Titre de l'histoire érotique : La culotte de Rose 6 FIN
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2017 dans la catégorie Plus on est
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Titre de l'histoire érotique : La culotte de Rose 6 FIN
Ce soir là, je ressors l’œuf pour la « poule » de Benoît et le vibromasseur. Rose couve l’œuf, jouit, pleure de bonheur, de douleur inavouable, me supplie de prendre la place des engins: mais c’est pour les fuir; ma queue minuscule est donc moins efficace et plus supportable que les jouets. De plus les piles sont inépuisables ou presque alors que moi je finis toujours par tomber en panne. Je hais Claudine, je déteste Rose. Mais ma pitié fout le camp.
- Je ne suis pas en forme, mais je ne voudrais pas que tu sois en manque. Je t’aime trop pour ne pas te procurer le plaisir que tu mérites. Garde cet œuf en toi.
Rose s’endort. J’enfonce le bouton de la télécommande. Elle se réveille avec des cris d’épouvante. J’ai cessé d’appuyer. Elle se rendort, je la réveille en relançant les vibrations. L’abus de plaisir sexuel avec Benoît, puis avec le vibromasseur et enfin avec l’œuf la replonge dans le sommeil, et je recommence une dizaine de fois. J’appuie quelques secondes et je cesse. Elle se réveille brutalement, se demande ce qui se passe et dort fatiguée.
La vengeance est cruelle.
Le lendemain au réveil je l’interroge sur le cambriolage.
- Qu’ont dit les gendarmes ?
- Finalement, on ne nous a rien volé. Le cambrioleur n’a emporté aucun de nos biens. Nous n’avons pas porté plainte.
- Que me dis-tu là ? Il n’y a pas de cambrioleur dans ce cas. C’était quoi ton appel téléphonique?
Une enquête de gendarmerie pourrait compromettre les amants. Benoît dépouillé d’une forte somme, ne porte pas plainte, c’est incroyable. Il y a une faille dans sa conduite. De quoi se méfie-t-il ? Tout ça me ragaillardit. Et les documents perdus ?
- Rose, j’ai envie de toi. Faisons l’amour.
- Paul, sois raisonnable, tu arriveras en retard au travail.
- Ah ! C’est ton premier refus de faire l’amour avec moi. Bizarre, non. J’en prends acte. Je demanderai à Claudine de me trouver une fille plus disponible pour la bagatelle. Es-tu malade? Je prends rendez-vous chez notre généraliste, je t’y accompagnerai samedi.
- C’est stupide, je suis ta femme. J’arracherai les yeux de Claudine et de la salope qui viendra ici. Tant pis pour ton patron, viens, aime-moi.
Son comportement est étrange. A sa place, je me refuserais. Pourquoi me cède-t-elle ? Je ne suis pas fier d’abuser d’elle de cette façon. Elle me rend dingue.
Aussi petite soit-elle, dans un ventre qui n’a pas connu de repos cette nuit, ma minuscule bite de douze centimètres cause des ravages. Les râles de ma femme adultère n’expriment pas tous du plaisir. Une règle me vient à l’esprit pendant que je la monte : chaque veille de rencontre amoureuse je vais user et abuser des sex-toys, rendre pénibles, douloureux et peu souhaitables, voire impraticables les rapports sexuels avec le sportif adultère. Il faut aussi que je localise avec précision le cabanon qui abrite leurs rendez-vous du vendredi.
D’abord je rends impossible l’utilisation du mercredi à domicile. J’ai un ordinateur au bureau, le pc domestique n’est pas indispensable,. Il est en panne ? Je change le mot de passe de l’entrée : la panne se prolongera surtout si mes connexions sont lâches.
- Mon chéri, ne peux-tu rien y faire ? C’est ennuyeux.
- Je le mettrai en réparation si l’association participe aux frais. Sinon vous squatterez chez Benoît ou un autre membre.
L’association paierait ? Avec quoi ? Quand le trésorier accusera Benoît de détournement, je rirai.
Ainsi est mis fin à l’adultère sous mon toit le mercredi, sans avoir à dévoiler ma présence au cours de leurs derniers travaux pratiques adultères dans le poulailler. Supprimez la cause, vous supprimerez l’effet. A la première occasion, dès le vendredi suivant, je suis ma femme sans me montrer. Les amants me guident, ferment la porte, mais quand à travers les parois de bois les plaintes amoureuses de Rose s’élèvent, conforté dans ma détestation,je me cache pour photographier leur sortie.
L’Œuf vibrant du soir arrache des cris pitoyables à ma femme sursaturée de frottements et vibrations en tout genre. Cette télécommande entre mes mains est démoniaque, secoue le ventre de Rose de façon surprenante, la maintient en alerte continue. Pour se débarrasser de l’œuf épuisant Rose me supplie de la prendre. Encore ? Elle est malade, insatiable, nymphomane? Je connais un remède naturel. Ce sera son cadeau d’anniversaire.
Ouf ! Voilà une bonne nouvelle, Rose a retrouvé un travail. Sage et assagie par l’emploi très fréquent des deux jouets, Rose retarde à 19 heures sa séance d’aquagym du lundi et renonce à son secrétariat bénévole, à la gym douce et au cross. Je ne vois plus Benoît dans mon fauteuil, me narguant de ses yeux cernés par ses excès seuels . Est-ce acquis, les rendez-vous ont-ils changé de lieux et d’heure ? Je ne peux pas tout surveiller. Donc je recours toujours aux corps étrangers vibreurs ou trembleurs. Rose grimace mais n’ose pas trop protester. Pourquoi ? Je ne comprends pas. J’ai honte, mais je souffre d’être cocu.
A quand la loi qui imposera une taille unique à tous les zizis ? On en fait bien d’autres sur tout. On parle tellement d’égalité en ces temps de crise. Zizi AOC. Égalité des sexes masculins. Ce serait plus juste. Mais les chattes sont-elles égales ? L’enquête serait plaisante. Je deviens idiot, j’ai une bite minuscule, dixit ma femme à son amant bien monté. Ça me rend fou, incohérent, méchant ou délirant.
