Titre de l'histoire érotique : La banque 3
Récit érotique écrit par Stete79300 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La banque 3
Après la banque la voisine (la banque 3)
Ça fait deux heures que j'ai quitté la banque. Je n'ai cessé de penser à ma banquière et au pied absolu que j'ai pris. J'en avais presque oublié la voisine tellement c'était bon.
J'entends le moteur de la voisine qui rentre chez elle et met fin à mes délicieuses pensées.
Je dois la voir dans une heure mais je me sens fautif, j'ai l'impression de tromper ma banquière même si on n'est pas ensemble et même si elle elle ne se se gène probablement pas avec d'autres clients. C'est plein de doutes dans la tête que je passe cette dernière heure j'ai à peine pensé à grignoter sur le pouce mon rendez vous étant à 21h.
Les neuf coups sonnent à l'église je vais donc me rendre chez la voisine après tout ce n'est pas comme si j'allais à l’échafaud.
Je reconnais à peine ma voisine quand elle m'ouvre la porte, elle a mis à profit cette dernière heure pour se pomponner.Je ne vois plus ses 25 ans de plus que moi. Elle s'est entre autres fait une coloration rapide, ses cheveux gris étant maintenant d'un joli blond mettant en valeur ses yeux bleus qui étaient passés inaperçus à mes yeux jusqu'alors. Elle a revêtu une chemise de nuit rouge qui maintient fermement sa grosse poitrine.
_ J'ai envie que tu ais envie de moi aussi me dit elle entre vite dans la chambre.
On ne va pas perdre de temps on sait pourquoi on est là.
Elle ferme la porte derrière moi et m'embrasse fougueusement. Son baiser est passionné très agréable. J'essaye de changer d'état d'esprit je dois oublier la banquière que je ne reverrai peut être jamais et me consacrer à ma nouvelle maîtresse qui se révèle plus belle que jamais.
Je lui rends son baiser nos langues s’entremêlent. Nos bouches se quittent à peine pour respirer sur le chemin de sa chambre.
Madot s'allonge sur le lit en écartant les jambes et m'invite à me dévêtir.
Une fois nu je m'approche d'elle et je constate qu'elle a bien utilisé l'heure précédente, en plus de sa teinture, elle a pris soin de se raser les poils pubiens.
Dans la banque je l'ai à peine goûter ; là, je sens que je vais me régaler.
J'embrasse ses lèvres, je lèche son clitoris tout en caressant ses seins à travers la soie de sa nuisette.
Ses soupirs montrent que je m'y prends bien ma langue se fait plus insistante et je retire ma main droite de son sein pour la doigter.
Elle gémit comme dans la banque plus tôt sous les caresses de ma belle banquière.
Étrangement j'ai toujours un blocage psychologique je ne bande pas encore.
Ma voisine va alors s'employer à me faire avoir une érection. Elle commence par me gober la bite et les couilles ensemble dans sa grande bouche.
Elle alterne entre fellation et branlette pour obtenir une demi érection. Maudit blocage elle s'y prend pourtant très bien.
Elle enlève sa nuisette la vue de sa poitrine opulente même si un peu tombante me redonne un peu de vigueur. Elle enfourne ma queue entre ses seins et me branlent, la vue et la sensation m'excitent enfin, je ne pense plus à la banque je ne pense plus qu'au plaisir ressenti. Mon sexe grossit alors dans des proportions inégalées je n'ai jamais autant bander sans jouir. Mon sexe dur comme je ne l'ai jamais vu passe de sa bouche à sa poitrine de plus en plus vite.
Je vais enfin pouvoir la baiser comme elle le mérite.
Elle me laisse sur le dos et vient s'empaler sur ma bite.
Elle me chevauche, ses seins se balancent sous le rythme effréné qu'elle donne à notre coït, mes mains lui caresse tout le corps, nos lèvres s'échangent des baisers interminables. Ses lèvres se détachent des miennes pour qu'elle puisse crier, nos sexes sont en feu je n'ai jamais connu de pénétration aussi longue. Je suis véritablement épuisé quand enfin un jet salvateur envahit son bas ventre.
Quelle journée j'ai connu à la banque mon orgasme le plus fort et chez ma voisine mon rapport le plus long.
Je lui dois encore 11 nuits !
Enfin je pense à nos prochaines étreintes et non plus à ma belle banquière (que je reverrai quand même par la suite).
Après une si longue étreinte Madot me propose de dormir chez elle et c'est ainsi que je m'endors auprès d'une femme pour la première fois depuis 6 mois et elle auprès d'un homme pour la première fois depuis plus de 10 ans.
