Titre de l'histoire érotique : L'initiatrice
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-10-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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Titre de l'histoire érotique : L'initiatrice
Je suis veuve depuis longtemps. Le manque de sexe m'a marquée un moment jusqu'à ce que je trouve une amie dans mon cas. Nous nous contentions l'une et l'autre de nous masturber avec ou sans godemiché, pour moi c'était avec. A force de parler de nos orgasmes nous nous sommes masturbées ensemble avant de nous faire l'amour. Nous sommes très proches: elle a des soucis avec son fils: il ne pense qu'à des jeux vidéo, d'Internet. Il n'a que peu d'amis. Aucune fille à l'horizon.
Elle me demande de jouer à l'initiatrice, tout simplement !!! Je connais vaguement son rejeton. Il ne me déplait pas. Delà à lui faire l'amour il y a une marge.
Un après midi, après avoir joui, elle m'en reparle. Nous recommençons une dernière fois de nous envoyer en l'air en faisant un 69 accompagné de gode dans les fesses. Je ne sais trop pourquoi je réponds par l'affirmative: elle veux que je déniaise son fils. Je vais le faire.
Je sais que le samedi après midi mon amante fait des courses. Je sais en plus qu'elle va rester plus longtemps qu' d'habitude pour me laisser le temps de dévergonder son fils. Je vais donc chez elle. Le fils, Henri, me reçoit gentiment. Il sait que nous nous fréquentons beaucoup avec sa mère, sans savoir exactement ce qui nous lie. Voulant jouer à l'hôte bien élevé il m'offre un café abominable. Il me propose une place sur un fauteuil. Pour "déguster" son jus de chaussette, il s'assoit en face de moi. J'en suis très satisfaite: je pourrai lui montrer une foule de bricoles comme il n'en a jamais vues, sinon sur des sites"hot" sur Internet.
Je fais celle qui déguste son jus. Je pose ma tasse sur une petite table. Pour le faire, je me penche en avant. Je ne porte aucun dessous aujourd'hui. Il peut voir parfaitement ma poitrine. Je reste ainsi un bon moment. Je vois que ses yeux se fixent sur mon décolleté. Je joue à l'innocente. Je me redresse et croise mes jambes bien plus haut que la normale: il peut vois mes cuisses presque jusqu'en haut. Sans la faire exprès je les lève encore plus: cette fois c'est mon sexe en entier qui se montre. Nous bavardons de diverses choses, pourtant il bégaie des fadaises, prit qu'il est par la vision de ma féminité. Je vois qu'il bande. Et dire que je n'ai pas connu d'homme puis des années.
Ce n'est pas désagréable de faire monter le désir chez un jeunot pour moi. Les presque 20 ans qui nous séparent ne me paraissent pas lourds. Jouant à la femme gênée je lui fait remarquer que son pantalon présente une bosse qu'il faudrait qu'il réduise. Je me propose même de la faire, sans attendre de réponse je vais à ses cotés: je passe ma main sur la bite. Il frémis. Je le masse pour le faire grossir encore. Il me laisse faire. Ou il a compris ou il est totalement hors jeu. Quoiqu'il en soit j'ouvre la braguette pour lui sortir l'engin. J'ai un choc: il est monté comme un âne. Je me demande même comment je pourrais supporter ce sexe dans toutes mes ouvertures destinées à le recevoir.
Il rougit comme un premier communiant. Mes mains sont sur sexe. Je le branle un peu: il se laisse toujours faire. J'aimerai qu'à son tour il me passe une main sous la robe. Je me doute qu'il ne doit même pas savoir que faire avec un sexe féminin. S'il savait ce que je fais avec sa mère ? J'arrive à approcher mon visage du sien. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je ne peux enfoncer ma langue dans sa bouche. Il faut que je force ses lèvres: enfin j'arrive à lui mettre la langue dans la bouche. Il ne réagit pas rapidement, sauf quand il sent que je lui fais du bien. Je me lance dans une bonne masturbation: je le fait jouir rapidement. Je dirige ses jets vers le carrelage. Il est tout rouge, sur le point de me quitter.
Pas question qu'il s'en aille: je mouille maintenant comme une fontaine: ma cyprine noie ma culotte.
