Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...
La technologie est parfois incroyable ! Il m’arrive parfois de faire un peu de tri et de nettoyage dans mes contacts. Comme tout le monde, j’ai tendance à enregistrer les numéros de gens que je croise ici ou là dans le cadre de mon boulot ou en dehors. On échange nos 06 ou 07, c’est pratique, on s’envoie, dans le meilleur des cas, un texto ou deux et puis plus rien ! Et voilà que ce numéro reste dans notre répertoire, on finit même par oublier à qui il est ! Donc, de temps en temps, j’efface ces numéros devenus inutiles…
Parmi les numéros que je conserve le moins longtemps, il y a ceux des rencontres faites ici ou là et qui nous amènent au lit pour un soir à la deuxième ou troisième rencontre. Ce fut le cas de ce 06 suivi de deux 69 qui m’avait amusé tant j’avais trouvé ça prometteur… C’était il y a près de deux ans, j’étais déjà en couple avec ma compagne, elle s’était absentée pour son travail, je m’étais retrouvé seul, j’avais décidé d’aller me balader sur le front de mer un soir, avec un pack de bières à la main, j’avais tapé l’incruste dans un groupe d’amis assis sur un ponton… Bref, une soirée sympa et détendue entre mecs et l’un d’eux, Stéphane, 22 ans à l’époque, m’avait paru vraiment sympa, on avait discuté de tout et de rien et fini par échanger ces fameux 06 pour prendre un verre à l’occasion.
On s’était contacté deux jours après puis revus dans la foulée. Je l’avais trouvé mignon, 1m80 pour 75 kg, musclé mais pas trop, bien foutu, brun aux yeux clairs, une barbe de plusieurs jours de mec qui est en vacances avais-je pensé, un T-shirt blanc un peu moulant, un jeans bleu délavé avec des revers dont l’un était plus large que l’autre, ça m’avait frappé. Je m’étais dit qu’il n’avait sûrement pas de compagne, aucune femme n’aurait laissé son mec sortir avec deux revers pas de la même longueur ! Moi, je portais une chemise blanche manches courtes, les premiers boutons ouverts dévoilant mon torse quasi-imberbe, un jean noir avec deux revers parfaitement égaux et, comme lui, des baskets blanches. Il arrive à la terrasse du café où je suis déjà installé, je me lève pour lui serrer la main, il me sourit franchement, il a un beau sourire, il s’assoit et commande. On discute un moment, il est assis à côté de moi, on mate un peu les passants. Ne sachant pas trop à qui j’ai affaire, je remarque une superbe meuf qui passe, je lui fais remarquer, il me répond :
-« Mouais, canon, par contre le mec qui la suit me fait plus d’effet. Pas toi ? »
-« Ok, je vois ! Bah moi, tu sais, je trouve les deux à mon goût ».
Je n’avais pas fini de dire ça que son genou est venu contre le mien et, très vite, sa main s’est posée sur ma cuisse. Là, en principe, les choses s’accélèrent ! On s’est lancé deux regards très convenus, on a terminé nos verres cul sec, on s’est levé pour se diriger vers sa location à trois rues de là. Je ne me souviens plus vraiment de la location, par contre, j’ai encore en tête la super pipe qu’il m’a faite alors que j’étais dos à la porte, le jeans sur les cuisses, il suçait super bien, ses mains me caressaient le ventre et le torse, je gémissais de plaisir. Je l’ai relevé, je l’ai plaqué sur la table, j’ai baissé son jean pour lui bouffer la rondelle et la lui doigter pour la lui ouvrir. J’ai sorti le préservatif que j’avais dans ma poche, je l’ai enfilé et je l’ai baisé pendant un bon moment avant de remplir la capote et le faire cracher sur le sol.
C’était un très bon coup mais on ne s’était jamais revu. Depuis, j’avais effacé son numéro et, pour tout dire, je l’avais un peu oublié aussi.
