Titre de l'histoire érotique : L'employé
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : L'employé
Le pire patron t'encule et le meilleur te pousse à l'enculer. Littéralement. Le temps tirait fin juillet ; chaleurs et lumières chaudes restaient toujours aussi hautes même si la veille orage et vents violents avaient venté tout le pays. B et T couple concubins étaient en train de se préparer à la réception d'un amant, pas n'importe quel amant, l'amant en question était l'employé de B, un jeune homme qu'ils avaient décidé d’accueillir dans leur lit conjugal.
La salle-bain possédait une cabine-douche, un robinet filamenteux qui chutait l'eau. Les concubins pénétrèrent la salle pour bain. Complètement nus ils s'immobilisèrent sous les jets tièdes et rectilignes.
Depuis environ cinq ans, B et T vivaient en concubinage ; ils menaient tous les deux une vie libertine, collectionnaient en vidéos leurs ébats sexuels avec différents partenaires qu'ils rencontraient le plus souvent dans les chambres d’hôtels ou les boites échangistes ou encore dans la Nature.
L'eau s'écoulait sur les corps nus en épousant leurs formes.
B.-C'est trop chaud ! Tu peux la rafraîchir un peu ?
T.-Ouais.
T tempéra l'eau.
T.-Il a répondu quoi quand t'as proposé qu'il vienne ?
B.-Ça l'a surpris ! Il ne s'attendait pas à ça. Il a dit oui.
T.-Baiser avec lui c'est comment ?
B.-Bien.
T.-Il a une plus grosse bite que moi ?
B.-Oui. Mais j'ai déjà baisé plus grosse bite que lui.
T aimait la franchise de B. La manière qu'une femme parle sexe peut être plus excitant que le sexe lui-même. T avait hâte de voir L prendre B devant lui.
B employait L ; vingtenaire Noir aux tresses rampantes ; il secondait B dans sa PME, petite boulangerie en centre ville ; le salaire minable égalait le SMIC, il restait parce que la patronne le laissait la prendre derrière la boutique après ou entre les horaires, ou entre les fesses, ou entre les ovaires, une sorte de prime à l'exploitation ; désormais il savait que sa patronne et le mari de cette dernière menaient une vie libertine ; les premiers temps quand il prenait sa BOSSE dans l'arrière boutique et qu'il ne savait pas qu'elle et son mari étaient échangistes il jouissait du prestige du voleur qui était une adrénaline psychologique de prendre à son insu la femme d'un autre ; ce prestige s'effaça lorsqu'elle lui dit que son mari était au courant de leur relation et que cela ne le dérangeait pas même s'il bandait toujours très dur quand il prenait en levrette sa patronne dans l'arrière boutique. Un mercredi après-midi qu'il venait de la sodomiser et qu'ils reprenaient leurs souffles elle lui proposa de venir chez elle le week-end suivant. Il accepta même si prendre sa patronne devant son concubin l'impressionnait.
Sur toute la ville était tombée la nuit ; sa présence avait allumé les lumières publiques et celles domestiques. Une quinzaine de minute que L s'émoustillait dans le salon des concubins. Tous trois apéronaient et discutaient sexe. B portait une robe noire dénudant ses épaules et moulant son corps. T un t-shirt jaune et un pantalon noir en coton. Quant à L, t-shirt noir et jean bleu. Lorsqu'ils décidèrent d'entamer les choses sexuelles ils pénétrèrent la chambre conjugale.
Un lit, une armoire, une commode, tous en bois, ornaient principalement la chambre. Adossé à un coin le concubin observait l'employeuse et l'employé et leurs gestes qu'ils s'échangeaient comme si elle était célibataire et comme s'il ne se trouvait pas là. Il sortit le téléphone intelligent puis se mis à filmer.
Près du lit, debout, l'épouse et l'amant se bécotent. À travers le tissu robe noire laissant les épaules nues la main amant caresse les seins. Elle abaisse la robe noire dévoilant ainsi un sein claire et rond. Il prend en bouche le téton qu'il suce, réminiscences enfance et lait maternel. Elle inspire de plaisir. Il passe au sein jumeau. Et tandis qu'il tète sa main caresse la hanche puis le derrière massif féminin. Souvenirs du pain chaud et des levrettes en arrière-boutique.
Il la retourne puis soulève le pan de la robe noire qui découvre deux fesses blanches pleines et nues. Elle aplatit les mains sur le lit, courbe le dos, cambre les fesses pour les offrir aux caresses de la bouche qui les embrasses plusieurs fois.
