Titre de l'histoire érotique : La Belle des années folles - Ch.1 -
Récit érotique écrit par Abadi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2016 dans la catégorie Fétichisme
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Titre de l'histoire érotique : La Belle des années folles - Ch.1 -
La Belle des années folles – Ch.1 -
Préambule
Jeanne, dont il va être question dans ce récit, est née au tout début du XX° siècle.
Après une enfance pauvre, elle est placée à 11 ans dans une maison de maîtres, dans la Haute Saintonge. A 14 ans, en 1915, elle est violée par 2 jeunes soldats de la grande guerre en permission, qui la forcent ensemble dans un fossé.
Dans sa place, elle est initiée malgré elle à une sexualité particulière par la fille du vieux propriétaire : Gerboise, une vieille fille de la quarantaine, restée vierge et qui vit une sexualité fantasmée, entourée d’objets insolites.
Ces deux premiers chapitres de la vie de Jeanne, ne seront pas déposés ici, du fait qu’il y est question d’une adolescente de moins de 18 ans…
Dans le chapitre suivant, nous sommes en 1919, elle a maintenant presque 19 ans (photo 1) et va quitter sa Saintonge natale. C’est là que nous la retrouvons.
Fin de l’épisode Saintongeais
Déjà, à la suite de cette expérience, il fut évident que les séances où elle surprenait Gerboise en plein délire masturbatoire allaient prendre une tout autre tournure. Jeanne avait désormais une large avancée sur sa patronne ayant vécu un ''viol'' - un double viol même ! – et qu'elle savait alors plein de choses et avait éprouvé des sensations que l'autre, manifestement, n’avait jamais rencontrées. D'autant que Jeanne associait aux jeux solitaires qu'elle observait chez Mademoiselle, des images et des souvenirs personnels très précis et très envahissants… Elle eut souvent envie d'intervenir et de faire connaître à Gerboise, les prémices d'une baise, en vraie, même si c’était entre femmes !… Mais quelque chose la retenait toujours au dernier moment et la renvoyait à sa propre masturbation.
Jeanne pensait à sa différence ; sans doute Mademoiselle n'avait-elle jamais été pénétrée par une bite bien raide et bien chaude, une vraie ? Cependant la Demoiselle en question, arrivait à se donner ainsi des orgasmes fulgurants et intenses. Quels pouvaient être ses fantasmes se demandait Jeanne ? Elle rêvait probablement de baises, de bites et de partouzes à n'en plus finir, mais sans les avoir connues… Comment ces scènes pouvaient-elles, pour elle, prendre corps et devenir concrètes, puisqu'elle ne les avait jamais vécues ? Sans doute, elle n'avait jamais pu les voir et donc les imaginer !
Plus tard, beaucoup plus tard, ces questions concernant Gerboise, allaient beaucoup préoccuper Jeanne, qui se demandera toujours comment et par quels biais la vieille fille pouvait se projeter dans ses fantasmes et pouvoir en jouir si intensément, alors qu'elle ne savait rien de la vie sexuelle d’une femme ordinaire.