J'arrive à le retenir. Je procède à son épluchage. Il est totalement nu, se couvre la queue avec une main. Pour ajouter à son trouble, devant lui je me déshabille comme le ferait une effeuilleuse. Il détaille mes seins, mon ventre ma toison, mes hanches, mes jambes. Je revient vers lui, l'embrase à nouveau: il bande très vite. J'ai envie de sa pine dans mon vagin. Je m'allonge sur le divan, les jambes bien ouvertes pour qu'il voit tout mon sexe. J'espère qu'il va se précipiter sur moi. Il arrive, je le dévie, j'ai bien envie de baiser, j'ai aussi envie d'une langue sur mon clitoris. Je lui fais mettre sa tête entre mes jambes en espérant qu'il comprenne ce que je veux. Il est brusque: il pose bien sa bouche sur ma fente en oubliant au passage et mon anus et mon vagin. Je l'arrête quand il est sur mon clitoris: je suis obligé de lui demander de lécher. Je sens enfin sa langue sur mon bouton. Il ma lèche comme le ferai un petit chien: c'est mieux que rien d'autant plus qu'il arrive à me faire jouir. Sentant mes crispation il pense m'avoir fait mal. Je le rassure: les femmes aiment quant à une langue vient là. Il monte vers moi. Je sens sa queue il me semble plus grosse qu'avant. Je la prends en main: il pense que je vais le branler encore. Je dirige son pénis vers ma moule. Je ne force pas pour qu'il y pénètre. Par contre une fois dedans il ne fait plus rien. Je commence les vas et vient quand enfin il comprend ce qu'il doit faire. Je sens ses coups de reins de lus en plus forts. Il va crescendo: j'étais trop excitée, il me fait jouir encore une fois. Je sens mieux son gros mandrin qui rempli bien mon sexe. Je ne sais s'il se rend compte de mes orgasmes. Il lime depuis un moment quand il décharge son foutre au plus profond de moi.
Il sort de moi presque totalement débandé. Je me tourne pour le prendre dans la bouche. J'y trouve le goût de mon con et celui de son sperme qui n'est pas mauvais. Il est étonné de me voir faire. Ma langue commence sa danse infernale autour le son gland. Il ne résiste pas longtemps, le pauvre amour.
J'ai quand même un soucis: je l'ai fait jouir en le branlant, c'était simple, je l'ai fait jouir en me baisant, c'était meilleur pour moi. Je voudrai qu'il me sodomise pour le dessaler complètement, en plus du plaisir réel que je prends dans cette introduction ans mon anus. Je le fait asseoir sur le divan il bande toujours. Je mouille l'entrée de mon cul avec ma mouille, j'en rajoute le plus possible. Je le reprends en bouche pour bien lui mouiller son bâton. Je vais sur ses genoux, l'embrasse encore. Je me tourne, me positionne avant de me la rentrer. Je le fais très lentement. Malgré ça je suis obligée de serrer les dans quand il rentre. Ce n'est qu'après que je sente son gland passer qu'enfin je me sens mieux. Il a compris qu'il faut faire des allers et venues. Nous synchronisons nos mouvements. Enfin je prends ce plaisir de la sodomie, malgré ou à cause de la grosseur de sa queue. Il a jouit plusieurs fois. Malgré son âge, il bande toujours pour mon bonheur. Pour ma part je ne me gêne pas pour jouir. Je sens sa queue encore mieux quand je jouis. Il éjacule au tréfonds de mon anus.
Nous nous séparons. Nous restons blottis: je lui caresse le torse, enfin il s'aventure sur mes seins qu'il maltraite un peu. Je le calme pour qu'il me caresse. Il comprend le but: me donner du plaisir, même si ce n'est pas proprement sexuel. De lui-même il m'embrasse les pointes. Il me donne encore envie de lui. Je le vois bander aussi. La jeunesse a ça de bien: un jeune est capable de prouesses en baisant. J'ai envie qu'il me baise en levrette. Je me met le corps sur le divan, il vient derrière moi, écarte un peu mes fesses. Je ne le veut pas là. Il comprend son erreur on ne passe pas une baise en enculant toujours une femme. Je le qui en prenant sa queue que je branle un peu. Il connaît maintenant le chemin. Je le laisse agir tut seul. Il me baise maintenant comme s'il; avait fait ça toute sa vie. Il me fait jouir comme une folle.
L'après midi se passe: je doit partir retrouver sa mère à qui je dois des comptes. Je lui décrit ce que nous avons fait, ce qu'il a réussit: j'en suis satisfaite. Si elle le permet j'aimerais baiser son fils plus souvent.
