Titre de l'histoire érotique : La gourgandine ( 19 )
Récit érotique écrit par Zefire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La gourgandine ( 19 )
19------- Je prends mes cours de conduite le soir après le boulot. Le moniteur d’auto école passe me chercher à la maison, m’y ramène. Quant il le peut, il met sa main sur ma cuisse, plonge sur moi un regard interrogateur. Je sais ce qu’il veut, mon cul, moi j’ai besoin de leçons gratuites pour avoir mon permis à moindre coût ! C’est un mec dans la trentaine, marié, il a une alliance. Un lundi soir, au lieu de rester en jean comme d’habitude, je me change et mets une jupe ‘jean’ courte, un polo, un blouson. C’est ma 7ème leçon. Lorsque je conduis, son regard se porte sur mes cuisses nues, il me dit :
- J’peux voir le moteur ?
- J’veux bien lever le capot !
À un arrêt de la circulation, je remonte ma jupe sur le haut des cuisses, la replie, il peut voir ma culotte.
- Le moteur est là dessous !
- Montrez- le- moi !
- Ok, en échange de leçons de conduite gratuites.
- J’vais y réfléchir !
- C’est oui ou c’est non ?
- Montrez-moi d’abord !
- Pas avant d’avoir la réponse !
- Ok, j’vais m’arranger !
Il a posé sa main en haut de ma cuisse juste dans les plis de l’aine, je sens ses doigts qui tentent de s’infiltrer sous l’élastique dans l’entrejambe de ma culotte. Tout en conduisant, j’écarte un peu les jambes, lui favorise l’accès à ma chatte. Il réussit à passer ses doigts sous l’élastique, je les sens caresser le bord de ma fente, s’introduire dans ma vulve, l’un d’eux agasse mon clito, j’en mouille
- Enlevez vos doigts de là, ça me gène pour conduire, on risque l’accident.
Il enlève sa main, je rabats ma jupe, ça va mieux, je suis plus à l’aise. Je lui dis :
- C’est pas facile de conduire avec vos doigts qui me fouillent
- Tournez à droite !
- Il est temps qu’on rentre !
- Je n’ai plus personne après vous.
On arrive dans une cité calme, il me fait garer sur le parking entre 2 voitures, loin des bâtiments. Il n’y a personne aux alentours. Je lui demande :
- Qu’est ce qu’on vient faire là ?
- La vidange !
J’ai compris, je recule mon siège et incline le dossier, remonte bien ma jupe, enlève ma culotte, écarte mes cuisses. Il se tourne vers moi :
- T’as une belle touffe, j’vois à peine ta fente!
Sa main se plaque sur ma vulve, ouvre mes lèvres, ça y est, j’ai ses doigts dans le vagin, il les entre, les ressort, me ramone, je mouille, lui dis :
- Ici vous pourrez pas me mettre !
Il se redresse, enlève ses doigts, les fourre dans ma bouche, je les suce, goûte ma cyprine. Il ouvre sa braguette, dégage sa queue du slip, la sort du pantalon, me la présente. Elle est de taille moyenne, en érection bien sûr !
- Aller, sucez-moi !
Je m’incline, attrape la bite d’une main, tire sur la peau, dégage bien le gland. Il est rouge, gonflé, je le prends en bouche, commence à le sucer. Au bout de 5 mn, il m’appuie sur la tête, j’engloutis sa pine, elle gonfle, se contracte, il me la tient en fond de gorge, décharge en plusieurs jets. J’étouffe, avale, dégluti, il en envoie encore par saccades, son foutre est épais, collant, j’en ai la bouche pleine, ça me coule aux bords des lèvres. Je me redresse, ouvre la vitre, recrache, j’aime pas le goût, c’est fade, dégueulasse.
- Beurk !
- T’aimes pas en bouffer ?
- J’ai droit à une leçon ?
- Demain matin, tu dois être au boulot à qu’elle heure ?
- 9 heures !
- Ok, je passe te prendre à 8 !
