Titre de l'histoire érotique : La fille de mon prof d'Espagnol
Récit érotique écrit par Godot [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La fille de mon prof d'Espagnol
- Désolé mais vaut mieux attendre, j'ai besoin de toi en pleine forme cette nuit.
Cette phrase qui sonnait comme un ordre m'excitais énormément car elle signifiait que j'allais pour la première fois avoir l'occasion de passer une nuit entière avec Clémentine. Après avoir prit cette douche, je m'installais devant la télévision mais très vite je m'endormis. Il faut dire que j'étais totalement épuisé par ce moment passé avec elle. A mon réveil, j'entendis du bruit venant de sa chambre.
Je vis alors un homme que je ne connaissais pas en train de prendre la femme de mon prof d'Espagnol en levrette avec ce dernier assis non loin entrain de se masturber ! J'appris plus tard que cet homme était un collègue de travail de Clémentine qui avait l'habitude de passer de temps en temps pour prendre du bon temps avec Clémentine. Alors que cet homme lui tirait les cheveux tout en lui mettant des grandes fessées, j'entrais dans la pièce afin de m'installais non loin de mon prof pour me branler également !
Il la pénétrait vigoureusement sous les encouragements un peu crus de Clémentine. Son mari finit par se lever pour les rejoindre, il malaxait sa poitrine en insistant sur ses tétons alors que Clémentine le branlait vigoureusement à la main. Tandis que l'autre homme continuait de la pilonner sans ménagement, mon prof enfonça la totalité de sa queue dans la bouche de sa femme. Mon prof me fit signe ensuite de la main de venir en me demandant de me branler juste au dessus de sa femme. Après quelques minutes de ce traitement l'homme éjacula entre ses fesses, mon prof fit de même dans la bouche de sa femme, tandis que moi je crachais ma semence sur la figure de Clémentine.
Après une délicieuse soirée en leur compagnie, on finit par se coucher. Nous étions vraiment à l’étroit dans ce lit tous les trois et le moindre de nos mouvements était immédiatement perçu par notre voisin. Tout à coup, je sentis Clémentine en train de se tortiller. Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait mais bien vite je réalisais qu’en fait elle c'était positionnée de sorte à pouvoir faire une gâterie à son mari.
Rapidement, mon prof se mit à soupirer. Je ne voyais rien mais les bruits de succion que faisait sa bouche et ses lèvres me firent bander comme jamais. Je n’en pouvais plus de les entendre se faire du bien. Je tentais alors une approche en posant une de mes mains sur sa hanche. Je la fis glisser plus bas pour atteindre un des globes que je caressais tendrement. Puis, je descendis dans son sillon jusqu’à atteindre son anneau avant d'atteindre l’entrée humide de sa vulve au bout de mon doigt.
Mon prof gémit de plus en plus fort. J’en profitais alors pour la pénétrer lentement en enfonçant juste le bout de mon doigt alors que son mari lui dit qu’il allait jouir. Elle continuait de plus belle et finalement je l’entendis pousser un long grognement de plaisir. Il était en train de jouir dans la bouche de sa femme qui avait vraiment l’air d’aimer ça si j’en juge par les contractions de son vagin m’enserrant les doigts.
Maintenant que son mari était HS, elle s'attaqua à moi en écartant lentement ses jambes et en me tendant ses fesses dans une invitation qui ne laissait planer aucun doute sur ce qu’elle attendait de moi. Après que son mari m'ait donné un préservatif, je m’approchais d'elle, puis en m’aidant d’une main, je cherchais l’entrée de sa grotte. Elle se cambra pour me faciliter la tâche. Mon gland était maintenant dans l’entrée de son ventre, je m’y engouffrais lentement en la tenant par les hanches. Ses chairs cédèrent sous la poussée.
Elles s’ouvraient pour me permettre de glisser aussi profondément que possible jusqu’à buter contre sa matrice. Elle était totalement passive. Du coup, je commençais à bouger doucement puis l’excitation aidante, je la prise de plus en plus fort. Elle gémissait doucement à chacun de mes coups de reins. J’alternais les coups puissants et ceux plus profonds, tout en douceur. Etant sur le point d'arriver, je sortis d'elle pour retirer la capote afin de finir dans sa bouche comme son mari.