Pourtant, vers la fin de son placement dans cette maison lorsqu'elle eut 18 - 19 ans, un an ou deux après la fin de la guerre, au tout début des années vingt elle eut un élément de réponse à ces questions. Le vieux cavalier était décédé en mars 1919 et Gerboise, à cause d'une sérieuse affection pulmonaire – elle avait contractée une tuberculose – dût partir en sanatorium dans les Pyrénées. Jeanne l'aida à préparer ses malles et ses bagages. Comme sa patronne partait pour plusieurs mois, sans doute plusieurs années, elle emportait le maximum de choses. Au détour d'un tiroir d'une commode, Jeanne remarqua que Mademoiselle qui rangeait des choses à côté d'elle, dissimula très vivement quelque chose en l'enfouissant dans les profondeurs d'un tiroir. Jeanne eut dorénavant l'attention en éveil et quelques instants plus tard, alors qu'elle observait sa patronne à la dérobée, elle la vit ressortir subrepticement une petite boîte plate et rectangulaire et la mettre promptement dans le couvercle d'une des malles…
Le rangement se poursuivit et bientôt Gerboise sortit pour continuer le rangement dans une autre pièce. Jeanne revint discrètement vers la malle tout en surveillant sa patronne. Elle sortit la fameuse boîte de la pochette du couvercle de la grande malle et l'ouvrit. Il y avait là pêle-mêle, des dessins des photos, des textes manuscrits et d'autres imprimés et quelques photographies dont certaines étaient jaunies. De crainte d'être découverte la main dans le sac, ou plutôt dans la boîte, Jeanne sortit tous les documents de la boîte et les mit dans le revers de son tablier. Puis, elle alla à la cuisine, disant qu'elle allait finir de préparer le repas. Enfin tranquille, elle posa son butin sur le dessus du buffet, ayant soin de tourner le dos à la porte d'entrée dans la cuisine. Elle sortit du tas, une à une, les différentes images et les textes. Les dessins, de loin les plus nombreux et de formats très disparates, dont certains étaient en couleurs, montraient des bites d'hommes dressées et bandées ou des sexes de femmes ouverts et profonds. Sur l’un d’eux elle fut frappée de voir des moines à tonsure relever leur robe de bure et enfiler de leur sexe énorme une femme allongée sur un autre ; manifestement la femme était prise en double, en con et en cul (photos 2 & 3). Cela ne fut pas sans lui rappeler l’épisode de son viol, il y a de cela 3 ans…
Jeanne n'avait jamais vu ce genre d'icônes et l'on était bien loin des images pieuses dont Gerboise s'entourait au quotidien. D'autres dessins proposaient des scènes d'hommes et de femmes à plusieurs, très enchevêtrés et dans des positions très inhabituelles, voire acrobatiques. Sur d'autres encore, des bites énormes déchargeaient un foutre abondant sur des poitrines de femmes ou sur leurs fesses ; des femmes urinaient, accroupies, jambes très écartées, la vulve ouverte. Des dessins dévoilaient aussi l'intérieur de l'intimité de femmes très poilues ou très glabres, les cons ouverts certains avec des clitoris énormes, de la taille d'un pouce et plus encore ; d'autres avec des lèvres très longues – parfois de plusieurs centimètres - et très fripées. Elle découvrit aussi les quelques photos qui montraient des jeunes femmes, le plus souvent en chemise qui suçaient de jeunes hommes moustachus aux bites démesurées et très bandées. Elle y découvrait aussi des positions dans lesquelles les femmes se faisaient baiser : en levrette ou encore en s'enfourchant sur les bites des hommes qui étaient assis sur une chaise ou un fauteuil. (Photos 4 & 5).
Des clichés qui présentaient, comme les dessins, des parties à plusieurs où les femmes en suçaient d'autres et aussi qui léchaient le con et le clitoris d'une femme qui se faisait prendre par un homme, ou encore qui suçait une bite par-dessous une femme, jambes écartées, avant de lui introduire dans le con… Sur une autre encore, une femme se faisait enculer par un type aux cheveux plaqués et lissés sur le crâne, pourvu d'une bite énorme…
Jeanne fut dans un premier temps impressionnée par toutes ces images. Puis sa surprise passée ce fut une excitation inextinguible qui s'empara d'elle : elle sentit son sexe devenir humide, puis se mouiller tout à fait. Ouvrant les feuilles manuscrites, elle se mettait la main à la motte par-dessus le tablier et se pétrissait fortement le pubis, comme pour contenir son excitation. Sur les feuilles, elle reconnut l'écriture de sa patronne. La plupart étaient écrites au crayon à papier. Elle ne lisait que les premières lignes, d'autant qu'elle avait souvent du mal à déchiffrer, puis passait à un autre, tant elle était avide et pressée de trouver quelques phrases extraordinaires ; phrases qui pourraient être déterminantes d'une jouissance qu'elle contenait depuis un long moment déjà.
Les phrases s'entrechoquaient devant ses yeux. Un texte commençait par :
'' Ce soir j'ai la connasse en feu. Il me faudrait un homme et peut-être même plusieurs pour venir à bout de l'incendie qui me brûle le sexe et m’attaque le cul…''. Un autre s'ouvrait sur une interrogation de Gerboise : '' Pourquoi est-ce que le Bon Dieu a fait de moi une noble ? Pourquoi n'a-t-il pas fait de moi une fille des rues, une putain ?... Je crois que ma vraie vocation aurait été de me faire baiser à longueur de journée et de vie… Ou cet autre encore : '' Je voudrais bien connaître avant qu'il ne soit trop tard ce que les autres femmes connaissent : me faire baiser par une bite, une vraie, une grosse de préférence et ressentir enfin l'effet que cela fait. Prendre un vit dans son trou de femme et être inondée de la semence chaude, est-ce que je pourrais connaître cela un jour ? ''.
