Titre de l'histoire érotique : La jeune nièce de ma femme est une vrai obsédée du sexe et de son vieux tonton
Récit érotique écrit par See You [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Titre de l'histoire érotique : La jeune nièce de ma femme est une vrai obsédée du sexe et de son vieux tonton
Laura est ma nièce par alliance, c’est la fille du frère de ma femme. Nous nous sommes perdu de vue depuis environ huit ans, chacun étant parti habiter à un bout de la France. Elle a maintenant vingt sept ans et moi trente de plus. Elle a le même âge que ma fille, et quand elles étaient petites et même adolescentes, elles étaient inséparables.
Plusieurs fois elle a passé ses vacances avec nous au camping. Il y a toujours eu une certaine complicité entre nous deux, elle adorait se faire câliner par son tonton.
A sa majorité elle s’est trouvé un copain, et elle est parti vivre avec lui dans l’est de la France, et quelques temps après, c’est nous qui somment partis vivre dans le sud ouest. Nous nous sommes perdu de vue, j’avais de ses nouvelles par ses parents et par mes beaux parents, mais plus de contacts direct entre nous deux.
J’ai gardé le souvenir d’une adorable petite brunette aux yeux bleus vert, toute menu, paressant beaucoup plus jeune que son âge, à la bouche pulpeuse, et aux formes très agréables à regarder.
Il y a un an nous nous sommes retrouvés sur un réseau social bien connu, mais on se suivait juste, toujours pas de contact direct entre nous deux. Puis elle a quitter son copain et est revenu habiter provisoirement chez ses parents. C’est à ce moment la que l’on a repris contact sur ce réseau social, et que par la suite on c’est échangé nos adresses mails privées. Au début nous avons parlé de vagues banalités, puis ensuite elle m’a rappelé la complicité que nous avions ensemble quand elle était petite. Elle m’a dit que les câlins de son tonton lui manquait.
J’ai commencé à lui raconter qu’avec sa tante, depuis environs six ans, il n’y avait pratiquement plus de sexe entre nous deux, que sa tante avait toujours refusé de me faire des fellations, et qu’elle avait jamais voulu essayer la sodomie, et que cela me manquait beaucoup, que j’avais toujours beaucoup d’envies sexuelles, et que j’étais frustré.
Elle a commencé à me confier, ses fantasmes, ses envies sexuelles. Elle m’a raconté que quand elle était petite fille, elle a fantasmé sur les hommes âgés, voire très âgés, et ce grâce aux dessins animés japonais, qu’elle regardais à la télévision avec ma fille, et avec moi aussi parfois, un en particulier, DBZ, dans lequel il y avait un vieux maître d’arts martiaux qui était doublé d’un incorrigible vicieux, Tortue Géniale. Elle s’est imaginée de très nombreuses fois à la place de ces jeunes filles, dont il tentait sans cesse de palper les attributs.
Les années passant, ce fantasme ne l’a pas quitté, et elle a substitué à cet homme de dessin animé des acteurs, dont elle imaginait le membre entre ses seins bien formés, ainsi qu’entre ses fesses. Elle a ajouté, tonton tu sauras donc que je fus une adepte de la sodomie dès mon plus jeune âge. Elle m’a expliqué qu’elle faisait toujours plus jeune que son âge, et que lorsqu’elle prenait le train, les contrôleurs lui demandaient toujours sa carte d’étudiante, ils pensent qu’elle a à peine dix huit ans, sûrement à cause de sa petite taille et de sa façon de s’habiller en jean et sac à dos. Elle m’a avoué qu’elle adore porter ce type de tenue, car personne ne peut suspecter que, dessous la culotte qu’elle porte, quand elle en porte, celle ci empêche un godemiché de sortir de sa chatte dégoulinante. Elle ajoute qu’elle aime bien porter aussi des jupes ou des robes, surtout sans culotte, d’autant qu’elles sont parfois complices d’un désir inestimable, qu’elle peu ainsi assouvir facilement, et elle adore sentir le vent sur sa minette toute lisse.
Je commence à me dire que ma nièce est vraiment devenu une sacré coquine, chose que j’avais plus ou moins pressenti dès son plus jeune âge.
Elle me raconte ensuite, qu’il y a peu de temps, elle parcourait les rayons d’un grand supermarché peu peuplé à l’heure matinale qu’elle avait choisie. Elle portait une petite robe bleue ainsi qu’une paire de bottes. La température étant agréable, elle avait les jambes nues, et elle ne s’était pas encombrée de culotte.
Arrivée dans le rayon droguerie, elle voit un homme que je décrirai comme un septuagénaire bedonnant, court sur pattes, dégarni sur le dessus, la bouille très ronde et joviale, bref, un homme qui lui semble immédiatement sympathique. Celui-ci a l’air bien embêté, et elle se permet de lui demander s’il a un problème pour lequel elle pourrait éventuellement l’aider. Il lui dit alors, qu’en rayant un produit de sa liste, son crayon a roulé sous les étals, et qu’avec son arthrite, il peut tout juste se pencher, mais pas se baisser pour tenter de le récupérer.
La voici donc à quatre pattes, les genoux glacés sur le sol si froid, et la main tendue essayant de se faufiler tant bien que mal sous le rayon. Elle sent quelque chose au bout de ses doigts qui pourrait être un crayon en plastique, et elle s’aplatit encore plus pour parvenir à l’atteindre, faisant ainsi ressortir parfaitement ses fesses bien dodues sous sa robe qui, s’il avait pu se baisser, aurait révélé à ce petit vieux une pêche bien juteuse, il lui dit :
– Vous êtes bien aimable, mais ne vous donnez pas tant de peine.
– Vous inquiétez pas monsieur, j’y suis presque !
Sentant qu’il ne manque pas grand chose pour attraper le crayon, elle se recule afin de déplier son bras sur plus de longueur. C’est alors qu’elle sent ses fesses buter contre quelque chose. D’abord surprise, elle s’écarte et tourne la tête. Elle devine alors que le petit vieux est penché, les mains appuyées sur ses genoux, et que son genou gauche se trouve entre ses jambes, il n’a pas bougé. Elle tourne la tête de l’autre côté et réalise qu’ils sont seuls dans cette allée depuis le début.