Elle se mise alors à me lécher sur toute la longueur de ma hampe puis s’attaqua à mon gland. Elle posa ses lèvres juste au-dessous du gland et se met à me téter. Comme toujours, elle faisait ça vraiment bien. Elle alternait les succions et les léchages sur chaque partie de mon sexe qui n’en pouvait plus de se tendre et se redresser au rythme des spasmes de plus en plus forts qui me parcourent le ventre.
Elle me pressais plus fortement mes testicules tout me laissant lui perforer la gorge. C’en était trop. L’orgasme était là, ravageur. J’éjaculais non pas une, ni deux, ni trois mais quatre violentes giclées de ma semence. Elle me gardait en bouche. Je la sentais déglutir au fur et à mesure des spasmes de ma verge. Elle me but jusqu’à la dernière coulée avant de venir se blottir contre moi en me souhaitant une bonne nuit.
Je lendemain matin, j'eus la surprise de me réveiller seule dans le lit. En sortant de la chambre, j'entendis de l'eau couler venant de la salle de bain. J'en conclus alors que Clémentine devait être entrain de prendre sa douche. Du coup, je m'y rendis.
J’ouvris la porte et là, je fut choqué de ce que je vis, une jeune femme qui devait avoir mon âge et qui était nue, entrain de se doucher. Elle était très belle, j’avais une vue direct sur sa poitrine qui ressortais de l’eau. Des seins énormes, des tétons qui pointaient sûrement à cause du froid. Mais quel poitrine, ses seins étaient magnifiques, bien plus gros que ceux de Clémentine ! Ne voulant pas être découvert, ni lui faire peur, je quittais les lieux pour retourner chez moi tout en continuant de fantasmer sur cette magnifique jeune femme.
Quelques jours plus tard, passant à proximité de leur domicile, je décidais de m'y arrêter afin de leur rendre une petite visite, espérant passer un bon moment avec Clémentine. Après avoir sonné, j'eus la surprise de voir la jeune femme que j'avais vu dans dans la salle de bain m'ouvrir la porte.
- Je peux t'aider ?
- Euh oui, je suis un élève de monsieur xxxxxx, j'ai un cours d'Espagnol de prévu avec lui.
Etant sous le coup de la surprise de tomber sur elle, j'inventais instinctivement ce mensonge.
- Ah d'accord, je ne savais pas que mon père avait prévu de donner un cours aujourd'hui.
Comme je m'en doutais un peu, cette très jolie femme était la fille de mon prof et de Clémentine.
- Ne reste pas dehors, viens attendre mon père à l'intérieur.
- Non, ce n'est pas grave, je repasserai. Lui dis-je confus.
- Mais ta présence ne me dérange pas, bien contraire, en plus je m'ennuie toute seule.
Je finis par accepter sa proposition qui nous permirent de faire connaissance. Elle s'appelle Clara, a 18 ans, et étudie dans une école privé très réputé qui se trouve à centaine de kilomètre de chez elle, ce qui explique le fait que je ne l'avais jamais vu auparavant. On passa un bon après-midi et on échangèrent nos numéros histoire de rester en contact, il faut dire qu'elle n'avait pas beaucoup d'ami dans la région.
Du coup, on se vit de temps en temps en toute amitié, je ne savais même pas si ses parents étaient au courant qu'on était devenu ami et surtout, je me demandais comment ils le prendraient vu qu'ils avaient une sacrée tendance à m'inviter à leur jeu coquin. Lors d'un après-midi, je reçu un sms de Clara me demandant si je pouvais passer chez elle pour la sortir de sa monotonie. Comme d'habitude, on passait la journée à discuter et à bien rigoler tous les deux.
- Tu sais le pire ?
- Non, je t'écoute. Lui répondis-je.
- Mon père est prof d'Espagnol et je ne sais dire qu'une seule chose dans cette langue, dame un beso.
- Dame un beso ?
