Titre de l'histoire érotique : la copine de mon fils 4
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : la copine de mon fils 4
Aprés avoir déchargé dans le cul d'Aline, la copine de Bruno mon fils, nous sommes resté un moment allongés tous les deux, à se caresser, repus de sexe, de foutre, nos langues mélées. Mes mains parcouraient encore ce jeune corps que je venais de posséder, malaxant ses seins, doigtant sa chatte. Je commençais à bander à nouveau et j'avais à nouveau envie d'Aline. Mais Bruno pouvait maintenant revenir à tout moment et il bien fallu être raisonnable et se quitter.
Aline se rhabilla, le cul dégoulinant de mon foutre, la chatte mouillée de sa cyprine.... Elle promit de revenir....
Le lendemain aprés-midi, elle sonna à la porte.
-Bruno n'est pas là...
-Je sais,c'est toi que je viens voir.
Aline entra dans la maison et referma la porte avec son pied. Elle se jetta à mon cou, ses lévres se soudant immédiatement à mes lévres, sa langue forçant le passage pour trouver la mienne.
Je caressais le dos d'Aline, puis son cul, sous sa petite mini-jupe, pétrissant les fesses que le string couvrait à peine.
Je me détachais brusquement d'elle et lui dit :
-déshabille-toi, entièrement.
Le tee-shirt passa d'un geste rapide par dessus la tête et cette merveilleuse poitrine nue m'apparut, encore plus belle que la veille. Se fût ensuite le tour à la jupette de tomber par-terre, vite rejoint par le string. Aline était devant moi, à nouveau nue, les seins fièrement dressés, fermes, arrogants. un ventre plat et musclé et une petite touffe rousse aux poils courts et frisés. Elle se colla à nouveau à moi et repris posséssion de ma bouche. Je pétrissait ses fesses fermes bien rondes et bien dures et comme il n'y avait plus de tissus pour m'en fermer l'entrée, je massais aussi doucement son anus. Le traitement de la veille l'avait assouplit et je pus y introduire facilement un doigt, puis deux.
Je désignais à Aline le premier étage, lieu de nos ébats et elle commença à monter, sans que j'enlève mes doigts de son cul.... A chaque marche j'enfonçais mes doigts un peu plus loin dans son petit trou intime et la petite salope gémissait de plaisir à chaque fois.
Arrivés à l'étage, je me déshabillais et installais Aline sur le canapé, cuisses largement écartées afin de pouvoir fouiller cette chatte offerte. Ses lèvres laissaient déjà perler quelques gouttes de cyprine dont je me délectais. La petite salope voulant aussi sa part de liqueur, quoi de mieux alors qu'un merveilleux 69? Je continuais à la fouiller, ma langue titillant son clito qui gonflait à vue d'oeil, tandis qu'elle me pompait divinement le dard qui n'était pas en reste et bandait comme un cerf!
Comme elle était installée sur moi, je pouvais aisément lui fouiller le cul en même temps que je lui léchais le con.
La petite pute n'en pouvait plus de ce traitement et lachant ma bite elle me demandait de la défoncer!
Comme la veille, je lui fit comprendre que c'est cul que je voulais.
-OUiiii, comme tu veux, ma chatte ou mon cul j'm'en fous, mais vite défonce-moi j'en peux plus!!
Au lieu de la prendre à 4 pattes comme hier, je m'allongeais sur le canapé et la fit venir sur moi. Je plaçais son trou plissé au-dessus de mon braquemard et elle s'empala elle-même dessus. Le gland entra facilement et Aline se laissa tomber fortement sur moi, engloutissant d'un seul coup ma queue, jusqu'aux couilles. Aline entreprit un mouvement de va-et vient sur ma turgescence accompagné à chaque fois d'un "ha oui, c'est trop bon, vient plus loin encore!"
Je sentais que j'allais bientôt déchargé dans ce cul royal, mais pour retarder l'échéance, j'allongeais Aline sur moi, doucement pour que ma queue ne sorte pas de son cul. Aini empalée, elle resentait encore plus profondément ma bite dans ses entrailles et elle criait maintenant de plaisir. La position me permettait de lui caresser les seins et de lui masser les lèvres, et même d'introduire un doigt dans son vagin béant.
Je ne pût cependant me retenir bien longtemps et je déchargeais tout mon foutre dans l'étroit fourreau de ma belle, lui arrachant un râle de jouissance intense.