Un jour, je reçois un texto d’un numéro inconnu : « Putain de soirée mec, j’ai kiffé ta bite, on remet ça quand tu veux lol ». Le genre de message qui flatte notre virilité, qui m’excite en général mais bon, là, j’ai bien compris que c’était pas pour moi. J’ai réfléchis et me suis souvenu de ce numéro, grâce au deux 69 ! Du coup, ça m’a un peu excité mais j’ai laissé tomber en souriant… Le soir même, je repense à ce texto et, allez savoir pourquoi, j’y réponds :
-« Salut, comme ça, t’aime toujours autant la bite ? »
-« Carrément ! Surtout quand le mec sait bien s’en servir comme tu l’as fait hier soir lol ».
-« Ben disons que je m’en suis bien servi avec toi mais c’était pas hier mais je prends le compliment quand même lol »
-« T’es qui du coup ? »
J’ai remémoré notre précédente rencontre à ce beau gosse, ça m’a foutu la trique évidemment, ce dont je lui ai fait part :
-« Je peux voir ? »
J’ai envoyé un cliché de ma bite bien raide du haut de ses 19 cm par 5, le gland décalotté, un peu luisant de mouille :
« Hummm, oui, je me souviens parfaitement maintenant. Faut croire que les Pascal sont faits pour me faire plaisir…»
-« Et, t’aurais pas envie d’y regoûter ? »
-« Si tu le proposes, je m’oppose pas lol »
On a mis au point les derniers détails puisqu’il habite à environ une heure de chez moi. On était jeudi, il ne pouvait pas venir avant le dimanche soir, il devait repartir lundi en fin de matinée. Ça marchait vu que ma compagne devait partir pour son travail dimanche après-midi.
Plus la fin de semaine arrivait, plus mes hormones s’activaient et ma libido me travaillait. Je revoyais ce petit cul imberbe, ferme dressé avec un trou serré mais accueillant, chaud et humide dans lequel j’avais pris mon pied et je comptais bien remettre ça toute une nuit ! On s’est envoyés quelques textos bien chauds avec quelques clichés très explicites qui ne laissaient planer aucun doute quant au but de nos retrouvailles…
Dimanche soir, un texto de Stéphane : « Désolé, je ne peux pas venir, imprévu de dernière minute, partie remise…». Ah le salaud, un mytho ! J’avais les crocs et la rage ! Je réponds :
-« Tu me fais quoi là ? Pauv’mytho ! »
-« Non, j’avais prévu de venir mais une tuile au taf, je bosse ce soir, désolé »
-« Tu bosses où ? »
-« Un bar… »
Je l’ai harcelé jusqu’à avoir l’adresse, j’ai pris la voiture et j’y suis allé. Je voulais le cul de ce mec et je l’aurais !
Une heure et demie après, j’entrais dans le bar. Je crois que c’est lui que j’ai vu en premier, il servait des consommations à une table, il était penché, souriait aux clients tout en déposant les verres, je l’ai trouvé super sexy dans son « uniforme » chemisette blanche, pantalon et baskets noirs. Il est reparti vers le bar, j’ai pu admirer son cul bien moulé, j’ai bandé direct à l’idée de ce que j’allais lui mettre.