A ces mots, elle déposa ses lèvres sur les mienne pendant quelques secondes.
- Ca signifie donne moi un bisou.
- Je te rassure je le savais mais je suis content que tu ais illustrer cette phrase en guise de traduction. Lui dis-je en rigolant.
- Histoire de passer le temps, ça te dis un petit jeu ?
- Euh oui, pourquoi pas, tu proposes quoi ?
- Le jeu du shooter, tu connais ?
- Non mais j'ai une vague idée vu le nom.
- Je te défie par exemple de boire un verre d’alcool cul sec et si tu le bois je dois enlever un vêtement, mais au contraire si tu ne réussis pas, tu enlèves un vêtement.
On commença le jeu, elle partit chercher des bouteilles de différents alcools. Elle commença les hostilités en me lançant comme défi de boire un verre de Vodka, avec comme récompense si j'y parvenais de la voir enlevait son haut. Je bus ce verre sans aucune difficulté. Le défi étant réussi, elle enleva le haut, elle avait vraiment une poitrine magnifique, je n'avais qu'une hâte, qu'elle enlève son soutien-gorge.
A mon tour de lui lancer un défi, elle devait boire un verre de Rhum, elle accepta et réussi assez vite. Je dus donc me déshabiller en enlevant le haut aussi pour lui laisser voir mon torse, qui avait l’air de lui plaire. De nouveau à son tour, elle me lança cette fois comme défi de boire deux verres Pastis, chose que je déteste. Je bus le premier verre avec difficulté et recracha le second à cause de mon dégoût pour ce goût d'Anis. Donc je dus une nouvelle fois me déshabiller en enlevant cette fois mon pantalon.
On enchaîna avec son défis et comme pour moi, elle ne parvint pas à tout boire, du coup, elle retira son pantalon. Nous voilà donc tous deux en sous vêtement. Quel corps de rêve, en plus d’avoir une poitrine magnifique, elle avait un ventre tout plat et des jambes sublimes. Mais surtout, elle avait un cul à faire bander un aveugle !
- Ah oui quand même ! Je te trouble tant que ça ?
Il fallait avouer qu'un début d'érection se dessinait dans mon caleçon depuis qu'elle avait retiré son haut. Après un rire gêné de ma part, elle reprit la parole.
- Vu qu'on est tous deux en sous-vêtements, je te propose le défi ultime, trois verres de Rhum, celui qui boit tout le premier aura droit à un strip intégral de l'autre !
Bien entendu, j'acceptais ce défi. On se servit chacun nos verres. Elle commença à boire son premier verre sans difficulté comme pour moi. On enchaîna en buvant notre deuxième verre qui passait difficilement de chaque côté. Au troisième verre, je parvins à tout boire tandis qu'elle en recracha une partie provoquant ma victoire.
Elle me demanda de m'installer sur une chaise au milieu du salon. Elle se rapprocha de moi afin de me prendre mes mains pour les guider sur son corps. Elle hésita quelques secondes avant de dégrafer son soutien-gorge puis se pencha dans le but de caresser mon visage avec ses seins. Elle affichait un grand sourire avant de se trémousser de nouveau autour de ma chaise.
Elle finit par ressaisir mes mains pour les mettre cette fois-ci sur ses hanches au niveau de son strings, je les baissais lentement entraînant son string jusqu’à ses genoux. Après avoir totalement retiré son string, elle recommença à danser avant de monter sur la chaise pour venir caresser mes lèvres avec les lèvres de son sexe. Etant fou d'excitation, j'en profitais pour lui donner quelques coups de langue.
- Suces moi !
- Enfin, il t'en aura fallu du temps pour me le demander !
Alors qu'elle m'enleva mon caleçon, elle reprit la parole.
- Tu as déjà couché avec une femme qui adore le sexe plus que tout ?
Je ne pouvais pas lui parler de sa mère.
- Oui.
- Eh bien après un moment passé en ma compagnie, tu verras qu'aucune autre femme que moi ne mérite le titre de nymphomane.
