Titre de l'histoire érotique : L'enfer 3
Récit érotique écrit par Laure60 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : L'enfer 3
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Premier lundi de captivité
De bonne heure mon maître me libère de la position très inconfortable dans laquelle j'ai passée la nuit.
Il m'enchaîne et me ramène dans la cuisine ou je déjeune après lui avoir fait une pipe et avalé son sperme.
Il m'explique ce qui va m'arriver: lundi et jeudi ménage chez Amandine, mardi et vendredi ménage chez lui, mercredi visite chez Jacques qui m'a louée puis je dois récompenser le jardinier.
Sans compter des hommes qui le paient pour pouvoir profiter de mon corps à n'importe quel moment, il dit que ma réputation de femme facile et soumise qui accepte tout est de plus en plus connue avec le bouche à oreille et que je suis l'objet de beaucoup de conversations et le sujet de plaisanteries graveleuses.
Une fois ma toilette matinale faite, bâillonnée et enchaînée Mathieu m'attache par le collier à un lampadaire au bord de l'allée qui va de la grille à la maison puis il sort sa voiture et part travailler.
Je patiente debout avec peu de liberté de mouvements.
Amandine apparaît.
<<alors la putain j'espère que tu es en forme car tu vas en baver aujourd'hui>>.
Elle me libère de toutes mes entraves, même du collier et des bracelets de cuir puis fouille dans un sac que mon maître avait posé à coté de moi. Elle en sort ma robe et mes escarpins, je m'habille.
<<prends le sac et suis moi, tiens toi tranquille si tu ne veux pas prendre une raclée arrivées chez moi>>.
Nous sortons de la propriété et marchons dans la rue.
Je dois saluer toutes les personnes que nous croisons adultes et enfants.
Elle me présente à des personnes rencontrées comme une cousine de Mathieu qui à le cerveau dérangé et qui a besoin d'être toujours surveillée.
Nous arrivons devant une bâtisse ancienne très bien rénovée, nous entrons dans la cour puis dans la maison ou un labrador couleur sable à poils ras répondant au nom de Max nous accueille.
<<déshabilles toi>>.
je m'exécute puis je me retrouve avec dans ma bouche une boule qui gonfle quand on tourne une vis.
<<tu vas balayer et laver le sol dans toutes les pièces, va chercher ce qu'il faut dans le cabanon dehors>>.
J'hésite, je ne vais pas sortir nue. Elle me gifle.
<<qu'est ce que tu attends, je vais t'apprendre à obéir>>.
Je sors, je vais dans le cabanon et en reviens avec des loques, un seau et des balais.Je suis à peine revenue qu'une femme crie dans la rue. Amandine sort.
<<Amandine la femme qui est chez toi se promène nue dehors>>.
<<ne fais pas attention, elle n'est pas nette et fait des conneries si on ne la surveille pas>>.
De retour dans la pièce Amandine est furibonde.
<<à cause de toi j'ai la honte, tu vas être punie, mets toi à genoux>>.
Je me positionne à genoux les bras croisés sur le sol et la tête posée sur ceux-ci, j'attends la suite qui ne me déçoit pas.
Une volée de claques s'abat sur mes fesses. Elle me frappe sans retenue et me fait très mal, je sursaute à chaque coup et essaie de ne pas bouger, de grosses larmes coulent de mes yeux.
Quand elle arrête mes fesses me cuisent et sont bien rouges.
Je balaie le sol ensuite à genoux je lave puis je passe la serpillière.
Le chien me suit tout le temps, renifle mon cul et cherche à me lécher, j'essaie de l'empêcher de mettre sa truffe entre mes fesses mais menaçante Amandine me demande de le laisser tranquille.
Ensuite je fais les poussières, comme elle n'est jamais contente de mon travail je ramasse souvent des coups de torchon.
Le ménage terminé je suis Amandine dans sa chambre, je la déshabille en essayant de me désintéresser de son physique peu appétissant.
Elle s'allonge sur le lit, je l'embrasse, sa langue se mêle à la mienne, j'essaie d'écourter le baiser mais elle en redemande.
Je caresse, embrasse et lèche ses seins plats aux aréoles poilues, son ventre et son entre-jambes puis ma bouche et ma langue s'attaquent à sa chatte et son clitoris après avoir écartés au mieux les poils de sa toison abondante et très étendue su le ventre et même le haut des cuisses. Pendant ce temps j'introduis un doigt dans son anus.
