Titre de l'histoire érotique : La femme de mon oncle
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La femme de mon oncle
Mon oncle, toujours attiré par les femmes plus jeunes que lui qui a 55 ans, a épousé une fille de 22 ans. Cette différence d'âge, au début n'a pas été vécue mal par Odile, sa femme. Mais ce début se termine assez mal pour la baise. Odile n'était pas tellement au courant que cette différence d'âge allait lui apporter quelques désillusions. Les baises étaient de plus ne plus rares. Un jour en bavardant ma femme Armelle lui disait qu'elle ne regrettait pas du tout les baises que nous faisions bien au contraire. Comme Armelle se masturbait aussi, elle disant qu'elle était réellement comblée. C'est ce jour là qu'Odile lui avouait qu'elle était loin de pouvoir en dire autant: elle ne baisait qu'un fois par semaine qu'au grand maximum. Elle ne pouvait pas se branler autre part que sous la douche: son mari la surveillait de trop près.
Je ne sais qu'elle mouche a piqué ma femme. Elle l'a invité à venir un dimanche après midi pour lui montrer ce qu'était l'amour bien fait. Ce jour là seulement elle m'avouait cette invitation. Je demandais ce qu'elle comptait faire: la réponse était nette, baiser ensemble.
De fait ma "tante" venait réellement pour savoir comment nous nous y prenions pour baiser.
Armelle l'accueillait comme une amie de très longue date: Odile avait sensiblement le même âge que nous. Elle n'ignorait pas tout heureusement pour elle. Il lui fallait surtout se rassurer:depuis son mariage, ses jouissance n'étaient qu'en masturbation, et bien sur ça ne lui suffisait pas.
Pour l'exciter un peu Armelle allait sortir un godemiché et demandait à Odile le se le mettre dans le con devant nous. D'abord Odile refusait non pas de l'utiliser, mais de le faire devant nous. Armelle pensait bien quelle refuserait. Alors elle lui montrait qu'en amour, il n'y avait pas de pudeur. Elle enlevait sa robe: elle était déjà nue et elle allait se coucher sur le divan et après s'être branler avec ses deux doigts comme elle le faisait souvent, elle posait le gode sur son con et se baisait avec. Elle jouissait en poussant son léger cri: je jouis. Odile excitée par le spectacle acceptait enfin de se servir du gode devant nous.
Voir ma femme se branler me fait toujours bander, mais voir encore plus Odile se le mettre dans le con me faisait bander encore plus. Armelle restait près d'Odile pour le regarder de près. Elle m'oubliait tout simplement. Je sortait ma queue et venait me faire voir en face d'Odile et d'Armelle. C'est la dernière qui me disait de me branler devant elles. Il faut croire que la vue de ma main sur ma pine excitait drôlement Odile. Elle regardait et disait qu'elle la trouvait bien grosse, alors que je crois être normal de ce coté là. Elle jouissait vite ensuite. Je pensais qu' Armelle allait venir s'occuper de moi. Mais non elle allait s'occupait d'Odile. Je savait que c'était un des ses plus grand phantasmes de baiser avec une autre femme, et je pensait pas qu'elle mette en pratique maintenant. Elle embrassait Odile à pleine bouche et lui passait en même temps une main sur le sexe. Elle introduisait la main dans le vagin et là; elle la branlait comme elle faisait pour elle. Odile ne résistait pas longtemps. Être la prise d'une femme devant son mari était pour elle le comble de l'érotisme. Pour aller plus loin Armelle mettait sa tête entre les cuises d'Odile et allait la sucer. Une fois de plus Odile jouissait. Armelle lui demandait de lui rendre cette dernière privauté. Odile obéissante venait la sucer à son tour et Armelle me regardait droit dans les yeux. Elle me disait qu'elle avait enfin réalisé un de ses rêves.
J'avais arrêté de me branler: la raison en était que bientôt je devrait baiser deux femmes à la suite. J'ignorais dans quel ordre, et au fond ça mettais égal, si j'avais la force j'enculerai aussi Odile. Enfin les filles finissaient leur baise. Elles revenaient s'asseoir à coté de moi. Armelle me demandait de m'occuper du con d'Odile. Ce que j'en avais vu me donnait d'avance du plaisir rien que de penser à venir y entrer. Odile revenait sur le divan, s'installait confortablement et regardais la bite qui allait la baiser. Et là, devant ma propre femme et avec ses encouragements je plantais Odile et je la limais jusqu'à ce qu'elle jouisse. Armelle pendant ma baise était près de moi, deux doigts plantés dans mon cul.
Armelle voulait que je la baise aussi devant Odile: elle se couchait sur le tapis et écartant les jambes elle me demandait de venir sur elle. Je lui mettais ma bite dans l'abricot. Elle montait ses jambes pour les mettre autour de mes hanches, pour me sentir d'avantage. Encouragée par nos amours, Odile se branlais cette fois sans a priori et montrait bien son con et les doigts qu'elle y mettait. Baiser devant une personne presque étrangère nous excitait tellement qu'avec Armelle nous avons jouit plus vite encore que d'habitude.
J'avais encore des réserves et je demandais à Odile si elle ne voulait pas que je la sodomise. Bien sur elle voulait, depuis longtemps elle n'avait pas été enculée et ça lui manquait quelques fois. Aidée par Armelle, Odile se mettait de la mouille sur le fondement. Une fois en levrette, elle se disait prête à me laisser faire. C'est pourtant Armelle, ma propre femme qui guidait ma pine vers l'entrée du cul d'Odile. Je rentrais lentement et quand mon gland passait son sphincter, je pouvais aller et venir dans ce cul finalement très agréable. Armelle passant sa main sous Odile la branlait. Nous avons jouis ensemble.