Je me suis assis sur un tabouret près d’un groupe de potes. Il a bien mis 10 minutes à me remarquer, j’ai cru qu’il allait échapper son plateau et que sa mâchoire allait de décrocher tellement il a été surpris :
-« Salut, ben sois pas surpris comme ça, t’es pas content de me voir ? »
-« Ben, j’avoue que c’est une sacrée surprise ! Je bosse tard tu sais. »
-« T’inquiète pas, j’ai tout mon temps ! »
-« Ok, tu veux quoi ? »
-« Ce que je veux vraiment peut encore attendre, pour l’instant, sers-moi une bière »
Il a souri et m’a apporté mon demi. Je suis resté là à boire quelques verres, à discuter avec d’autres clients, à profiter de l’ambiance plutôt sympa. Vers une heure du matin, les derniers clients partaient, je suis sorti aussi attendre Stéphane adossé à ma voiture. Une demi-heure après, les lumières se sont éteintes et tous les employés sont sortis. J’ai fini par voir Stéphane se diriger vers moi :
-« Ben toi, t’es un cas ! J’en reviens pas que tu sois venu et que t’aies attendu tout ce temps ! »
-« Y’a des causes qui valent le coup qu’on fasse preuve de patience. »
En disant cela, je le matais de la tête aux pieds, j’aurais pu le prendre sauvagement là, dans la rue tellement j’avais envie de lui. Il s’est collé à moi, m’a embrassé et a mis sa main sur mon paquet. Tellement j’étais excité, une onde électrique m’a parcouru le corps de la tête aux pieds, je bandais si fort que j’en avais mal, j’étais super serré dans mon jeans. Il a senti tout cela et, dans le creux de l’oreille, m’a dit : « J’habite à 10 minutes, tu vas l’avoir ta récompense et moi ma dose ! »
Je ne suis pas sûr qu’on ait mis 10 minutes pour arriver chez lui. Par contre, il était déjà torse-nu et le pantalon baissé quand on est entré dans son appartement au deuxième étage. Ma main parcourait déjà sa raie. Il m’a juste dit qu’il passait vite fait sous la douche, il m’a montré le salon et les bouteilles pour que je lui serve un whisky et ce que je voulais. J’ai servi les verres, j’entendais l’eau couler puis elle s’est arrêtée, j’ai foncé dans la salle de bain, il sortait de la douche tout ruisselant, je l’ai poussé dedans, je l’ai plaqué à la paroi, j’ai viré mon T-shirt et mes pompes, je l’ai embrassé et j’ai commencé les caresses. Il a commencé à gémir et m’a dit : « Ouiiiii, je suis à toi… ». Sa peau mouillée contre la mienne finissait de me rendre fou. Je l’ai brutalement retourné pour qu’il m’offre son cul, il l’a cambré, je suis descendu en l’embrassant et en mordillant sa peau fraîche de la nuque aux lombaires. Mes mains caressaient son torse et pinçait ses tétons, il gémissait de plus en plus. J’ai ensuite mordillé ses fesses tellement appétissantes et irrésistibles, je les ai un peu fessées entre deux baisers et coup de langues. D’un coup, il les a écarté avec ses deux mains, il m’offrait son trou magnifique sans un seul poil, la raie était douce, ma langue passait et repassait pour la lubrifier puis elle s’est attardée sur ce trou, elle l’a pénétré, a fait des petits mouvements tournants, il était parfois agité de soubresauts et émettait des cris ou m’encourageait pour que je continue cet anulingus qui lui plaisait tant.
Un puis deux doigts sont entré en lui, d’abord les premières phalanges puis un peu plus, ils ont tournés à l’intérieur, se sont écartés l’un de l’autre pour l’ouvrir et détendre son sphincter. Son souffle était saccadé, il cognait parfois son front sur la paroi de la douche et se branlait de plus en plus frénétiquement. Il a fini par me dire : « Je vais pas tarder à jouir si tu continues comme ça ».
Je me suis donc relevé, je suis sorti de la douche, j’ai tendu la main pour qu’il la saisisse et l’on s’est dirigé vers la chambre. Il y avait un petit couloir, je me suis adossé au mur et je lui ai dit : « Suce-moi, là ! »
Il s’est mis à genoux, a déboutonné mon jeans tout en léchant ma bite à travers le tissu, il a écarté les deux pans de la braguette et m’a léché à travers le boxer pendant un bon moment, il a fini par le baisser et libérer la « bête ». J’ai ondulé du bassin pour le biffler, il avait la bouche ouverte mais accentuait mes mouvements pour que ma bite claque sur ses joues puis, d’un coup, il l’a prise fermement dans sa main et l’a gobée. Sa langue s’est enroulée autour du gland, un flot de salive est arrivé, c’était trop bon, j’ai poussé un long râle de plaisir qui venait directement de mes couilles !