Sur mon ordinateur de bureau, par petites annonces sur des sites spécialisés, je recherche des hommes désireux de rencontrer une jeune femme ardente. Les candidats disposeront de membres longs (dix huit au minimum) et vigoureux. Des candidats se manifestent en nombre. C’est, m’avouent-ils, qu’il n’est pas toujours facile de trouver chaussure à son pied quand on fait partie des grandes tailles. La curiosité ne suffit pas à vaincre la frayeur des jouvencelles.
J’en rencontre plusieurs. Quatre me suffisent. Je convoque Benoît, tout étonné de devoir revoir le cocu censé tout ignorer de son infortune conjugale. Il comprend vite ma détermination, me supplie de ne pas briser son ménage, car sa femme possède une petite fortune. Il n’a pas l’intention de divorcer. Promettre n’est pas tenir, Rose se fait des illusions. Car, comme on dit, les promesses n’engagent que ceux qui y croient.Je n’ai pas à craindre l’enlèvement de Rose. Il jure de cesser leur liaison. Il accepte de répondre à ma prochaine convocation. Découvert, il devient servile. Je prépare les couleuvres que j e lui ferai avaler.
Je rends visite à son épouse. Je lui parle de l’argent prélevé dans la veste de son mari, de sa réputation compromise pendant qu‘il tringlait ma femme dans le foin, je lui expose les circonstances de l’événement et finis par la convaincre avec la photo de son mari et de Rose devant le cabanon. Elle gardera les billets au chaud pour s’amuser des ennuis des retombées au sein de l’association. Comme moi, elle pense la punition nécessaire et dure. Je lui promets mon aide pour confondre l’infidèle, mais elle doit attendre mon signal. C’est une femme agréable qui transpire la bonne éducation reçue chez les sœurs, distinguée, honnête, belle et bien faite, désirable mais un peu prude : ce Benoît ne sait pas apprécier sa chance. Si c’était possible je réclamerais un échange immédiat des deux compagnes.
Tout vient à point à qui sait attendre. Mon coup est calculé, le résultat frappera les esprits.
- Ma chérie, c’est demain l’anniversaire de notre mariage. J’ai prévu un repas dans un hôtel restaurant.
Rose se réjouit, accepte d’attendre la surprise promise.
Mes complices, à l’heure prévue, sont sur place, occupent des chambres proches de celle que j’ai réservée pour mon couple. Brigitte arrivera plus tard. Benoît est cloîtré dans notre chambre. Pendant le repas, je m‘absente, monte vérifier le dispositif. Je lie Benoît à un fauteuil. S’il a le malheur de signaler sa présence, je le dénoncerai à sa femme. La menace l’angoisse et tue toute volonté de résister à mon plan encore secret.
Devant la porte de la chambre, Rose accepte de porter le bandeau qui l’aveuglera jusqu’au moment de la découverte de la surprise annoncée. Elle adore mon jeu, tant mieux. Elle entre, ne voit pas l’amant muet, figé de stupeur. Benoît assiste à l’effeuillage de Rose, aux préliminaires des époux. Devant lui, je pratique une longue fellation aux effets renforcés par le bandeau. Rose prend feu, se lâche, exagère peut-être ses réactions pour me remercier de l‘initiative. Et puis j’ai une langue active, efficace que mes doigts complètent parfaitement. Dans ce domaine de préliminaires je ne crains pas la concurrence , la jouissance proclamée de mon épousePourquoi se gêner ? Rose exprime sa joie, me remercie d’avoir pensé à fêter cet anniversaire, attend son cadeau en me suçant le gland.
- La surprise viendra, mais uniquement quand tu auras joui plusieurs fois.
Je la prends, elle jouit. L’amant regarde en silence. Je demande à la mariée de se positionner pour une levrette, j’éloigne ses genoux J’ouvre la porte à mes quatre longues queues. Ils restent en admiration sur le seuil à la vue du sexe et des fesses puis se dirigent vers la cible. Ils savent. Le premier se place derrière Rose et frotte sa pine à sa vulve déjà chaude. Le deuxième présente son pénis à la bouche de Benoît horrifié, le troisième se masturbe pour se mettre en forme, le quatrième se dirige vers la tête de Rose, discrètement.
- Rose voici mon cadeau. Tu me trouves petit, minuscule. Aujourd’hui je me suis fait délier l’aiguillette.
- Mais non, mon chéri. Où vas-tu chercher des histoires pareilles ? Tu es très bien .
- Ton coach Benoît m’a répété que tu me trouvais « minuscule ». Sens-tu l’amélioration.
- C’est un menteur. Il n’est plus mon coach. Oh! Ce n’est pas possible !
- Benoît est-il encore ton amant ?
- Chéri, c’est notre anniversaire de mariage. Oublions ce prétentieux , ce type là, mon amant, non mais tu plaisantes?
- Es-tu prête à baiser ?
- Mais oui, dépêche-toi. Je t’attends.
Benoît a la bouche pleine et respecte le silence imposé.
- Attention, j’ouvre ton sexe, ma queue arrive.
- Quelle queue? Oh!! C’est gros. Tu as acheté et utilisé un extenseur ? Oh! Tu n’en finis pas d’entrer. Je veux voir.
-Non, garde le bandeau.
Le type avance, lentement, ménage sa monture. C’est un malin, il veut aller loin. Il tient solidement les hanches de Rose et entame une longue série de mouvements en aller-retour. Rose comprend la nature du cadeau.
- Paul, tu es un mari merveilleux. J’apprécie. Mais jure-moi que c’est la dernière fois. Je t’aime. Oh! C’est si bon. Comment s’appelle mon sabreur ?
- Anonyme. Tu ne le verras plus, c’est sans importance.
- Hum, Paul, qu’est-ce qui se passe ?
- Pcht, ouvre la bouche et suce.
- Une deuxième !
La grande bite d’un second pénètre ses lèvres, lui coupe la parole. Celui-là fixe la chevelure et fait aller et venir la tête. La bouche coulisse mais Rose ne peut plus parler. A l’arrière le premier se cale contre les fesses, il éjacule longuement, déverse son onguent, se retire. Cruel je libère Benoît, le pousse derrière la croupe de Rose,
-Allez, nettoie sa chatte, lèche ou Brigitte saura.