Il sort des kleenex de la boîte à gants, m’en donne un, s’essuie soigneusement, remballe ses outils, on jette les kleenex par la vitre. Je suis en manque, en m’habillant de la sorte j’avais espoir qu’il me la rentre, mais dans une voiture c’est pas commode à moins de passer à l’arrière, et encore ! Qu’est qu’il ne faut pas faire pour avoir des leçons de conduite gratuites !
Je suis toujours au volant, remet ma culotte, rabats ma jupe, redresse mon siège, l’avance, démarre, prends le chemin du retour. J’arrive devant chez moi avec ¾ d’heure de retard, descend de voiture. Il la contourne et, avant de reprendre le volant me dit :
- À demain matin !
Le lendemain il tient sa promesse, il vient me chercher à 8 h, je conduis pendant ¾ d’heure. Je quitte la voiture sur le parking du centre commercial, je pointe à l’heure.
Je prends 2 leçons par semaine, plus les cours de code, le lundi et le jeudi le soir de 6 à 7 pour la conduite, j’ai hâte de l’avoir, j’aurais plus d’autonomie. Mais ensuite il faudra acheter une bagnole. À la conduite je commence à bien me débrouiller. Le patron de l’auto école m’en a fait payer 15, et c’est un minimum m’a-t-il dit. Justement ce soir j’en prends une autre. On est au milieu du printemps, il a fait beau toute la journée. Je remets ma jupe, un corsage, mon blouson, prends mon sac.
On est jeudi. À 18h, le moniteur est en bas de chez moi. Je prends le volant et nous voilà partis. Toute mon attention est retenue par la conduite, lui me prodigue ses conseils, me fait faire des créneaux, des démarrages en côte. On est dans la circulation, il ne me touche pas, pourtant ma jupe est remontée et dévoile sérieusement le haut de mes cuisses, je sais qu’il peut voir ma culotte.
Ca fait plus d’une demi-heure que je suis au volant, je me trouve bien, la circulation est dense, je prends de l’assurance. À sa demande, je m’engage sur l’autoroute. On roule encore pendant une bonne dizaine de minutes, il me fait prendre la première sortie. J’arrive dans un patelin, le traverse, prends une route de campagne. Depuis la sortie de l’autoroute, sa main est sur le haut de ma cuisse, au bord de ma culotte, puis il la passe sous l’élastique de l’entrejambe, caresse ma toison, la glisse sur ma vulve.
- Votre main me gène pour conduire !
Il la retire de ma culotte, la met sur le haut de ma cuisse. Encore 10 mn de route, après avoir traversé une autre agglomération, on arrive en vue d’un petit bois. Il me fait ralentir, m’engager dans un chemin à droite, on s’enfonce dans le sous bois.
- Entre dans ce petit chemin !
J’ai compris, cette fois il ne va pas se contenter d’une pipe, je vais y avoir droit. Je m’arrête dans une sorte de clairière.
- Ca va pas plus loin !
- C’est pas mal ici, j’vais t’baiser !
- Vous connaissez bien cet endroit ?
- Oui, c’est un coin tranquille !
Cette fois c’est sans ambiguïté, il va me la rentrer. Dès que j’ai coupé le contact, il passe sa main à l’intérieur de ma culotte, la plaque sur ma moule, la malaxe, ses doigts jouent avec mon clito. Je retire sa main, recule et incline mon siège au max, remonte ma jupe sur mon ventre, saisie l’élastique de ma culotte, lève les fesses, la retire J’ai le ventre à l’air, j’écarte les cuisses, ouvre mes lèvres, glisse un doigt dans mon trou, vérifie que je mouille.
- Allez-y, j’suis prête !
Je le regarde, on croirait que c’est la première fois qu’il découvre ma toison. Je sens qu’il hésite à me sauter, pourtant c’est son intention, il ne me l’a pas caché. J’ai l’impression qu’il a l’habitude de fréquenter ce petit bois, ça ne doit pas être la première fois qu’il y amène une de ses élèves. Je me redresse, me tourne vers lui, ouvre sa braguette, peine à sortir sa queue du slip tellement elle est raide. Je la prends en bouche, la suce longuement, l’absorbe en entier, fais coulisser la peau sur la hampe, ouvre le méat, le titille du bout de la langue, je sens le gland gonfler, il me dit :
- Arrête j’vais venir !
