Titre de l'histoire érotique : L'épouse, l'amant, l'époux ! 5
Récit érotique écrit par Hujambo Korodani [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 49 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : L'épouse, l'amant, l'époux ! 5
À l’extérieur la nuit recouvrait la ville lorsque l’épouse d’un pas sûr pénétra dans le bar. Le bruit de ses talons aiguilles se noya dans le fond sonore des conversations, des effluves du tabac en feu, des molécules d’alcools, des bleuâtres douces lueurs du lieu.
Une demi-douzaine d’homme occupait le comptoir ; une autre causait assis à des tables ; l’endroit n’épousait pas la solitaire en fourrure haute sur talons. « Mon vagin me chatouille… sa bite doit être grosse lui… peut-être pas… et lui-là… un beau corps mais une sale gueule !… ha lui là-bas au comptoir ! Faut voir ça de près… »
Elle se rapprocha de lui : la cinquantaine, blanc, cheveux grisonnants, légèrement à l’écart des autres au comptoir.
Soudain comme assaillit par un ours il se retourna pour sourire à celle devant lui : quarantenaire de type caucasienne à la crinière très noire, close dans une fourrure grise, aussi agréable du corps que du visage. Visuellement il appréciait tout en elle, avec une préférence pour sa poitrine volumineuse.
-Je vous offre à boire ?
-Non merci. C’est pas ça que j’attends de vous.
Qu’attendait-elle de lui ? Pourquoi le fixait-elle ? Il ouvrait la bouche lorsqu’à travers son jean la main de l’étrangère soudainement tâta son pénis.
« Suivez-moi, murmura-t-elle dans son oreille, si vous osez !» Elle s’éloigna de lui. Il la vit disparaître derrière la porte des aises pour femmes sous les regards caressants des autres types du bar. À l’idée que l’un d’eux pouvait le devancer il avala d’une traite son verre qu’il claqua contre le comptoir puis se leva ensuite disparut comme elle derrière la porte des sanitaires.
-Désolé si vous attendez que je vous paye…
-Pourquoi ?
-… j’avais pas prévu d’aller aux putes aujourd’hui.
-J’suis pas une pute.
-Qu’êtes vous alors ?
-Une femme qui jouit.
Debout contre le mur ils s’enivraient réciproquement l’un de l’autre en s’embrassant. « J’ai pas de culotte…. Tu peux vérifier !» Elle attrapa sa main qu’elle déposa au creux de ses cuisses. Effectivement elle ne portait pas de sous-vêtement. Sa fleur brulait. Soudain les yeux de l’homme s’injectèrent de sperme ! Il l’attrapa par les épaules puis la plaqua ventre contre le mur ensuite d’une main il saisit son pénis prêt à la fendre !
« Pas ici chaud lapin ». Elle avait parlé calmement. C’était dans la même mesure retournée. Ça le déconcertait.
-On va baiser chez moi.
-Chez toi ?
-Oui.
-Mais…
-Soit tu viens ou soit tu ne viens pas…
-Ah bon ?
-… si tu ne viens pas j’en ramène un autre.
-Sérieux ?
-Oui.
Cela faisait une fraction de seconde qu’ils se trouvaient assis dans la confortable berline de la dame dont l’intérieur en cuir noir semblait tout juste sortie de l’usine. Une agréable émanation synthétique flottait au milieu des cinq sièges. Elle mettait de bonne humeur le nouveau couple.
-Faut que je vous dise…
-Oui.
-Vous devez mettre ce bandeau pour garder mon secret.
-Quel secret ?
-Ça n’est plus un secret si je vous le dit.
Il respira bruyamment puis scruta du regard le bandeau noir qu’elle lui proposait. « Vous’ êtes pas obligés d’accepter. Vous pouvez tout aussi refuser et sortir de cette voiture ». Elle avait causé d’un ton ferme tout en souriant. Ça devait être la première fois qu’une femme lui parlait de la sorte. Ça le titillait. Il voulait le dernier mot.
-Je suis joueur. J’accepte !
Le bandeau remplit son regard de nuit.
-J’espère que vous n’êtes pas l’une de ces femmes…
-Quoi?
-… que les trafiquants d’organes utilisent comme appâts.