La peur de perdre sa femme le soumet à mes exigences. Si Rose pouvait parler, elle dirait quel plaisir elle reçoit de cette langue. Reconnaît-elle son amant dans ses œuvres, à son coup de langue ou à sa manière de lui aspirer le liquide ? Je ne crois pas, la massue qui l’a envahie a anesthésié son vagin et ses petites lèvres forcées. Je craignais de l’entendre refuser le cadeau si spécial. Non, elle semble vouloir profiter au maximum de cette expérience. Elle a compris au moins deux choses : en premier j’ai loué les services de plusieurs mâles, elle apprendra au fur et à mesure du déroulement combien ils sont.
Ensuite le premier assaut lui a révélé que j’avais réuni des sexes de grande taille pour célébrer l‘anniversaire de non noces, bien plus longs et plus épais que celui de son amant Benoît. J’évite de me comparer à eux. Les quatre hommes effectuent une ronde sans fin, lui remplissent de sperme le ventre et la bouche, l‘un après l‘autre. Réussira-t-elle à les différencier selon des détails particuliers, est-ce son souci, ne se contente-t-elle pas de se sentir prise successivement dans des positions variées, coincée sous l‘un, à cheval sur l‘autre, mais toujours aveuglée par son bandeau.
Benoît prend finalement son pied. Il retrouve sa maîtresse,s’en réjouit et il lèche la vulve, il aspire le foutre qui déborde de la bouche. Rose subit les assauts avec philosophie, ne réclame plus de voir ces bons baiseurs. C’est un festival, elle en est la vedette. Les gars s’encouragent, heureux de l’accueil de ce vagin avide de s’adapter à leur volume.
Car ils ont ordre de se contenter du vagin après une stimulation buccale ou manuelle. Le manège tourne, les décharges de foutre se succèdent, Rose s’efforce de se montrer souple et docile, parfaitement soumise à mes désirs. Benoît fatigue, enrage d’en être réduit au rôle d’éponge à sperme, il en bave, mais obéit. L’anus reste neutre dans sa section cachée, à peine gratouillé en surface par des ongles égarés.
Au milieu des bruits de succion, de pénétration en milieu liquide, j’entends frapper à la porte. Je ligote les pieds et les mains de Benoît, avec un peu de jeu pour ne pas le blesser. C’est pour lui éviter de fuir ou de se battre. Il s’est fait à son rôle d’amant cocu, a trouvé agréable de pouvoir participer à la fête avec sa bouche. J’aimerais que cela continue. Car il va connaître à son tour une énorme surprise. Il ne sait pas qui veut nous rejoindre et se montre zélé dans son rôle. Espère-t-il obtenir le droit de troncher lui aussi la reine de la fête ? Malgré ses entraves, il lape vivement, comme un chat affamé, le reflux de cette chatte aimée débordante de spermatozoïdes étrangers
J’ouvre la porte à Brigitte. Elle entre, voit tout ce monde nu, ferait demi-tour. Je la retiens et je lui expose la situation, à voix haute. Elle s’étonne d’entendre qu’elle visite une fête d’anniversaire de mariage. Elle examine attentivement les héros actuellement à l’arrêt. Ouvre des yeux ronds à la vue des sceptres royaux. Elle n’a jamais vu ça, si gros, si longs, avec des couilles aussi lourdes. Je lui désigne l’homme de ménage occupé à débarrasser le trop plein d’humeurs sortant de la cramouille de mon épouse :
- Reconnaissez-vous l’agent de surface si appliqué à faire place nette avant les prochains accouplements.
- Non, il est de dos. Je le connais?
- C’est Benoît.
Brigitte fonce sur Benoît en train de nettoyer la vulve de Rose, lui assène une gifle magistrale et dévisage chacun des hommes, vise particulièrement le bas ventre son époux et frappe pour la deuxième fois. Je relève Rose,ma chasseuse de gros chibres pour une plage de repos. Trop de plaisir tue le plaisir. Comme les mâles, elle a besoin de reprendre des forces avant de s’adonner à de nouveaux ébats.
- Rose, viens, donne-moi la main, repose-toi un peu dans ce fauteuil. Brigitte souhaite peut-être recevoir des indications sur ton état d’esprit, sur tes sensations, sur un éventuel état de fatigue.
- Vous allez bien ? C’est supportable ? Il est inutile de palabrer, vous resplendissez dit l’arrivante.
J’ajoute à l’intention de ma femme adultère :
- Tu pourras recommencer à baiser si tu le souhaites.
Soudain Brigitte se dirige vers Rose, arrache le ruban :
- Je veux voir ses yeux. Ho, Benoît qu’a-t-elle de plus que moi, ta putain ?
Où est passée sa bonne éducation ? Brigitte est méconnaissable à force de bouillir dans l’attente de sa vengeance. Elle se délivre de ses vêtements, se met nue. C’est une jolie femme, bien en chair, montée sur de magnifiques jambes, longues et sans cellulite, pur produit des instituts de beauté. Son pubis aux bouclettes dorées attire les regards, quand ils ne sont pas fascinés par son opulente poitrine
Benoît disparaîtrait volontiers, se fait tout petit. L’apparition de sa femme au pire moment est une catastrophe et le glace d’effroi. Il ne peut pas riposter à sa terrible gifle, est publiquement humilié par le coup. Or voilà une suite inattendue, sa moitié si précieuse se dénude entièrement devant moi et les quatre malabars musclés et super équipés sous la ceinture. Il n’a plus la force de réagir.
- Toi, espèce de cochon, dit Brigitte la superbe quadra à son mari, regarde et ne bouge pas.
Pieds et poings liés il n’en a pas la possibilité. La crainte du rejet définitif suffit à lui couper tous les moyens d’entreprendre. Brigitte s’installe sur le lit, appelle les quatre hommes :
-Venez, vous autres, baisez-moi, faites-moi l’amour. Mes trous sont à vous. Dis, Benoît, tu vois ces belles bites. Tu es ridicule à côté d’eux. Messieurs, on y va ? Saluez-moi d’un coup de votre gourdin l’un après l’autre puis sautez-moi comme des sauvages, je veux jouir, jouir, jouir.