Je me redresse, m’allonge sur mon siège, écarte les cuisses autant que l’espace me le permet, lui ouvre mon sexe, fourre mes doigts dedans.
- À vous de me la bouffer !
Il ne bouge pas, me regarde, a l’air surpris par ma proposition. J’ai de plus en plus envie qu’il me la rentre, on est là pour ça, mais c’est difficile à cause du volant et de l’habitacle plutôt réduit dans ce véhicule. J’ouvre la portière, descends, ma jupe étroite reste remontée au-dessus de ma touffe, ne retombe pas, j’ai le cul à l’air. J’écarte bien les jambes, expose ma chatte, le laisse jouir du spectacle, me retourne, me penche, écarte mes fesses.
- Venez m’la mettre !
Il est toujours sur son siège, entretien son érection, semble fasciné par ce que je lui expose.
- Alors, vous vous décidez !
Pas de réponse. Il a l’air décontenancé par mon attitude, continue de se branler, jette un regard à sa bite puis sur moi. J’insiste,
- J’vais pas rester le cul à l’air à attendre !
- J’ai pas d’capote !
- Fallait l’dire !
J’ouvre la portière arrière, en prends une dans mon sac qui est sur le siège, la lui donne. Il déchire l’étui, le jette, s’équipe. Cette fois il sort de la voiture, la contourne bite à la main, ferme ma portière, me pousse à l’avant de la voiture, je me retrouve penchée sur le capot.
- Je sais que tu as envie que j’ te saute !
- Pas du tout, on a un accord !
Il baisse son pantalon et son slip sur le haut de ses cuisses, remonte haut ma jupe, dégage bien mon cul. Il m’écarte les jambes, se place entre, je lui présente ma croupe, il m’ouvre les fesses à 2 mains, glisse sa queue à l’arrière de ma fente, et d’un seul coup de rein, m’embroche. La totalité de la queue disparaît en moi en une seule poussée !
- Aïe, doucement
- T’as c’que tu veux ?
- Pas moi, vous !
Il ne m’a pas préparée, je ne mouille pas assez, il me pénètre presque à sec, je m’ouvre car j’ai vraiment envie d’en avoir une dans moi. Il me pilonne, chaque coup de bite est accompagné d’un han, han, je le subis, je couine pour lui donner le change, ne participe pas. Ca va faire près de 10 mn qu’il s’acharne dans ma tuyauterie, je suis debout, légèrement penchée en avant, les mains appuyées sur le capot, la position me fatigue, je lui dis :
- Ca vient ? J’fatigue !
- Participe au moins !
Il continue, je ne tiens plus, je donne un coup de cul pour me dégager, sa bite sort de mon vagin. Il me retourne face à lui, me prend les jambes, les relève, me bascule dos sur le capot, cul dans le vide. Il les ouvre en grand, les tient repliées au-dessus de mon torse, m’enfile de nouveau sa bite. Et le voilà reparti pour un burinage intensif, j’ai chaud, il en met du temps à décharger, j’aimerais qu’il en termine. Je sens sa queue enfler à l’intérieur de ma gaine, il se bloque, un soubresaut, han, un autre, han haaaa, je sens le foutre remplir la capote. Ouf, c’est fini, la position n’est pas idéale, je l’ai laissé me baiser dans un but bien précis, je n’ai pas eu d’orgasme, juste une opération d’entretien du conduit ! Il me remet au sol, vire la capote, m’appuie sur les épaules, me force à m’accroupir, présente sa pine devant ma bouche.
- Non pas ça !
- Aller, avales le reste !
Il appuie sa queue, j’ouvre la bouche, elle est à peine rentrée dedans qu’il finit de se vider, j’avale son foutre, il est épais, me colle sur la langue, j’aime pas trop le goût. Il remonte son fute, sort un paquet de kleenex de sa poche, m’en donne un, s’essuie la queue, range son matériel, referme sa ceinture. Je m’essuie la bouche, récupère ma culotte, l’enfile, rabats ma jupe. Il me dit :
- C’est bon, on y va !