Elle monte sur le lit puis s'y met à quatre pattes. Au bord du lit, il pose les genoux au tapis, les coudes sur le matelas, les mains sur les fesses claires, et le visage dans la lune qu'il lèche. Ses mains écartent les fesses, ouvrent le chemin rose et intime dans lequel se perdent successivement sa langue, ses lèvres, son nez. Quel extase que de lécher le cul et le vagin d'une femme devant son mari ! Plus encore que cette femme qu'il léchait était sa patronne ! Karl Marx cunitait Margaret Thatcher !
L'amant allonge son dos sur le lit. Il ôte son t-shirt noir. À quatre pattes sur le matelas la concubine se rapproche, alors qu'il est torse-nu elle pose sa main aux ongles noirs sur son jean qu'elle abaisse jusqu'aux genoux, sa manucure noire baisse le boxer jusqu'aux cuisses, découvrant un pénis sombre en érection qu'elle saisit puis qu'elle embouche. Alors que la bouche aussi chaude qu'humide fellationne sa queue son rythme cardiaque s'accélère, le plaisir ébloui ses yeux qu'il clos. Au bord de la jouissance il sert les fesses pour ne pas éjaculer.
Heureusement pour lui c'est à son tour à elle de se faire lécher ! Elle s'allonge sur le dos puis ouvre les cuisses. Au creux des reins féminins il glisse son visage. Lèche puis suce ce vagin lisse qu'humidifie sa bouche et sa langue. Elle mordille ses lèvres agréablement. Les lèvres et la langue gourmandes poussent son vagin sur la pente orgasmique ! Elle tremble et secoue sur le lit pendant que la bouche lécheuse continue son œuvre.
Le concubin qui regardait la scène battait rapidement. Il s'allongeait aussi ! Voir sa concubine prendre jouissance avec une autre bouche l'enjalousait et l'étirait en même temps. C'était une chose savoir que sa femme baisait son employé ça était une autre les voir le faire dans leur lit conjugal. Il vit l'amant monter sa concubine puis la transpercer. Son regard allait du membre sombre tendu dans le vagin aux yeux clos féminins, à cette bouche ouverte qui oralait le plaisir prit. Il s'étirait en imaginant pénissement toutes les sensations vaginales que pouvait ressentir le jeune homme qui labourait à coups de reins virils son épouse. Il aimait voir les va et vient duo-colores. Les craquements du lit qui accéléraient. Les corps contraires compacts dans l'étreinte. Leur torpeur. Le filet blanc qui fuyait le rose.
La salle-bain possédait une cabine-douche, un robinet filamenteux qui chutait l'eau. Les concubins pénétrèrent la salle pour bain. Complètement nus ils s'immobilisèrent sous les jets tièdes et rectilignes.
Depuis environ cinq ans, B et T vivaient en concubinage ; ils menaient tous les deux une vie libertine, collectionnaient en vidéos leurs ébats sexuels avec différents partenaires qu'ils rencontraient le plus souvent dans les chambres d’hôtels ou les boites échangistes ou encore dans la Nature.
L'eau s'écoulait sur les corps nus en épousant leurs formes.
B.-C'est trop chaud ! Tu peux la rafraîchir un peu ?
T.-Ouais.
T tempéra l'eau.
T.-Il a répondu quoi quand t'as proposé qu'il vienne ?
B.-Ça l'a surpris ! Il ne s'attendait pas à ça. Il a dit oui.
T.-Baiser avec lui c'est comment ?
B.-Bien.
T.-Il a une plus grosse bite que moi ?
B.-Oui. Mais j'ai déjà baisé plus grosse bite que lui.
T aimait la franchise de B. La manière qu'une femme parle sexe peut être plus excitant que le sexe lui-même. T avait hâte de voir L prendre B devant lui.
B employait L ; vingtenaire Noir aux tresses rampantes ; il secondait B dans sa PME, petite boulangerie en centre ville ; le salaire minable égalait le SMIC, il restait parce que la patronne le laissait la prendre derrière la boutique après ou entre les horaires, ou entre les fesses, ou entre les ovaires, une sorte de prime à l'exploitation ; désormais il savait que sa patronne et le mari de cette dernière menaient une vie libertine ; les premiers temps quand il prenait sa BOSSE dans l'arrière boutique et qu'il ne savait pas qu'elle et son mari étaient échangistes il jouissait du prestige du voleur qui était une adrénaline psychologique de prendre à son insu la femme d'un autre ; ce prestige s'effaça lorsqu'elle lui dit que son mari était au courant de leur relation et que cela ne le dérangeait pas même s'il bandait toujours très dur quand il prenait en levrette sa patronne dans l'arrière boutique. Un mercredi après-midi qu'il venait de la sodomiser et qu'ils reprenaient leurs souffles elle lui proposa de venir chez elle le week-end suivant. Il accepta même si prendre sa patronne devant son concubin l'impressionnait.