Tout en me disant cela, Clara s’agenouilla devant moi, elle prit mon sexe dans sa main et commença à me masturber très lentement avant d'accélérer la cadence tout en ne quittant pas mon sexe des yeux, elle est bien la fille de Clémentine. Ensuite, elle approcha son visage de ma verge et l’introduit dans sa bouche. En en mot, c’était divin. Je sentais vraiment que c'était quelque chose qu’elle aimait et surtout qu’elle avait l'habitude d'en pratiquer souvent. Elle plaça une main sur mes testicules et commença à les masser doucement.
- C'est trop bon ! Tu adores sucer pas vrai ?
- Oh que oui, j’adore avoir une bite dans ma bouche, sans parler des couilles !
Elle variait habilement le rythme de sa bouche, allant parfois jusqu’à le retirer complètement pour simplement lécher mon sexe sur toute sa hauteur. Et le tout sans jamais me quitter des yeux. Puis, la bouche grande ouverte, elle goba mon sexe d’un seul coup jusqu’à ce qu’il vienne buter au fond de sa gorge, ce qui la fit grandement saliver. Elle avait le nez littéralement enfoncé dans mes poils et je sentais sa langue bouger autour de mon gland. Un pur bonheur !
Mais Je sentais malheureusement que soumis à un tel traitement, je n'allais pas tenir très longtemps. Elle dut le sentir aussi car elle libéra son emprise sur mon sexe pour approcher sa bouche de la mienne. Nous lèvres se joignaient pour un baiser timide pendant quelques secondes. Puis, nous les laissions s’entrouvrir pour laisser nos langues se découvrir, se caresser. Elle embrasse merveilleusement bien, un pur régal.
Il était temps que je m'occupe un peu d'elle. Après m'être attardé sur ses tétons avec ma langue, elle m'emmena dans la chambre de ses parents. Cela me faisais une drôle de sensation de revenir dans cette pièce mais pas pour coucher avec Clémentine. Elle s'allongea sur le lit, je pus alors visiter sa petite chatte avec ma langue, sa mouille avait un très bon goût. Je commençais à l’entendre poussait des petits cris, elle commençait à gémir. Je me retirais pour continuer à m'occuper d'elle avec un doigt.
- Oh oui, continu, plus vite !
Je faisais des va et vient en elle en appuyant de plus en plus fort mes coups.
- J’en veux plus !
Je lui enfilais alors un deuxième puis un troisième doigt dans son sexe. Elle semblait au bord de l'orgasme.
- Baises moi !
Je pris un des oreillers présent pour le placer sous ses fesses afin d'augmenter sa cambrure. Puis, je rentrais avec délectation en elle. Elle commença alors à bouger ses fesses afin de me donner la cadence avant de se mettre à pousser des cris de plus en plus fort secouant la tête dans les deux sens. Je sentais sa chatte chaude et mouillée contre mon sexe.
J'étais si bien dans son petit con si tendre que je ne voudrais plus en sortir et je me retenais le plus possible, prolongeant l’étreinte imprimant un rythme tour à tour lent et effréné. On finit par changer de position pour adopter la levrette.
- Vas-y claque moi le cul ! Je veux la marque de ta main sur mon cul !!
Je lui mis une bonne dizaine de claque d’affiler sur son magnifique fessier. On continua ainsi un petit moment avant de sentir que j'arrivais bientôt au bout de mes capacités. Après m'être retiré d'elle, elle m'enleva le préservatif afin de me finir avec une branlette Espagnol. C'était la première fois qu'on m'en faisait une et je dois bien avouer qu'il y a rien de mieux pour finir, surtout qu'elle avait tout ce qui fallait pour le faire et elle le faisait très bien.
Je finis très vite par tout lâcher sur son visage et son énorme poitrine. Il nous fallut ensuite cinq bonnes minutes supplémentaires pour reprendre une respiration normale. Je la regardais et la pris dans mes bras avec tendresse éprouvant une joie intérieure intense et une grande gratitude. Puis, je finis par me rhabiller pour partir après qu’on se soit dit quelques banalités mais non sans que l’on se soit fougueusement embrassés comme pour montrer à l'autre que l'on souhaitait remettre ça le plus tôt possible.