Ma langue fouille son vagin malodorant et quand je la sens bien échauffée je doigte sa chatte et masturbe son clitoris avec vigueur.
Elle a un premier orgasme, j'accélère encore le doigtage et la masturbation pour obtenir des jouissances plus rapides.
Quand je vois qu'elle a perdu sa lucidité j'attends debout au pied du lit qu'elle émerge pour la rhabiller.
De retour dans la cuisine je dois m'asseoir sur le sol, dos au mur, jambes écartées et me masturber, en me forçant à penser à certaines choses je réussis à avoir un orgasme et la mouillure qui s'échappe de mon vagin fait une tache sur le sol.
Quand je cesse de me tripoter le clitoris le chien s'approche et met le museau entre mes cuisses.
<<mon bon chien tu sens l'odeur d'une putain et regarde les cochonneries qu'elle a fait sur le carrelage>>.
Attiré par l'odeur qui se dégage de mon intimité bien humide Max la renifle puis commence à lécher, je serre mes cuisses.
Amandine se met à rire.
<<tu lui fais de l'effet, on voit que vous êtes de la même race>>.
Je regarde et stupéfaite je constate qu'il est en érection.
C'est la première fois que je vois la bite d'un chien, elle est assez longue, d'un bon diamètre et de couleur allant du rose au violacé.
Il n'a pas l'air de vouloir s'arrêter et tourne autour de moi, ce n'est que quand Amandine pose son écuelle pleine de nourriture dans un coin de la pièce qu'il se détourne de moi.
Mon repas est posé à coté de moi et je commence à manger mais Max qui a englouti rapidement sa part met le museau dans mon assiette et dévore rapidement la mienne.
Après avoir fait un peu de toilette je remets ma robe et mes chaussures puis c'est le retour chez Mathieu.
En route nous croisons deux hommes qui discutent devant un bar, il m'ont déjà sautée plusieurs fois mais ils font semblant de ne pas me connaître.
Dans la propriété de mon bourreau nous arrivons à l'endroit ou mes chaînes et autres ustensiles sont restés sur le sol de l'allée.
De nouveau nue Amandine m'affuble de mon gros collier, des bracelets en cuir puis y accroche les grosses chaînes et enfin elle me met la muselière/bâillon.
Me tirant par la laisse elle m'amène à l'endroit ou le palan est accroché à une branche d'arbre.
Elle accroche ma laisse au crochet du palan qu'elle actionne, je garde une liberté de mouvements.
<<tu peux suffisamment bouger pour la suite de l'après-midi>>.
Je n'ai pas longtemps à attendre et je comprends ce quelle voulait dire, deux hommes viennent dans ma direction certainement pas pour me faire la causette.
<<Mathieu m'a dit que je peux me servir de sa putain sans la laisser se sauver et qu'on peut lui faire n'importe quoi, est ce que c'est vrai>>.
Je hoche la tête pour dire oui.
<<ça ne te dérange pas si j'ai amené un copain, si on retire ta muselière tu ne vas pas crier>>.
je fais signe que non.
Ils me débarrassent de la muselière et des chaînes mais ma laisse reste accrochée au palan.
Ils sortent leur pénis du pantalon et penchée en avant pendant que je fais une fellation à l'un, l'autre pénètre ma chatte en levrette et me la défonce.
Ils commentent sans se soucier de ma présence.
Excités il ne leur faut pas longtemps pour arroser ma gorge et mon vagin.
Ils inversent leur place et les va-et-vient des queues dans ma chatte et ma bouche reprennent et durent plus longtemps avant que de nouveau ils n'éjaculent dans l'orifice qu'ils occupent.
A leur demande je dois masturber et sucer leur verge gluante pour les faire rebander.
Le premier qui est de nouveau en érection me met à genoux et se place derrière moi, sa queue bute dans la raie de mes fesses et la dirigeant avec une main il la positionne contre mon anus. S'agrippant à mes cuisses il donne un coup de reins et son membre pénètre dans mon cul, il pousse jusqu'à ce que son ventre bute contre mes fesses puis les va-et-vient de sa queue en moi commencent et vont en s'accélérant.