Brigitte disparaît au centre des étalons. Les membres se mélangent, les corps s’emmêlent, les grognements et les gémissements se confondent. Quel capharnaüm ! Je tourne le dos au lit et j’oblige Benoît à regarder l’orgie. Il pleure toutes les larmes de son corps.
- Rose, tu devrais le consoler. Fais quelque chose pour ton amant, branle-le, fais lui une fellation. Faut-il le coucher sur le dos afin que tu puisses te laisser glisser le long de sa tige ? Si tu le désires je peux faire amener une botte de foin du poulailler.
Aujourd’hui Rose perd sa voix, me regarde horrifiée.
- Oh ! C’est ça. Tu savais, tu nous as vus ? Tu te venges ! Toute cette mise en scène a un seul but : m’humilier et abaisser Benoît. Le cambrioleur…
- Oui, le cambrioleur c’était moi. J’ai rendu l’argent à Brigitte et pour la deuxième et dernière fois je te rends une culotte dont tu n’as pas déclaré le vol : je l’ai subtilisée sur la clenche de porte de la remise où tu baisais avec Benoît. Sa queue est à ta disposition. Sa femme ne voudra plus de lui.
Une main touche mon épaule, celle de Brigitte :
- Mais si, j’ai encore besoin de ce salaud. Lèche-moi le con, cher mari, allez, lèche, n‘oublie pas mon anus : le plus mince des quatre me l‘a saccagé et noyé. Quel bonheur. Tu l’as fait pour Elle, tu peux le faire pour moi. Vite
Benoît se soumet, se courbe, se tord le cou pour recueillir les sécrétions dans les plis de la vulve, sur les seins, dans le nombril, sur les pieds, sur les yeux, partout, il avale pendant que je chantonne : « et les ailes, et les pattes, et les yeux et la tête, et le con et le cul, alouette, alouette, hahahaha Alouette, gentille alouette… » ’Brigitte est à la fête, se tord de rire, elle le repousse:
- Nous divorcerons si tu ne m’organises pas des fêtes aussi attrayantes.
- Mais, chérie … oui, bien sûr.
- Ferme-la. Tu pourras y inviter ta copine et elle pourra t’aider à pomper le jus de mes amants. Vous serez chargés du ménage et de l’intendance, nus comme ici. Vous aurez le droit de vous envoyer en l’air. A l’avenir tu ne me baiseras plus, cette putain me remplacera dans ton lit. Ton lit, pas le mien, nous ferons chambre à part.
Elle retourne sur la couche, écarte les cuisses, se redresse pour un défi :
- Je rêve depuis longtemps de me faire prendre simultanément par trois massues. Merci Paul de m’en donner l’occasion. Pour toi, Paul, ce sera quand tu voudras, où tu voudras, comme tu voudras, aussi souvent que tu voudras. Elle est si mignonne ta verge. Alors les gars, ça vient ! Un dessous, oui, encule-moi. Aïe, wouhaa, oh ! Un dessus, hum, doucement, tu es à côté, attends je te place. Un dans la bouche, attends, le dernier dans ma main. Entrez, entrez, c’est gratuit.
Le sperme coule de nouveau. Brigitte se poste devant son homme et ordonne : travaille pompe, nettoie.
Je me rhabille. Rose se lève :
- Tu pars, emmène-moi.
- Comment ? Tu ne veux pas profiter encore de ton cadeau ? C’est le dernier du genre, modèle unique, je ne t’en ferai pas d’autre : mon cadeau d’adieu, en somme
- Non, ne me quitte pas.
- Ça ne t’a pas plu ?
- Si. Merci, mais ils m’ont fatiguée, je n‘en peux plus. Ça suffit. Tu savais pour Benoît : Tu as laissé faire, ce n’est pas juste. Tu as triché, tu dois pardonner. Pardonnes-tu ?
- Si tu me dis ce que tu as fait de « ton » vibromasseur et de « ton « œuf vibrant. », peut-être
- Je m’en doutais : tu savais ça aussi et tu as acheté les mêmes exprès.
- Et alors ?
- Claudine me les a réclamés. On garde les tiens ?
- Non. Si tu ne peux pas te contenter de moi, va, quitte-moi. Rien ne t’oblige à revenir à la maison ce soir. Je crois que Benoît sera libre, sa femme a déjà contacté son avocat pour divorcer.
- Mais non, il devra lui fournir des amants. Tu n’es pas assez attentif, elle le garde comme organisateur de ses plaisirs
- Et il pourra te défoncer devant elle et eux. Les hommes pourront te culbuter. Ta vie sera plus belle, mieux remplie. Reste avec Benoît.
- Ma vie ne sera pas belle sans toi. Dis, mon amour, tu n’iras pas chez Brigitte, jure-le moi. Je t’aime. Ça y est. Maintenant je sais ce qu’est une grosse queue. Je n’ai plus besoin de chercher. Pas Brigitte, non, garde-moi,
dit-elle entre ses dents, puis plus fort :
- Paul, ne va pas chez Brigitte, tu es à moi. Attends-moi, je m’habille. Qui a pris ma culotte ? Oh! Je la vois, dans ta poche. Encore toi mon amour ! Rends-moi ma culotte.
- Je ne suis pas en forme, mais je ne voudrais pas que tu sois en manque. Je t’aime trop pour ne pas te procurer le plaisir que tu mérites. Garde cet œuf en toi.
Rose s’endort. J’enfonce le bouton de la télécommande. Elle se réveille avec des cris d’épouvante. J’ai cessé d’appuyer. Elle se rendort, je la réveille en relançant les vibrations. L’abus de plaisir sexuel avec Benoît, puis avec le vibromasseur et enfin avec l’œuf la replonge dans le sommeil, et je recommence une dizaine de fois. J’appuie quelques secondes et je cesse. Elle se réveille brutalement, se demande ce qui se passe et dort fatiguée.