PS : Si vous voulez une autre partie, n'hésitez pas à le dire et proposez moi vos idées/envies.
Cette phrase qui sonnait comme un ordre m'excitais énormément car elle signifiait que j'allais pour la première fois avoir l'occasion de passer une nuit entière avec Clémentine. Après avoir prit cette douche, je m'installais devant la télévision mais très vite je m'endormis. Il faut dire que j'étais totalement épuisé par ce moment passé avec elle. A mon réveil, j'entendis du bruit venant de sa chambre.
Je vis alors un homme que je ne connaissais pas en train de prendre la femme de mon prof d'Espagnol en levrette avec ce dernier assis non loin entrain de se masturber ! J'appris plus tard que cet homme était un collègue de travail de Clémentine qui avait l'habitude de passer de temps en temps pour prendre du bon temps avec Clémentine. Alors que cet homme lui tirait les cheveux tout en lui mettant des grandes fessées, j'entrais dans la pièce afin de m'installais non loin de mon prof pour me branler également !
Il la pénétrait vigoureusement sous les encouragements un peu crus de Clémentine. Son mari finit par se lever pour les rejoindre, il malaxait sa poitrine en insistant sur ses tétons alors que Clémentine le branlait vigoureusement à la main. Tandis que l'autre homme continuait de la pilonner sans ménagement, mon prof enfonça la totalité de sa queue dans la bouche de sa femme. Mon prof me fit signe ensuite de la main de venir en me demandant de me branler juste au dessus de sa femme. Après quelques minutes de ce traitement l'homme éjacula entre ses fesses, mon prof fit de même dans la bouche de sa femme, tandis que moi je crachais ma semence sur la figure de Clémentine.
Après une délicieuse soirée en leur compagnie, on finit par se coucher. Nous étions vraiment à l’étroit dans ce lit tous les trois et le moindre de nos mouvements était immédiatement perçu par notre voisin. Tout à coup, je sentis Clémentine en train de se tortiller. Je ne compris pas tout de suite ce qui se passait mais bien vite je réalisais qu’en fait elle c'était positionnée de sorte à pouvoir faire une gâterie à son mari.
Rapidement, mon prof se mit à soupirer. Je ne voyais rien mais les bruits de succion que faisait sa bouche et ses lèvres me firent bander comme jamais. Je n’en pouvais plus de les entendre se faire du bien. Je tentais alors une approche en posant une de mes mains sur sa hanche. Je la fis glisser plus bas pour atteindre un des globes que je caressais tendrement. Puis, je descendis dans son sillon jusqu’à atteindre son anneau avant d'atteindre l’entrée humide de sa vulve au bout de mon doigt.
Mon prof gémit de plus en plus fort. J’en profitais alors pour la pénétrer lentement en enfonçant juste le bout de mon doigt alors que son mari lui dit qu’il allait jouir. Elle continuait de plus belle et finalement je l’entendis pousser un long grognement de plaisir. Il était en train de jouir dans la bouche de sa femme qui avait vraiment l’air d’aimer ça si j’en juge par les contractions de son vagin m’enserrant les doigts.
Maintenant que son mari était HS, elle s'attaqua à moi en écartant lentement ses jambes et en me tendant ses fesses dans une invitation qui ne laissait planer aucun doute sur ce qu’elle attendait de moi. Après que son mari m'ait donné un préservatif, je m’approchais d'elle, puis en m’aidant d’une main, je cherchais l’entrée de sa grotte. Elle se cambra pour me faciliter la tâche. Mon gland était maintenant dans l’entrée de son ventre, je m’y engouffrais lentement en la tenant par les hanches. Ses chairs cédèrent sous la poussée.
Elles s’ouvraient pour me permettre de glisser aussi profondément que possible jusqu’à buter contre sa matrice. Elle était totalement passive. Du coup, je commençais à bouger doucement puis l’excitation aidante, je la prise de plus en plus fort. Elle gémissait doucement à chacun de mes coups de reins. J’alternais les coups puissants et ceux plus profonds, tout en douceur. Etant sur le point d'arriver, je sortis d'elle pour retirer la capote afin de finir dans sa bouche comme son mari.