<<ça c'est bon, Mathieu avait raison quand il m'a dit qu'elle est bonne à enculer>>.
Son compère prend sa place et me défonce le cul pendant un moment puis ils se relaient sans atteindre le moment fatidique. Ils parlent entre-eux appréciant ce qu'ils me font et qu'ils n'ont pas l'habitude de faire avec leurs épouses.
Quand enfin ils arrosent mes intestins de leur sperme mon anus doit ressembler à une bouche de métro.
Ils me remettent les chaînes et la muselière et actionnent le palan pour que je ne garde qu'un minimum de liberté de mouvements. Ensuite ils disparaissent de ma vue après m'avoir dit que comme putain on ne faisait pas mieux que moi.
J'attends le retour de Mathieu qui m'emmène chez lui et me sodomise avant de me donner à manger puis entravée, réduite au silence et allongée à ses pieds je patiente.
Ensuite je passe la nuit sur la paille couchée sur le ventre les jambes repliées, les bras tirés en arrière, les chevilles et poignets attachés ensemble: encore une drôle de position pour dormir.
Premier mardi de captivité
Je déjeune, je fais ma toilette puis bâillonnée et menottée à un pied de buffet j'attends à genoux. Mon maître est parti.
Amandine arrive, elle me colle une forte claque sur une fesse.
<<encore en train de paresser, le ménage ne va pas se faire tout seul>>.
Elle enlève mes menottes et m'indique ou trouver les ustensiles que je vais chercher puis elle m'indique les pièces à faire.
Je balaie, je lave, je passe l'aspirateur puis je fais les poussières sur les meubles.
Elle estime que je travaille mal, elle m'insulte et me gifle.
Ensuite tenue en laisse elle m'entraîne dans une chambre ou je la déshabille, je lui fais l'amour puis je la rhabille.
J'ai droit à un bon repas car d'après elle je dois avoir des forces pour satisfaire l'homme qi vient faire l'amour avec moi cet après-midi.
Je vais dans la salle de bain me laver et me maquiller avec des produits que des putains ont laissés.
Je reviens dans le salon ou elle m'attend assise dans un fauteuil.
<<ce n'est pas trop mal pour une pute, mais tu aurais du forcer sur le maquillage on doit remarquer au premier coup d'oeil qu'une femme est une putain>>.
<<Madame je vais aller refaire mon maquillage>>.
<<non ça ira comme ça, viens je vais t'enfermer dans une chambre en attendant ton rendez-vous>>.
J'entre dans la chambre qu'elle m'indique, elle ferme la porte et la clé tourne dans la serrure.
Assise sur le lit je patiente.
Au bout d'un moment la porte s'ouvre et Antoine l'homme qui m'a gagnée au concours du dimanche entre et referme la porte.
<<bonjour monsieur je suis à votre disposition>>.
<<appelle moi Antoine et tu peux me tutoyer>>.
<<non monsieur, mon maître ne le permettrait pas>>.
Je m'approche de lui, frotte mes seins contre son torse, je passe mes bras autour de son cou et colle ma bouche sur la sienne. Instantanément sa langue vient à la rencontre de la mienne et ils se mêlent dans de longs baisers.
Je le déshabille en prenant mon temps et en embrassant et léchant avec application les parties de son corps que je dénude.
Comme c'est l'été il est très peu vêtu, l'effeuillage est simple.
Je le pousse sur le lit.
A genoux à coté de lui j'embrasse sa bouche puis sa poitrine et son ventre que je caresse ensuite.
Il commence à me caresser partout.
Les fesses tournées vers lui je lèche et caresse ses cuisses puis son bas ventre et enfin son pénis qui se dresse fièrement.
Ma langue se promène sur sa verge en partant du gland sur laquelle elle insiste pour terminer vers son pubis.
Entre temps après avoir caressé mes fesses et ma chatte il a soulevé une de mes jambes pour se glisser sous moi et sa figure se retrouve sous mon intimité qu'il embrasse.
Je lui fais une fellation pendant que sa langue s'introduit dans mon vagin et le lèche. Il caresse mes cuisses et mon ventre.
Après avoir bien léchée sa queue je le prends dans ma bouche et l'enfonce jusqu'à ce que mon nez s'enfonce dans sa toison pubienne puis je suce d'abord doucement puis j'accélère de plus en plus en donnant de l'amplitude aux aller-retour de ma bouche sur son membre tout en triturant ses testicules.