-Hé, qui sait ? Peut-être que j’en suis une.
-Franchement… vous me le diriez n’est-ce-pas ?
-Je vous dirais quoi ?
« Si vous me meniez à l’abattoir. J’ai pas de bons organes, je bois, je fume, j’suis qu’un vieux con de plus de cinquante berges. Mes organes ne valent plus le coup ! »
Ensemble ils rigolèrent puis le silence s’installa. On entendait les plaintes du moteur. « Ma bite me tuera un jour !» Pensa-t-il lorsque la voiture se mit à rouler.
Cela faisait plus d’une heure qu’il attendait, nu, à mêle le sol, étendu, collier de chien autour du cou joint à une chaine enchainée à un pilier en bois, cage pour chaste en acier noué au pénis. Maintenant ses yeux s’étant habitués à l’obscurité il voyait nettement les parois de sa geôle malgré le peu de lumière qui y filtrait toujours. La ronde du monde continuait. Il attendait. Il ne faisait qu’attendre. Par chance, ni la faim, ni la soif, ni l’envie d’uriner, ne l’harcelaient, pour l’instant, pour combien de temps encore ? Il devait seulement attendre sagement à sa place qu’elle reviennent avec la proie du jour. C’était tout ce qu’il devait faire.
Soudain il entendit quelque chose. Du bruit. Des pas. Des pas d’escarpins célestes mêlés à ceux sourds et trainards d’un homme. Une salive neuve coula vers l’avant de sa bouche. Sa queue enfla dans la cage d’abstinence. « Elle ne rentre jamais Bredouille. C’est à croire qu’on ne peut lui résister ». Les bruits des pas stoppèrent devant la porte de sa prison. Le bois grinça. Un éblouissement aveugla la pièce. Il découvrirait la proie du jour.
La voiture s’était arrêtée au feu rouge. Tandis que sa main gauche tenait le volant sa main droite reposait sur le jean de l’homme au niveau de l’entrejambe. Les doigts rouges féminins dézippèrent la fermeture éclair puis s’introduisirent sous la culotte où une broussaille pubienne avait proliférée. Les doigts aux ongles rouges entourèrent le pénis puis le serrèrent. Le phallus gonfla. Les délicats doigts le masturbèrent délicatement, s’attardèrent subtilement sur le gland, puis descendirent soudainement vers les testicules gorgées de sperme. Elle entendit la respiration de l’homme s’affoler. Elle ralentit ses caresses. Le feux routier émit un tintement. La voiture avança.
-T’as envie de me baiser ?
-Oui ! Qu’aurait pas envie de te baiser ?
-Il va falloir patienter jusqu’à l’arrivée.
-Si je m’écoutais... Je te violerais !
-On risque d’avoir un accident…
-Je m’en fous !
-Il va pourtant falloir que tu patientes.
-On peut s’arrêter dans un parking et…
-Non ! On va baiser où et quand je voudrais !
-Ok.
Un quart de litre de sang se trouvait compressé dans la verge verticalement tendue prisonnière de la main féminine qui la masturbait à son bon vouloir quand elle la sentait faiblir ou la tenait seulement entre les doigts quand elle la devinait trop puissante.
Ils arrivèrent enfin.
-Je peux virer mon bandeau ?
-Pas encore.
Elle descendit du véhicule puis le prit par la main. « J’ai fait du karaté quand j’étais gosse ! Je sais me battre ! » Il avait parlé à haute voix comme à d’éventuels assaillants ; il connaissait des histoires sordides où des bombes sexuelles avaient séduites des hommes qui s’étaient réveillés de leurs idylles charnelles avec un rein ou les deux testicules en moins, ou encore qui ne s’étaient jamais réveillés. On est jamais assez prudent avec les humains. Comme réponse elle se contenta de rire.
« Enfin arrivé ! Je vais enlever ton bandeau ».Elle détacha le bandeau. La lumière l’aveugla. Le voile lumineux diminua. Ils se trouvait dans une chambre quelconque : un lit, quelques tableaux accrochés aux murs, une commode, pas l’ombre d’une glacière de conservation d’organes, pas d’assaillants, qu’eux, lui et elle, dans une chambre parmi les million que comptait le monde.