Elle se mise alors à me lécher sur toute la longueur de ma hampe puis s’attaqua à mon gland. Elle posa ses lèvres juste au-dessous du gland et se met à me téter. Comme toujours, elle faisait ça vraiment bien. Elle alternait les succions et les léchages sur chaque partie de mon sexe qui n’en pouvait plus de se tendre et se redresser au rythme des spasmes de plus en plus forts qui me parcourent le ventre.
Elle me pressais plus fortement mes testicules tout me laissant lui perforer la gorge. C’en était trop. L’orgasme était là, ravageur. J’éjaculais non pas une, ni deux, ni trois mais quatre violentes giclées de ma semence. Elle me gardait en bouche. Je la sentais déglutir au fur et à mesure des spasmes de ma verge. Elle me but jusqu’à la dernière coulée avant de venir se blottir contre moi en me souhaitant une bonne nuit.
Je lendemain matin, j'eus la surprise de me réveiller seule dans le lit. En sortant de la chambre, j'entendis de l'eau couler venant de la salle de bain. J'en conclus alors que Clémentine devait être entrain de prendre sa douche. Du coup, je m'y rendis.
J’ouvris la porte et là, je fut choqué de ce que je vis, une jeune femme qui devait avoir mon âge et qui était nue, entrain de se doucher. Elle était très belle, j’avais une vue direct sur sa poitrine qui ressortais de l’eau. Des seins énormes, des tétons qui pointaient sûrement à cause du froid. Mais quel poitrine, ses seins étaient magnifiques, bien plus gros que ceux de Clémentine ! Ne voulant pas être découvert, ni lui faire peur, je quittais les lieux pour retourner chez moi tout en continuant de fantasmer sur cette magnifique jeune femme.
Quelques jours plus tard, passant à proximité de leur domicile, je décidais de m'y arrêter afin de leur rendre une petite visite, espérant passer un bon moment avec Clémentine. Après avoir sonné, j'eus la surprise de voir la jeune femme que j'avais vu dans dans la salle de bain m'ouvrir la porte.
- Je peux t'aider ?
- Euh oui, je suis un élève de monsieur xxxxxx, j'ai un cours d'Espagnol de prévu avec lui.
Etant sous le coup de la surprise de tomber sur elle, j'inventais instinctivement ce mensonge.
- Ah d'accord, je ne savais pas que mon père avait prévu de donner un cours aujourd'hui.
Comme je m'en doutais un peu, cette très jolie femme était la fille de mon prof et de Clémentine.
- Ne reste pas dehors, viens attendre mon père à l'intérieur.
- Non, ce n'est pas grave, je repasserai. Lui dis-je confus.
- Mais ta présence ne me dérange pas, bien contraire, en plus je m'ennuie toute seule.
Je finis par accepter sa proposition qui nous permirent de faire connaissance. Elle s'appelle Clara, a 18 ans, et étudie dans une école privé très réputé qui se trouve à centaine de kilomètre de chez elle, ce qui explique le fait que je ne l'avais jamais vu auparavant. On passa un bon après-midi et on échangèrent nos numéros histoire de rester en contact, il faut dire qu'elle n'avait pas beaucoup d'ami dans la région.
Du coup, on se vit de temps en temps en toute amitié, je ne savais même pas si ses parents étaient au courant qu'on était devenu ami et surtout, je me demandais comment ils le prendraient vu qu'ils avaient une sacrée tendance à m'inviter à leur jeu coquin. Lors d'un après-midi, je reçu un sms de Clara me demandant si je pouvais passer chez elle pour la sortir de sa monotonie. Comme d'habitude, on passait la journée à discuter et à bien rigoler tous les deux.
- Tu sais le pire ?
- Non, je t'écoute. Lui répondis-je.
- Mon père est prof d'Espagnol et je ne sais dire qu'une seule chose dans cette langue, dame un beso.
- Dame un beso ?
A ces mots, elle déposa ses lèvres sur les mienne pendant quelques secondes.
- Ca signifie donne moi un bisou.