Il m’a fait une pipe incroyable alternant le travail du gland du méat jusqu’au frein, puis des va-et-vient tantôt rapides et bruyants, tantôt plus lents et extrêmement sensuels. Il m’a même gratifié de plusieurs gorges profondes. Après un long moment, il est ressorti, m’a regardé et m’a dit : « Je veux que tu baises ma gueule et que tu m’envoies ton jus. Là, il s’est calé le dos et la tête contre le mur du couloir, j’ai avancé et je me suis mis à aller et venir dans sa bouche, de plus en plus fort, vite et profondément, ses mains, posées sur mes fesses amplifiaient les mouvements, c’était vraiment bon, il encaissait bien. Il s’est mis à me masser les couilles d’une main et me caresser le ventre de l’autre.
J’ai senti le plaisir monter, j’ai rejeté ma tête en arrière, j’ai senti qu’il étirait mes couilles en arrière, la sensation était incroyable, ses lèvres se sont serrées contre mon gland et j’ai vidé tout mon jus dans sa bouche en 7 ou 8 jets. J’ai cru que je ne m’arrêterais jamais. Quand j’ai eu fini, il a ouvert la bouche pour me montrer qu’elle était pleine de jus, un filet avait coulé sur une des commissures, il a avalé et m’a souri. J’ai fait de même, avec mon pouce, j’ai récolté le sperme qui avait coulé pour qu’il l’avale. Il a bien sucé mon pouce et a repris ma bite pendant une bonne minute pour bien la nettoyer.
Il s’est relevé et m’a dit : « Y’a deux whisky qui nous attendent je crois !». Il est parti vers le salon, je lui ai mis une tape sur les fesses et j’ai rajouté : « Ouais, on va prendre quelques forces pour la suite, j’en ai pas fini avec toi. ». « C’est clair » m’a-t-il dit….
Si ça vous intéresse de savoir si le whisky était bon lol, faîtes-le moi savoir, je vous raconterai ça !
Parmi les numéros que je conserve le moins longtemps, il y a ceux des rencontres faites ici ou là et qui nous amènent au lit pour un soir à la deuxième ou troisième rencontre. Ce fut le cas de ce 06 suivi de deux 69 qui m’avait amusé tant j’avais trouvé ça prometteur… C’était il y a près de deux ans, j’étais déjà en couple avec ma compagne, elle s’était absentée pour son travail, je m’étais retrouvé seul, j’avais décidé d’aller me balader sur le front de mer un soir, avec un pack de bières à la main, j’avais tapé l’incruste dans un groupe d’amis assis sur un ponton… Bref, une soirée sympa et détendue entre mecs et l’un d’eux, Stéphane, 22 ans à l’époque, m’avait paru vraiment sympa, on avait discuté de tout et de rien et fini par échanger ces fameux 06 pour prendre un verre à l’occasion.
On s’était contacté deux jours après puis revus dans la foulée. Je l’avais trouvé mignon, 1m80 pour 75 kg, musclé mais pas trop, bien foutu, brun aux yeux clairs, une barbe de plusieurs jours de mec qui est en vacances avais-je pensé, un T-shirt blanc un peu moulant, un jeans bleu délavé avec des revers dont l’un était plus large que l’autre, ça m’avait frappé. Je m’étais dit qu’il n’avait sûrement pas de compagne, aucune femme n’aurait laissé son mec sortir avec deux revers pas de la même longueur ! Moi, je portais une chemise blanche manches courtes, les premiers boutons ouverts dévoilant mon torse quasi-imberbe, un jean noir avec deux revers parfaitement égaux et, comme lui, des baskets blanches. Il arrive à la terrasse du café où je suis déjà installé, je me lève pour lui serrer la main, il me sourit franchement, il a un beau sourire, il s’assoit et commande. On discute un moment, il est assis à côté de moi, on mate un peu les passants. Ne sachant pas trop à qui j’ai affaire, je remarque une superbe meuf qui passe, je lui fais remarquer, il me répond :
-« Mouais, canon, par contre le mec qui la suit me fait plus d’effet. Pas toi ? »
-« Ok, je vois ! Bah moi, tu sais, je trouve les deux à mon goût ».