« Viens allons nous asseoir sur le plumard ».Par le bras elle le mena jusqu’au lit sur lequel ils s’assirent ensuite elle déposa sa main à la manucure rouge sur le genou de l’homme.
-J’ai un secret à t’avouer.
-Lequel ? Ah! Je crois que je le connais. T’es une tueuse…
-Non.
-… en série qui tue les hommes après les avoir baisés !
-Non idiot ! Mon maris est ici.
-Sérieux ?
Il parcourut la chambre du regard : personne.
-Mais si ton mari est là dans la maison, il va s’énerver !
-T’inquiète pas. Mon maris est mon esclave.
-Je me disais bien cela. Vu tes manières autoritaires.
Soudainement elle frappa le bois de sa main puis souleva une portion du drap qui recouvrait le dessous du lit.
-Sors de là larvette !
-Oui Maitresse.
Un rampement souterrain s’éleva d’en dessous le lit puis tout à coup en jaillit le tronc d’un homme.
-C’est mon mari. C’est mon esclave. Il habite là-dessous !
-Ah Bon?
Elle cracha sur le sol puis écrasa le crane de l’esclave avec son escarpin.
-Nettoie ça !
-Oui Maitresse.
Avec étonnement l’amant du soir regardait la langue soumise baigner dans la flaque de salive dominante. Une tête d’une vingtaine d’année sous l’emprise d’un escarpin. Ils étaient en gynarchie.
-On va baiser toute la nuit mon amant et moi.
-Oui Maitresse.
-Es-tu d’accord pour me baiser toute la nuit ?
La main aux manucures rouges toucha la fermeture éclair.
-Oui !
Les lèvres de l’épouse embrassèrent les lèvres de l’amant.
-Nettoie mes pieds larvette !
-Oui Maitresse.
Pendant que la langue soumise léchait le cuir rouge des escarpins la langue dominatrice s’enfonçait dans la bouche de l’amant.
-Sors de là !
-Oui Maitresse.
-Entièrement !
-Oui Maitresse.
La Maitresse attrapa la laisse du chien puis sans ménagement elle le tira à elle.
-Salope ! J’ai dit de sortit du lit pas de t’éloigner !
-Désolé Maitresse.
Elle le gifla.
-Ouvre la bouche !
-Oui Maitresse.
Elle crachat dans sa bouche.
-Avale !
-Oui Maitresse.
La salive de la Maitresse glissait dans la gorge du soumis pendant qu’elle embrassait de nouveau l’amant. Assise sur le lit, la Maitresse écarta les cuisses, découvrit le rose intérieur de son entrecuisse au soumis qui à quatre patte bandait douloureusement dans sa cage pour chaste.
-Tu me toucheras plus jamais ça !
-Oui Maitresse.
La Maitresse introduisit l’avant pointu de son escarpin dans la bouche du soumis.
-Debout !
-Oui Maitresse.
Elle tira verticalement la laisse du chien qui se retrouva à genoux puis elle s’approcha de lui ensuite elle lui tourna le dos.
-Enlève-moi ma jupe !
-Oui Maitresse.
Le soumis débarrassa la Maitresse de sa juge puis son nez se retrouva à quelques centimètres de son postérieur rond.
-Enlève mon haut !
-Oui Maitresse.
Elle joignit les mains en l’air. Ses parfaits seins refaits défiaient la formule d’Einstein nus. L’amant tétait ses tétons. Il se déshabilla. Il faisait face à l’épouse debout qui frottait son gland rond contre la chaude ouverture du vagin pendant que le soumis étendu sur le sol léchait les escarpins rouges.
-T’as envie de me baiser ?
-Oui !
« Allonge-toi sur le lit comme ça tu pourras lécher ma chatte pendant que mon cocu lèchera mes chaussures ». L’amant s’allongea sur le matelas. L’épouse s’assit sur son visage. Elle caressait la clairenorme pendant que la langue de l’homme ouvrait ses lèvres vaginales.
-Sa bite est beaucoup plus longue que la tienne.
-Oui Maitresse.
Sous les assauts de la langue de l’amant elle expira d’aise. La Maitresse se leva puis introduisit ses doigts dans son vagin humide ensuite elle les colla sur le nez du soumis qu’elle tenait en chaine.