Ainsi, Mademoiselle devait écrire cela dans des moments d'excitation intense, puis s'en servait en les relisant pour introduire ses séances de masturbations torrides. Quant aux textes imprimés, manifestement les pages avaient été arrachées à des ouvrages qui ne devaient pas être des livres de messes où de cantiques. Il y avait là quelques chansons paillardes. Dans l'une, une fille de Bretagne se faisait baiser par un curé… Dans une autre sur une route de Louviers une salope se faisait enfiler sur un tas de cailloux… Un des textes de deux à trois pages, parlait même d'un bordel à Paris, rue Blanche, où des femmes entraînaient les hommes à boire et à leur donner de l'argent avant de faire avec eux des orgies innommables…
Tout cela, textes, écrits, images devaient contribuer à entretenir le jardin secret de Mademoiselle Gerboise lorsqu'elle était seule dans sa chambre et s'adonnait à ses fantasmes. Devant tant de débauche et de folie, Jeanne n'y tint plus. Elle n’avait plus qu'une envie : c’était un immense besoin de se masturber. Elle décida de soustraire à la collection le texte sur le bordel parisien dont elle avait commencé la lecture et qui l'avait beaucoup perturbé et 2 dessins l'un présentant une bite sur le bord d'un con ouvert qu'elle allait pénétrer et l'autre montrant les fesses d'une femme à quatre pattes en train de se faire enculer par un très gros calibre tandis qu'une langue d'homme – ou de femme - lui léchait la fente et le clitoris. Jeanne pensait que sa patronne serait loin quand elle découvrirait ce qui manque – et d'ailleurs s'en apercevrait-elle ? - puis remontant dans la chambre de Gerboise elle eut juste le temps de tout remettre en place avant que Mademoiselle ne revienne.
Puis elle fila rapidement dans sa chambre. Elle entra et poussa rapidement la targette. Puis se jeta sur le lit en se troussant prestement. Elle sentait son bas ventre la brûler. Sa vulve était en feu et il fallait qu'elle s'en occupe au plus vite. Couchée sur le dos, elle sortit ses seins la chemise en prit un de sa main gauche. Elle porta l'autre main à son entrejambes, il était gonflé et mouillé à souhait. Elle y enfonça un doigt, tandis que son pouce frottait le clitoris brûlant et dressé. Elle se branla frénétiquement, faisant aller et venir son doigt dans son jeune con. Puis elle en mit un deuxième, tandis que sa main gauche venait s'occuper du clitoris, le frottant et l'astiquant à un rythme très rapide…
Les images des dessins et des photos s'entrechoquaient dans sa tête. Des bribes de textes lui revenaient dans sa mémoire comme des flashs. Elle voyait des bites démesurées qui jutaient fortement, des cons ouverts arrosés de foutre, des femmes en transes se faire baiser dans toutes les positions… Bientôt elle y fut tout à fait. Sa jouissance éclata en elle avec une intensité qu'elle n’avait encore jamais vécue à ce jour. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier et ravala sa plainte en un râle grave et étouffé. Elle déchargea brutalement. Un jet violent fut propulsé à travers la pièce et atteignit presque la porte de la chambre. D'autres jets, moins violents mais tout aussi abondant déferlèrent encore de sa fente ouverte. Jeanne eut la sensation qu'elle se vider littéralement. Elle resta ainsi deux ou trois minutes, comme sonnée par le plaisir.
Puis elle se releva promptement, pris rapidement un peu d'eau dans le broc sur le coin d'une serviette devant la petite table de toilette, puis s'essuya l'entrejambes avant de passer sur le sol un coup de chiffon sur les marques liquides de ses intempérances. Elle prit soin avant de redescendre dans la maison, de cacher sous le napperon du fond du tiroir de sa petite table de toilette, les quelques preuves de son larcin d'images...
A suivre …
Préambule
Jeanne, dont il va être question dans ce récit, est née au tout début du XX° siècle.