Ça fait deux heures que j'ai quitté la banque. Je n'ai cessé de penser à ma banquière et au pied absolu que j'ai pris. J'en avais presque oublié la voisine tellement c'était bon.
J'entends le moteur de la voisine qui rentre chez elle et met fin à mes délicieuses pensées.
Je dois la voir dans une heure mais je me sens fautif, j'ai l'impression de tromper ma banquière même si on n'est pas ensemble et même si elle elle ne se se gène probablement pas avec d'autres clients. C'est plein de doutes dans la tête que je passe cette dernière heure j'ai à peine pensé à grignoter sur le pouce mon rendez vous étant à 21h.
Les neuf coups sonnent à l'église je vais donc me rendre chez la voisine après tout ce n'est pas comme si j'allais à l’échafaud.
Je reconnais à peine ma voisine quand elle m'ouvre la porte, elle a mis à profit cette dernière heure pour se pomponner.Je ne vois plus ses 25 ans de plus que moi. Elle s'est entre autres fait une coloration rapide, ses cheveux gris étant maintenant d'un joli blond mettant en valeur ses yeux bleus qui étaient passés inaperçus à mes yeux jusqu'alors. Elle a revêtu une chemise de nuit rouge qui maintient fermement sa grosse poitrine.
_ J'ai envie que tu ais envie de moi aussi me dit elle entre vite dans la chambre.
On ne va pas perdre de temps on sait pourquoi on est là.
Elle ferme la porte derrière moi et m'embrasse fougueusement. Son baiser est passionné très agréable. J'essaye de changer d'état d'esprit je dois oublier la banquière que je ne reverrai peut être jamais et me consacrer à ma nouvelle maîtresse qui se révèle plus belle que jamais.
Je lui rends son baiser nos langues s’entremêlent. Nos bouches se quittent à peine pour respirer sur le chemin de sa chambre.
Madot s'allonge sur le lit en écartant les jambes et m'invite à me dévêtir.
Une fois nu je m'approche d'elle et je constate qu'elle a bien utilisé l'heure précédente, en plus de sa teinture, elle a pris soin de se raser les poils pubiens.
Dans la banque je l'ai à peine goûter ; là, je sens que je vais me régaler.
J'embrasse ses lèvres, je lèche son clitoris tout en caressant ses seins à travers la soie de sa nuisette.
Ses soupirs montrent que je m'y prends bien ma langue se fait plus insistante et je retire ma main droite de son sein pour la doigter.
Elle gémit comme dans la banque plus tôt sous les caresses de ma belle banquière.
Étrangement j'ai toujours un blocage psychologique je ne bande pas encore.
Ma voisine va alors s'employer à me faire avoir une érection. Elle commence par me gober la bite et les couilles ensemble dans sa grande bouche.
Elle alterne entre fellation et branlette pour obtenir une demi érection. Maudit blocage elle s'y prend pourtant très bien.
Elle enlève sa nuisette la vue de sa poitrine opulente même si un peu tombante me redonne un peu de vigueur. Elle enfourne ma queue entre ses seins et me branlent, la vue et la sensation m'excitent enfin, je ne pense plus à la banque je ne pense plus qu'au plaisir ressenti. Mon sexe grossit alors dans des proportions inégalées je n'ai jamais autant bander sans jouir. Mon sexe dur comme je ne l'ai jamais vu passe de sa bouche à sa poitrine de plus en plus vite.
Je vais enfin pouvoir la baiser comme elle le mérite.
Elle me laisse sur le dos et vient s'empaler sur ma bite.
Elle me chevauche, ses seins se balancent sous le rythme effréné qu'elle donne à notre coït, mes mains lui caresse tout le corps, nos lèvres s'échangent des baisers interminables. Ses lèvres se détachent des miennes pour qu'elle puisse crier, nos sexes sont en feu je n'ai jamais connu de pénétration aussi longue. Je suis véritablement épuisé quand enfin un jet salvateur envahit son bas ventre.
Quelle journée j'ai connu à la banque mon orgasme le plus fort et chez ma voisine mon rapport le plus long.
Je lui dois encore 11 nuits !
Enfin je pense à nos prochaines étreintes et non plus à ma belle banquière (que je reverrai quand même par la suite).
Après une si longue étreinte Madot me propose de dormir chez elle et c'est ainsi que je m'endors auprès d'une femme pour la première fois depuis 6 mois et elle auprès d'un homme pour la première fois depuis plus de 10 ans.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour les encouragements
Bonsoir Stete, bien écrit et très bandant bravo pour ta "trilogie" !
Merci de
Didier
Merci de
Didier