vas-y, mon loup, je sens ton gourdin, je vais jouir, continue, mm, oui, là, ahhhh,
»
Et elle lance un cri de jouissance puissant. Jean, excité à mort de voir le plaisir
faire tressaillir Papillon, à son tour lâche son jet dans le cul de Papillon en
poussant un râle puissant.
De leur côté, Anne et Louis qui ont entendu les cris, sont eux-aussi au bord de la
jouissance. Louis encule Anne de ses doigts, et de l’autre main a enfoncé 3 doigts
dans sa chatte. Il fait aller et venir ses mains, heureux de voir ces trous qui
s’ouvrent pour son plaisir. Anne, après avoir bien mouillé son vit, le branle
maintenant fortement, tout en lui pénétrant le cul.
Rapidement, ensemble, ils crient leur jouissance. Louis gicle son foutre sur le visage
d’Anne, pendant qu’elle l’inonde de sa mouille.
Puis le silence se fait sur le bateau, chacun reprenant ses esprits.
Au bout d’un moment, Jean sort de la cabine pour aller boire. Louis l’entend et fait
de même. Ils sont bientôt rejoints par les filles. Tous nus, ils s’asseyent autour de
la table du carré.
- « On dirait que nous avions tous envie de la même chose ce soir » dit Papillon
en riant.
Tous rient avec elle.
- « Finalement, on est bien nus tous ensemble » dit Anne, « je pense qu’il n’est
plus utile d’avoir trop de pudeur entre nous »
- - « oui, mais il ne faudra pas vous étonner de voir nos queues se dresser de
temps en temps » dit Jean.
- « Et que l’on en profite pour vous caresser les seins en passant » ajoute
Louis.
- « Dis moi, Anne, puisque nous parlons sexe, tu as déjà goûté aux femmes ?»
demande Papillon.
Anne est gênée tout à coup, elle se tourne vers Louis, ne sachant que répondre.
- « Ne t’inquiète pas ma chérie, je crois que nous pouvons tout nous dire
maintenant, et que si tu as des petits secrets, je ne t’en veux pas, car j’ai les
miens aussi ».
- « Louis, tu sais que je t’aime, mais il faut que je te dise : j’adore le sexe,
Et parfois, je suis prise d’envies de baiser frénétiquement. Je ne voulais pas te
forcer à me faire tout le temps l’amour, j’avais peur de te lasser, que tu me prennes
pour une nympho débile ».
- « Mon amour, je crois que nous allons nous rattraper alors. Moi aussi j’aime
le sexe, et moi aussi j’avais peur de te paraître trop empressé ».
Ils se donnent la main, se rapprochent, et s’embrassent tendrement sous les yeux
rieurs de Jean et Papillon, qui enfin arrivent à leurs fins avec leurs amis.
Papillon glisse à l’oreille de Jean « embrasse-moi aussi » et les voila qui se
bécotent, les mains partant déjà explorer les contours de leurs corps.
Se reprenant, Papillon dit : «Puisque nous en sommes aux confidences, je pense qu’il
est temps de nous dire les choses. Hier, j’ai baisé avec Louis, dans le bureau de
votre maison, et aujourd’hui, Jean et Anne ont fait de même sur le bateau. Puisque
nous avons déjà échangé nos partenaires, je propose que dorénavant, nous nous
autorisions à le faire ensemble, ce qui n’exclura des apartés coquins…. Etes-vous tous
d’accord ?»
Ils se regardent tous les uns après les autres, en souriant.
- «Voila qui me plait » dit Anne, et elle se lève, contourne la table, vient
s’asseoir à côté de Jean, et lui pose la main sur la queue.
- « Je suis d’accord aussi » dit Louis, et il attrape la main de Papillon par-
dessus la table, l’invite à se lever et à le rejoindre. Quand elle s’est assise à côté
de lui, il pose sa main sur son pubis.
- « On se dit tout, on s’autorise tout, dans le respect des envies de chacun »
lâche Jean.
- « Du plaisir, rien que du plaisir » finit Papillon « voila quelle sera notre
devise ».
Et elle tend une main au dessus de la table, et chacun vient ajouter la sienne au
dessus.
- « C’est notre serment de Piriac » dit Papillon
- « C’est le serment de Piriac » reprennent les autres en chœur.
Et ils éclatent de rire, heureux de franchir une nouvelle étape dans leur amitié,
heureux de se sentir libres de s’aimer autant qu’ils le veulent, heureux de pouvoir
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ça donne vraiment l'envie de naviguer,et pourquoi pas un retour à "la
voile et à la vapeur", histoire d'en offrir pour tous les goûts ?
Avec des expertes comme Papillon et Anne à la "barre", je me vois bien
comme "moussaillonne" participer à tous les travaux, surtout ceux consistant à
entretenir en permanance les bittes d'amarrage, afin de
faire face à toute situation d'urgence !
C'est drôle, ceci n'étant qu'un fantasme, je ne peux être atteinte par
les embruns, et pourtant je suis mouillée..peut-être devrais-je plutôt
dire que je mouille..remède oblige, je dois vous laisser. Merci. N.CH.
voile et à la vapeur", histoire d'en offrir pour tous les goûts ?
Avec des expertes comme Papillon et Anne à la "barre", je me vois bien
comme "moussaillonne" participer à tous les travaux, surtout ceux consistant à
entretenir en permanance les bittes d'amarrage, afin de
faire face à toute situation d'urgence !
C'est drôle, ceci n'étant qu'un fantasme, je ne peux être atteinte par
les embruns, et pourtant je suis mouillée..peut-être devrais-je plutôt
dire que je mouille..remède oblige, je dois vous laisser. Merci. N.CH.