Elle me confie qu’elle à beau être très cochonne au lit, et adorer se toucher en plein air, elle le fait toujours avec la peur d’être surprise, et elle ne le fait pas en public. De même qu’elle n’a jamais exhibé sa chatte à des inconnus, même en étant souvent nue sous ses vêtements, elle est encore trop peureuse pour faire ça.
Mais là, elle ne sait pas ce qu’il lui a pris, elle a de nouveau fait buter ses fesses contre la main du petit vieux, et elle les a même appuyées dessus. Elle a commencé à se frotter doucement sur cette main, sa jupe se levant et se rabaissant au gré de ses mouvements. Quelques doigts du vieux se redressèrent, elle a senti des phalanges pointer contre sa chatte qui avalait désormais le tissu de sa robe. Elle pense qu’il a comprit qu’à ce moment là, elle ne portait rien en dessous puisqu’il retroussa sa robe. Mais ses doigts eurent à peine le temps de frôler les lèvres de sa minette, qu’elle se redressait, principalement de peur. Elle avait récupéré son crayon, il lui dit :
– Excusez-moi….
– Mais je vous en prie, ça m’a fait plaisir !
Lui répondit-elle dans un sourire alors qu’elle regrettait à la fois d’avoir eu si peur, et à la fois de ne pas avoir su se contrôler. Elle lui a redonné son crayon, et lui a souhaité une bonne journée en quittant ce rayon, oubliant d’ailleurs qu’elle était venu y chercher des piles.
Cette histoire l’a particulièrement troublée, et elle n’a de cesse d’y penser, d’autant que sa libido est très élevée, et vu qu’elle n’a plus de travail, cela lui laisse tout loisir de se faire quotidiennement beaucoup de bien.
Elle me confie encore, que même si elle consomme énormément de pornographie, sous toutes ses formes, elle ferme forcément les yeux à un moment donné et elle s’imagine palpée, doigtée, léchée, défoncée, enculée par un vieux, dont le gland serait gros, la bite courte et un peu molle. Il la biflerait avec, la traitant de tous les noms, et elle le pomperait intégralement, le nez dans ses poils grisonnants, ses gros seins plaqués contre ses cuisses.
Elle ajoute, tu sais tonton, j’adore sucer, être forcée par mes partenaires, prise dans mon sommeil, j’adore avaler du foutre et, ou en avoir partout, je raffole vraiment de sodomie, à sec également, de tous types d’insertions, et de mots très, très, très, très crus, comme de situations excitantes. Obsédée, oui, c’est le mot que mes partenaires ont toujours eu en commun à mon égard. Pour les mots plus pervers, je devais les placer dans leur bouche, ils m’ont tous avoué qu’ils n’osaient pas m’insulter spontanément. De même que j’aime révéler l’intello sous l’apparente adolescente, j’adore baisser mon jean, ma culotte, et montrer le gode qui s’y trouve, parfois le plug anal, remplaçant l’intello par la salope et surprendre agréablement mes partenaires.
Tonton tu ne dois pas douter du fort potentiel érotique que les hommes mûrs peuvent exercer sur les plus jeunes. C’est sans doute plus répandu que tu ne l’imagines. Ma meilleure amie a également ce fantasme, et elle est pourtant moins salope que moi, pas de sodomie, d’insertion, d’éjaculation faciale, etc, alors même qu’elle est plus jolie. Elle est grande, aux yeux bleus, et dotée de ces fameuses jambes qui n’en finissent pas.
Donc tonton de grâce, ne doutes pas de ma bonne foi, et crois moi quand je te dis que j’ai envie de toi, que je suis obsédée par toi, que je voudrai être avec toi, que je voudrai ta bite dans tous mes orifices, avaler ton foutre, être badigeonnée avec.
Je t’imagine avec moi, je sens mes seins qui se gonflent à l’idée du simple frôlement de tes doigts. Mon clitoris qui s’érige alors que je t’imagine dans ma chambre, entre mes jambes bien ouvertes, ta langue jouant avec mes lèvres, ton nez qui se presse contre mon bouton alors que je relève mon bassin sous l’excitation, tes mains sous mes fesses qui les maintiennent écartées et qui chatouillent parfois, presque innocemment, mon petit trou.
Oui tonton il y a très longtemps que j’ai envie de toi, je veux m’offrir à toi avec le plus grand plaisir. Tu m’as dit que tata s’occupait plus beaucoup de toi, qu’elle te refusait des plaisirs que j’adorerai t’offrir, laisses moi m’occuper de toi, accueils moi chez toi, je sais qu’il y a maintenant une chambre de libre, depuis que ma cousine est partie vivre avec son copain. Je prendrai comme prétexte que je viens chercher du travail vers chez vous, que l’on m’a fait une proposition de travail, je vais d’ailleurs commencer à en cherchez vers chez vous. Parles en à tata, si elle veux bien m’accueillir chez vous, lui parle pas de mes envies de sexe avec toi bien sur, mais crois moi tu ne le regretteras pas.
L’idée d’être avec toi m’excite au plus haut point, et je t’avoue que je me suis à l’instant enfoncé la boule d’un des montant de mon lit, dans ma chatte trempée par la lecture de tes messages et l’écriture de celui-ci. Je m’imaginais en le faisant, que tu me regardais en me traitant de petite chienne en chaleur, et c’était absolument divin.
Je vais rêver que tu viens cette nuit, écarter ma couette sous laquelle je dors complètement nue, et que tu vas me palper, te frotter partout sur moi, me murmurer des cochonneries, forcer ma bouche, te vider dans tous mes trous, j’aimerai me réveiller pleine de ton foutre.
Demain j’aimerai découvrir ton mail me décrivant comment tu m’as baisée, comment j’ai réagi quand tes coups de bite m’ont réveillés, ce que tu as dis, combien j’ai mouillé, combien ma rondelle serrée t’a surprise, on m’a toujours dit que c’était un anus de vierge, mais je reconnais que comme je, et, on m’encule souvent à sec, et donc que je, et, on m’y enfonce jamais des calibres démesurés. Dis moi tout, s’il te plaît, dis moi ce que tu rêverais de me faire.