Elle m'y encourage.
Pour bien marquer notre accord, nous nus faisons l'amour. Ou plutôt elle me fait l'amour avec passion. Un mot lui échappe: je t'aime.
Elle me demande de jouer à l'initiatrice, tout simplement !!! Je connais vaguement son rejeton. Il ne me déplait pas. Delà à lui faire l'amour il y a une marge.
Un après midi, après avoir joui, elle m'en reparle. Nous recommençons une dernière fois de nous envoyer en l'air en faisant un 69 accompagné de gode dans les fesses. Je ne sais trop pourquoi je réponds par l'affirmative: elle veux que je déniaise son fils. Je vais le faire.
Je sais que le samedi après midi mon amante fait des courses. Je sais en plus qu'elle va rester plus longtemps qu' d'habitude pour me laisser le temps de dévergonder son fils. Je vais donc chez elle. Le fils, Henri, me reçoit gentiment. Il sait que nous nous fréquentons beaucoup avec sa mère, sans savoir exactement ce qui nous lie. Voulant jouer à l'hôte bien élevé il m'offre un café abominable. Il me propose une place sur un fauteuil. Pour "déguster" son jus de chaussette, il s'assoit en face de moi. J'en suis très satisfaite: je pourrai lui montrer une foule de bricoles comme il n'en a jamais vues, sinon sur des sites"hot" sur Internet.
Je fais celle qui déguste son jus. Je pose ma tasse sur une petite table. Pour le faire, je me penche en avant. Je ne porte aucun dessous aujourd'hui. Il peut voir parfaitement ma poitrine. Je reste ainsi un bon moment. Je vois que ses yeux se fixent sur mon décolleté. Je joue à l'innocente. Je me redresse et croise mes jambes bien plus haut que la normale: il peut vois mes cuisses presque jusqu'en haut. Sans la faire exprès je les lève encore plus: cette fois c'est mon sexe en entier qui se montre. Nous bavardons de diverses choses, pourtant il bégaie des fadaises, prit qu'il est par la vision de ma féminité. Je vois qu'il bande. Et dire que je n'ai pas connu d'homme puis des années.
Ce n'est pas désagréable de faire monter le désir chez un jeunot pour moi. Les presque 20 ans qui nous séparent ne me paraissent pas lourds. Jouant à la femme gênée je lui fait remarquer que son pantalon présente une bosse qu'il faudrait qu'il réduise. Je me propose même de la faire, sans attendre de réponse je vais à ses cotés: je passe ma main sur la bite. Il frémis. Je le masse pour le faire grossir encore. Il me laisse faire. Ou il a compris ou il est totalement hors jeu. Quoiqu'il en soit j'ouvre la braguette pour lui sortir l'engin. J'ai un choc: il est monté comme un âne. Je me demande même comment je pourrais supporter ce sexe dans toutes mes ouvertures destinées à le recevoir.
Il rougit comme un premier communiant. Mes mains sont sur sexe. Je le branle un peu: il se laisse toujours faire. J'aimerai qu'à son tour il me passe une main sous la robe. Je me doute qu'il ne doit même pas savoir que faire avec un sexe féminin. S'il savait ce que je fais avec sa mère ? J'arrive à approcher mon visage du sien. Je pose mes lèvres sur les siennes. Je ne peux enfoncer ma langue dans sa bouche. Il faut que je force ses lèvres: enfin j'arrive à lui mettre la langue dans la bouche. Il ne réagit pas rapidement, sauf quand il sent que je lui fais du bien. Je me lance dans une bonne masturbation: je le fait jouir rapidement. Je dirige ses jets vers le carrelage. Il est tout rouge, sur le point de me quitter.
Pas question qu'il s'en aille: je mouille maintenant comme une fontaine: ma cyprine noie ma culotte.