La vengeance est cruelle.
Le lendemain au réveil je l’interroge sur le cambriolage.
- Qu’ont dit les gendarmes ?
- Finalement, on ne nous a rien volé. Le cambrioleur n’a emporté aucun de nos biens. Nous n’avons pas porté plainte.
- Que me dis-tu là ? Il n’y a pas de cambrioleur dans ce cas. C’était quoi ton appel téléphonique?
Une enquête de gendarmerie pourrait compromettre les amants. Benoît dépouillé d’une forte somme, ne porte pas plainte, c’est incroyable. Il y a une faille dans sa conduite. De quoi se méfie-t-il ? Tout ça me ragaillardit. Et les documents perdus ?
- Rose, j’ai envie de toi. Faisons l’amour.
- Paul, sois raisonnable, tu arriveras en retard au travail.
- Ah ! C’est ton premier refus de faire l’amour avec moi. Bizarre, non. J’en prends acte. Je demanderai à Claudine de me trouver une fille plus disponible pour la bagatelle. Es-tu malade? Je prends rendez-vous chez notre généraliste, je t’y accompagnerai samedi.
- C’est stupide, je suis ta femme. J’arracherai les yeux de Claudine et de la salope qui viendra ici. Tant pis pour ton patron, viens, aime-moi.
Son comportement est étrange. A sa place, je me refuserais. Pourquoi me cède-t-elle ? Je ne suis pas fier d’abuser d’elle de cette façon. Elle me rend dingue.
Aussi petite soit-elle, dans un ventre qui n’a pas connu de repos cette nuit, ma minuscule bite de douze centimètres cause des ravages. Les râles de ma femme adultère n’expriment pas tous du plaisir. Une règle me vient à l’esprit pendant que je la monte : chaque veille de rencontre amoureuse je vais user et abuser des sex-toys, rendre pénibles, douloureux et peu souhaitables, voire impraticables les rapports sexuels avec le sportif adultère. Il faut aussi que je localise avec précision le cabanon qui abrite leurs rendez-vous du vendredi.
D’abord je rends impossible l’utilisation du mercredi à domicile. J’ai un ordinateur au bureau, le pc domestique n’est pas indispensable,. Il est en panne ? Je change le mot de passe de l’entrée : la panne se prolongera surtout si mes connexions sont lâches.
- Mon chéri, ne peux-tu rien y faire ? C’est ennuyeux.
- Je le mettrai en réparation si l’association participe aux frais. Sinon vous squatterez chez Benoît ou un autre membre.
L’association paierait ? Avec quoi ? Quand le trésorier accusera Benoît de détournement, je rirai.
Ainsi est mis fin à l’adultère sous mon toit le mercredi, sans avoir à dévoiler ma présence au cours de leurs derniers travaux pratiques adultères dans le poulailler. Supprimez la cause, vous supprimerez l’effet. A la première occasion, dès le vendredi suivant, je suis ma femme sans me montrer. Les amants me guident, ferment la porte, mais quand à travers les parois de bois les plaintes amoureuses de Rose s’élèvent, conforté dans ma détestation,je me cache pour photographier leur sortie.
L’Œuf vibrant du soir arrache des cris pitoyables à ma femme sursaturée de frottements et vibrations en tout genre. Cette télécommande entre mes mains est démoniaque, secoue le ventre de Rose de façon surprenante, la maintient en alerte continue. Pour se débarrasser de l’œuf épuisant Rose me supplie de la prendre. Encore ? Elle est malade, insatiable, nymphomane? Je connais un remède naturel. Ce sera son cadeau d’anniversaire.
Ouf ! Voilà une bonne nouvelle, Rose a retrouvé un travail. Sage et assagie par l’emploi très fréquent des deux jouets, Rose retarde à 19 heures sa séance d’aquagym du lundi et renonce à son secrétariat bénévole, à la gym douce et au cross. Je ne vois plus Benoît dans mon fauteuil, me narguant de ses yeux cernés par ses excès seuels . Est-ce acquis, les rendez-vous ont-ils changé de lieux et d’heure ? Je ne peux pas tout surveiller. Donc je recours toujours aux corps étrangers vibreurs ou trembleurs. Rose grimace mais n’ose pas trop protester. Pourquoi ? Je ne comprends pas. J’ai honte, mais je souffre d’être cocu.
A quand la loi qui imposera une taille unique à tous les zizis ? On en fait bien d’autres sur tout. On parle tellement d’égalité en ces temps de crise. Zizi AOC. Égalité des sexes masculins. Ce serait plus juste. Mais les chattes sont-elles égales ? L’enquête serait plaisante. Je deviens idiot, j’ai une bite minuscule, dixit ma femme à son amant bien monté. Ça me rend fou, incohérent, méchant ou délirant.
Sur mon ordinateur de bureau, par petites annonces sur des sites spécialisés, je recherche des hommes désireux de rencontrer une jeune femme ardente. Les candidats disposeront de membres longs (dix huit au minimum) et vigoureux. Des candidats se manifestent en nombre. C’est, m’avouent-ils, qu’il n’est pas toujours facile de trouver chaussure à son pied quand on fait partie des grandes tailles. La curiosité ne suffit pas à vaincre la frayeur des jouvencelles.
J’en rencontre plusieurs. Quatre me suffisent. Je convoque Benoît, tout étonné de devoir revoir le cocu censé tout ignorer de son infortune conjugale. Il comprend vite ma détermination, me supplie de ne pas briser son ménage, car sa femme possède une petite fortune. Il n’a pas l’intention de divorcer. Promettre n’est pas tenir, Rose se fait des illusions. Car, comme on dit, les promesses n’engagent que ceux qui y croient.Je n’ai pas à craindre l’enlèvement de Rose. Il jure de cesser leur liaison. Il accepte de répondre à ma prochaine convocation. Découvert, il devient servile. Je prépare les couleuvres que j e lui ferai avaler.