Et surtout dis moi que je peux venir vivre chez toi, j’ai bien trop besoin de toi tonton, j’espère que tu l’as bien comprit après tout ce que je t’ai écrit. Tu es le premier à qui je me confie comme ça, totalement et impudiquement. Je te rassure, je ne cherche pas l’amour avec toi, je suis trop libre pour cela, je ne veux pas d’une relation exclusive et contraignante, j’ai quitté mon ancien copain à cause de cela, j’ai un besoin de liberté totale, de pouvoir baiser avec qui je veux quand je veux, homme ou femme, je suis bi avec une préférence pour les hommes, je te l’ai dit, j’ai des besoins de sexe énorme, J’espère que tu me comprends, mais mon besoin principal c’est toi, je te le dis, c’est même vitale pour moi, mais j’espère que tu accepteras de me partager avec d’autres, que tu me laisseras libre de ce point de vue là.
Réponds moi vite, je te demande pas de quitter tata pour moi, je sais que de toute façon tu ne le feras jamais, je te demande juste de me prendre avec toi, de t’occuper de moi, comme je m’occuperai de toi, d’être mon Tortue Géniale très vicieux, et moi je serais ta chienne en chaleur, en rut, ton objet sexuel, ta vide couille, ton sac à foutre, ton esclave sexuelle, tu ne peux pas imaginer à quel point j’en ai besoin, s’il te plaît, je t’en conjure, je te le demande à genoux, dis moi oui, tonton.
Je suis vraiment très surpris par son mail, par ce qu’elle me confie. Le plus surprenant pour moi, c’est son irrésistible envies se sexe avec moi, qu’elle puisse préférer avoir des relations sexuelles extravagantes avec son vieux tonton, plutôt qu’avec des jeunes de son âge, que je puisse faire fantasmer une fille de son âge, qui de plus se trouve être ma nièce. Qu’elle soit devenue une vrai salope, folle de sexe, me surprend moins, que le fait qu’elle veuille être ma salope, mais cette perspective m’excite au plus haut point, je ne peux pas expliquer pourquoi, mais ma nièce m’a toujours excité, et aujourd’hui pouvoir découvrir et abuser de son corps de jeune femme sans tabous, librement, m’enchante vraiment, je vais pouvoir satisfaire son fantasme et le mien, d’autant plus qu’elle paraît toujours très jeune, et quelle l’est encore.
Il ne me reste plus qu’à convaincre ma femme d’héberger notre nièce, cela ne devrait pas être très difficile, depuis le départ de notre fille, elle trouve la maison bien vide, et en plus elle a toujours adoré notre nièce.
Le lendemain comme je le pensais ma femme a donner son accord, j’envoie un mail à ma nièce.
Ma délicieuse Laura, si coquine, ma petite salope, ta tante et moi sommes d’accord pour que tu viennes vivre chez nous, tu peux venir quand tu veux. Tu m’as demandé de t’écrire ce que j’aimerai te faire la nuit dans ton lit. Je n’en ferais rien, je préfère t’en faire la surprise quand tu seras à la maison. Cela ne sera pas facile avec ta tante toujours présente, mais tu sais qu’elle est un peu sourde, et que la nuit elle ronfle et a un sommeil très lourd, je devrais donc pouvoir te rejoindre dans ton lit sous ta couette quand elle dort, il faudra juste que tu restes discrète et moi aussi dans nos ébats. Nous pourrons en profiter plus librement la journée quand elle ira faire des courses, ou nous prendrons ta voiture ou la mienne, sous un prétexte quelconque, et on se trouvera un endroit tranquille, c’est l’avantage de vivre à la campagne. J’ai hâte que tu sois là, j’ai trop envie de toi, trop envie de caresser chaque centimètre de ton corps, j’ai trop envie de goûter ta peau, ta bouche, tes seins, ta minette, tes fesses, j’ai trop envie de fourrer ma bite dans tous tes orifices, de te remplir de ma semence, de te recouvrir de mon foutre. Il y a trop longtemps que j’ai envie de toi, que j’ai envie d’abuser de toi, nous sommes tous les deux, adultes et consentants, et la morale ont s’en fou, il n’y a plus rien désormais qui nous empêche de faire des cochonneries ensemble, et je compte bien que l’on en fasse beaucoup. Bien sur je te laisserai libre de pouvoir baiser avec qui tu veux, quand tu le veux, de toute façon je ne pourrai jamais satisfaire toutes tes envies sexuelles, elles sont trop nombreuses pour moi, j’aurai besoin que d’autres hommes ou femmes me donnent un coup de main, je te partagerai avec plaisir. J’ai hâte que tu sois à la maison avec nous, que je puisse te toucher, que je puisse vérifier que tout ceci n’est pas un rêve, mais que c’est bien réel.
Je reçois rapidement en retour un mail de sa part, dans lequel elle m’écrit :
Tonton je suis folle de joie de pouvoir venir vivre chez toi et ma tante. J’ai jamais été aussi heureuse, mon rêve de petite fille va enfin pouvoir se réaliser, et le tien aussi par la même occasion, j’étais sur que l’on partageait la même envie de sexe l’un envers l’autre depuis très longtemps, et que tu avais jamais osé me le dire et passer à l’acte avec moi. Nous allons pouvoir rattraper le temps perdu, je vais pouvoir te faire profiter de tout ce que j’ai appris dans le domaine du sexe, tu pourras tout me demander, tout me faire, même des choses que j’ai toujours refusé de faire, pour toi je suis prête à tout subir, je veux être ton esclave obéissante et très vicieuse, tu n’auras aucune limite avec moi. Je sais qu’avec tata vous avez pas beaucoup d’argent, j’en ai un peu de côté, et j’espère bien trouver du travail près de chez vous, j’ai d’ailleurs déjà un rendez vous pour un travail, qui serait le dimanche et deux jours par semaine dans un supermarché, comme hôtesse de caisse, je pourrais vous aider financièrement, participer aux frais, je veux pas que vous m’entreteniez. Normalement je serais chez vous dans deux jours, si cela vous dérange pas. Mon rendez vous pour le travail est dans quatre jours.