-Qu’est que ça sent ?
-Votre vagin Maitresse.
-Enlève-moi mes chaussures et mes bas !
-Oui Maitresse.
Le soumis débarrassa la Maitresse des escarpins puis des bas. Découvrant les orteils aux manucures rouges de sa Maitresse il banda un peu plus.
-Mes pieds… lèche mes pieds !
-Oui Maitresse !
Comme celle d’un chien la langue du soumis parcourut la peau claire des pieds féminins.
-Maintenant tu vas sucer la bite de mon amant !
-Oui Maitresse.
-Je ne me suis jamais fait sucer la bite par un homme.
-T’as qu’à imaginer que c’est une pute !
-Je vais essayer.
-On va lui mettre un peu de rouge à lèvres.
La Maitresse ouvrit la commode, sortit un tube de rouge à lèvres qu’elle appliqua grossièrement sur les lèvres du soumis. Elle tira l’esclave par la laisse puis le traina à genoux jusqu’au milieux des jambes de l’amant.
-Suce sa bite !
-Oui Maitresse.
De la main elle pressa la nuque du soumis contre la bite de l’amant qui gardait les yeux clos. C’était la première fois de sa vie qu’il se faisait sucer par un homme. Cette bouche active sous les insultes féminines lui procurait un indéniable plaisir même si intérieurement il alternait entre l’envie de rire et celle d’éjaculer.
« Viens ici, suce mes seins ! » Elle décolla la bouche cocue du braquemart de l’amant qui se mis à sucer les seins pendant que le soumis léchait les escarpins. « Caresse ma chatte ! » C’était la première fois qu’une femme le commandait au pieu. Les sensations que lui procurait cette voix à la fois féminine et autoritaire lui semblaient étrangement exquises. Obéissant comme jamais il gratta le vagin de la Dominatrice.
-Allonge-toi !
L’amant s’allongea sur le dos, verge verticale.
-Cocu !
-Oui Maitresse.
-Un préservatif !
-Oui Maitresse.
Le cocu rampa jusqu’à la commode. Il ramassa un préservatif qu’il tendit à la Maitresse.
-Non ! Mets le lui !
-Oui Maitresse.
Le soumis déchira l’emballage du condom, sortit le préservatif, monta sur le lit, l’installa sur la verge rivale prête à satisfaire sa Maitresse.
-Elle a un peu molli. Suce larvette !
-Oui Maitresse.
Les lèvres du cocu emballèrent la saucisse étrangère. La main de la Maitresse l’humiliait en accompagnant les montés et descendes de sa bouche par des pressions à la nuque. Le latex lissait sa bouche.
-Ça suffit !
-Oui Maitresse.
-Regarde comment il va me baiser.
-Oui Maitresse.
-Tu ne pourras jamais me baiser !
-Oui Maitresse.
Pendant que sa cage d’abstinence sexuelle devenait de plus en plus étroite pour son pénis le cocu uni à sa Maitresse par la laisse de chien vit le vagin de son épouse progressivement s’asseoir sur la bite de son rival.
-Suce le talon de mon escarpin !
-Oui Maitresse.
-Suce le comme une bite !
-Oui Maitresse.
La bouche du soumis recueillit le talon aiguille de l’escarpin de la Maitresse alors qu’elle soupirait de plaisir en chevauchant le braquemart de l’amant qui d’en dessous apercevait la sévère figure féminine au galop s’enjailler. Il pressa les parfaits seins ronds entre les mains comme elle accéléra ses coups de reins violemment. Il cru mourir d’un infarctus lorsqu’il éjacula en criant !
-On m’a jamais baisé comme ça !
Il souffla.
-Moi, plusieurs fois.
Elle l’embrassa.
-J’en doute pas.
Brusquement elle tira la laisse du chien.
-Viens ici !
-Oui Maitresse.
Ses ongles rouges ôtèrent le préservatif de la verge de l’amant.
-Ouvre la bouche !
-Oui Maitresse.
Dans la béante bouche du cocu elle renversa le contenu de la capote.
-Avale !
-Oui Maitresse.
-Ça te fera des vitamines !
Les deux amants rigolèrent puis leurs lèvres se mêlèrent.
-Faut pas que je reste trop avec toi.