Armelle et Odile finissait enfin un 69 pour terminer ce jour d'initiation. Odile était comblée. elle nous demandait quand elle pourrait revenir: bientôt sans doute, mais quand: on ne savait pas.
Je ne sais qu'elle mouche a piqué ma femme. Elle l'a invité à venir un dimanche après midi pour lui montrer ce qu'était l'amour bien fait. Ce jour là seulement elle m'avouait cette invitation. Je demandais ce qu'elle comptait faire: la réponse était nette, baiser ensemble.
De fait ma "tante" venait réellement pour savoir comment nous nous y prenions pour baiser.
Armelle l'accueillait comme une amie de très longue date: Odile avait sensiblement le même âge que nous. Elle n'ignorait pas tout heureusement pour elle. Il lui fallait surtout se rassurer:depuis son mariage, ses jouissance n'étaient qu'en masturbation, et bien sur ça ne lui suffisait pas.
Pour l'exciter un peu Armelle allait sortir un godemiché et demandait à Odile le se le mettre dans le con devant nous. D'abord Odile refusait non pas de l'utiliser, mais de le faire devant nous. Armelle pensait bien quelle refuserait. Alors elle lui montrait qu'en amour, il n'y avait pas de pudeur. Elle enlevait sa robe: elle était déjà nue et elle allait se coucher sur le divan et après s'être branler avec ses deux doigts comme elle le faisait souvent, elle posait le gode sur son con et se baisait avec. Elle jouissait en poussant son léger cri: je jouis. Odile excitée par le spectacle acceptait enfin de se servir du gode devant nous.
Voir ma femme se branler me fait toujours bander, mais voir encore plus Odile se le mettre dans le con me faisait bander encore plus. Armelle restait près d'Odile pour le regarder de près. Elle m'oubliait tout simplement. Je sortait ma queue et venait me faire voir en face d'Odile et d'Armelle. C'est la dernière qui me disait de me branler devant elles. Il faut croire que la vue de ma main sur ma pine excitait drôlement Odile. Elle regardait et disait qu'elle la trouvait bien grosse, alors que je crois être normal de ce coté là. Elle jouissait vite ensuite. Je pensais qu' Armelle allait venir s'occuper de moi. Mais non elle allait s'occupait d'Odile. Je savait que c'était un des ses plus grand phantasmes de baiser avec une autre femme, et je pensait pas qu'elle mette en pratique maintenant. Elle embrassait Odile à pleine bouche et lui passait en même temps une main sur le sexe. Elle introduisait la main dans le vagin et là; elle la branlait comme elle faisait pour elle. Odile ne résistait pas longtemps. Être la prise d'une femme devant son mari était pour elle le comble de l'érotisme. Pour aller plus loin Armelle mettait sa tête entre les cuises d'Odile et allait la sucer. Une fois de plus Odile jouissait. Armelle lui demandait de lui rendre cette dernière privauté. Odile obéissante venait la sucer à son tour et Armelle me regardait droit dans les yeux. Elle me disait qu'elle avait enfin réalisé un de ses rêves.
J'avais arrêté de me branler: la raison en était que bientôt je devrait baiser deux femmes à la suite. J'ignorais dans quel ordre, et au fond ça mettais égal, si j'avais la force j'enculerai aussi Odile. Enfin les filles finissaient leur baise. Elles revenaient s'asseoir à coté de moi. Armelle me demandait de m'occuper du con d'Odile. Ce que j'en avais vu me donnait d'avance du plaisir rien que de penser à venir y entrer. Odile revenait sur le divan, s'installait confortablement et regardais la bite qui allait la baiser. Et là, devant ma propre femme et avec ses encouragements je plantais Odile et je la limais jusqu'à ce qu'elle jouisse. Armelle pendant ma baise était près de moi, deux doigts plantés dans mon cul.
Armelle voulait que je la baise aussi devant Odile: elle se couchait sur le tapis et écartant les jambes elle me demandait de venir sur elle. Je lui mettais ma bite dans l'abricot. Elle montait ses jambes pour les mettre autour de mes hanches, pour me sentir d'avantage. Encouragée par nos amours, Odile se branlais cette fois sans a priori et montrait bien son con et les doigts qu'elle y mettait. Baiser devant une personne presque étrangère nous excitait tellement qu'avec Armelle nous avons jouit plus vite encore que d'habitude.
J'avais encore des réserves et je demandais à Odile si elle ne voulait pas que je la sodomise. Bien sur elle voulait, depuis longtemps elle n'avait pas été enculée et ça lui manquait quelques fois. Aidée par Armelle, Odile se mettait de la mouille sur le fondement. Une fois en levrette, elle se disait prête à me laisser faire. C'est pourtant Armelle, ma propre femme qui guidait ma pine vers l'entrée du cul d'Odile. Je rentrais lentement et quand mon gland passait son sphincter, je pouvais aller et venir dans ce cul finalement très agréable. Armelle passant sa main sous Odile la branlait. Nous avons jouis ensemble.
Armelle et Odile finissait enfin un 69 pour terminer ce jour d'initiation. Odile était comblée. elle nous demandait quand elle pourrait revenir: bientôt sans doute, mais quand: on ne savait pas.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
les scènes d'amour un peu trop abrégées...
les transitions trop courtes...
les transitions trop courtes...
bofffffffffffffffff