La journée et le lendemain passe vite, entre la préparation de sa chambre, et quelques échanges mails. Le jour tant attendu arrive, elle est partie de très bonne heure pour pouvoir être chez nous pour le repas de midi. Elle arrive un peu avant treize heure, elle est ravissante, comme dans mes souvenirs, elle fait toujours très jeune effectivement, plus adolescente que femme de vingt sept ans, elle est habillée en mini jupe et avec un chemisier qui laisse deviner qu’elle a les seins nus en dessous, je n’aperçois pas de soutien gorge dans l’échancrure de son décolleté, et ses tétons pointent à travers le tissu. Elle a toujours ses magnifiques yeux, bleus verts, qui m’ont toujours attirés, et dans lesquels je vois maintenant ses envies de sexe. Nous décidons de passer à table, on s’occupera de décharger sa voiture, et de son installation ensuite. Après le repas, nous discutons un peu, de ce qui c’est passé pendant ces huit ans, de son rendez-vous pour du travail à trente kilomètres de chez nous, ma femme lui demande ce qu’elle aime prendre au petit déjeuner, ses préférences alimentaire, car elle va allez faire quelques courses. Avant que ma femme parte, nous déchargeons sa voiture, et amenons ses affaires dans sa chambre. Ma femme me demande d’aider notre nièce à s’installer pendant qu’elle va faire les courses, elle sera absente environ une heure.
A peine ma femme partie, Laura se jette sur moi pour me rouler un patin comme j’en ai pas eu depuis que j’ai connu ma femme quand nous étions jeunes. Elle m’entraîne dans sa chambre, enlève son chemisier et sa jupe, elle est nue sous ses vêtements, comme je m’en doutais, elle ne porte pas de soutien gorge, et elle n’a pas de culotte non plus. Elle est ravissante, un corps superbe, des seins pas très gros, mais bien ronds et fermes, avec des tétons qui pointent, sa chatte est toute lisse. De mon côté j’enlève ma chemise, pendant qu’elle m’enlève mon pantalon et mon slip. Elle se met à genoux et gobe ma bite goulûment, je bande directe, sa bouche chaude sur mon gland est un délice, sa langue se promène sur ma tige comme sur une sucette. Je lui demande d’y aller doucement, car comme je suis privé, je risque de vite éjaculer dans sa bouche. Elle me dit c’est pas grave, j’aime avaler le sperme, je veux que tu gicles dans ma bouche, que tu l’a remplisse de ton foutre.
Je lui demande de s’allonger sur le lit, nous poussons la couette pour ne pas la salir. Et je me place en 69 au dessus d’elle, j’ai trop envie de déguster son coquillage. Celui ci est très beau, avec des lèvres charnues qui font de grosses dentelles, son odeur est enivrante, ma langue part en exploration sur ce délicieux abricot, d’abord sur ses lèvres que je lèche et prend entre mes lèvres en tirant doucement dessus, puis sur son clitoris, que je sens gonfler et se tendre, ma langue glisse dans sa fente très humide, elle gémit de plaisir, elle a un goût délicieux, un peu acidulé. Pendant ce temps elle reprend sa fellation, c’est ma première, un vrai délice, je suis aux anges, elle m’excite beaucoup trop, je vais pas tenir longtemps, je suis tellement excité que je lui bouffe sa chatte comme un malade, je lui mets un doigt dans sa minette pendant que je déguste sa pêche juteuse comme un mort de faim. Je sens ma bite qui commence à palpiter, je grogne de plaisir, je ne peux plus résister, c’est trop divin, et j’éjacule puissamment dans sa bouche, plusieurs jets bien fournis, elle avale tout difficilement, et continu à me sucer doucement, je sens ma bite ramollir un peu. Elle reprend sa pipe tout en me caressant la rondelle, je suis surpris, mais je trouve se doigt inquisiteur excitant, j’aime ce qu’elle me fait avec, et ma verge retrouve petit à petit de la vigueur, quand son doigt pénètre mon petit trou, cela m’excite un maximum et me fait bander bien raide, elle lâche ma queue et me demande de la baiser, elle veut sentir ma bite dans son con.
Je me fait pas prier, je me retourne, et je lui roule un patin, je sens le goût de ma semence dans sa bouche, j’aime bien, je connais son goût, je la goutte à chaque fois que je me branle et que je me fais jouir. Elle prend ma queue dans sa main et frotte son clitoris avec, avant de la présenter devant sa fente, je pousse un peu, elle glisse toute seule dans son fourreau si humide, gluant de sa cyprine. Son vagin est relativement serré, elle me fait penser à une jeune fille, et cela m’excite encore plus, et je me mets à la baiser bestialement, elle couine, gémit, me dit que c’est trop bon, qu’elle adore que je la baise comme ça comme une pute. Mais je manque d’entraînement et je m’essouffle rapidement, je suis obligé d’arrêter pour reprendre mon souffle.
Elle me demande de m’allonger sur le dos pour qu’elle puisse me chevaucher, je me laisse faire, j’ai presque repris mon souffle. Elle s’empale sur ma tige tendu, m’offrant la vue de ses seins, que je m’empresse d’embrasser, de téter, rapidement elle se met à me chevaucher comme une folle, je malaxe ses seins, les pétri, puis je m’accroche à ses fesses, je ne contrôle plus rien, je sens mon excitation grandir, ma bite gonfler et palpiter, je grogne à n’en plus finir, elle aussi couine, gémi, je sens son vagin faire des vagues sur ma tige, ma jouissance arrive brutalement, je cri mon plaisir, cela déclenche aussi son orgasme, elle aussi cri son plaisir, je gicle dans son con, je sens sa mouille et ma semence gicler hors de son vagin, couler sur mes couilles. Elle s’écroule sur moi en m’embrassant, en me roulant des pelles, entre deux remerciements.
– Merci tonton, c’était merveilleux, j’avais trop envie de toi, merci, merci !