Pendant ce temps il s'est mis à lécher mon anus, il doigte ma chatte et martyrise mon clitoris, le chaleur monte dans mon ventre.
Son corps commence à remuer puis se tend, son pénis gonfle dans ma bouche et avec des soubresauts envoie des giclées de sperme dans ma gorge, j'avale et continue la fellation.
Antoine finit par me repousser et s'allonge sur moi puis me pénètre. Il me besogne à grands coups de reins tout s'arrêtant de temps en temps pour m'embrasser, lécher mes seins ou mordiller les tétons.
Je remue en harmonie avec lui et je prends du plaisir, je caresse son torse et son dos.
Je commence à bien mouiller quand il éjacule dans mon vagin.
Il se retire, essuie sa queue et ma chatte.
Il s'allonge sur le dos et à genoux à l'inverse de lui je caresse son ventre, ses cuisses et sa verge puis je le masturbe.
Lui après avoir caressé mon sexe et mes fesses me doigte l'anus et masturbe mon clitoris.
J'obtiens assez rapidement une érection, il y a maintenant deux doigts dans mon cul,les doigts de mon amant s'activent énergiquement sur mon clitoris.Je commence à bien mouiller et le plaisir monte dans mon ventre.
Je m'applique en lui faisant de nouveau une fellation.
Je ne veux pas jouir et je me mets sur lui les jambes de chaque coté de son corps et j'introduis sa verge dans ma chatte. Je monte et descend sur son membre avec des mouvements rapides pendant qu'il caresse mes seins et torture les tétons.
Au bout d'un moment je suis au bord de la jouissance, je me relève un peu pour que le queue sorte de mon fourreau et je la positionne sur mon anus et m'aidant du poids de mon corps je m'empale dessus.
je reprends les mouvements de va-et-vient en enfonçant au maximum son membre dans mon cul.
Je m'active un moment puis je remets son pénis dans ma chatte et je remue, il accompagne mes mouvements. Je finis par atteindre l'orgasme et arroser son ventre avec mes jets de cyprine.
Après un petit temps d'arrêt pour récupérer je recommence à bouger et comme le plaisir remonte vite dans mon ventre alors je replace sa queue dans mon cul et peu de temps après il éjacule arrosant mes intestins.
Nous prenons un peu de repos puis je prends l'initiative: je l'embrasse, il répond à mes baisers. J'embrasse et lèche son corps tout en caressant et malaxant son pénis et ses bourses.
Lui caresse ma chatte puis masturbe encore énergiquement mon clitoris.
Alternativement je masturbe et suce sa queue jusqu'à ce qu'il bande correctement.
Je me retrouve à genoux la tête dans les draps, il me pénètre la chatte et l'anus sans se fixer longtemps dans un orifice et en même temps il continue à martyriser mon clitoris pendant que caresse ses cuisses et ses testicules.
Le plaisir remonte dans mon ventre et comme notre accouplement dure un bon moment je jouis encore imperturbable il continue à me défoncer tour à tour le vagin et le cul jusqu'à ce qu'il jouisse dans mon vagin.
Nous récupérons un moment allongés sur le lit.
<<c'est super de faire l'amour avec toi, tu es douée>>.
<<si ça vous plait on peut continuer monsieur>>.
<<je voudrais bien mais il faut que je parte>>.
J'attends debout à coté du lit pendant qu'il se rhabille.
Mon maître est rentré et nous attend dans la cuisine, il demande à Antoine comment ça s'est passé bien qu'à mon avis il le sache déjà ayant certainement regardé sur un écran car il y a des caméras partout dans la propriété.
Pendant que je me lave dans l'évier avec une éponge ils parlent et mon amant du jour lui dit toute sa satisfaction.
Antoine parti nous dînons lui à table, moi à genoux l'assiette sur le carrelage.
Ensuite il m'équipe du gros collier, des bracelets en cuir des grosses chaînes et de la muselière/bâillon et il m'emmène tenue en laisse à l'endroit ou je dois passer la nuit.
Premier lundi de captivité
De bonne heure mon maître me libère de la position très inconfortable dans laquelle j'ai passée la nuit.