- Je te rassure je le savais mais je suis content que tu ais illustrer cette phrase en guise de traduction. Lui dis-je en rigolant.
- Histoire de passer le temps, ça te dis un petit jeu ?
- Euh oui, pourquoi pas, tu proposes quoi ?
- Le jeu du shooter, tu connais ?
- Non mais j'ai une vague idée vu le nom.
- Je te défie par exemple de boire un verre d’alcool cul sec et si tu le bois je dois enlever un vêtement, mais au contraire si tu ne réussis pas, tu enlèves un vêtement.
On commença le jeu, elle partit chercher des bouteilles de différents alcools. Elle commença les hostilités en me lançant comme défi de boire un verre de Vodka, avec comme récompense si j'y parvenais de la voir enlevait son haut. Je bus ce verre sans aucune difficulté. Le défi étant réussi, elle enleva le haut, elle avait vraiment une poitrine magnifique, je n'avais qu'une hâte, qu'elle enlève son soutien-gorge.
A mon tour de lui lancer un défi, elle devait boire un verre de Rhum, elle accepta et réussi assez vite. Je dus donc me déshabiller en enlevant le haut aussi pour lui laisser voir mon torse, qui avait l’air de lui plaire. De nouveau à son tour, elle me lança cette fois comme défi de boire deux verres Pastis, chose que je déteste. Je bus le premier verre avec difficulté et recracha le second à cause de mon dégoût pour ce goût d'Anis. Donc je dus une nouvelle fois me déshabiller en enlevant cette fois mon pantalon.
On enchaîna avec son défis et comme pour moi, elle ne parvint pas à tout boire, du coup, elle retira son pantalon. Nous voilà donc tous deux en sous vêtement. Quel corps de rêve, en plus d’avoir une poitrine magnifique, elle avait un ventre tout plat et des jambes sublimes. Mais surtout, elle avait un cul à faire bander un aveugle !
- Ah oui quand même ! Je te trouble tant que ça ?
Il fallait avouer qu'un début d'érection se dessinait dans mon caleçon depuis qu'elle avait retiré son haut. Après un rire gêné de ma part, elle reprit la parole.
- Vu qu'on est tous deux en sous-vêtements, je te propose le défi ultime, trois verres de Rhum, celui qui boit tout le premier aura droit à un strip intégral de l'autre !
Bien entendu, j'acceptais ce défi. On se servit chacun nos verres. Elle commença à boire son premier verre sans difficulté comme pour moi. On enchaîna en buvant notre deuxième verre qui passait difficilement de chaque côté. Au troisième verre, je parvins à tout boire tandis qu'elle en recracha une partie provoquant ma victoire.
Elle me demanda de m'installer sur une chaise au milieu du salon. Elle se rapprocha de moi afin de me prendre mes mains pour les guider sur son corps. Elle hésita quelques secondes avant de dégrafer son soutien-gorge puis se pencha dans le but de caresser mon visage avec ses seins. Elle affichait un grand sourire avant de se trémousser de nouveau autour de ma chaise.
Elle finit par ressaisir mes mains pour les mettre cette fois-ci sur ses hanches au niveau de son strings, je les baissais lentement entraînant son string jusqu’à ses genoux. Après avoir totalement retiré son string, elle recommença à danser avant de monter sur la chaise pour venir caresser mes lèvres avec les lèvres de son sexe. Etant fou d'excitation, j'en profitais pour lui donner quelques coups de langue.
- Suces moi !
- Enfin, il t'en aura fallu du temps pour me le demander !
Alors qu'elle m'enleva mon caleçon, elle reprit la parole.
- Tu as déjà couché avec une femme qui adore le sexe plus que tout ?
Je ne pouvais pas lui parler de sa mère.
- Oui.
- Eh bien après un moment passé en ma compagnie, tu verras qu'aucune autre femme que moi ne mérite le titre de nymphomane.