-Pourquoi ?
-Je risque de finir comme lui… ton soumis.
-Mais t’es déjà mon soumis.
Là-dessus elle s’assit sur le visage de l’amant puis l’ordonna de lécher son vagin. Le dominant sexe.
Une demi-douzaine d’homme occupait le comptoir ; une autre causait assis à des tables ; l’endroit n’épousait pas la solitaire en fourrure haute sur talons. « Mon vagin me chatouille… sa bite doit être grosse lui… peut-être pas… et lui-là… un beau corps mais une sale gueule !… ha lui là-bas au comptoir ! Faut voir ça de près… »
Elle se rapprocha de lui : la cinquantaine, blanc, cheveux grisonnants, légèrement à l’écart des autres au comptoir.
Soudain comme assaillit par un ours il se retourna pour sourire à celle devant lui : quarantenaire de type caucasienne à la crinière très noire, close dans une fourrure grise, aussi agréable du corps que du visage. Visuellement il appréciait tout en elle, avec une préférence pour sa poitrine volumineuse.
-Je vous offre à boire ?
-Non merci. C’est pas ça que j’attends de vous.
Qu’attendait-elle de lui ? Pourquoi le fixait-elle ? Il ouvrait la bouche lorsqu’à travers son jean la main de l’étrangère soudainement tâta son pénis.
« Suivez-moi, murmura-t-elle dans son oreille, si vous osez !» Elle s’éloigna de lui. Il la vit disparaître derrière la porte des aises pour femmes sous les regards caressants des autres types du bar. À l’idée que l’un d’eux pouvait le devancer il avala d’une traite son verre qu’il claqua contre le comptoir puis se leva ensuite disparut comme elle derrière la porte des sanitaires.
-Désolé si vous attendez que je vous paye…
-Pourquoi ?
-… j’avais pas prévu d’aller aux putes aujourd’hui.
-J’suis pas une pute.
-Qu’êtes vous alors ?
-Une femme qui jouit.
Debout contre le mur ils s’enivraient réciproquement l’un de l’autre en s’embrassant. « J’ai pas de culotte…. Tu peux vérifier !» Elle attrapa sa main qu’elle déposa au creux de ses cuisses. Effectivement elle ne portait pas de sous-vêtement. Sa fleur brulait. Soudain les yeux de l’homme s’injectèrent de sperme ! Il l’attrapa par les épaules puis la plaqua ventre contre le mur ensuite d’une main il saisit son pénis prêt à la fendre !
« Pas ici chaud lapin ». Elle avait parlé calmement. C’était dans la même mesure retournée. Ça le déconcertait.
-On va baiser chez moi.
-Chez toi ?
-Oui.
-Mais…
-Soit tu viens ou soit tu ne viens pas…
-Ah bon ?
-… si tu ne viens pas j’en ramène un autre.
-Sérieux ?
-Oui.
Cela faisait une fraction de seconde qu’ils se trouvaient assis dans la confortable berline de la dame dont l’intérieur en cuir noir semblait tout juste sortie de l’usine. Une agréable émanation synthétique flottait au milieu des cinq sièges. Elle mettait de bonne humeur le nouveau couple.
-Faut que je vous dise…
-Oui.
-Vous devez mettre ce bandeau pour garder mon secret.
-Quel secret ?
-Ça n’est plus un secret si je vous le dit.
Il respira bruyamment puis scruta du regard le bandeau noir qu’elle lui proposait. « Vous’ êtes pas obligés d’accepter. Vous pouvez tout aussi refuser et sortir de cette voiture ». Elle avait causé d’un ton ferme tout en souriant. Ça devait être la première fois qu’une femme lui parlait de la sorte. Ça le titillait. Il voulait le dernier mot.
-Je suis joueur. J’accepte !
Le bandeau remplit son regard de nuit.
-J’espère que vous n’êtes pas l’une de ces femmes…
-Quoi?
-… que les trafiquants d’organes utilisent comme appâts.
-Hé, qui sait ? Peut-être que j’en suis une.
-Franchement… vous me le diriez n’est-ce-pas ?
-Je vous dirais quoi ?
