Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...2

- Par l'auteur HDS Pasal -
Récit érotique écrit par Pasal [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 11 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de Pasal ont reçu un total de 102 697 visites.
Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-06-2017 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 824 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...2
Stéphane, ce mec canon d’1m80 pour 75kg, marchait devant moi dans le petit couloir de son appartement. Je remontais et reboutonnais maladroitement la braguette de mon jeans pour le suivre. J’étais encore un peu groggy de la magistrale pipe qu’il venait de me faire. Il avait fait retomber un peu et temporairement mon excitation. On s’est installés sur les sièges du salon, en face l’un de l’autre, la table basse entre nous sur laquelle se trouvaient deux verres de whisky que j’avais remplis plus tôt pendant qu’il se douchait, juste avant de le rejoindre dans la salle de bain, obéissant à une pulsion sexuelle irrépressible…
On a attrapé nos verres, on a trinqué en silence et on a bu une gorgée qui nous a réchauffé le gosier. C’est lui qui a rompu le silence :
-« J’en reviens pas que tu te sois tapé plus d’une heure de route pour venir me retrouver ».
-« Attends ! T’as vu comme on s’est chauffé par textos toute la semaine ! Et là, tu m’annonces qu’on ne pourra pas se voir parce que tu dois aller bosser. Tu croyais que j’allais accepter ça et rien dire? Non mec, j’avais la trique et envie de toi, j’allais pas lâcher comme ça, c’est pas mon genre ! »
-« T’as bien fait. Quand je t’ai vu dans le bar, j’y ai pas cru ! Je me suis dit « C’est pas vrai, il est venu jusque- là ! », t‘es un grand malade toi ».
On a rigolé de la situation, c’est vrai que j’avais jamais pris la voiture pour faire 100 Km juste pour baiser un quasi inconnu. Ce mec, je l’avais juste rencontré quelques mois auparavant, on s’était plu, on avait passé un bon moment puis chacun était reparti de son côté. On n’aurait jamais dû se revoir s’il ne m’avait pas envoyé, par erreur, un SMS bien chaud qui m’avait excité et poussé à renouer contact.
On a discuté de nos vies, mon couple hétéro avec mes incartades gays et lui, célibataire, gay passif mais qui n’as pas encore fait son coming out, il voit plus ou moins régulièrement un collègue, Cédric, le barman avec qui j’avais discuté toute la soirée. Un mec sympathique, drôle, la quarantaine, bien conservé, un peu dragueur et charmeur. Je l’aurais cru hétéro vu comme il matait les filles, il est maintenant bi depuis qu’il a craqué pour Stéphane depuis quelques semaines! C’est un peu compliqué vu qu’il n’assume pas vraiment la situation…
Au bout du troisième whisky, on commençait à avoir un peu chaud dans tous les sens du terme. J’ai commencé par enlever mon T-shirt et me caresser un peu en lui faisant des sourires et des mouvements de tête pour l’attirer vers moi. Il n’a pas résisté bien longtemps. Il s’est levé tout doucement et a mis de la musique, il est revenu devant moi et m’a demandé de me mettre à l’aise et de profiter du spectacle. Je me suis avachi dans le fauteuil, les mains croisées derrière la tête, les jambes écartées et j’ai commencé à siffler quand il a entamé une danse très langoureuse, sexy avec des gestes sans équivoques. L’excitation revenait de part et d’autre.
Il a entamé un striptease de fou, très long, terriblement érotique, il m’envoyait ses fringues, venait danser et se dandiner juste devant moi, s’accroupissait devant mes jambes, simulant une fellation, me caressait furtivement, se retournait, frottait son cul contre mon paquet. Il gémissait et simulait un orgasme comme si je le prenais, il me regardait d’un air coquin, riait et recommençait. J’étais dans un état d’excitation indescriptible, je bandais comme un âne, je suis sûr que je mouillais, ce mec me mettait les sens sans dessus-dessous ! Je jouais le jeu, je l’encourageais, j’aimais le voir bouger comme ça, il me désirait ça ne faisait aucun doute.
Il m’a tendu la main, je l’ai saisi, il a tiré pour m’aider à me lever, je l’ai suivi dans la chambre, il continuait à danser, j’admirais son cul de rêve et son corps entièrement nu qui bougeait, je le trouvais incandescent, brûlant de désir, au moins autant que moi.
On est arrivés dans la chambre, il s’est assis sur le lit, face à moi. J’ai approché mon bassin de lui, très prêt, il a embrassé et léché ma queue à travers mon jeans, il a déboutonné la braguette, m’a regardé et m’a dit :
-« Hummmm, tu bandes bien raide, j’adore »
-« Ouais, tu vas kiffer, je vais bien m’occuper de toi. »
Je ne me suis pas fait prier pour me déshabiller ! Les quelques fringues qui me restaient son vite tombées à terre. Je l’ai renversé sur le dos, il a écarté les jambes, je l’ai saisi par les hanches pour lui redresser le bassin quasiment à la verticale et ma bouche a plongé entre ses fesses, ma langue a touché son trou, encore serré, et en a forcé l’entrée sans trop de difficultés. Je l’ai entendu crier et monter dans les aigus :
-« Aaaaahhhhhh ouiiiiii, bouffe-moi la moule, je kiffe trop ça, vaaaaas-yyyyyy ! »
J’ai continué en salivant un maximum dans son trou, en mordillant ses fesses, en déposant des baisers bruyants puis en replongeant en lui. A chaque fois, il criait et m’encourageait à continuer, sa main appuyait sur ma tête pour que ma langue s’enfonce le plus profond possible en lui.
Je me suis aussi occupé de ses couilles en les gobant et en tirant dessus tout en lui demandant de se branler. Il gémissait de plus en plus et a recommencé à crier quand je lui ai enfoncé deux doigts d’un coup sans le prévenir. Je l’ai limé à fond pendant un bon moment en crachant sur son trou pour le lubrifier. Entre deux cris, il m’a désigné la table de nuit et m’a demandé de prendre une capote. J’ouvre le tiroir, il y en avait au moins 50 la dedans, je n’ai pas pu m’empêcher de dire :