Comme la veille Aline vint me finir à la bouche, recueillant mes derniers jets de foutre qu'elle avala aussitôt....
La gamine est revenue tous les jours, se faisant enculer à chaque fois, jusqu'à la fin de cette semaine grandiose où ce fut un vrai feu d'artifice.... Je vous raconterais ça la prochaine fois....
Aline se rhabilla, le cul dégoulinant de mon foutre, la chatte mouillée de sa cyprine.... Elle promit de revenir....
Le lendemain aprés-midi, elle sonna à la porte.
-Bruno n'est pas là...
-Je sais,c'est toi que je viens voir.
Aline entra dans la maison et referma la porte avec son pied. Elle se jetta à mon cou, ses lévres se soudant immédiatement à mes lévres, sa langue forçant le passage pour trouver la mienne.
Je caressais le dos d'Aline, puis son cul, sous sa petite mini-jupe, pétrissant les fesses que le string couvrait à peine.
Je me détachais brusquement d'elle et lui dit :
-déshabille-toi, entièrement.
Le tee-shirt passa d'un geste rapide par dessus la tête et cette merveilleuse poitrine nue m'apparut, encore plus belle que la veille. Se fût ensuite le tour à la jupette de tomber par-terre, vite rejoint par le string. Aline était devant moi, à nouveau nue, les seins fièrement dressés, fermes, arrogants. un ventre plat et musclé et une petite touffe rousse aux poils courts et frisés. Elle se colla à nouveau à moi et repris posséssion de ma bouche. Je pétrissait ses fesses fermes bien rondes et bien dures et comme il n'y avait plus de tissus pour m'en fermer l'entrée, je massais aussi doucement son anus. Le traitement de la veille l'avait assouplit et je pus y introduire facilement un doigt, puis deux.
Je désignais à Aline le premier étage, lieu de nos ébats et elle commença à monter, sans que j'enlève mes doigts de son cul.... A chaque marche j'enfonçais mes doigts un peu plus loin dans son petit trou intime et la petite salope gémissait de plaisir à chaque fois.
Arrivés à l'étage, je me déshabillais et installais Aline sur le canapé, cuisses largement écartées afin de pouvoir fouiller cette chatte offerte. Ses lèvres laissaient déjà perler quelques gouttes de cyprine dont je me délectais. La petite salope voulant aussi sa part de liqueur, quoi de mieux alors qu'un merveilleux 69? Je continuais à la fouiller, ma langue titillant son clito qui gonflait à vue d'oeil, tandis qu'elle me pompait divinement le dard qui n'était pas en reste et bandait comme un cerf!
Comme elle était installée sur moi, je pouvais aisément lui fouiller le cul en même temps que je lui léchais le con.
La petite pute n'en pouvait plus de ce traitement et lachant ma bite elle me demandait de la défoncer!
Comme la veille, je lui fit comprendre que c'est cul que je voulais.
-OUiiii, comme tu veux, ma chatte ou mon cul j'm'en fous, mais vite défonce-moi j'en peux plus!!
Au lieu de la prendre à 4 pattes comme hier, je m'allongeais sur le canapé et la fit venir sur moi. Je plaçais son trou plissé au-dessus de mon braquemard et elle s'empala elle-même dessus. Le gland entra facilement et Aline se laissa tomber fortement sur moi, engloutissant d'un seul coup ma queue, jusqu'aux couilles. Aline entreprit un mouvement de va-et vient sur ma turgescence accompagné à chaque fois d'un "ha oui, c'est trop bon, vient plus loin encore!"
Je sentais que j'allais bientôt déchargé dans ce cul royal, mais pour retarder l'échéance, j'allongeais Aline sur moi, doucement pour que ma queue ne sorte pas de son cul. Aini empalée, elle resentait encore plus profondément ma bite dans ses entrailles et elle criait maintenant de plaisir. La position me permettait de lui caresser les seins et de lui masser les lèvres, et même d'introduire un doigt dans son vagin béant.
Je ne pût cependant me retenir bien longtemps et je déchargeais tout mon foutre dans l'étroit fourreau de ma belle, lui arrachant un râle de jouissance intense.
Comme la veille Aline vint me finir à la bouche, recueillant mes derniers jets de foutre qu'elle avala aussitôt....
La gamine est revenue tous les jours, se faisant enculer à chaque fois, jusqu'à la fin de cette semaine grandiose où ce fut un vrai feu d'artifice.... Je vous raconterais ça la prochaine fois....
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super histoire