- Vous êtes satisfait ?
- T’es trop passive !
On remonte dans la voiture, je redresse mon siège, fais ½ tour, et nous voilà repartis en sens inverse ! L’endroit semblait désert, mais un paysan a peut-être assisté au spectacle ! Allez savoir ! Surtout que la séance de baise a duré une bonne 1/2 heure. Je rentre chez moi, il est presque 8h. Ma mère me voit passer, m’interpelle :
- Ta leçon de conduite a été bien longue aujourd’hui !
- Oui, il m’a fait conduire sur l’autoroute, il y avait du monde dans les deux sens à cette heure là !
- À voir ta tête t’as pas fait que conduire !
- Oh ça va, toi et tes insinuations !
- Qu’est c’qui t’prend d’me répondre comme ça ?
- Y en a marre, t’es toujours à m’surveiller, j’fais c’qui m’plait, suis plus une gamine, j’ai 23 ans !
À la 10ème leçon, un jeudi, c’est le patron lui-même qui vient me chercher.. Et c’est une voiture différente que je dois piloter
- Je veux savoir à quel moment vous serez apte à passer le permis !
Je fais connaissance avec la voiture, nous voilà partis. Je suis tout à la conduite, respecte les limitations de vitesse, la signalisation. Créneaux impecs, au bout d’une heure à m’observer il estime que je serais d’ici peu apte à passer le permis, il me dit
- Vous conduisez très bien, on va passer au bureau pour remplir les papiers.
On arrive, je gare la voiture, le suit dans le bureau. Il remplit la paperasse, je signe le chèque à joindre au document.
- C’est bon, il faut compter au moins 3 mois, on arrive en période de vacances, ça risque d’être encore plus long !
- J’vais devoir continuer à prendre des leçons en attendant ?
- Faut pas perdre la main, plus vous avez d’heures de conduite, plus vous avez de chances de l’avoir.
- On peut s’arranger ?
- Il reste 5 leçons, ensuite on verra ! On peut passer à une par semaine, vous vous débrouillez très bien !
Il est 7 h1/2, je reprends le volant, je rentre avec le patron. Il me dépose, entre au café, on prend une bière. Il part en vacances à la fin de la semaine prochaine, il me reverra fin juillet. Prochaines leçons tous les lundis.
À suivre châpitre 20
- J’peux voir le moteur ?
- J’veux bien lever le capot !
À un arrêt de la circulation, je remonte ma jupe sur le haut des cuisses, la replie, il peut voir ma culotte.
- Le moteur est là dessous !
- Montrez- le- moi !
- Ok, en échange de leçons de conduite gratuites.
- J’vais y réfléchir !
- C’est oui ou c’est non ?
- Montrez-moi d’abord !
- Pas avant d’avoir la réponse !
- Ok, j’vais m’arranger !
Il a posé sa main en haut de ma cuisse juste dans les plis de l’aine, je sens ses doigts qui tentent de s’infiltrer sous l’élastique dans l’entrejambe de ma culotte. Tout en conduisant, j’écarte un peu les jambes, lui favorise l’accès à ma chatte. Il réussit à passer ses doigts sous l’élastique, je les sens caresser le bord de ma fente, s’introduire dans ma vulve, l’un d’eux agasse mon clito, j’en mouille
- Enlevez vos doigts de là, ça me gène pour conduire, on risque l’accident.
Il enlève sa main, je rabats ma jupe, ça va mieux, je suis plus à l’aise. Je lui dis :
- C’est pas facile de conduire avec vos doigts qui me fouillent
- Tournez à droite !
- Il est temps qu’on rentre !
- Je n’ai plus personne après vous.
On arrive dans une cité calme, il me fait garer sur le parking entre 2 voitures, loin des bâtiments. Il n’y a personne aux alentours. Je lui demande :
- Qu’est ce qu’on vient faire là ?
- La vidange !
