Titre de l'histoire érotique : LA BELLE-MERE DE LA COPINE DU MOMENT: La visite surprise de Marion.

- Par l'auteur HDS Alainylon -
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : LA BELLE-MERE DE LA COPINE DU MOMENT: La visite surprise de Marion. Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-12-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Titre de l'histoire érotique : LA BELLE-MERE DE LA COPINE DU MOMENT: La visite surprise de Marion.
Résumé 1 : Alors que je rentre à mon domicile, je rencontre Maryse, la belle-mère de ma copine, qui demande à me parler. Au cours de notre discussion, nous glissons, Maryse et moi, dans une démence sexuelle.

Je mets quelques fractions de secondes à réaliser la situation. Maryse, penchée en train de lisser sa jupe le plus naturellement du monde, s’est tout à coup relevée prise de panique.
D’instinct, je la saisis par le bras et la pousse de force dans ma chambre.
J’ai juste le temps de fermer la porte, que déjà Marion entre dans le salon. Ses yeux noisette se posent sur les miens avec une lueur amusée.
- Qu’est-ce que tu as, tu en fais une tête, tu n’es pas content de me voir ?
J’ai du mal à sortir un mot, tant ma gorge est sèche. Pourtant, gigotant sur ses mules avec son beau visage, ses cheveux ondulés reposant sur un pull de couleur rouge vif, bien rempli, ses jambes un peu fortes, gainées de bas opaques et brillants, sous une jupe courte plissée, Marion est comme toujours radieuse.
C’est alors qu’elle s’avance vers moi de quelques pas, se penche en avant, fait disparaître ses mains sous sa mini, se contorsionne légèrement pour faire glisser une petite culotte de dentelle rouge le long de ses jambes gainées de noir.
Marion retrousse sa jupette au-dessus de la taille, faisant apparaître un collant qui a la particularité d’avoir une large ouverture à l’entrejambe, laissant voir un ventre délicieusement bombé et une masse dense et sombre de boucles noires, jamais arrangée, ni taillée, ni réduite à l’épilation. Cette tenue, merveilleusement indécente et provocatrice, la rend très désirable. Le souffle me manque soudain devant ce spectacle.
Marion me guette du coin de l’œil et lance d’une voix sensuelle :
- J’étais sûre que cela allait te plaire. Touche-la.
Elle se presse contre moi et me regarde presque implorante. Elle prend ma main, la pose au-dessus de son genou.
- Caresse-moi doucement.
Le contact du nylon m’électrise. Sans plus attendre, mes doigts glissent jusqu’au pubis. Elle a comme un sursaut, mais fermant légèrement les yeux, Marion tend son ventre de quelques millimètres pour le rapprocher un peu plus de mes doigts.
Elle est venue chercher l’amour, la coquine.
Pas un souffle, pas un mot. Je la caresse doucement, laissant le temps à Marion de s’habituer à ce contact.
La chipie ouvre légèrement les jambes, transpirante de désir. Elle passe son pull par-dessus sa tête, dégrafe son soutien-gorge, libérant deux seins lourds aux pointes dressées.
Un instant, ce paradoxe m’amuse : pouvoir flirter avec Marion en présence de sa belle-mère.
Sa douce belle-fille qui s’offre, impudique et provocante. Son corps se presse contre le mien. Tous mes sens sont en alerte, j’ai chaud au bas-ventre.
Ma caresse se fait plus pressante. Ma belle oscille, frottant à présent son sexe contre ma main. Ma paume enferme son pubis. Marion hoquette, se cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque, laissant le plaisir l’envahir peu à peu.
Mes doigts atteignent ses grandes lèvres brûlantes et gonflées par l’attente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens s’ouvrir. Marion cesse de bouger, dans l’attente d’autres sensations. Sa poitrine se soulève à un rythme de plus en plus rapide.
Un peu gêné par cette situation, mon esprit vagabonde fugacement, une dernière barrière se dresse, faut-il arrêter là ? Marion a dû sentir mon hésitation, car elle appuie encore un peu plus son sexe contre moi et ses mains caressent mes reins, m’invitant à continuer. De ses lèvres s’échappe un faible murmure inintelligible que je m’empresse d’interpréter comme un encouragement.
Timidement elle caresse de ses doigts mon sexe à travers mon pantalon, jugeant mon état. Sous son massage, une décharge électrique me secoue. Sa main se crispe sur ma verge, pousse son exploration.