Je rends visite à son épouse. Je lui parle de l’argent prélevé dans la veste de son mari, de sa réputation compromise pendant qu‘il tringlait ma femme dans le foin, je lui expose les circonstances de l’événement et finis par la convaincre avec la photo de son mari et de Rose devant le cabanon. Elle gardera les billets au chaud pour s’amuser des ennuis des retombées au sein de l’association. Comme moi, elle pense la punition nécessaire et dure. Je lui promets mon aide pour confondre l’infidèle, mais elle doit attendre mon signal. C’est une femme agréable qui transpire la bonne éducation reçue chez les sœurs, distinguée, honnête, belle et bien faite, désirable mais un peu prude : ce Benoît ne sait pas apprécier sa chance. Si c’était possible je réclamerais un échange immédiat des deux compagnes.
Tout vient à point à qui sait attendre. Mon coup est calculé, le résultat frappera les esprits.
- Ma chérie, c’est demain l’anniversaire de notre mariage. J’ai prévu un repas dans un hôtel restaurant.
Rose se réjouit, accepte d’attendre la surprise promise.
Mes complices, à l’heure prévue, sont sur place, occupent des chambres proches de celle que j’ai réservée pour mon couple. Brigitte arrivera plus tard. Benoît est cloîtré dans notre chambre. Pendant le repas, je m‘absente, monte vérifier le dispositif. Je lie Benoît à un fauteuil. S’il a le malheur de signaler sa présence, je le dénoncerai à sa femme. La menace l’angoisse et tue toute volonté de résister à mon plan encore secret.
Devant la porte de la chambre, Rose accepte de porter le bandeau qui l’aveuglera jusqu’au moment de la découverte de la surprise annoncée. Elle adore mon jeu, tant mieux. Elle entre, ne voit pas l’amant muet, figé de stupeur. Benoît assiste à l’effeuillage de Rose, aux préliminaires des époux. Devant lui, je pratique une longue fellation aux effets renforcés par le bandeau. Rose prend feu, se lâche, exagère peut-être ses réactions pour me remercier de l‘initiative. Et puis j’ai une langue active, efficace que mes doigts complètent parfaitement. Dans ce domaine de préliminaires je ne crains pas la concurrence , la jouissance proclamée de mon épousePourquoi se gêner ? Rose exprime sa joie, me remercie d’avoir pensé à fêter cet anniversaire, attend son cadeau en me suçant le gland.
- La surprise viendra, mais uniquement quand tu auras joui plusieurs fois.
Je la prends, elle jouit. L’amant regarde en silence. Je demande à la mariée de se positionner pour une levrette, j’éloigne ses genoux J’ouvre la porte à mes quatre longues queues. Ils restent en admiration sur le seuil à la vue du sexe et des fesses puis se dirigent vers la cible. Ils savent. Le premier se place derrière Rose et frotte sa pine à sa vulve déjà chaude. Le deuxième présente son pénis à la bouche de Benoît horrifié, le troisième se masturbe pour se mettre en forme, le quatrième se dirige vers la tête de Rose, discrètement.
- Rose voici mon cadeau. Tu me trouves petit, minuscule. Aujourd’hui je me suis fait délier l’aiguillette.
- Mais non, mon chéri. Où vas-tu chercher des histoires pareilles ? Tu es très bien .
- Ton coach Benoît m’a répété que tu me trouvais « minuscule ». Sens-tu l’amélioration.
- C’est un menteur. Il n’est plus mon coach. Oh! Ce n’est pas possible !
- Benoît est-il encore ton amant ?
- Chéri, c’est notre anniversaire de mariage. Oublions ce prétentieux , ce type là, mon amant, non mais tu plaisantes?
- Es-tu prête à baiser ?
- Mais oui, dépêche-toi. Je t’attends.
Benoît a la bouche pleine et respecte le silence imposé.
- Attention, j’ouvre ton sexe, ma queue arrive.
- Quelle queue? Oh!! C’est gros. Tu as acheté et utilisé un extenseur ? Oh! Tu n’en finis pas d’entrer. Je veux voir.
-Non, garde le bandeau.
Le type avance, lentement, ménage sa monture. C’est un malin, il veut aller loin. Il tient solidement les hanches de Rose et entame une longue série de mouvements en aller-retour. Rose comprend la nature du cadeau.
- Paul, tu es un mari merveilleux. J’apprécie. Mais jure-moi que c’est la dernière fois. Je t’aime. Oh! C’est si bon. Comment s’appelle mon sabreur ?
- Anonyme. Tu ne le verras plus, c’est sans importance.
- Hum, Paul, qu’est-ce qui se passe ?
- Pcht, ouvre la bouche et suce.
- Une deuxième !
La grande bite d’un second pénètre ses lèvres, lui coupe la parole. Celui-là fixe la chevelure et fait aller et venir la tête. La bouche coulisse mais Rose ne peut plus parler. A l’arrière le premier se cale contre les fesses, il éjacule longuement, déverse son onguent, se retire. Cruel je libère Benoît, le pousse derrière la croupe de Rose,
-Allez, nettoie sa chatte, lèche ou Brigitte saura.
La peur de perdre sa femme le soumet à mes exigences. Si Rose pouvait parler, elle dirait quel plaisir elle reçoit de cette langue. Reconnaît-elle son amant dans ses œuvres, à son coup de langue ou à sa manière de lui aspirer le liquide ? Je ne crois pas, la massue qui l’a envahie a anesthésié son vagin et ses petites lèvres forcées. Je craignais de l’entendre refuser le cadeau si spécial. Non, elle semble vouloir profiter au maximum de cette expérience. Elle a compris au moins deux choses : en premier j’ai loué les services de plusieurs mâles, elle apprendra au fur et à mesure du déroulement combien ils sont.
Ensuite le premier assaut lui a révélé que j’avais réuni des sexes de grande taille pour célébrer l‘anniversaire de non noces, bien plus longs et plus épais que celui de son amant Benoît. J’évite de me comparer à eux. Les quatre hommes effectuent une ronde sans fin, lui remplissent de sperme le ventre et la bouche, l‘un après l‘autre. Réussira-t-elle à les différencier selon des détails particuliers, est-ce son souci, ne se contente-t-elle pas de se sentir prise successivement dans des positions variées, coincée sous l‘un, à cheval sur l‘autre, mais toujours aveuglée par son bandeau.