– C’est moi qui te remercie, j’avais jamais eu de fellation, c’est trop bon, il y a trop longtemps que j’avais pas baiser comme ça, moi aussi j’avais trop envie de toi, merci ma nièce, merci beaucoup !
Je lui dis, allons nous faire un peu de toilette vite fait, car ta tante va pas tarder à revenir, il faudra que l’on soit plus discret quand on baise, si elle nous entend gueuler comme on vient de le faire, on va avoir des problèmes, et on éclate de rire tous les deux. Je me passe un coup de gant sur la figure, elle aussi, et on se nettoie nos intimités avec des lingettes. Nous nous rhabillons, pour aller mettre de l’ordre dans sa chambre, et installer en vitesse ses affaires, elle en profite pour me montrer un coffret dans lequel il y a plein de sex-toys différents, elle me dit voilà de quoi bien s’amuser ensemble. Nous venons de finir quand ma femme arrive, nous l’aidons à décharger sa voiture et à ranger les courses. Laura en profite pour faire connaissance avec la cuisine, et voir ou sont ranger les différents ustensiles, et la nourriture. Dès que ma femme a le dos tourné, ou qu’elle se trouve dans une autre pièce ou le jardin, ma nièce ne rate pas une occasion pour me chauffer, au passage elle frotte son cul ou sa chatte contre ma bite, ou ma main, elle soulève sa jupe pour me montrer son cul en se baissant, ou elle s’assoit en face de moi en écartant les jambes et en les relevant pour me montrer sa pêche juteuse et lisse. Je trouve qu’elle joue un jeu dangereux, ma femme peu la surprendre et la voir faire, mais cela à l’air de l’exciter encore plus, et je l’avoue, moi aussi. Du coup je me prend au jeu aussi, et dès que je le peux, je glisse ma main sous sa jupe pour lui peloter ses fesses, ou sa minette dans laquelle je prend plaisir, à y glisser un doigt à la moindre occasion, nous avons retrouvé la complicité que nous avions quand elle était fillette. J’ai l’impression d’être redevenu jeune homme, ma nièce est ma fontaine de jouvence, et un aphrodisiaque permanent. Le reste de la journée se passe ainsi, avec ce petit jeu, et le soir juste avant de se coucher, elle me chuchote à l’oreille en passant à côté de moi :
– Je t’attend cette nuit toute nue sous la couette, tu as pas encore goûté à mon cul, viens m’enculer profond et sauvagement, je laisserai ma petite culotte à côté de mon oreiller, tu me la fourreras dans ma bouche pour étouffer mes cris, et surtout insultes moi pendant que tu me défonces…
Nous allons tous nous mettre au lit, j’ai du mal à ne pas m’endormir de suite, elle m’a bien fatigué cette après midi, mais il faut que je résiste, je dois attendre que ma femme s’endorme profondément. Mais je fini par m’assoupir, et quand j’ouvre les yeux je vois sur le réveil qu’il est minuit, cela fait deux heures que l’on est couché, ma femme dort profondément, je me lève délicatement en prenant toutes les précautions que je peux pour ne pas la réveiller, je me glisse hors de la chambre en vérifiant qu’elle n’a pas bougé. Je suis inquiet à l’idée qu’elle se réveille et qu’elle nous surprenne, et en même temps je suis très excité, et je bande déjà, je suis tout nu, je dors toujours ainsi, ou avec un maillot quand il fait plus froid, mais j’ai toujours les fesses et le sexe à l’air qu’elle que soit la saison pour dormir.
C’est la pleine lune, et celle ci éclaire faiblement l’intérieur de la maison à travers les persiennes. Ma nièce a laissé sa porte entre ouverte, je me glisse silencieusement dans sa chambre, sous sa couette, elle dort en me tournant le dos, je me colle contre elle, sa peau est douce et chaude. J’aperçois sa petite culotte sur l’oreiller, je la prend dans ma main gauche, et je commence à la caresser un peu partout avec ma main droite, cela la réveille, je lui fourre sa culotte dans la bouche. Mes mains reprennent leurs explorations nocturne, mes doigts glissent sur elle, effleurent sa peau si douce, essayant de découvrir tout ses trésors cachés. Je caresse délicatement ses seins, leurs galbes magiques, ses tétons qui se dressent rapidement, elle échappe de petits gémissements. Mes mains explorent maintenant ses fesses rebondies et si douces.
Mon majeur glisse entre ses fesses, son sillon si doux est un délice pour mon doigt, il arrive sur sa rondelle que je masse doucement. Je sens que mon doigt glisse facilement dans son anus, elle est habituée à être sodomisée, elle est détendue, je suis extrêmement excité. Ma verge est tendue, mon gland laisse échapper des gouttes de liquide séminale, je caresse sa rondelle avec mon gland gonflé et humide.
Je lubrifie l’entrée de sa grotte secrète et serrée en me frottant ainsi, je force un peut l’entrée, mon gland commence à glisser lentement dans son intimité. Elle grogne, j’attends, je bouge plus, son anus n’est pas contracté, je m’enfonce doucement un peu plus. Je commence à m’activer lentement dans son cul, je la prend dans mes bras, en l’enserrant pour l’empêcher de bouger. Je reprend ma besogne dans son antre serrée, je la tiens par les hanches et je lui pilonne le fion sans ménagement. Elle gémit, je sens que cela lui plaît, je lui murmure à l’oreille :
– Tu es une petite cochonne, tu vas avoir ce que tu aimes.
Et je reprends de plus belle ma baise anale, je suis tellement excité, son anus est tellement serré, que je jouis rapidement. Je la remplis de longs jets, puis je me retire, la retournant sur le dos au passage. Je lui caresse les jambes, les seins, tout son corps.
Puis je lui écarte les jambes, je me place entre ses jambes, j’ai envie de goutter à sa chatte toute lisse.
J’embrasse sa vulve, je lèches ses lèvres, ma langue caresse son clitoris, je le suce, ma langue glisse dans sa fente serrée. Celle ci s’ouvre comme une fleur qui s’épanouit, elle est très humide, elle me tient la tête pour la plaquer encore plus sur son intimité, elle gémit, elle murmure :
– Encore, encore, c’est bon, ouiii…
Elle m’étouffe, je me dégage, je reprends mon souffle, je viens poser ma bite qui bande bien mou, sur sa chatte.