Après une enfance pauvre, elle est placée à 11 ans dans une maison de maîtres, dans la Haute Saintonge. A 14 ans, en 1915, elle est violée par 2 jeunes soldats de la grande guerre en permission, qui la forcent ensemble dans un fossé.
Dans sa place, elle est initiée malgré elle à une sexualité particulière par la fille du vieux propriétaire : Gerboise, une vieille fille de la quarantaine, restée vierge et qui vit une sexualité fantasmée, entourée d’objets insolites.
Ces deux premiers chapitres de la vie de Jeanne, ne seront pas déposés ici, du fait qu’il y est question d’une adolescente de moins de 18 ans…
Dans le chapitre suivant, nous sommes en 1919, elle a maintenant presque 19 ans (photo 1) et va quitter sa Saintonge natale. C’est là que nous la retrouvons.
Fin de l’épisode Saintongeais
Déjà, à la suite de cette expérience, il fut évident que les séances où elle surprenait Gerboise en plein délire masturbatoire allaient prendre une tout autre tournure. Jeanne avait désormais une large avancée sur sa patronne ayant vécu un ''viol'' - un double viol même ! – et qu'elle savait alors plein de choses et avait éprouvé des sensations que l'autre, manifestement, n’avait jamais rencontrées. D'autant que Jeanne associait aux jeux solitaires qu'elle observait chez Mademoiselle, des images et des souvenirs personnels très précis et très envahissants… Elle eut souvent envie d'intervenir et de faire connaître à Gerboise, les prémices d'une baise, en vraie, même si c’était entre femmes !… Mais quelque chose la retenait toujours au dernier moment et la renvoyait à sa propre masturbation.
Jeanne pensait à sa différence ; sans doute Mademoiselle n'avait-elle jamais été pénétrée par une bite bien raide et bien chaude, une vraie ? Cependant la Demoiselle en question, arrivait à se donner ainsi des orgasmes fulgurants et intenses. Quels pouvaient être ses fantasmes se demandait Jeanne ? Elle rêvait probablement de baises, de bites et de partouzes à n'en plus finir, mais sans les avoir connues… Comment ces scènes pouvaient-elles, pour elle, prendre corps et devenir concrètes, puisqu'elle ne les avait jamais vécues ? Sans doute, elle n'avait jamais pu les voir et donc les imaginer !
Plus tard, beaucoup plus tard, ces questions concernant Gerboise, allaient beaucoup préoccuper Jeanne, qui se demandera toujours comment et par quels biais la vieille fille pouvait se projeter dans ses fantasmes et pouvoir en jouir si intensément, alors qu'elle ne savait rien de la vie sexuelle d’une femme ordinaire.
Pourtant, vers la fin de son placement dans cette maison lorsqu'elle eut 18 - 19 ans, un an ou deux après la fin de la guerre, au tout début des années vingt elle eut un élément de réponse à ces questions. Le vieux cavalier était décédé en mars 1919 et Gerboise, à cause d'une sérieuse affection pulmonaire – elle avait contractée une tuberculose – dût partir en sanatorium dans les Pyrénées. Jeanne l'aida à préparer ses malles et ses bagages. Comme sa patronne partait pour plusieurs mois, sans doute plusieurs années, elle emportait le maximum de choses. Au détour d'un tiroir d'une commode, Jeanne remarqua que Mademoiselle qui rangeait des choses à côté d'elle, dissimula très vivement quelque chose en l'enfouissant dans les profondeurs d'un tiroir. Jeanne eut dorénavant l'attention en éveil et quelques instants plus tard, alors qu'elle observait sa patronne à la dérobée, elle la vit ressortir subrepticement une petite boîte plate et rectangulaire et la mettre promptement dans le couvercle d'une des malles…