Je n’avais pas fini de dire ça que son genou est venu contre le mien et, très vite, sa main s’est posée sur ma cuisse. Là, en principe, les choses s’accélèrent ! On s’est lancé deux regards très convenus, on a terminé nos verres cul sec, on s’est levé pour se diriger vers sa location à trois rues de là. Je ne me souviens plus vraiment de la location, par contre, j’ai encore en tête la super pipe qu’il m’a faite alors que j’étais dos à la porte, le jeans sur les cuisses, il suçait super bien, ses mains me caressaient le ventre et le torse, je gémissais de plaisir. Je l’ai relevé, je l’ai plaqué sur la table, j’ai baissé son jean pour lui bouffer la rondelle et la lui doigter pour la lui ouvrir. J’ai sorti le préservatif que j’avais dans ma poche, je l’ai enfilé et je l’ai baisé pendant un bon moment avant de remplir la capote et le faire cracher sur le sol.
C’était un très bon coup mais on ne s’était jamais revu. Depuis, j’avais effacé son numéro et, pour tout dire, je l’avais un peu oublié aussi.
Un jour, je reçois un texto d’un numéro inconnu : « Putain de soirée mec, j’ai kiffé ta bite, on remet ça quand tu veux lol ». Le genre de message qui flatte notre virilité, qui m’excite en général mais bon, là, j’ai bien compris que c’était pas pour moi. J’ai réfléchis et me suis souvenu de ce numéro, grâce au deux 69 ! Du coup, ça m’a un peu excité mais j’ai laissé tomber en souriant… Le soir même, je repense à ce texto et, allez savoir pourquoi, j’y réponds :
-« Salut, comme ça, t’aime toujours autant la bite ? »
-« Carrément ! Surtout quand le mec sait bien s’en servir comme tu l’as fait hier soir lol ».
-« Ben disons que je m’en suis bien servi avec toi mais c’était pas hier mais je prends le compliment quand même lol »
-« T’es qui du coup ? »
J’ai remémoré notre précédente rencontre à ce beau gosse, ça m’a foutu la trique évidemment, ce dont je lui ai fait part :
-« Je peux voir ? »
J’ai envoyé un cliché de ma bite bien raide du haut de ses 19 cm par 5, le gland décalotté, un peu luisant de mouille :
« Hummm, oui, je me souviens parfaitement maintenant. Faut croire que les Pascal sont faits pour me faire plaisir…»
-« Et, t’aurais pas envie d’y regoûter ? »
-« Si tu le proposes, je m’oppose pas lol »
On a mis au point les derniers détails puisqu’il habite à environ une heure de chez moi. On était jeudi, il ne pouvait pas venir avant le dimanche soir, il devait repartir lundi en fin de matinée. Ça marchait vu que ma compagne devait partir pour son travail dimanche après-midi.
Plus la fin de semaine arrivait, plus mes hormones s’activaient et ma libido me travaillait. Je revoyais ce petit cul imberbe, ferme dressé avec un trou serré mais accueillant, chaud et humide dans lequel j’avais pris mon pied et je comptais bien remettre ça toute une nuit ! On s’est envoyés quelques textos bien chauds avec quelques clichés très explicites qui ne laissaient planer aucun doute quant au but de nos retrouvailles…
Dimanche soir, un texto de Stéphane : « Désolé, je ne peux pas venir, imprévu de dernière minute, partie remise…». Ah le salaud, un mytho ! J’avais les crocs et la rage ! Je réponds :
-« Tu me fais quoi là ? Pauv’mytho ! »
-« Non, j’avais prévu de venir mais une tuile au taf, je bosse ce soir, désolé »
-« Tu bosses où ? »
-« Un bar… »
Je l’ai harcelé jusqu’à avoir l’adresse, j’ai pris la voiture et j’y suis allé. Je voulais le cul de ce mec et je l’aurais !