J’ai compris, je recule mon siège et incline le dossier, remonte bien ma jupe, enlève ma culotte, écarte mes cuisses. Il se tourne vers moi :
- T’as une belle touffe, j’vois à peine ta fente!
Sa main se plaque sur ma vulve, ouvre mes lèvres, ça y est, j’ai ses doigts dans le vagin, il les entre, les ressort, me ramone, je mouille, lui dis :
- Ici vous pourrez pas me mettre !
Il se redresse, enlève ses doigts, les fourre dans ma bouche, je les suce, goûte ma cyprine. Il ouvre sa braguette, dégage sa queue du slip, la sort du pantalon, me la présente. Elle est de taille moyenne, en érection bien sûr !
- Aller, sucez-moi !
Je m’incline, attrape la bite d’une main, tire sur la peau, dégage bien le gland. Il est rouge, gonflé, je le prends en bouche, commence à le sucer. Au bout de 5 mn, il m’appuie sur la tête, j’engloutis sa pine, elle gonfle, se contracte, il me la tient en fond de gorge, décharge en plusieurs jets. J’étouffe, avale, dégluti, il en envoie encore par saccades, son foutre est épais, collant, j’en ai la bouche pleine, ça me coule aux bords des lèvres. Je me redresse, ouvre la vitre, recrache, j’aime pas le goût, c’est fade, dégueulasse.
- Beurk !
- T’aimes pas en bouffer ?
- J’ai droit à une leçon ?
- Demain matin, tu dois être au boulot à qu’elle heure ?
- 9 heures !
- Ok, je passe te prendre à 8 !
Il sort des kleenex de la boîte à gants, m’en donne un, s’essuie soigneusement, remballe ses outils, on jette les kleenex par la vitre. Je suis en manque, en m’habillant de la sorte j’avais espoir qu’il me la rentre, mais dans une voiture c’est pas commode à moins de passer à l’arrière, et encore ! Qu’est qu’il ne faut pas faire pour avoir des leçons de conduite gratuites !
Je suis toujours au volant, remet ma culotte, rabats ma jupe, redresse mon siège, l’avance, démarre, prends le chemin du retour. J’arrive devant chez moi avec ¾ d’heure de retard, descend de voiture. Il la contourne et, avant de reprendre le volant me dit :
- À demain matin !
Le lendemain il tient sa promesse, il vient me chercher à 8 h, je conduis pendant ¾ d’heure. Je quitte la voiture sur le parking du centre commercial, je pointe à l’heure.
Je prends 2 leçons par semaine, plus les cours de code, le lundi et le jeudi le soir de 6 à 7 pour la conduite, j’ai hâte de l’avoir, j’aurais plus d’autonomie. Mais ensuite il faudra acheter une bagnole. À la conduite je commence à bien me débrouiller. Le patron de l’auto école m’en a fait payer 15, et c’est un minimum m’a-t-il dit. Justement ce soir j’en prends une autre. On est au milieu du printemps, il a fait beau toute la journée. Je remets ma jupe, un corsage, mon blouson, prends mon sac.
On est jeudi. À 18h, le moniteur est en bas de chez moi. Je prends le volant et nous voilà partis. Toute mon attention est retenue par la conduite, lui me prodigue ses conseils, me fait faire des créneaux, des démarrages en côte. On est dans la circulation, il ne me touche pas, pourtant ma jupe est remontée et dévoile sérieusement le haut de mes cuisses, je sais qu’il peut voir ma culotte.
Ca fait plus d’une demi-heure que je suis au volant, je me trouve bien, la circulation est dense, je prends de l’assurance. À sa demande, je m’engage sur l’autoroute. On roule encore pendant une bonne dizaine de minutes, il me fait prendre la première sortie. J’arrive dans un patelin, le traverse, prends une route de campagne. Depuis la sortie de l’autoroute, sa main est sur le haut de ma cuisse, au bord de ma culotte, puis il la passe sous l’élastique de l’entrejambe, caresse ma toison, la glisse sur ma vulve.
- Votre main me gène pour conduire !