J'arrive à le retenir. Je procède à son épluchage. Il est totalement nu, se couvre la queue avec une main. Pour ajouter à son trouble, devant lui je me déshabille comme le ferait une effeuilleuse. Il détaille mes seins, mon ventre ma toison, mes hanches, mes jambes. Je revient vers lui, l'embrase à nouveau: il bande très vite. J'ai envie de sa pine dans mon vagin. Je m'allonge sur le divan, les jambes bien ouvertes pour qu'il voit tout mon sexe. J'espère qu'il va se précipiter sur moi. Il arrive, je le dévie, j'ai bien envie de baiser, j'ai aussi envie d'une langue sur mon clitoris. Je lui fais mettre sa tête entre mes jambes en espérant qu'il comprenne ce que je veux. Il est brusque: il pose bien sa bouche sur ma fente en oubliant au passage et mon anus et mon vagin. Je l'arrête quand il est sur mon clitoris: je suis obligé de lui demander de lécher. Je sens enfin sa langue sur mon bouton. Il ma lèche comme le ferai un petit chien: c'est mieux que rien d'autant plus qu'il arrive à me faire jouir. Sentant mes crispation il pense m'avoir fait mal. Je le rassure: les femmes aiment quant à une langue vient là. Il monte vers moi. Je sens sa queue il me semble plus grosse qu'avant. Je la prends en main: il pense que je vais le branler encore. Je dirige son pénis vers ma moule. Je ne force pas pour qu'il y pénètre. Par contre une fois dedans il ne fait plus rien. Je commence les vas et vient quand enfin il comprend ce qu'il doit faire. Je sens ses coups de reins de lus en plus forts. Il va crescendo: j'étais trop excitée, il me fait jouir encore une fois. Je sens mieux son gros mandrin qui rempli bien mon sexe. Je ne sais s'il se rend compte de mes orgasmes. Il lime depuis un moment quand il décharge son foutre au plus profond de moi.
Il sort de moi presque totalement débandé. Je me tourne pour le prendre dans la bouche. J'y trouve le goût de mon con et celui de son sperme qui n'est pas mauvais. Il est étonné de me voir faire. Ma langue commence sa danse infernale autour le son gland. Il ne résiste pas longtemps, le pauvre amour.
J'ai quand même un soucis: je l'ai fait jouir en le branlant, c'était simple, je l'ai fait jouir en me baisant, c'était meilleur pour moi. Je voudrai qu'il me sodomise pour le dessaler complètement, en plus du plaisir réel que je prends dans cette introduction ans mon anus. Je le fait asseoir sur le divan il bande toujours. Je mouille l'entrée de mon cul avec ma mouille, j'en rajoute le plus possible. Je le reprends en bouche pour bien lui mouiller son bâton. Je vais sur ses genoux, l'embrasse encore. Je me tourne, me positionne avant de me la rentrer. Je le fais très lentement. Malgré ça je suis obligée de serrer les dans quand il rentre. Ce n'est qu'après que je sente son gland passer qu'enfin je me sens mieux. Il a compris qu'il faut faire des allers et venues. Nous synchronisons nos mouvements. Enfin je prends ce plaisir de la sodomie, malgré ou à cause de la grosseur de sa queue. Il a jouit plusieurs fois. Malgré son âge, il bande toujours pour mon bonheur. Pour ma part je ne me gêne pas pour jouir. Je sens sa queue encore mieux quand je jouis. Il éjacule au tréfonds de mon anus.
Nous nous séparons. Nous restons blottis: je lui caresse le torse, enfin il s'aventure sur mes seins qu'il maltraite un peu. Je le calme pour qu'il me caresse. Il comprend le but: me donner du plaisir, même si ce n'est pas proprement sexuel. De lui-même il m'embrasse les pointes. Il me donne encore envie de lui. Je le vois bander aussi. La jeunesse a ça de bien: un jeune est capable de prouesses en baisant. J'ai envie qu'il me baise en levrette. Je me met le corps sur le divan, il vient derrière moi, écarte un peu mes fesses. Je ne le veut pas là. Il comprend son erreur on ne passe pas une baise en enculant toujours une femme. Je le qui en prenant sa queue que je branle un peu. Il connaît maintenant le chemin. Je le laisse agir tut seul. Il me baise maintenant comme s'il; avait fait ça toute sa vie. Il me fait jouir comme une folle.
L'après midi se passe: je doit partir retrouver sa mère à qui je dois des comptes. Je lui décrit ce que nous avons fait, ce qu'il a réussit: j'en suis satisfaite. Si elle le permet j'aimerais baiser son fils plus souvent.
Elle m'y encourage.
Pour bien marquer notre accord, nous nus faisons l'amour. Ou plutôt elle me fait l'amour avec passion. Un mot lui échappe: je t'aime.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
dommage car il y a beaucoup de fautes...