« Si vous me meniez à l’abattoir. J’ai pas de bons organes, je bois, je fume, j’suis qu’un vieux con de plus de cinquante berges. Mes organes ne valent plus le coup ! »
Ensemble ils rigolèrent puis le silence s’installa. On entendait les plaintes du moteur. « Ma bite me tuera un jour !» Pensa-t-il lorsque la voiture se mit à rouler.
Cela faisait plus d’une heure qu’il attendait, nu, à mêle le sol, étendu, collier de chien autour du cou joint à une chaine enchainée à un pilier en bois, cage pour chaste en acier noué au pénis. Maintenant ses yeux s’étant habitués à l’obscurité il voyait nettement les parois de sa geôle malgré le peu de lumière qui y filtrait toujours. La ronde du monde continuait. Il attendait. Il ne faisait qu’attendre. Par chance, ni la faim, ni la soif, ni l’envie d’uriner, ne l’harcelaient, pour l’instant, pour combien de temps encore ? Il devait seulement attendre sagement à sa place qu’elle reviennent avec la proie du jour. C’était tout ce qu’il devait faire.
Soudain il entendit quelque chose. Du bruit. Des pas. Des pas d’escarpins célestes mêlés à ceux sourds et trainards d’un homme. Une salive neuve coula vers l’avant de sa bouche. Sa queue enfla dans la cage d’abstinence. « Elle ne rentre jamais Bredouille. C’est à croire qu’on ne peut lui résister ». Les bruits des pas stoppèrent devant la porte de sa prison. Le bois grinça. Un éblouissement aveugla la pièce. Il découvrirait la proie du jour.
La voiture s’était arrêtée au feu rouge. Tandis que sa main gauche tenait le volant sa main droite reposait sur le jean de l’homme au niveau de l’entrejambe. Les doigts rouges féminins dézippèrent la fermeture éclair puis s’introduisirent sous la culotte où une broussaille pubienne avait proliférée. Les doigts aux ongles rouges entourèrent le pénis puis le serrèrent. Le phallus gonfla. Les délicats doigts le masturbèrent délicatement, s’attardèrent subtilement sur le gland, puis descendirent soudainement vers les testicules gorgées de sperme. Elle entendit la respiration de l’homme s’affoler. Elle ralentit ses caresses. Le feux routier émit un tintement. La voiture avança.
-T’as envie de me baiser ?
-Oui ! Qu’aurait pas envie de te baiser ?
-Il va falloir patienter jusqu’à l’arrivée.
-Si je m’écoutais... Je te violerais !
-On risque d’avoir un accident…
-Je m’en fous !
-Il va pourtant falloir que tu patientes.
-On peut s’arrêter dans un parking et…
-Non ! On va baiser où et quand je voudrais !
-Ok.
Un quart de litre de sang se trouvait compressé dans la verge verticalement tendue prisonnière de la main féminine qui la masturbait à son bon vouloir quand elle la sentait faiblir ou la tenait seulement entre les doigts quand elle la devinait trop puissante.
Ils arrivèrent enfin.
-Je peux virer mon bandeau ?
-Pas encore.
Elle descendit du véhicule puis le prit par la main. « J’ai fait du karaté quand j’étais gosse ! Je sais me battre ! » Il avait parlé à haute voix comme à d’éventuels assaillants ; il connaissait des histoires sordides où des bombes sexuelles avaient séduites des hommes qui s’étaient réveillés de leurs idylles charnelles avec un rein ou les deux testicules en moins, ou encore qui ne s’étaient jamais réveillés. On est jamais assez prudent avec les humains. Comme réponse elle se contenta de rire.
« Enfin arrivé ! Je vais enlever ton bandeau ».Elle détacha le bandeau. La lumière l’aveugla. Le voile lumineux diminua. Ils se trouvait dans une chambre quelconque : un lit, quelques tableaux accrochés aux murs, une commode, pas l’ombre d’une glacière de conservation d’organes, pas d’assaillants, qu’eux, lui et elle, dans une chambre parmi les million que comptait le monde.
« Viens allons nous asseoir sur le plumard ».Par le bras elle le mena jusqu’au lit sur lequel ils s’assirent ensuite elle déposa sa main à la manucure rouge sur le genou de l’homme.
-J’ai un secret à t’avouer.