Le rangement se poursuivit et bientôt Gerboise sortit pour continuer le rangement dans une autre pièce. Jeanne revint discrètement vers la malle tout en surveillant sa patronne. Elle sortit la fameuse boîte de la pochette du couvercle de la grande malle et l'ouvrit. Il y avait là pêle-mêle, des dessins des photos, des textes manuscrits et d'autres imprimés et quelques photographies dont certaines étaient jaunies. De crainte d'être découverte la main dans le sac, ou plutôt dans la boîte, Jeanne sortit tous les documents de la boîte et les mit dans le revers de son tablier. Puis, elle alla à la cuisine, disant qu'elle allait finir de préparer le repas. Enfin tranquille, elle posa son butin sur le dessus du buffet, ayant soin de tourner le dos à la porte d'entrée dans la cuisine. Elle sortit du tas, une à une, les différentes images et les textes. Les dessins, de loin les plus nombreux et de formats très disparates, dont certains étaient en couleurs, montraient des bites d'hommes dressées et bandées ou des sexes de femmes ouverts et profonds. Sur l’un d’eux elle fut frappée de voir des moines à tonsure relever leur robe de bure et enfiler de leur sexe énorme une femme allongée sur un autre ; manifestement la femme était prise en double, en con et en cul (photos 2 & 3). Cela ne fut pas sans lui rappeler l’épisode de son viol, il y a de cela 3 ans…
Jeanne n'avait jamais vu ce genre d'icônes et l'on était bien loin des images pieuses dont Gerboise s'entourait au quotidien. D'autres dessins proposaient des scènes d'hommes et de femmes à plusieurs, très enchevêtrés et dans des positions très inhabituelles, voire acrobatiques. Sur d'autres encore, des bites énormes déchargeaient un foutre abondant sur des poitrines de femmes ou sur leurs fesses ; des femmes urinaient, accroupies, jambes très écartées, la vulve ouverte. Des dessins dévoilaient aussi l'intérieur de l'intimité de femmes très poilues ou très glabres, les cons ouverts certains avec des clitoris énormes, de la taille d'un pouce et plus encore ; d'autres avec des lèvres très longues – parfois de plusieurs centimètres - et très fripées. Elle découvrit aussi les quelques photos qui montraient des jeunes femmes, le plus souvent en chemise qui suçaient de jeunes hommes moustachus aux bites démesurées et très bandées. Elle y découvrait aussi des positions dans lesquelles les femmes se faisaient baiser : en levrette ou encore en s'enfourchant sur les bites des hommes qui étaient assis sur une chaise ou un fauteuil. (Photos 4 & 5).
Des clichés qui présentaient, comme les dessins, des parties à plusieurs où les femmes en suçaient d'autres et aussi qui léchaient le con et le clitoris d'une femme qui se faisait prendre par un homme, ou encore qui suçait une bite par-dessous une femme, jambes écartées, avant de lui introduire dans le con… Sur une autre encore, une femme se faisait enculer par un type aux cheveux plaqués et lissés sur le crâne, pourvu d'une bite énorme…
Jeanne fut dans un premier temps impressionnée par toutes ces images. Puis sa surprise passée ce fut une excitation inextinguible qui s'empara d'elle : elle sentit son sexe devenir humide, puis se mouiller tout à fait. Ouvrant les feuilles manuscrites, elle se mettait la main à la motte par-dessus le tablier et se pétrissait fortement le pubis, comme pour contenir son excitation. Sur les feuilles, elle reconnut l'écriture de sa patronne. La plupart étaient écrites au crayon à papier. Elle ne lisait que les premières lignes, d'autant qu'elle avait souvent du mal à déchiffrer, puis passait à un autre, tant elle était avide et pressée de trouver quelques phrases extraordinaires ; phrases qui pourraient être déterminantes d'une jouissance qu'elle contenait depuis un long moment déjà.
Les phrases s'entrechoquaient devant ses yeux. Un texte commençait par :
'' Ce soir j'ai la connasse en feu. Il me faudrait un homme et peut-être même plusieurs pour venir à bout de l'incendie qui me brûle le sexe et m’attaque le cul…''. Un autre s'ouvrait sur une interrogation de Gerboise : '' Pourquoi est-ce que le Bon Dieu a fait de moi une noble ? Pourquoi n'a-t-il pas fait de moi une fille des rues, une putain ?... Je crois que ma vraie vocation aurait été de me faire baiser à longueur de journée et de vie… Ou cet autre encore : '' Je voudrais bien connaître avant qu'il ne soit trop tard ce que les autres femmes connaissent : me faire baiser par une bite, une vraie, une grosse de préférence et ressentir enfin l'effet que cela fait. Prendre un vit dans son trou de femme et être inondée de la semence chaude, est-ce que je pourrais connaître cela un jour ? ''.