Il m'enchaîne et me ramène dans la cuisine ou je déjeune après lui avoir fait une pipe et avalé son sperme.
Il m'explique ce qui va m'arriver: lundi et jeudi ménage chez Amandine, mardi et vendredi ménage chez lui, mercredi visite chez Jacques qui m'a louée puis je dois récompenser le jardinier.
Sans compter des hommes qui le paient pour pouvoir profiter de mon corps à n'importe quel moment, il dit que ma réputation de femme facile et soumise qui accepte tout est de plus en plus connue avec le bouche à oreille et que je suis l'objet de beaucoup de conversations et le sujet de plaisanteries graveleuses.
Une fois ma toilette matinale faite, bâillonnée et enchaînée Mathieu m'attache par le collier à un lampadaire au bord de l'allée qui va de la grille à la maison puis il sort sa voiture et part travailler.
Je patiente debout avec peu de liberté de mouvements.
Amandine apparaît.
<<alors la putain j'espère que tu es en forme car tu vas en baver aujourd'hui>>.
Elle me libère de toutes mes entraves, même du collier et des bracelets de cuir puis fouille dans un sac que mon maître avait posé à coté de moi. Elle en sort ma robe et mes escarpins, je m'habille.
<<prends le sac et suis moi, tiens toi tranquille si tu ne veux pas prendre une raclée arrivées chez moi>>.
Nous sortons de la propriété et marchons dans la rue.
Je dois saluer toutes les personnes que nous croisons adultes et enfants.
Elle me présente à des personnes rencontrées comme une cousine de Mathieu qui à le cerveau dérangé et qui a besoin d'être toujours surveillée.
Nous arrivons devant une bâtisse ancienne très bien rénovée, nous entrons dans la cour puis dans la maison ou un labrador couleur sable à poils ras répondant au nom de Max nous accueille.
<<déshabilles toi>>.
je m'exécute puis je me retrouve avec dans ma bouche une boule qui gonfle quand on tourne une vis.
<<tu vas balayer et laver le sol dans toutes les pièces, va chercher ce qu'il faut dans le cabanon dehors>>.
J'hésite, je ne vais pas sortir nue. Elle me gifle.
<<qu'est ce que tu attends, je vais t'apprendre à obéir>>.
Je sors, je vais dans le cabanon et en reviens avec des loques, un seau et des balais.Je suis à peine revenue qu'une femme crie dans la rue. Amandine sort.
<<Amandine la femme qui est chez toi se promène nue dehors>>.
<<ne fais pas attention, elle n'est pas nette et fait des conneries si on ne la surveille pas>>.
De retour dans la pièce Amandine est furibonde.
<<à cause de toi j'ai la honte, tu vas être punie, mets toi à genoux>>.
Je me positionne à genoux les bras croisés sur le sol et la tête posée sur ceux-ci, j'attends la suite qui ne me déçoit pas.
Une volée de claques s'abat sur mes fesses. Elle me frappe sans retenue et me fait très mal, je sursaute à chaque coup et essaie de ne pas bouger, de grosses larmes coulent de mes yeux.
Quand elle arrête mes fesses me cuisent et sont bien rouges.
Je balaie le sol ensuite à genoux je lave puis je passe la serpillière.
Le chien me suit tout le temps, renifle mon cul et cherche à me lécher, j'essaie de l'empêcher de mettre sa truffe entre mes fesses mais menaçante Amandine me demande de le laisser tranquille.
Ensuite je fais les poussières, comme elle n'est jamais contente de mon travail je ramasse souvent des coups de torchon.
Le ménage terminé je suis Amandine dans sa chambre, je la déshabille en essayant de me désintéresser de son physique peu appétissant.
Elle s'allonge sur le lit, je l'embrasse, sa langue se mêle à la mienne, j'essaie d'écourter le baiser mais elle en redemande.
Je caresse, embrasse et lèche ses seins plats aux aréoles poilues, son ventre et son entre-jambes puis ma bouche et ma langue s'attaquent à sa chatte et son clitoris après avoir écartés au mieux les poils de sa toison abondante et très étendue su le ventre et même le haut des cuisses. Pendant ce temps j'introduis un doigt dans son anus.
Ma langue fouille son vagin malodorant et quand je la sens bien échauffée je doigte sa chatte et masturbe son clitoris avec vigueur.