-Lequel ? Ah! Je crois que je le connais. T’es une tueuse…
-Non.
-… en série qui tue les hommes après les avoir baisés !
-Non idiot ! Mon maris est ici.
-Sérieux ?
Il parcourut la chambre du regard : personne.
-Mais si ton mari est là dans la maison, il va s’énerver !
-T’inquiète pas. Mon maris est mon esclave.
-Je me disais bien cela. Vu tes manières autoritaires.
Soudainement elle frappa le bois de sa main puis souleva une portion du drap qui recouvrait le dessous du lit.
-Sors de là larvette !
-Oui Maitresse.
Un rampement souterrain s’éleva d’en dessous le lit puis tout à coup en jaillit le tronc d’un homme.
-C’est mon mari. C’est mon esclave. Il habite là-dessous !
-Ah Bon?
Elle cracha sur le sol puis écrasa le crane de l’esclave avec son escarpin.
-Nettoie ça !
-Oui Maitresse.
Avec étonnement l’amant du soir regardait la langue soumise baigner dans la flaque de salive dominante. Une tête d’une vingtaine d’année sous l’emprise d’un escarpin. Ils étaient en gynarchie.
-On va baiser toute la nuit mon amant et moi.
-Oui Maitresse.
-Es-tu d’accord pour me baiser toute la nuit ?
La main aux manucures rouges toucha la fermeture éclair.
-Oui !
Les lèvres de l’épouse embrassèrent les lèvres de l’amant.
-Nettoie mes pieds larvette !
-Oui Maitresse.
Pendant que la langue soumise léchait le cuir rouge des escarpins la langue dominatrice s’enfonçait dans la bouche de l’amant.
-Sors de là !
-Oui Maitresse.
-Entièrement !
-Oui Maitresse.
La Maitresse attrapa la laisse du chien puis sans ménagement elle le tira à elle.
-Salope ! J’ai dit de sortit du lit pas de t’éloigner !
-Désolé Maitresse.
Elle le gifla.
-Ouvre la bouche !
-Oui Maitresse.
Elle crachat dans sa bouche.
-Avale !
-Oui Maitresse.
La salive de la Maitresse glissait dans la gorge du soumis pendant qu’elle embrassait de nouveau l’amant. Assise sur le lit, la Maitresse écarta les cuisses, découvrit le rose intérieur de son entrecuisse au soumis qui à quatre patte bandait douloureusement dans sa cage pour chaste.
-Tu me toucheras plus jamais ça !
-Oui Maitresse.
La Maitresse introduisit l’avant pointu de son escarpin dans la bouche du soumis.
-Debout !
-Oui Maitresse.
Elle tira verticalement la laisse du chien qui se retrouva à genoux puis elle s’approcha de lui ensuite elle lui tourna le dos.
-Enlève-moi ma jupe !
-Oui Maitresse.
Le soumis débarrassa la Maitresse de sa juge puis son nez se retrouva à quelques centimètres de son postérieur rond.
-Enlève mon haut !
-Oui Maitresse.
Elle joignit les mains en l’air. Ses parfaits seins refaits défiaient la formule d’Einstein nus. L’amant tétait ses tétons. Il se déshabilla. Il faisait face à l’épouse debout qui frottait son gland rond contre la chaude ouverture du vagin pendant que le soumis étendu sur le sol léchait les escarpins rouges.
-T’as envie de me baiser ?
-Oui !
« Allonge-toi sur le lit comme ça tu pourras lécher ma chatte pendant que mon cocu lèchera mes chaussures ». L’amant s’allongea sur le matelas. L’épouse s’assit sur son visage. Elle caressait la clairenorme pendant que la langue de l’homme ouvrait ses lèvres vaginales.
-Sa bite est beaucoup plus longue que la tienne.
-Oui Maitresse.
Sous les assauts de la langue de l’amant elle expira d’aise. La Maitresse se leva puis introduisit ses doigts dans son vagin humide ensuite elle les colla sur le nez du soumis qu’elle tenait en chaine.
-Qu’est que ça sent ?
-Votre vagin Maitresse.
-Enlève-moi mes chaussures et mes bas !
-Oui Maitresse.
Le soumis débarrassa la Maitresse des escarpins puis des bas. Découvrant les orteils aux manucures rouges de sa Maitresse il banda un peu plus.