– Espèce de petite chienne en chaleur, prend ma bite dans ta main et masturbes toi avec.
Elle ne se fait pas prier, et elle caresse son clitoris avec mon gland, elle me branle en même temps, elle gémit beaucoup, je lui fourre à nouveau sa culotte dans sa bouche pour étouffer ses gémissements, ses couinements.
C’est une sacré cochonne, elle finit par m’exciter à nouveau, par ce qu’elle me fait, et par ses couinements de petite fille en chaleur.
Ma bite est maintenant bien dur, mon gland bien gros et gonflé, je l’embroche sans ménagement comme une chienne qu’elle est, je lui murmure :
– Espèce de salope, tiens prend ça !
Je la baise sans ménagement, ses couinements m’excitent et me déchaînent, je ne me contrôle plus.
Je suis devenu une bête qui la défonce, la pilonne, la ramone profondément, à fond, je sens mon gland buter sur son col de l’utérus.
Plus je la pilonne, et plus elle couine, gémit, et plus cela m’excite, me met hors de contrôle, ma bite à jamais été aussi raide, tendu, dure. J’attrape ses pieds et je les bascule de chaque côté de son visage, je les tiens ainsi bloqués, ses jambes complètement relevées. La vue est très excitante, je reprends de plus belle ma besogne, mon gland arrive en buté à chaque coups, lui arrachant un cri étouffé à chaque fois.
– Ouii, vas y salope, couines, j’adore!
Mon excitation est au maximum, et je lui ai dit cela un peu trop fort, temps pi, et je finis par jouir et éjaculer de grands jets, qui ressortent de son vagin, éclaboussant mes couilles, coulant sur son cul. Je suis toujours dans un état second, et je retire mon pieu de sa chatte, et dans un même mouvement je l’enfonce brutalement dans son cul si bien lubrifié.
Elle crie, heureusement étouffé par sa culotte, mais cela m’excite, et je défonce son cul, je ne débande pas, elle tient tellement bien serré ma bite dans son fion. Je lui défonce le cul, dans un déchaînement de cris de sa part, maintenant mon excitation au maximum, je lui murmure :
– Espèce de salope, tu aimes ça, tu en as jamais assez, tiens prends ça bien dans ton cul, tu vas te rappeler de cette nuit longtemps.
Et je continue sans ménagement à la défoncer profondément, brutalement, ma bite commence à chauffer, à me brûler, je fini par éjaculer au fond de son cul, je me retire. Je relâche ses jambes, et je glisse ma bite entre ses seins, me caressant doucement entre eux, m’essuyant ma verge surchauffée et couverte de ses sécrétions et de mon sperme. Je reprends ainsi mes esprits et mon souffle doucement, je finis par me coucher, m’écrouler, épuisé à son côté, elle me murmure un :
– Merci tonton, tu as été formidable.
Nous avons pas été très discrets tous les deux, j’ai parlé et râlé un peu fort, elle a beaucoup gémit et crié, même étouffé par sa culotte, cela s’entendait bien quand même, sans compter les bruits du lit. Je tend l’oreille, je m’attend à ce que ma femme débarque réveillée par nos exploits, mais aucun bruit, à peine un ronflement qui vient de sa chambre. Je suis rassuré, elle dort toujours, elle a le sommeil lourd, et est un peu sourde, heureusement. Avec Laura nous nous roulons quelques patins, avant que je regagne mon lit précautionneusement, dans lequel je m’endort immédiatement, tellement je suis épuisé.
Bien plus tard dans la nuit, Laura se réveille, mon foutre colle à son corps, il règne une forte odeur de baise dans sa chambre qui lui procure de nouveau des envies. Je ne suis plus à ses côtés et elle ouvre ses cuisses pour se frotter contre le montant de son lit en asticotant ses tétons déjà durs et si sensibles, rendus rugueux, comme le reste de son corps par le sperme séché que j’y ai étalé quelques heures plus tôt. Elle se tortille sur son lit, frottant son abricot tout rose sur tout ce qui se trouve à sa portée, elle donne encore plus l’impression d’être une chienne en rut qui pourrait baiser n’importe quoi. Mais maintenant qu’elle a goûté à ma bite, c’est elle qu’elle veux, elle que tout son corps réclame, de sa rondelle encore ouverte et endolorie par la fabuleuse sodomie dont je l’ai gratifié, à sa bouche pulpeuse qui fait sa fierté de fellatrice. Elle passe sa langue sur ses lèvres pour essayer de retrouver ma texture, ma chaleur, elle déglutit dans l’espoir de retrouver mon goût. Et déjà sa chatte n’en peut plus, elle se contracte, cherche à m’avaler, à me masser de nouveau, à mouiller de nouveau ma bite, ma main, ma bouche.
Prenant son courage à deux mains, elle passe quelques lingettes sur son corps pour rendre sa peau de nouveau douce à mon toucher et elle décide à son tour de se faufiler dans notre chambre dont la porte n’est pas complètement fermée.
Son cœur bat la chamade quand elle constate que ma femme, endormie, lui fait face et qu’elle doit contourner notre lit le plus discrètement du monde pour aller vers moi. Pour prendre de l’assurance, elle se rappelle de cette fois où elle avait du partager une chambre avec ses parents, et où elle avait pu se caresser jusqu’à la jouissance sans qu’ils ne s’en aperçoivent. Elle se dit que c’est faisable, et qu’elle en a trop envie. Malgré son besoin dévorant de s’empaler immédiatement sur ma bite, elle se déplace à pas de loups,
sa poitrine gonflée par ses inspirations stressées autant que par son désir. La situation l’excite tant, qu’elle a l’impression qu’on pourrait entendre le clapotis de sa chatte à chaque fois qu’elle s’ouvre pour la laisser faire un pas. Ces quelques enjambées vers moi lui semblent interminables et quand elle me voit enfin, couché vers son côté, elle se sent récompensée par ma main glissée sous mon oreiller, et qui sort hors du matelas, un peu au-dessus de mon visage.