-« Et ben, tu reçois souvent toi ! »
-« Mets-en une et baise-moi, j’en peux plus là ! »
Je crois que c’est à ce moment-là que son portable a sonné la première fois. A vrai dire, ça ne nous a pas déconcentré, je l’ai lâché juste le temps de dérouler le préservatif sur ma bite. Il en a profité pour se retourner, se mettre à quatre pattes sur le lit et m’offrir son cul bien fendu et baveux. Je l’ai saisi par les hanches, je l’ai tiré vers moi, mon gland s’est posé sur son trou, j’ai tiré tout en poussant avec mon bassin, j’ai fermé les yeux, rejeté ma tête en arrière, je l’ai entendu crier et, la seconde d’après, ma bite avait entièrement disparu dans son corps ! Il était serré mais bien humide et chaud, je me suis mis à me déchainer dans son cul, le tirant contre mon ventre tout en lui donnant de grands coups de reins. Ses fesses claquaient fort contre mon corps, mes couilles s’écrasaient contre son trou, à chaque fois, il criait : « OUIIIII » tout en se cramponnant aux barreaux de la tête du lit.
J’ai lâché ses hanches pour m’allonger un peu sur son dos, j’ai posé mes mains de chaque côté de sa tête, j’ai étendu mes jambes et j’ai repris les coups forts et rapides. Cette position me permettait d’y aller encore plus fort, ce qu’il a apprécié : « Oh ouiiii, c’est trop bon, défonce-moi à fond ».
Il m’a fait basculer sur le côté, je suis tombé sur le lit, il a relevé sa jambe, une de mes mains était bloquée sous son corps, l’autre est passée sur son torse et a commencé à lui triturer les tétons tandis que je le pilonnais de plus belle. On a continué un moment comme ça jusqu’à ce que je l’entende me dire :
-« Oh putain, je jouis sur ta queue, t’arrête paaaaaaaas »
Il avait presque complètement débandé mais son corps était agité de soubresauts, il avait la chair de poule, respirait de façon saccadée et bruyante, je sentais son cul se contracter sur ma bite, j’avais ralenti le rythme pour profiter de cet orgasme anal qui fut long et intense. Puis c’est mon plaisir à moi qui est monté de façon fulgurante et irréversible. Ce fut tellement violent et puissant que j’ai mordu son épaule tout en remplissant la capote de plusieurs jets libérateurs.
Après avoir pris le temps de redescendre l’un et l’autre, je me suis retiré et allongé sur le dos, essoufflé et repu, il en a fait de même mais a repris sa branle quelques secondes avant que six gros jets n’expulsent son jus sur son ventre.
C’est là que j’ai entendu son téléphone une deuxième fois mais lui a fait comme si de rien n’était, il m’a dit :
-« Oh que c’est bon ! Tu sens cette odeur de mâle de foutre et de sexe, j’adore ça ! »
Il s’est retourné et s’est couché sur moi pour m’embraser, mes mains se sont posées sur son cul, j’ai senti son trou encore béant et mouillé, son foutre et nos sueurs se sont mélangés sur nos ventres, il m‘a dit :
-« T’as bien fait de venir, ça aurait été dommage ! »
-« Carrément ! »
On s’est caressés et embrassés encore un peu et on s’est endormis comme ça vers 4 h du matin.
C’est la sonnette de la porte qui m’a fait sursauter, il y a eu deux autres coups secs comme pour manifester une certaine impatience. J’ai bondi du lit, complètement perdu, Stéphane n’était plus là, je me suis précipité dans le salon, je l’ai vu, en train d’enfiler un T-shirt et un boxer à la hâte, il m’a fait signe de ne pas faire de bruit, m’a balancé mes fringues, m’a poussé dans la salle de bains et, d’une voix à peine audible m’a dit :
-« Désolé mais mon mec débarque.. »
-« Cédric, le barman ??? »
-« Oui mais on s’en fout, il a dû essayer de me joindre et, inquiet ou vénère, il débarque. Planque-toi là et attends sans faire de bruit ».
-« T’es fou, je me planque pas là-dedans, il sait pas que t’es là, on fait pas de bruit, il va repartir, t’auras qu’à lui dire que t’as fait la fête et que t’as dormi chez des potes… »
Il hésitait et était paniqué, ça m’a excité et je me suis mis à bander, je l’ai embrassé puis je lui ai fait signe de regarder ma bite, il a compris ce que je voulais, il a jeté un regard furtif à la porte comme si Cédric pouvait entrer, la situation me rendait fou, j’ai appuyé sur ses épaules, il est descendu et a avalé ma queue. Il a commencé à me sucer alors que deux nouvelles salves de sonnette ont retenti puis deux coups frappés, Stéphane sursautait à chaque fois mais continuait sa pipe. Je gémissais en silence mais que c’était bon, se faire tailler une pipe au réveil alors que le mec de celui qui me la fait est derrière la porte ! Un fantasme.
On a entendu :
-« Stéphane t’es là ?.... Tu dors ? »
Stéphane était en train de trouver la situation amusante et excitante puisqu’il mettait encore plus d’ardeur à sa pipe et il branlait sa bite bien dure.
On a entendu Cédric repartir, les bruits de pas se sont éloignés, le silence est devenu total, nos gémissements se sont imposés pendant quelques minutes encore, Stéphane a joui le premier, le voir cracher par terre entre mes pieds m’a excité et mon jus est arrivé dans sa bouche. Il a tout avalé, s’est relevé et m’a dit :
-« T’es un sacré salaud toi, te faire sucer quand mon mec frappe à la porte… »
-« Oh, c’est bon, t’as kiffé toi aussi ! »
-« Carrément, j’étais excité à mort et j’avais la trouille, c’était trop bon… »
Son téléphone a sonné, il a décroché, c’était Cédric. Il lui a monté un bobard très crédible, j’ai préféré aller sous la douche. Quand j’en suis ressorti, Stéphane m’a dit que Cédric allait revenir dans quelques minutes, qu’il valait mieux que je parte.
Je n’ai pas demandé mon reste. Cinq minutes après, j’étais dans ma voiture…