-Mes pieds… lèche mes pieds !
-Oui Maitresse !
Comme celle d’un chien la langue du soumis parcourut la peau claire des pieds féminins.
-Maintenant tu vas sucer la bite de mon amant !
-Oui Maitresse.
-Je ne me suis jamais fait sucer la bite par un homme.
-T’as qu’à imaginer que c’est une pute !
-Je vais essayer.
-On va lui mettre un peu de rouge à lèvres.
La Maitresse ouvrit la commode, sortit un tube de rouge à lèvres qu’elle appliqua grossièrement sur les lèvres du soumis. Elle tira l’esclave par la laisse puis le traina à genoux jusqu’au milieux des jambes de l’amant.
-Suce sa bite !
-Oui Maitresse.
De la main elle pressa la nuque du soumis contre la bite de l’amant qui gardait les yeux clos. C’était la première fois de sa vie qu’il se faisait sucer par un homme. Cette bouche active sous les insultes féminines lui procurait un indéniable plaisir même si intérieurement il alternait entre l’envie de rire et celle d’éjaculer.
« Viens ici, suce mes seins ! » Elle décolla la bouche cocue du braquemart de l’amant qui se mis à sucer les seins pendant que le soumis léchait les escarpins. « Caresse ma chatte ! » C’était la première fois qu’une femme le commandait au pieu. Les sensations que lui procurait cette voix à la fois féminine et autoritaire lui semblaient étrangement exquises. Obéissant comme jamais il gratta le vagin de la Dominatrice.
-Allonge-toi !
L’amant s’allongea sur le dos, verge verticale.
-Cocu !
-Oui Maitresse.
-Un préservatif !
-Oui Maitresse.
Le cocu rampa jusqu’à la commode. Il ramassa un préservatif qu’il tendit à la Maitresse.
-Non ! Mets le lui !
-Oui Maitresse.
Le soumis déchira l’emballage du condom, sortit le préservatif, monta sur le lit, l’installa sur la verge rivale prête à satisfaire sa Maitresse.
-Elle a un peu molli. Suce larvette !
-Oui Maitresse.
Les lèvres du cocu emballèrent la saucisse étrangère. La main de la Maitresse l’humiliait en accompagnant les montés et descendes de sa bouche par des pressions à la nuque. Le latex lissait sa bouche.
-Ça suffit !
-Oui Maitresse.
-Regarde comment il va me baiser.
-Oui Maitresse.
-Tu ne pourras jamais me baiser !
-Oui Maitresse.
Pendant que sa cage d’abstinence sexuelle devenait de plus en plus étroite pour son pénis le cocu uni à sa Maitresse par la laisse de chien vit le vagin de son épouse progressivement s’asseoir sur la bite de son rival.
-Suce le talon de mon escarpin !
-Oui Maitresse.
-Suce le comme une bite !
-Oui Maitresse.
La bouche du soumis recueillit le talon aiguille de l’escarpin de la Maitresse alors qu’elle soupirait de plaisir en chevauchant le braquemart de l’amant qui d’en dessous apercevait la sévère figure féminine au galop s’enjailler. Il pressa les parfaits seins ronds entre les mains comme elle accéléra ses coups de reins violemment. Il cru mourir d’un infarctus lorsqu’il éjacula en criant !
-On m’a jamais baisé comme ça !
Il souffla.
-Moi, plusieurs fois.
Elle l’embrassa.
-J’en doute pas.
Brusquement elle tira la laisse du chien.
-Viens ici !
-Oui Maitresse.
Ses ongles rouges ôtèrent le préservatif de la verge de l’amant.
-Ouvre la bouche !
-Oui Maitresse.
Dans la béante bouche du cocu elle renversa le contenu de la capote.
-Avale !
-Oui Maitresse.
-Ça te fera des vitamines !
Les deux amants rigolèrent puis leurs lèvres se mêlèrent.
-Faut pas que je reste trop avec toi.
-Pourquoi ?
-Je risque de finir comme lui… ton soumis.
-Mais t’es déjà mon soumis.
Là-dessus elle s’assit sur le visage de l’amant puis l’ordonna de lécher son vagin. Le dominant sexe.
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