Il la retire de ma culotte, la met sur le haut de ma cuisse. Encore 10 mn de route, après avoir traversé une autre agglomération, on arrive en vue d’un petit bois. Il me fait ralentir, m’engager dans un chemin à droite, on s’enfonce dans le sous bois.
- Entre dans ce petit chemin !
J’ai compris, cette fois il ne va pas se contenter d’une pipe, je vais y avoir droit. Je m’arrête dans une sorte de clairière.
- Ca va pas plus loin !
- C’est pas mal ici, j’vais t’baiser !
- Vous connaissez bien cet endroit ?
- Oui, c’est un coin tranquille !
Cette fois c’est sans ambiguïté, il va me la rentrer. Dès que j’ai coupé le contact, il passe sa main à l’intérieur de ma culotte, la plaque sur ma moule, la malaxe, ses doigts jouent avec mon clito. Je retire sa main, recule et incline mon siège au max, remonte ma jupe sur mon ventre, saisie l’élastique de ma culotte, lève les fesses, la retire J’ai le ventre à l’air, j’écarte les cuisses, ouvre mes lèvres, glisse un doigt dans mon trou, vérifie que je mouille.
- Allez-y, j’suis prête !
Je le regarde, on croirait que c’est la première fois qu’il découvre ma toison. Je sens qu’il hésite à me sauter, pourtant c’est son intention, il ne me l’a pas caché. J’ai l’impression qu’il a l’habitude de fréquenter ce petit bois, ça ne doit pas être la première fois qu’il y amène une de ses élèves. Je me redresse, me tourne vers lui, ouvre sa braguette, peine à sortir sa queue du slip tellement elle est raide. Je la prends en bouche, la suce longuement, l’absorbe en entier, fais coulisser la peau sur la hampe, ouvre le méat, le titille du bout de la langue, je sens le gland gonfler, il me dit :
- Arrête j’vais venir !
Je me redresse, m’allonge sur mon siège, écarte les cuisses autant que l’espace me le permet, lui ouvre mon sexe, fourre mes doigts dedans.
- À vous de me la bouffer !
Il ne bouge pas, me regarde, a l’air surpris par ma proposition. J’ai de plus en plus envie qu’il me la rentre, on est là pour ça, mais c’est difficile à cause du volant et de l’habitacle plutôt réduit dans ce véhicule. J’ouvre la portière, descends, ma jupe étroite reste remontée au-dessus de ma touffe, ne retombe pas, j’ai le cul à l’air. J’écarte bien les jambes, expose ma chatte, le laisse jouir du spectacle, me retourne, me penche, écarte mes fesses.
- Venez m’la mettre !
Il est toujours sur son siège, entretien son érection, semble fasciné par ce que je lui expose.
- Alors, vous vous décidez !
Pas de réponse. Il a l’air décontenancé par mon attitude, continue de se branler, jette un regard à sa bite puis sur moi. J’insiste,
- J’vais pas rester le cul à l’air à attendre !
- J’ai pas d’capote !
- Fallait l’dire !
J’ouvre la portière arrière, en prends une dans mon sac qui est sur le siège, la lui donne. Il déchire l’étui, le jette, s’équipe. Cette fois il sort de la voiture, la contourne bite à la main, ferme ma portière, me pousse à l’avant de la voiture, je me retrouve penchée sur le capot.
- Je sais que tu as envie que j’ te saute !
- Pas du tout, on a un accord !
Il baisse son pantalon et son slip sur le haut de ses cuisses, remonte haut ma jupe, dégage bien mon cul. Il m’écarte les jambes, se place entre, je lui présente ma croupe, il m’ouvre les fesses à 2 mains, glisse sa queue à l’arrière de ma fente, et d’un seul coup de rein, m’embroche. La totalité de la queue disparaît en moi en une seule poussée !
- Aïe, doucement
- T’as c’que tu veux ?
- Pas moi, vous !