Benoît prend finalement son pied. Il retrouve sa maîtresse,s’en réjouit et il lèche la vulve, il aspire le foutre qui déborde de la bouche. Rose subit les assauts avec philosophie, ne réclame plus de voir ces bons baiseurs. C’est un festival, elle en est la vedette. Les gars s’encouragent, heureux de l’accueil de ce vagin avide de s’adapter à leur volume.
Car ils ont ordre de se contenter du vagin après une stimulation buccale ou manuelle. Le manège tourne, les décharges de foutre se succèdent, Rose s’efforce de se montrer souple et docile, parfaitement soumise à mes désirs. Benoît fatigue, enrage d’en être réduit au rôle d’éponge à sperme, il en bave, mais obéit. L’anus reste neutre dans sa section cachée, à peine gratouillé en surface par des ongles égarés.
Au milieu des bruits de succion, de pénétration en milieu liquide, j’entends frapper à la porte. Je ligote les pieds et les mains de Benoît, avec un peu de jeu pour ne pas le blesser. C’est pour lui éviter de fuir ou de se battre. Il s’est fait à son rôle d’amant cocu, a trouvé agréable de pouvoir participer à la fête avec sa bouche. J’aimerais que cela continue. Car il va connaître à son tour une énorme surprise. Il ne sait pas qui veut nous rejoindre et se montre zélé dans son rôle. Espère-t-il obtenir le droit de troncher lui aussi la reine de la fête ? Malgré ses entraves, il lape vivement, comme un chat affamé, le reflux de cette chatte aimée débordante de spermatozoïdes étrangers
J’ouvre la porte à Brigitte. Elle entre, voit tout ce monde nu, ferait demi-tour. Je la retiens et je lui expose la situation, à voix haute. Elle s’étonne d’entendre qu’elle visite une fête d’anniversaire de mariage. Elle examine attentivement les héros actuellement à l’arrêt. Ouvre des yeux ronds à la vue des sceptres royaux. Elle n’a jamais vu ça, si gros, si longs, avec des couilles aussi lourdes. Je lui désigne l’homme de ménage occupé à débarrasser le trop plein d’humeurs sortant de la cramouille de mon épouse :
- Reconnaissez-vous l’agent de surface si appliqué à faire place nette avant les prochains accouplements.
- Non, il est de dos. Je le connais?
- C’est Benoît.
Brigitte fonce sur Benoît en train de nettoyer la vulve de Rose, lui assène une gifle magistrale et dévisage chacun des hommes, vise particulièrement le bas ventre son époux et frappe pour la deuxième fois. Je relève Rose,ma chasseuse de gros chibres pour une plage de repos. Trop de plaisir tue le plaisir. Comme les mâles, elle a besoin de reprendre des forces avant de s’adonner à de nouveaux ébats.
- Rose, viens, donne-moi la main, repose-toi un peu dans ce fauteuil. Brigitte souhaite peut-être recevoir des indications sur ton état d’esprit, sur tes sensations, sur un éventuel état de fatigue.
- Vous allez bien ? C’est supportable ? Il est inutile de palabrer, vous resplendissez dit l’arrivante.
J’ajoute à l’intention de ma femme adultère :
- Tu pourras recommencer à baiser si tu le souhaites.
Soudain Brigitte se dirige vers Rose, arrache le ruban :
- Je veux voir ses yeux. Ho, Benoît qu’a-t-elle de plus que moi, ta putain ?
Où est passée sa bonne éducation ? Brigitte est méconnaissable à force de bouillir dans l’attente de sa vengeance. Elle se délivre de ses vêtements, se met nue. C’est une jolie femme, bien en chair, montée sur de magnifiques jambes, longues et sans cellulite, pur produit des instituts de beauté. Son pubis aux bouclettes dorées attire les regards, quand ils ne sont pas fascinés par son opulente poitrine
Benoît disparaîtrait volontiers, se fait tout petit. L’apparition de sa femme au pire moment est une catastrophe et le glace d’effroi. Il ne peut pas riposter à sa terrible gifle, est publiquement humilié par le coup. Or voilà une suite inattendue, sa moitié si précieuse se dénude entièrement devant moi et les quatre malabars musclés et super équipés sous la ceinture. Il n’a plus la force de réagir.
- Toi, espèce de cochon, dit Brigitte la superbe quadra à son mari, regarde et ne bouge pas.
Pieds et poings liés il n’en a pas la possibilité. La crainte du rejet définitif suffit à lui couper tous les moyens d’entreprendre. Brigitte s’installe sur le lit, appelle les quatre hommes :
-Venez, vous autres, baisez-moi, faites-moi l’amour. Mes trous sont à vous. Dis, Benoît, tu vois ces belles bites. Tu es ridicule à côté d’eux. Messieurs, on y va ? Saluez-moi d’un coup de votre gourdin l’un après l’autre puis sautez-moi comme des sauvages, je veux jouir, jouir, jouir.
Brigitte disparaît au centre des étalons. Les membres se mélangent, les corps s’emmêlent, les grognements et les gémissements se confondent. Quel capharnaüm ! Je tourne le dos au lit et j’oblige Benoît à regarder l’orgie. Il pleure toutes les larmes de son corps.
- Rose, tu devrais le consoler. Fais quelque chose pour ton amant, branle-le, fais lui une fellation. Faut-il le coucher sur le dos afin que tu puisses te laisser glisser le long de sa tige ? Si tu le désires je peux faire amener une botte de foin du poulailler.
Aujourd’hui Rose perd sa voix, me regarde horrifiée.
- Oh ! C’est ça. Tu savais, tu nous as vus ? Tu te venges ! Toute cette mise en scène a un seul but : m’humilier et abaisser Benoît. Le cambrioleur…
- Oui, le cambrioleur c’était moi. J’ai rendu l’argent à Brigitte et pour la deuxième et dernière fois je te rends une culotte dont tu n’as pas déclaré le vol : je l’ai subtilisée sur la clenche de porte de la remise où tu baisais avec Benoît. Sa queue est à ta disposition. Sa femme ne voudra plus de lui.