Elle a un premier orgasme, j'accélère encore le doigtage et la masturbation pour obtenir des jouissances plus rapides.
Quand je vois qu'elle a perdu sa lucidité j'attends debout au pied du lit qu'elle émerge pour la rhabiller.
De retour dans la cuisine je dois m'asseoir sur le sol, dos au mur, jambes écartées et me masturber, en me forçant à penser à certaines choses je réussis à avoir un orgasme et la mouillure qui s'échappe de mon vagin fait une tache sur le sol.
Quand je cesse de me tripoter le clitoris le chien s'approche et met le museau entre mes cuisses.
<<mon bon chien tu sens l'odeur d'une putain et regarde les cochonneries qu'elle a fait sur le carrelage>>.
Attiré par l'odeur qui se dégage de mon intimité bien humide Max la renifle puis commence à lécher, je serre mes cuisses.
Amandine se met à rire.
<<tu lui fais de l'effet, on voit que vous êtes de la même race>>.
Je regarde et stupéfaite je constate qu'il est en érection.
C'est la première fois que je vois la bite d'un chien, elle est assez longue, d'un bon diamètre et de couleur allant du rose au violacé.
Il n'a pas l'air de vouloir s'arrêter et tourne autour de moi, ce n'est que quand Amandine pose son écuelle pleine de nourriture dans un coin de la pièce qu'il se détourne de moi.
Mon repas est posé à coté de moi et je commence à manger mais Max qui a englouti rapidement sa part met le museau dans mon assiette et dévore rapidement la mienne.
Après avoir fait un peu de toilette je remets ma robe et mes chaussures puis c'est le retour chez Mathieu.
En route nous croisons deux hommes qui discutent devant un bar, il m'ont déjà sautée plusieurs fois mais ils font semblant de ne pas me connaître.
Dans la propriété de mon bourreau nous arrivons à l'endroit ou mes chaînes et autres ustensiles sont restés sur le sol de l'allée.
De nouveau nue Amandine m'affuble de mon gros collier, des bracelets en cuir puis y accroche les grosses chaînes et enfin elle me met la muselière/bâillon.
Me tirant par la laisse elle m'amène à l'endroit ou le palan est accroché à une branche d'arbre.
Elle accroche ma laisse au crochet du palan qu'elle actionne, je garde une liberté de mouvements.
<<tu peux suffisamment bouger pour la suite de l'après-midi>>.
Je n'ai pas longtemps à attendre et je comprends ce quelle voulait dire, deux hommes viennent dans ma direction certainement pas pour me faire la causette.
<<Mathieu m'a dit que je peux me servir de sa putain sans la laisser se sauver et qu'on peut lui faire n'importe quoi, est ce que c'est vrai>>.
Je hoche la tête pour dire oui.
<<ça ne te dérange pas si j'ai amené un copain, si on retire ta muselière tu ne vas pas crier>>.
je fais signe que non.
Ils me débarrassent de la muselière et des chaînes mais ma laisse reste accrochée au palan.
Ils sortent leur pénis du pantalon et penchée en avant pendant que je fais une fellation à l'un, l'autre pénètre ma chatte en levrette et me la défonce.
Ils commentent sans se soucier de ma présence.
Excités il ne leur faut pas longtemps pour arroser ma gorge et mon vagin.
Ils inversent leur place et les va-et-vient des queues dans ma chatte et ma bouche reprennent et durent plus longtemps avant que de nouveau ils n'éjaculent dans l'orifice qu'ils occupent.
A leur demande je dois masturber et sucer leur verge gluante pour les faire rebander.
Le premier qui est de nouveau en érection me met à genoux et se place derrière moi, sa queue bute dans la raie de mes fesses et la dirigeant avec une main il la positionne contre mon anus. S'agrippant à mes cuisses il donne un coup de reins et son membre pénètre dans mon cul, il pousse jusqu'à ce que son ventre bute contre mes fesses puis les va-et-vient de sa queue en moi commencent et vont en s'accélérant.
<<ça c'est bon, Mathieu avait raison quand il m'a dit qu'elle est bonne à enculer>>.
Son compère prend sa place et me défonce le cul pendant un moment puis ils se relaient sans atteindre le moment fatidique. Ils parlent entre-eux appréciant ce qu'ils me font et qu'ils n'ont pas l'habitude de faire avec leurs épouses.