Sur toute la ville était tombée la nuit ; sa présence avait allumé les lumières publiques et celles domestiques. Une quinzaine de minute que L s'émoustillait dans le salon des concubins. Tous trois apéronaient et discutaient sexe. B portait une robe noire dénudant ses épaules et moulant son corps. T un t-shirt jaune et un pantalon noir en coton. Quant à L, t-shirt noir et jean bleu. Lorsqu'ils décidèrent d'entamer les choses sexuelles ils pénétrèrent la chambre conjugale.
Un lit, une armoire, une commode, tous en bois, ornaient principalement la chambre. Adossé à un coin le concubin observait l'employeuse et l'employé et leurs gestes qu'ils s'échangeaient comme si elle était célibataire et comme s'il ne se trouvait pas là. Il sortit le téléphone intelligent puis se mis à filmer.
Près du lit, debout, l'épouse et l'amant se bécotent. À travers le tissu robe noire laissant les épaules nues la main amant caresse les seins. Elle abaisse la robe noire dévoilant ainsi un sein claire et rond. Il prend en bouche le téton qu'il suce, réminiscences enfance et lait maternel. Elle inspire de plaisir. Il passe au sein jumeau. Et tandis qu'il tète sa main caresse la hanche puis le derrière massif féminin. Souvenirs du pain chaud et des levrettes en arrière-boutique.
Il la retourne puis soulève le pan de la robe noire qui découvre deux fesses blanches pleines et nues. Elle aplatit les mains sur le lit, courbe le dos, cambre les fesses pour les offrir aux caresses de la bouche qui les embrasses plusieurs fois.
Elle monte sur le lit puis s'y met à quatre pattes. Au bord du lit, il pose les genoux au tapis, les coudes sur le matelas, les mains sur les fesses claires, et le visage dans la lune qu'il lèche. Ses mains écartent les fesses, ouvrent le chemin rose et intime dans lequel se perdent successivement sa langue, ses lèvres, son nez. Quel extase que de lécher le cul et le vagin d'une femme devant son mari ! Plus encore que cette femme qu'il léchait était sa patronne ! Karl Marx cunitait Margaret Thatcher !
L'amant allonge son dos sur le lit. Il ôte son t-shirt noir. À quatre pattes sur le matelas la concubine se rapproche, alors qu'il est torse-nu elle pose sa main aux ongles noirs sur son jean qu'elle abaisse jusqu'aux genoux, sa manucure noire baisse le boxer jusqu'aux cuisses, découvrant un pénis sombre en érection qu'elle saisit puis qu'elle embouche. Alors que la bouche aussi chaude qu'humide fellationne sa queue son rythme cardiaque s'accélère, le plaisir ébloui ses yeux qu'il clos. Au bord de la jouissance il sert les fesses pour ne pas éjaculer.
Heureusement pour lui c'est à son tour à elle de se faire lécher ! Elle s'allonge sur le dos puis ouvre les cuisses. Au creux des reins féminins il glisse son visage. Lèche puis suce ce vagin lisse qu'humidifie sa bouche et sa langue. Elle mordille ses lèvres agréablement. Les lèvres et la langue gourmandes poussent son vagin sur la pente orgasmique ! Elle tremble et secoue sur le lit pendant que la bouche lécheuse continue son œuvre.
Le concubin qui regardait la scène battait rapidement. Il s'allongeait aussi ! Voir sa concubine prendre jouissance avec une autre bouche l'enjalousait et l'étirait en même temps. C'était une chose savoir que sa femme baisait son employé ça était une autre les voir le faire dans leur lit conjugal. Il vit l'amant monter sa concubine puis la transpercer. Son regard allait du membre sombre tendu dans le vagin aux yeux clos féminins, à cette bouche ouverte qui oralait le plaisir prit. Il s'étirait en imaginant pénissement toutes les sensations vaginales que pouvait ressentir le jeune homme qui labourait à coups de reins virils son épouse. Il aimait voir les va et vient duo-colores. Les craquements du lit qui accéléraient. Les corps contraires compacts dans l'étreinte. Leur torpeur. Le filet blanc qui fuyait le rose.
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