Ainsi, Mademoiselle devait écrire cela dans des moments d'excitation intense, puis s'en servait en les relisant pour introduire ses séances de masturbations torrides. Quant aux textes imprimés, manifestement les pages avaient été arrachées à des ouvrages qui ne devaient pas être des livres de messes où de cantiques. Il y avait là quelques chansons paillardes. Dans l'une, une fille de Bretagne se faisait baiser par un curé… Dans une autre sur une route de Louviers une salope se faisait enfiler sur un tas de cailloux… Un des textes de deux à trois pages, parlait même d'un bordel à Paris, rue Blanche, où des femmes entraînaient les hommes à boire et à leur donner de l'argent avant de faire avec eux des orgies innommables…
Tout cela, textes, écrits, images devaient contribuer à entretenir le jardin secret de Mademoiselle Gerboise lorsqu'elle était seule dans sa chambre et s'adonnait à ses fantasmes. Devant tant de débauche et de folie, Jeanne n'y tint plus. Elle n’avait plus qu'une envie : c’était un immense besoin de se masturber. Elle décida de soustraire à la collection le texte sur le bordel parisien dont elle avait commencé la lecture et qui l'avait beaucoup perturbé et 2 dessins l'un présentant une bite sur le bord d'un con ouvert qu'elle allait pénétrer et l'autre montrant les fesses d'une femme à quatre pattes en train de se faire enculer par un très gros calibre tandis qu'une langue d'homme – ou de femme - lui léchait la fente et le clitoris. Jeanne pensait que sa patronne serait loin quand elle découvrirait ce qui manque – et d'ailleurs s'en apercevrait-elle ? - puis remontant dans la chambre de Gerboise elle eut juste le temps de tout remettre en place avant que Mademoiselle ne revienne.
Puis elle fila rapidement dans sa chambre. Elle entra et poussa rapidement la targette. Puis se jeta sur le lit en se troussant prestement. Elle sentait son bas ventre la brûler. Sa vulve était en feu et il fallait qu'elle s'en occupe au plus vite. Couchée sur le dos, elle sortit ses seins la chemise en prit un de sa main gauche. Elle porta l'autre main à son entrejambes, il était gonflé et mouillé à souhait. Elle y enfonça un doigt, tandis que son pouce frottait le clitoris brûlant et dressé. Elle se branla frénétiquement, faisant aller et venir son doigt dans son jeune con. Puis elle en mit un deuxième, tandis que sa main gauche venait s'occuper du clitoris, le frottant et l'astiquant à un rythme très rapide…
Les images des dessins et des photos s'entrechoquaient dans sa tête. Des bribes de textes lui revenaient dans sa mémoire comme des flashs. Elle voyait des bites démesurées qui jutaient fortement, des cons ouverts arrosés de foutre, des femmes en transes se faire baiser dans toutes les positions… Bientôt elle y fut tout à fait. Sa jouissance éclata en elle avec une intensité qu'elle n’avait encore jamais vécue à ce jour. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier et ravala sa plainte en un râle grave et étouffé. Elle déchargea brutalement. Un jet violent fut propulsé à travers la pièce et atteignit presque la porte de la chambre. D'autres jets, moins violents mais tout aussi abondant déferlèrent encore de sa fente ouverte. Jeanne eut la sensation qu'elle se vider littéralement. Elle resta ainsi deux ou trois minutes, comme sonnée par le plaisir.
Puis elle se releva promptement, pris rapidement un peu d'eau dans le broc sur le coin d'une serviette devant la petite table de toilette, puis s'essuya l'entrejambes avant de passer sur le sol un coup de chiffon sur les marques liquides de ses intempérances. Elle prit soin avant de redescendre dans la maison, de cacher sous le napperon du fond du tiroir de sa petite table de toilette, les quelques preuves de son larcin d'images...
A suivre …
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci à Abadi pour ce texte, ainsi que pour les images qui l'illustrent parfaitement
Dommage de ne pas avoir les deux premiers chapitres ! Décidément le XXI e siècle est plus restrictif que le début du XXe. N'oublions pas les textes des XVIIIe et XIXe siècles, beaucoup plus libérés que notre époque actuelle qui s'enfonce dans un puritanisme inquiétant