Quand enfin ils arrosent mes intestins de leur sperme mon anus doit ressembler à une bouche de métro.
Ils me remettent les chaînes et la muselière et actionnent le palan pour que je ne garde qu'un minimum de liberté de mouvements. Ensuite ils disparaissent de ma vue après m'avoir dit que comme putain on ne faisait pas mieux que moi.
J'attends le retour de Mathieu qui m'emmène chez lui et me sodomise avant de me donner à manger puis entravée, réduite au silence et allongée à ses pieds je patiente.
Ensuite je passe la nuit sur la paille couchée sur le ventre les jambes repliées, les bras tirés en arrière, les chevilles et poignets attachés ensemble: encore une drôle de position pour dormir.
Premier mardi de captivité
Je déjeune, je fais ma toilette puis bâillonnée et menottée à un pied de buffet j'attends à genoux. Mon maître est parti.
Amandine arrive, elle me colle une forte claque sur une fesse.
<<encore en train de paresser, le ménage ne va pas se faire tout seul>>.
Elle enlève mes menottes et m'indique ou trouver les ustensiles que je vais chercher puis elle m'indique les pièces à faire.
Je balaie, je lave, je passe l'aspirateur puis je fais les poussières sur les meubles.
Elle estime que je travaille mal, elle m'insulte et me gifle.
Ensuite tenue en laisse elle m'entraîne dans une chambre ou je la déshabille, je lui fais l'amour puis je la rhabille.
J'ai droit à un bon repas car d'après elle je dois avoir des forces pour satisfaire l'homme qi vient faire l'amour avec moi cet après-midi.
Je vais dans la salle de bain me laver et me maquiller avec des produits que des putains ont laissés.
Je reviens dans le salon ou elle m'attend assise dans un fauteuil.
<<ce n'est pas trop mal pour une pute, mais tu aurais du forcer sur le maquillage on doit remarquer au premier coup d'oeil qu'une femme est une putain>>.
<<Madame je vais aller refaire mon maquillage>>.
<<non ça ira comme ça, viens je vais t'enfermer dans une chambre en attendant ton rendez-vous>>.
J'entre dans la chambre qu'elle m'indique, elle ferme la porte et la clé tourne dans la serrure.
Assise sur le lit je patiente.
Au bout d'un moment la porte s'ouvre et Antoine l'homme qui m'a gagnée au concours du dimanche entre et referme la porte.
<<bonjour monsieur je suis à votre disposition>>.
<<appelle moi Antoine et tu peux me tutoyer>>.
<<non monsieur, mon maître ne le permettrait pas>>.
Je m'approche de lui, frotte mes seins contre son torse, je passe mes bras autour de son cou et colle ma bouche sur la sienne. Instantanément sa langue vient à la rencontre de la mienne et ils se mêlent dans de longs baisers.
Je le déshabille en prenant mon temps et en embrassant et léchant avec application les parties de son corps que je dénude.
Comme c'est l'été il est très peu vêtu, l'effeuillage est simple.
Je le pousse sur le lit.
A genoux à coté de lui j'embrasse sa bouche puis sa poitrine et son ventre que je caresse ensuite.
Il commence à me caresser partout.
Les fesses tournées vers lui je lèche et caresse ses cuisses puis son bas ventre et enfin son pénis qui se dresse fièrement.
Ma langue se promène sur sa verge en partant du gland sur laquelle elle insiste pour terminer vers son pubis.
Entre temps après avoir caressé mes fesses et ma chatte il a soulevé une de mes jambes pour se glisser sous moi et sa figure se retrouve sous mon intimité qu'il embrasse.
Je lui fais une fellation pendant que sa langue s'introduit dans mon vagin et le lèche. Il caresse mes cuisses et mon ventre.
Après avoir bien léchée sa queue je le prends dans ma bouche et l'enfonce jusqu'à ce que mon nez s'enfonce dans sa toison pubienne puis je suce d'abord doucement puis j'accélère de plus en plus en donnant de l'amplitude aux aller-retour de ma bouche sur son membre tout en triturant ses testicules.
Pendant ce temps il s'est mis à lécher mon anus, il doigte ma chatte et martyrise mon clitoris, le chaleur monte dans mon ventre.