Une heure et demie après, j’entrais dans le bar. Je crois que c’est lui que j’ai vu en premier, il servait des consommations à une table, il était penché, souriait aux clients tout en déposant les verres, je l’ai trouvé super sexy dans son « uniforme » chemisette blanche, pantalon et baskets noirs. Il est reparti vers le bar, j’ai pu admirer son cul bien moulé, j’ai bandé direct à l’idée de ce que j’allais lui mettre.
Je me suis assis sur un tabouret près d’un groupe de potes. Il a bien mis 10 minutes à me remarquer, j’ai cru qu’il allait échapper son plateau et que sa mâchoire allait de décrocher tellement il a été surpris :
-« Salut, ben sois pas surpris comme ça, t’es pas content de me voir ? »
-« Ben, j’avoue que c’est une sacrée surprise ! Je bosse tard tu sais. »
-« T’inquiète pas, j’ai tout mon temps ! »
-« Ok, tu veux quoi ? »
-« Ce que je veux vraiment peut encore attendre, pour l’instant, sers-moi une bière »
Il a souri et m’a apporté mon demi. Je suis resté là à boire quelques verres, à discuter avec d’autres clients, à profiter de l’ambiance plutôt sympa. Vers une heure du matin, les derniers clients partaient, je suis sorti aussi attendre Stéphane adossé à ma voiture. Une demi-heure après, les lumières se sont éteintes et tous les employés sont sortis. J’ai fini par voir Stéphane se diriger vers moi :
-« Ben toi, t’es un cas ! J’en reviens pas que tu sois venu et que t’aies attendu tout ce temps ! »
-« Y’a des causes qui valent le coup qu’on fasse preuve de patience. »
En disant cela, je le matais de la tête aux pieds, j’aurais pu le prendre sauvagement là, dans la rue tellement j’avais envie de lui. Il s’est collé à moi, m’a embrassé et a mis sa main sur mon paquet. Tellement j’étais excité, une onde électrique m’a parcouru le corps de la tête aux pieds, je bandais si fort que j’en avais mal, j’étais super serré dans mon jeans. Il a senti tout cela et, dans le creux de l’oreille, m’a dit : « J’habite à 10 minutes, tu vas l’avoir ta récompense et moi ma dose ! »
Je ne suis pas sûr qu’on ait mis 10 minutes pour arriver chez lui. Par contre, il était déjà torse-nu et le pantalon baissé quand on est entré dans son appartement au deuxième étage. Ma main parcourait déjà sa raie. Il m’a juste dit qu’il passait vite fait sous la douche, il m’a montré le salon et les bouteilles pour que je lui serve un whisky et ce que je voulais. J’ai servi les verres, j’entendais l’eau couler puis elle s’est arrêtée, j’ai foncé dans la salle de bain, il sortait de la douche tout ruisselant, je l’ai poussé dedans, je l’ai plaqué à la paroi, j’ai viré mon T-shirt et mes pompes, je l’ai embrassé et j’ai commencé les caresses. Il a commencé à gémir et m’a dit : « Ouiiiii, je suis à toi… ». Sa peau mouillée contre la mienne finissait de me rendre fou. Je l’ai brutalement retourné pour qu’il m’offre son cul, il l’a cambré, je suis descendu en l’embrassant et en mordillant sa peau fraîche de la nuque aux lombaires. Mes mains caressaient son torse et pinçait ses tétons, il gémissait de plus en plus. J’ai ensuite mordillé ses fesses tellement appétissantes et irrésistibles, je les ai un peu fessées entre deux baisers et coup de langues. D’un coup, il les a écarté avec ses deux mains, il m’offrait son trou magnifique sans un seul poil, la raie était douce, ma langue passait et repassait pour la lubrifier puis elle s’est attardée sur ce trou, elle l’a pénétré, a fait des petits mouvements tournants, il était parfois agité de soubresauts et émettait des cris ou m’encourageait pour que je continue cet anulingus qui lui plaisait tant.