Une main touche mon épaule, celle de Brigitte :
- Mais si, j’ai encore besoin de ce salaud. Lèche-moi le con, cher mari, allez, lèche, n‘oublie pas mon anus : le plus mince des quatre me l‘a saccagé et noyé. Quel bonheur. Tu l’as fait pour Elle, tu peux le faire pour moi. Vite
Benoît se soumet, se courbe, se tord le cou pour recueillir les sécrétions dans les plis de la vulve, sur les seins, dans le nombril, sur les pieds, sur les yeux, partout, il avale pendant que je chantonne : « et les ailes, et les pattes, et les yeux et la tête, et le con et le cul, alouette, alouette, hahahaha Alouette, gentille alouette… » ’Brigitte est à la fête, se tord de rire, elle le repousse:
- Nous divorcerons si tu ne m’organises pas des fêtes aussi attrayantes.
- Mais, chérie … oui, bien sûr.
- Ferme-la. Tu pourras y inviter ta copine et elle pourra t’aider à pomper le jus de mes amants. Vous serez chargés du ménage et de l’intendance, nus comme ici. Vous aurez le droit de vous envoyer en l’air. A l’avenir tu ne me baiseras plus, cette putain me remplacera dans ton lit. Ton lit, pas le mien, nous ferons chambre à part.
Elle retourne sur la couche, écarte les cuisses, se redresse pour un défi :
- Je rêve depuis longtemps de me faire prendre simultanément par trois massues. Merci Paul de m’en donner l’occasion. Pour toi, Paul, ce sera quand tu voudras, où tu voudras, comme tu voudras, aussi souvent que tu voudras. Elle est si mignonne ta verge. Alors les gars, ça vient ! Un dessous, oui, encule-moi. Aïe, wouhaa, oh ! Un dessus, hum, doucement, tu es à côté, attends je te place. Un dans la bouche, attends, le dernier dans ma main. Entrez, entrez, c’est gratuit.
Le sperme coule de nouveau. Brigitte se poste devant son homme et ordonne : travaille pompe, nettoie.
Je me rhabille. Rose se lève :
- Tu pars, emmène-moi.
- Comment ? Tu ne veux pas profiter encore de ton cadeau ? C’est le dernier du genre, modèle unique, je ne t’en ferai pas d’autre : mon cadeau d’adieu, en somme
- Non, ne me quitte pas.
- Ça ne t’a pas plu ?
- Si. Merci, mais ils m’ont fatiguée, je n‘en peux plus. Ça suffit. Tu savais pour Benoît : Tu as laissé faire, ce n’est pas juste. Tu as triché, tu dois pardonner. Pardonnes-tu ?
- Si tu me dis ce que tu as fait de « ton » vibromasseur et de « ton « œuf vibrant. », peut-être
- Je m’en doutais : tu savais ça aussi et tu as acheté les mêmes exprès.
- Et alors ?
- Claudine me les a réclamés. On garde les tiens ?
- Non. Si tu ne peux pas te contenter de moi, va, quitte-moi. Rien ne t’oblige à revenir à la maison ce soir. Je crois que Benoît sera libre, sa femme a déjà contacté son avocat pour divorcer.
- Mais non, il devra lui fournir des amants. Tu n’es pas assez attentif, elle le garde comme organisateur de ses plaisirs
- Et il pourra te défoncer devant elle et eux. Les hommes pourront te culbuter. Ta vie sera plus belle, mieux remplie. Reste avec Benoît.
- Ma vie ne sera pas belle sans toi. Dis, mon amour, tu n’iras pas chez Brigitte, jure-le moi. Je t’aime. Ça y est. Maintenant je sais ce qu’est une grosse queue. Je n’ai plus besoin de chercher. Pas Brigitte, non, garde-moi,
dit-elle entre ses dents, puis plus fort :
- Paul, ne va pas chez Brigitte, tu es à moi. Attends-moi, je m’habille. Qui a pris ma culotte ? Oh! Je la vois, dans ta poche. Encore toi mon amour ! Rends-moi ma culotte.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J’ai adoré 99% mais la fin ou il pardonne tout …. Pas crédible ou alors effectivement en plus d’être affublé d’un petit sexe il n’a pas de couilles !!!!
Fin plus que bancale ! Dommage
Je le noterait Il note ! Ne sait ni conjuguer ni composer un texte.... Donc en payant, n'importe quel ignorant devient juge. C'est fâcheux
Les rôles sont inversés. La femme désormais vivra dans le doute et dans la peur de perdre son casse croûte!
Et il pourra te défoncer devant elle et eux. Les hommes pourront te culbuter. Ta vie sera plus belle, mieux remplie. Reste avec Benoît.
happy end ou lecture en diagonale?
happy end ou lecture en diagonale?
Cette histoire je l'ai lue sur 2 autres sites publiéé en 4 chapitres
identiques.
Dans cette version les 2 premiers chapitres sont exactement les mêmes
que dans les autres versions
En ce qui concerne les chapitres 3/4/5 et 6 c'est aussi la même chose en remarquant que si les situations évoquées restent similaires,elles sont bien plus détaillées l'épilogue restant exactement le même dans les 3 récits
Je le noterait donc comme "très bon"pour les détails ajoutés.
Cela dit "Accent"reste un auteur très agréable à lire
identiques.
Dans cette version les 2 premiers chapitres sont exactement les mêmes
que dans les autres versions
En ce qui concerne les chapitres 3/4/5 et 6 c'est aussi la même chose en remarquant que si les situations évoquées restent similaires,elles sont bien plus détaillées l'épilogue restant exactement le même dans les 3 récits
Je le noterait donc comme "très bon"pour les détails ajoutés.
Cela dit "Accent"reste un auteur très agréable à lire
Le type se fait insulter dans le dos par sa femme qui l'insulte de petite bite, qui veut le divorce parce qu'il est mal foutu, qu'il est stupide, etc... Et finalement les deux finissent en happy end l'un avec l'autre ? Chacun ses goûts en matière d'histoire mais c'est vraiment pas ma tasse de thé !