Une bonne heure après, j’arrivais chez moi, je recevais un texto de Stéphane : « Putain de soirée mec, j’ai kiffé ta bite, on remet ça quand tu veux lol ». J’ai éclaté de rire et j’ai répondu : « Cette fois, c’est le bon Pascal, moi aussi j’ai kiffé, c’est quand tu veux lol ».

J'espère que cette histoire entièrement vraie vous a plu...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Pfffouuuu, t'as bien fait de faire toute cette route pour une nuit de baise pareille avec ce mec chaud bouillant !
La scène finale, j'avoue, j'ai joui, quel fantasme.

Histoire Erotique
Toujours aussi chaud. Toujours aussi bandant. J'ai bien mouillé. Merci ( Akileditu )

Histoire Erotique
Ahhh, j'attendais la suite avec impatience ! Trop bon, j'ai adoré, j'ai lu deux fois et j'ai craché....

Rien ne t'arrête toi, t'es un mec à connaître lol...



Texte coquin : Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...2
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par Pasal

Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud...2 - Récit érotique publié le 29-06-2017
Titre de l'histoire érotique : L'inconnu de mes contacts est un mec bien chaud... - Récit érotique publié le 19-06-2017
Prendre un Uber ...2 - Récit érotique publié le 17-03-2017
Prendre un Uber... - Récit érotique publié le 05-03-2017
Minet de janvier - Récit érotique publié le 12-02-2017
Hétéro tenté... le goût du risque. - Récit érotique publié le 21-01-2017
Hétéro tenté... pour de bon. - Récit érotique publié le 11-01-2017
Hétéro voyeur. - Récit érotique publié le 30-12-2016
Mon beau facteur...3 - Récit érotique publié le 15-07-2016
Mon beau facteur... 2 - Récit érotique publié le 22-06-2016