Son corps commence à remuer puis se tend, son pénis gonfle dans ma bouche et avec des soubresauts envoie des giclées de sperme dans ma gorge, j'avale et continue la fellation.
Antoine finit par me repousser et s'allonge sur moi puis me pénètre. Il me besogne à grands coups de reins tout s'arrêtant de temps en temps pour m'embrasser, lécher mes seins ou mordiller les tétons.
Je remue en harmonie avec lui et je prends du plaisir, je caresse son torse et son dos.
Je commence à bien mouiller quand il éjacule dans mon vagin.
Il se retire, essuie sa queue et ma chatte.
Il s'allonge sur le dos et à genoux à l'inverse de lui je caresse son ventre, ses cuisses et sa verge puis je le masturbe.
Lui après avoir caressé mon sexe et mes fesses me doigte l'anus et masturbe mon clitoris.
J'obtiens assez rapidement une érection, il y a maintenant deux doigts dans mon cul,les doigts de mon amant s'activent énergiquement sur mon clitoris.Je commence à bien mouiller et le plaisir monte dans mon ventre.
Je m'applique en lui faisant de nouveau une fellation.
Je ne veux pas jouir et je me mets sur lui les jambes de chaque coté de son corps et j'introduis sa verge dans ma chatte. Je monte et descend sur son membre avec des mouvements rapides pendant qu'il caresse mes seins et torture les tétons.
Au bout d'un moment je suis au bord de la jouissance, je me relève un peu pour que le queue sorte de mon fourreau et je la positionne sur mon anus et m'aidant du poids de mon corps je m'empale dessus.
je reprends les mouvements de va-et-vient en enfonçant au maximum son membre dans mon cul.
Je m'active un moment puis je remets son pénis dans ma chatte et je remue, il accompagne mes mouvements. Je finis par atteindre l'orgasme et arroser son ventre avec mes jets de cyprine.
Après un petit temps d'arrêt pour récupérer je recommence à bouger et comme le plaisir remonte vite dans mon ventre alors je replace sa queue dans mon cul et peu de temps après il éjacule arrosant mes intestins.
Nous prenons un peu de repos puis je prends l'initiative: je l'embrasse, il répond à mes baisers. J'embrasse et lèche son corps tout en caressant et malaxant son pénis et ses bourses.
Lui caresse ma chatte puis masturbe encore énergiquement mon clitoris.
Alternativement je masturbe et suce sa queue jusqu'à ce qu'il bande correctement.
Je me retrouve à genoux la tête dans les draps, il me pénètre la chatte et l'anus sans se fixer longtemps dans un orifice et en même temps il continue à martyriser mon clitoris pendant que caresse ses cuisses et ses testicules.
Le plaisir remonte dans mon ventre et comme notre accouplement dure un bon moment je jouis encore imperturbable il continue à me défoncer tour à tour le vagin et le cul jusqu'à ce qu'il jouisse dans mon vagin.
Nous récupérons un moment allongés sur le lit.
<<c'est super de faire l'amour avec toi, tu es douée>>.
<<si ça vous plait on peut continuer monsieur>>.
<<je voudrais bien mais il faut que je parte>>.
J'attends debout à coté du lit pendant qu'il se rhabille.
Mon maître est rentré et nous attend dans la cuisine, il demande à Antoine comment ça s'est passé bien qu'à mon avis il le sache déjà ayant certainement regardé sur un écran car il y a des caméras partout dans la propriété.
Pendant que je me lave dans l'évier avec une éponge ils parlent et mon amant du jour lui dit toute sa satisfaction.
Antoine parti nous dînons lui à table, moi à genoux l'assiette sur le carrelage.
Ensuite il m'équipe du gros collier, des bracelets en cuir des grosses chaînes et de la muselière/bâillon et il m'emmène tenue en laisse à l'endroit ou je dois passer la nuit.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vraiment très bien
super
tes histoires provoquent vraiment une belle excitation,mème si parfois le texte est un peu dur,je finis toujours par enlever ma culotte et jouer avec mon clito.<<<<<<je te fais une grosse bise, Laure>>>>
Encore une fois ma main s'active sur mon sexe et ton récit en est encore la cause.
Continue, je t'embrasse
Continue, je t'embrasse