Un clair de lune nimbe notre chambre et elle peut distinguer mes traits malgré l’obscurité.
C’est fou comme je l’excite. Comme elle a envie d’être ma chienne, de se faire baiser par moi partout, et tout le temps. Mais la présence de ma femme l’oblige à beaucoup de discrétion et elle décide donc de me cajoler en douceur, comme il lui arrive encore de cajoler ses peluches les plus douces.
Elle penche son buste sur mon visage et ses seins ballottent doucement au-dessus de ma joue, que ses pointes frôlent tendrement. L’envie de les plaquer contre mon visage, même pour une seconde, la dévore, mais elle ne veut pas risquer de me réveiller de cette façon.
Elle joue donc avec ses pointes, les empoigne et les lèche, avant de les passer sur mes lèvres. Mon souffle chaud contre ses tétons la rend folle et elle essaie de les faire rentrer dans ma bouche. Quand ils rencontrent mes dents, elle ne peux retenir un petit gémissement qui l’affole aussitôt, car ma femme change de position et se retourne. Prise de panique elle s’est baissée et reste contre mon lit, sans bouger pendant un moment.
Alors qu’elle entends de nouveau le souffle de sa tante qui dort paisiblement, elle relève juste la tête et constate qu’elle est bien dans le même sens que moi. Si elle se lève, elle verra de nouveau son visage, baigné de lumière bleutée, comme le mien, et elle aura encore plus l’impression qu’elle la regarde. Cette pensée la refait mouiller, étant à hauteur de ma main qui semble se tendre vers elle, elle s’approche d’elle et se sent éprise d’une irrésistible envie de lécher mes doigts, d’enrouler sa langue sur mes phalanges qui lui ont si bien masser le cul, et que j’ai sûrement bien des fois enfourner dans la chatte de sa tante. Elle les lèche, et les lèche, et les lèche, jusqu’à sentir sa chatte lui ordonner de la frotter dessus pour les parfumer encore plus. Elle se lève alors et plie un peu ses jambes pour poser sa chatte dégoulinante sur ma main et se frotter dessus, elle se sent tellement salope, c’est si bon, et elle a une soudaine envie que le monde entier sache qu’elle est ma salope, mon jouet sexuel, auquel je peux faire tout ce qu’il me plaît !
Dans la lumière de la nuit elle voit le visage de ma femme et elle ne peux s’empêcher de penser:
– Si tu savais tout ce que tonton m’a mis dans le cul tout à l’heure ! Il a giclé dans tous mes trous, s’est vidé les couilles dans sa jeune pute qui raffole de sa bite, de sa langue, de ses doigts ! Ce que sa bite est bonne, ce que sa langue est douce et comme il sait bien faire mouiller sa petite chienne docile!
En pensant cela, elle y va de bon cœur sur ma main et elle finit par jouir. Elle m’a bien épuisé quelques heures plutôt, pour son plus grand bonheur et le mien, car je ne me réveille toujours pas. Temporairement apaisée, mais toujours en chaleur, elle me susurre des mots doux à l’oreille :
– Je vais téter ton gland pour avoir ma ration de foutre, tu n’as pas idée à quel point j’ai envie de te faire juter dans ma bouche juste à côté de ma tante, quand tu te réveilleras, mets tes mains sur ma tête, traites moi de pute et baises ma bouche comme tu m’as bourré le cul !
Elle soulève discrètement ma couette et découvre ma queue endormie. Elle parvient à faire doucement basculer mon bassin pour me mettre sur le dos et voir le clair de lune éclairer mon membre. Elle commence par frotter doucement ses lèvres dessus. Elle l’embrasse sur toute la longueur, de même qu’elle embrasse mes couilles. Elle humidifie ses lèvres pour qu’elles glissent bien dessus. Elle adore s’occuper de mes couilles, les sucer, les lécher, les gober, elle adore jouer avec, et elle trouve que les miennes sont tellement bonnes.
Puis elle remonte sur ma queue, la léchant sur la longueur, elle frotte ses lèvres humides dessus et commence à tirer sur le prépuce sous lequel elle a une forte envie de glisser sa langue. Mmmhh… ce que c’est bon !
Elle évite encore le haut du gland pour l’instant et souligne la couronne, de la pointe de sa langue. C’est cette queue là, qui lui a fait tant de bien tout à l’heure, elle veut l’honorer comme il se doit. Je commencez à ouvrir un œil et je dis à haute voix :
– Ha… Petite salope, tu en as pas eu encore assez ?
Ses yeux s’écarquillent et elle me fait signe que ma femme dort à côté. Ma bite se raidit immédiatement et, comme elle est à quatre pattes à côté de mon lit, je passe ma main humide de ses sécrétions sur ses fesses. Mon liquide séminale perle du méat et elle commence à jouer de sa langue sur cette zone là. Je ferme les yeux et je chuchote :
– Tu t’es faite toute propre pour te baiser sur mes doigts, tu avais envie que je te souille hein ? Tu veux de nouvelles giclées sur ton corps de petite chienne hein, c’est ça ?
Elle atteste en m’avalant d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge, ses joues sont bien creusées et elle m’aspire, me draine, je gémis de ravissement en lâchant un :
– Oh oui ma salope, tu l’aimes ma bite !
J’appuie mes deux mains sur sa tête, les larmes lui montent aux yeux, elle a le nez plaqué contre mes poils, elle me sens si profondément qu’elle ne sait plus si elle va jouir ou étouffer, j’ôte mes mains et voilà ma bite dégoulinante de sa salive qui coule comme un torrent jusque sous mes couilles. Elle me lèche de nouveau, le temps que ma main aille lui doigter la rondelle et qu’elle reprenne un peu sa respiration. Mais elle a trop envie de ma bite, et elle l’avale de nouveau, me pompe comme une affamée tout en exécutant un va et vient dont le fort bruit mouillé ne m’inquiète plus. Il n’y a plus d’épouse, plus de clair de lune, plus de chambre. Il n’y a que ma bite qui rentre qui sort de sa bouche de jeunette très salope, à quatre pattes à mes côtés, les seins ballotants en rythme, les fesses frémissantes sous mes doigts. Il n’y a plus que nous, son regard humide plongé dans le mien, me faisant comprendre combien elle aime me pomper, et mes yeux brillants, bien réveillés, qui lui laissent entrevoir que je vais bientôt juter. Je lui enfonce de nouveau mon membre tout au fond de sa gorge et elle sent mes jets de foutre se déverser loin à l’intérieur d’elle. Ses joues se gonflent, ma giclée, plus ma bite, elle est complètement remplie. Une fois mon étreinte relâchée, elle lève la tête vers le plafond pour faire couler plus facilement ma semence dans sa gorge, je lui murmure.