Un puis deux doigts sont entré en lui, d’abord les premières phalanges puis un peu plus, ils ont tournés à l’intérieur, se sont écartés l’un de l’autre pour l’ouvrir et détendre son sphincter. Son souffle était saccadé, il cognait parfois son front sur la paroi de la douche et se branlait de plus en plus frénétiquement. Il a fini par me dire : « Je vais pas tarder à jouir si tu continues comme ça ».
Je me suis donc relevé, je suis sorti de la douche, j’ai tendu la main pour qu’il la saisisse et l’on s’est dirigé vers la chambre. Il y avait un petit couloir, je me suis adossé au mur et je lui ai dit : « Suce-moi, là ! »
Il s’est mis à genoux, a déboutonné mon jeans tout en léchant ma bite à travers le tissu, il a écarté les deux pans de la braguette et m’a léché à travers le boxer pendant un bon moment, il a fini par le baisser et libérer la « bête ». J’ai ondulé du bassin pour le biffler, il avait la bouche ouverte mais accentuait mes mouvements pour que ma bite claque sur ses joues puis, d’un coup, il l’a prise fermement dans sa main et l’a gobée. Sa langue s’est enroulée autour du gland, un flot de salive est arrivé, c’était trop bon, j’ai poussé un long râle de plaisir qui venait directement de mes couilles !
Il m’a fait une pipe incroyable alternant le travail du gland du méat jusqu’au frein, puis des va-et-vient tantôt rapides et bruyants, tantôt plus lents et extrêmement sensuels. Il m’a même gratifié de plusieurs gorges profondes. Après un long moment, il est ressorti, m’a regardé et m’a dit : « Je veux que tu baises ma gueule et que tu m’envoies ton jus. Là, il s’est calé le dos et la tête contre le mur du couloir, j’ai avancé et je me suis mis à aller et venir dans sa bouche, de plus en plus fort, vite et profondément, ses mains, posées sur mes fesses amplifiaient les mouvements, c’était vraiment bon, il encaissait bien. Il s’est mis à me masser les couilles d’une main et me caresser le ventre de l’autre.
J’ai senti le plaisir monter, j’ai rejeté ma tête en arrière, j’ai senti qu’il étirait mes couilles en arrière, la sensation était incroyable, ses lèvres se sont serrées contre mon gland et j’ai vidé tout mon jus dans sa bouche en 7 ou 8 jets. J’ai cru que je ne m’arrêterais jamais. Quand j’ai eu fini, il a ouvert la bouche pour me montrer qu’elle était pleine de jus, un filet avait coulé sur une des commissures, il a avalé et m’a souri. J’ai fait de même, avec mon pouce, j’ai récolté le sperme qui avait coulé pour qu’il l’avale. Il a bien sucé mon pouce et a repris ma bite pendant une bonne minute pour bien la nettoyer.
Il s’est relevé et m’a dit : « Y’a deux whisky qui nous attendent je crois !». Il est parti vers le salon, je lui ai mis une tape sur les fesses et j’ai rajouté : « Ouais, on va prendre quelques forces pour la suite, j’en ai pas fini avec toi. ». « C’est clair » m’a-t-il dit….
Si ça vous intéresse de savoir si le whisky était bon lol, faîtes-le moi savoir, je vous raconterai ça !
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Toujours aussi excitantes tes histoires , elles doivent faire mouillez plus d'un en les lisant , J'attend la suite avec impatience
Alors là, CHAPEAU !! Tu as super bien raconté la tension sexuelle qui monte, qui monte...l'emballement des sens et tout le reste .Super beau texte qui m'a chaviré ( Akileditu)
super belle histoire vivement la suite
Trop bon, vite la suite.
Bisous
Bisous
Vite...la suite!
waou superbe histoire et de rencontre avec ce mec, juste savoit tu mentionne pas au debut si tu été attirer déjà par les hommes.
espérons vite d'une suite à ce récit hyper bandante ;)
espérons vite d'une suite à ce récit hyper bandante ;)