Tout en me disant cela, Clara s’agenouilla devant moi, elle prit mon sexe dans sa main et commença à me masturber très lentement avant d'accélérer la cadence tout en ne quittant pas mon sexe des yeux, elle est bien la fille de Clémentine. Ensuite, elle approcha son visage de ma verge et l’introduit dans sa bouche. En en mot, c’était divin. Je sentais vraiment que c'était quelque chose qu’elle aimait et surtout qu’elle avait l'habitude d'en pratiquer souvent. Elle plaça une main sur mes testicules et commença à les masser doucement.
- C'est trop bon ! Tu adores sucer pas vrai ?
- Oh que oui, j’adore avoir une bite dans ma bouche, sans parler des couilles !
Elle variait habilement le rythme de sa bouche, allant parfois jusqu’à le retirer complètement pour simplement lécher mon sexe sur toute sa hauteur. Et le tout sans jamais me quitter des yeux. Puis, la bouche grande ouverte, elle goba mon sexe d’un seul coup jusqu’à ce qu’il vienne buter au fond de sa gorge, ce qui la fit grandement saliver. Elle avait le nez littéralement enfoncé dans mes poils et je sentais sa langue bouger autour de mon gland. Un pur bonheur !
Mais Je sentais malheureusement que soumis à un tel traitement, je n'allais pas tenir très longtemps. Elle dut le sentir aussi car elle libéra son emprise sur mon sexe pour approcher sa bouche de la mienne. Nous lèvres se joignaient pour un baiser timide pendant quelques secondes. Puis, nous les laissions s’entrouvrir pour laisser nos langues se découvrir, se caresser. Elle embrasse merveilleusement bien, un pur régal.
Il était temps que je m'occupe un peu d'elle. Après m'être attardé sur ses tétons avec ma langue, elle m'emmena dans la chambre de ses parents. Cela me faisais une drôle de sensation de revenir dans cette pièce mais pas pour coucher avec Clémentine. Elle s'allongea sur le lit, je pus alors visiter sa petite chatte avec ma langue, sa mouille avait un très bon goût. Je commençais à l’entendre poussait des petits cris, elle commençait à gémir. Je me retirais pour continuer à m'occuper d'elle avec un doigt.
- Oh oui, continu, plus vite !
Je faisais des va et vient en elle en appuyant de plus en plus fort mes coups.
- J’en veux plus !
Je lui enfilais alors un deuxième puis un troisième doigt dans son sexe. Elle semblait au bord de l'orgasme.
- Baises moi !
Je pris un des oreillers présent pour le placer sous ses fesses afin d'augmenter sa cambrure. Puis, je rentrais avec délectation en elle. Elle commença alors à bouger ses fesses afin de me donner la cadence avant de se mettre à pousser des cris de plus en plus fort secouant la tête dans les deux sens. Je sentais sa chatte chaude et mouillée contre mon sexe.
J'étais si bien dans son petit con si tendre que je ne voudrais plus en sortir et je me retenais le plus possible, prolongeant l’étreinte imprimant un rythme tour à tour lent et effréné. On finit par changer de position pour adopter la levrette.
- Vas-y claque moi le cul ! Je veux la marque de ta main sur mon cul !!
Je lui mis une bonne dizaine de claque d’affiler sur son magnifique fessier. On continua ainsi un petit moment avant de sentir que j'arrivais bientôt au bout de mes capacités. Après m'être retiré d'elle, elle m'enleva le préservatif afin de me finir avec une branlette Espagnol. C'était la première fois qu'on m'en faisait une et je dois bien avouer qu'il y a rien de mieux pour finir, surtout qu'elle avait tout ce qui fallait pour le faire et elle le faisait très bien.
Je finis très vite par tout lâcher sur son visage et son énorme poitrine. Il nous fallut ensuite cinq bonnes minutes supplémentaires pour reprendre une respiration normale. Je la regardais et la pris dans mes bras avec tendresse éprouvant une joie intérieure intense et une grande gratitude. Puis, je finis par me rhabiller pour partir après qu’on se soit dit quelques banalités mais non sans que l’on se soit fougueusement embrassés comme pour montrer à l'autre que l'on souhaitait remettre ça le plus tôt possible.
PS : Si vous voulez une autre partie, n'hésitez pas à le dire et proposez moi vos idées/envies.
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