Il ne m’a pas préparée, je ne mouille pas assez, il me pénètre presque à sec, je m’ouvre car j’ai vraiment envie d’en avoir une dans moi. Il me pilonne, chaque coup de bite est accompagné d’un han, han, je le subis, je couine pour lui donner le change, ne participe pas. Ca va faire près de 10 mn qu’il s’acharne dans ma tuyauterie, je suis debout, légèrement penchée en avant, les mains appuyées sur le capot, la position me fatigue, je lui dis :
- Ca vient ? J’fatigue !
- Participe au moins !
Il continue, je ne tiens plus, je donne un coup de cul pour me dégager, sa bite sort de mon vagin. Il me retourne face à lui, me prend les jambes, les relève, me bascule dos sur le capot, cul dans le vide. Il les ouvre en grand, les tient repliées au-dessus de mon torse, m’enfile de nouveau sa bite. Et le voilà reparti pour un burinage intensif, j’ai chaud, il en met du temps à décharger, j’aimerais qu’il en termine. Je sens sa queue enfler à l’intérieur de ma gaine, il se bloque, un soubresaut, han, un autre, han haaaa, je sens le foutre remplir la capote. Ouf, c’est fini, la position n’est pas idéale, je l’ai laissé me baiser dans un but bien précis, je n’ai pas eu d’orgasme, juste une opération d’entretien du conduit ! Il me remet au sol, vire la capote, m’appuie sur les épaules, me force à m’accroupir, présente sa pine devant ma bouche.
- Non pas ça !
- Aller, avales le reste !
Il appuie sa queue, j’ouvre la bouche, elle est à peine rentrée dedans qu’il finit de se vider, j’avale son foutre, il est épais, me colle sur la langue, j’aime pas trop le goût. Il remonte son fute, sort un paquet de kleenex de sa poche, m’en donne un, s’essuie la queue, range son matériel, referme sa ceinture. Je m’essuie la bouche, récupère ma culotte, l’enfile, rabats ma jupe. Il me dit :
- C’est bon, on y va !
- Vous êtes satisfait ?
- T’es trop passive !
On remonte dans la voiture, je redresse mon siège, fais ½ tour, et nous voilà repartis en sens inverse ! L’endroit semblait désert, mais un paysan a peut-être assisté au spectacle ! Allez savoir ! Surtout que la séance de baise a duré une bonne 1/2 heure. Je rentre chez moi, il est presque 8h. Ma mère me voit passer, m’interpelle :
- Ta leçon de conduite a été bien longue aujourd’hui !
- Oui, il m’a fait conduire sur l’autoroute, il y avait du monde dans les deux sens à cette heure là !
- À voir ta tête t’as pas fait que conduire !
- Oh ça va, toi et tes insinuations !
- Qu’est c’qui t’prend d’me répondre comme ça ?
- Y en a marre, t’es toujours à m’surveiller, j’fais c’qui m’plait, suis plus une gamine, j’ai 23 ans !
À la 10ème leçon, un jeudi, c’est le patron lui-même qui vient me chercher.. Et c’est une voiture différente que je dois piloter
- Je veux savoir à quel moment vous serez apte à passer le permis !
Je fais connaissance avec la voiture, nous voilà partis. Je suis tout à la conduite, respecte les limitations de vitesse, la signalisation. Créneaux impecs, au bout d’une heure à m’observer il estime que je serais d’ici peu apte à passer le permis, il me dit
- Vous conduisez très bien, on va passer au bureau pour remplir les papiers.
On arrive, je gare la voiture, le suit dans le bureau. Il remplit la paperasse, je signe le chèque à joindre au document.
- C’est bon, il faut compter au moins 3 mois, on arrive en période de vacances, ça risque d’être encore plus long !
- J’vais devoir continuer à prendre des leçons en attendant ?
- Faut pas perdre la main, plus vous avez d’heures de conduite, plus vous avez de chances de l’avoir.
- On peut s’arranger ?
- Il reste 5 leçons, ensuite on verra ! On peut passer à une par semaine, vous vous débrouillez très bien !
Il est 7 h1/2, je reprends le volant, je rentre avec le patron. Il me dépose, entre au café, on prend une bière. Il part en vacances à la fin de la semaine prochaine, il me reverra fin juillet. Prochaines leçons tous les lundis.
À suivre châpitre 20
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