Se sentant peut-être redevable du plaisir que je lui offre, elle déboutonne ma braguette et libère mon sexe de son carcan de toile. Lorsque ses doigts l’effleurent, une véritable décharge électrique me parcourt. Elle part à la découverte de mon sexe, encore tout endolori de sa précédente cavalcade.
Ses doigts s’enroulent autour de ma verge, la serrent avec fermeté. Je me cambre violemment ne pouvant retenir un grognement de bien-être. Marion éprouve elle-même du plaisir à mon plaisir, son clitoris se dresse sous mes doigts qui ont repris leur caresse sur son sexe brûlant. Enchantée de ma dureté, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante.
Elle lâche un instant mon sexe agité de palpitations, pour défaire complètement mon pantalon qu’elle glisse à mes pieds. Elle reprend ma verge dans sa main pendant que sa jumelle part à la découverte de mes testicules. Ma hampe palpite entre ses doigts, ce qui lui indique au fur et à mesure, le plaisir qu’elle me fait ressentir. Elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et ne réfrène pas les mouvements de mon sexe et de mon bas-ventre.
Elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux s’offrir. Profitant de ses yeux clos, mon regard se pose sur la porte de la chambre qui est à présent entrouverte.
C’est l’instant que choisit Maryse pour sortir sa tête. Elle me lance un regard affolé, mélange de panique et de déception. Il faut que je trouve une solution pour éloigner Marion, afin de permettre à Maryse de s’enfuir.
Je l’entraîne alors dans la salle de bain. Elle ne proteste pas. C’est presque avec rage que je m’incruste contre elle. Son bassin alors commence à s’animer.
- Tu vas bien me baiser ! souffle-t-elle
C’est plus un ordre qu’une anticipation. Doucement, je la saisis sous les bras et la dépose sur le lavabo. Les pieds de Marion décollent du sol. Je passe mes mains sous ses cuisses gainées de noir, dressant ses jambes à la verticale.
Elle est comme en extase, les jambes écartelées, la fenêtre de son collant ouverte sur son ventre offert, appelant ma pénétration.
L’un comme l’autre nous retenons notre respiration jusqu’au moment où toute la longueur de mon sexe la pénètre. Nous expirons alors tous les deux avec un gémissement de plaisir et de contentement.
Les jambes repliées, accrochée des deux mains au rebord du lavabo, Marion se met à gémir en rythme, suivant mes assauts qui se font de plus en plus rapides. Je plane, grisé par ce cataplasme de peau de vingt ans. Me sentant partir, je crispe mes deux mains sur sa poitrine nue et dure comme du marbre. Marion pousse un cri aigu et se tord sous moi.
Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine grâce au son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va-et-vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Je continue mon mouvement de va-et-vient sur le même rythme, la regardant prendre son pied, comme sa belle-mère quelques minutes auparavant. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que l’orgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne, je plante ma bite au plus profond de son ventre et de puissants jets de sperme, brûlants et interminables inondent son ventre.
Nous restons immobiles quelques instants, moi profitant de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par l’orgasme, elle assimilant peu à peu tout le bonheur qu’elle vient d’éprouver.
Marion laisse retomber ses jambes. Semblant revenir à elle, elle me sourit.
- Hummmm ce que c’était bon ! s’écrit-elle.
Elle m’enlace dans ses bras, colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné qui soit, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau.
Saisissant mon membre à demi dur, elle le caresse doucement, comme pour le remercier de son orgasme. Puis elle regarde sa montre.
- Mince je vais être en retard ! s’écrit-elle, s’engageant dans le salon.
Elle se rhabille.
- Tu pars ? lui dis-je.
- Oui, je dois préparer ma valise. J’ai promis à mon père, de partir en week-end avec lui.
Après son départ je m’assieds sur le divan, la tête lourde, en proie à de fortes sensations… (A SUIVRE…)

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