– Divine salope, demain, c’est moi qui t’épuiserait !
– Mmmmhhh… J’ai hâte tonton !
Je mordille ses tétons et je lui glisse de nouveau un petit doigt dans les fesses avant qu’elle retourne dans sa chambre, elle s’aperçoit que ma femme à de nouveau changé de côté sans que nous ne nous en soyons rendu compte, ce qui l’oblige de nouveau à quitter la chambre en se trouvant face à elle.
En refermant un peu plus la porte de notre chambre, elle lui jette un regard plein de gratitude, et la remercie intérieurement de laisser une petite salope comme elle, être le sac à foutre de son vieux vicieux de tonton.
Le matin quand je me réveille je suis seul dans le lit, ma femme est déjà levée, je l’entend qui prépare le petit déjeuné. Je me demande si cette nuit, j’ai rêvé, ou si c’était bien réel. Je me lève, je sens machinalement mes doigts, il y a une forte odeur de cul et de moule que m’a laissé ma petite salope de nièce, donc je n’ai pas rêvé. Je m’habille et je vais rejoindre ma femme dans la cuisine, elle me regarde et elle me dit :
– Tu as l’air fatigué, tu as bien dormi ?
– Oui je crois, il me semble que j’ai fait de beaux rêves.
– Eh bien moi j’ai rêvé de choses bizarres, je regardai un porno, mais j’étais présente avec les personnes, j’étais dans le porno comme spectatrice.
Elle me dit ça d’un air ironique, je me demande si elle est sérieuse, ou si elle se moque de moi, et que cette nuit elle a tout vu parce qu’elle faisait semblant de dormir, elle coupe court mes pensées, car je l’entend dire :
– Bonjour Laura, toi aussi tu as l’air fatigué, tu as bien dormi ?
– Bonjour, oui tata, j’ai bien dormi, j’ai fait plein de beaux rêves merveilleux.
Je me retourne et je vois ma nièce en pyjama qui nous sourit, elle vient nous faire la bise à tous les deux.
– Alors comme ça tata tu as rêvé que tu regardais un porno !
– Oui, tu m’as entendu le dire à tonton, j’étais présente, voyeuse, c’était un couple qui ressemblait à vous deux, un homme de l’age de tonton avec une fille de ton age. La fille était super cochonne, et elle n’en avait jamais assez, l’homme la baisait comme un salop en l’insultant, en la traitant de tous les noms, je sais pas pourquoi ça m’a excité, et je me suis réveillée ce matin la minette toute trempée. Mon mari viens toucher, tu vas voir ça fait longtemps que tu l’as pas senti comme ça !
Nous nous regardons discrètement avec ma nièce en nous demandant ou elle veut en venir. Je m’approche de ma femme, celle ci me prend ma main droite et la porte à son nez en la reniflant.
– Eh bien mes salops, c’est bien ce que je pensais, vu les odeurs qui restent sur cette main, j’ai pas rêvé, c’était vous deux cette nuit en vrai, alors mon mari comment tu l’as trouve ma chatte ?
Et elle me fourre ma main sous sa nuisette, sur sa chatte qui est effectivement très humide, et elle se masturbe un peut avec, avant de me la rendre. Avec Laura on se regarde hagard, ne sachant pas quoi dire et faire.
– Eh bien vous en faites une tête tous les deux ! Alors mon mari, toi qui aime les chattes mouillées, elle te fais envie ta femme ?
Je bafouille, tellement je suis surpris, et ne sachant pas trop quoi faire et dire :
– Bien sur que tu me fais envie, mais il y a Laura, c’est gênant.
– Dis donc mon salop, cette nuit ça te gênais pas, ça m’a pas gêné moi, au contraire, ça ma excitée, alors mes deux coquins, allons tous les trois dans la chambre, j’ai besoin que l’on s’occupe un peu de moi aussi.
Et elle nous attrape chacun par un bras et elle nous entraîne dans notre chambre. Elle enlève précipitamment sa robe de chambre et sa nuisette, elle est toute nue devant nous.
– Allez tous les deux, tout le monde à poils, vous étiez plus vif cette nuit !
Et pendant que l’on se déshabille, elle nous explique que ça ne la dérange pas que moi et Laura nous baisions ensemble, même devant elle, car elle trouve ça excitant, surtout quand je traite ma nièce de chienne, salope, pute, sac à foutre, c’est de m’avoir entendu la baiser en la traitant de tous les noms qui la excitée et lui a redonné des envies. Mais comme elle ne veut pas me satisfaire sur certain points, comme les fellations et la sodomie, elle trouve très bien que notre nièce puisse s’en charger à sa place, elle nous demande juste d’essayer de ne pas faire ça la nuit, car elle aimerait pouvoir dormir, et que nous aussi cela nous ferait du bien de dormir la nuit aussi. Elle accepte que je dorme avec ma nièce, comme ça je l’embêterais pas la nuit et elle pourra dormir tranquillement. Nous pourrons baiser le soir en se couchant, et, ou le matin au réveil, et toute la journée si on le veut.
Ses seules conditions, c’est que l’on s’occupe d’elle quand elle en a envie comme ce matin, et que l’on soit discret pour que les voisins ne se doutent de rien. Il m’a fallu tout le temps de son discourt pour me déshabiller, ma nièce a été beaucoup plus rapide, elle a vite fait d’ôter son pantalon et son haut de pyjama, elle était nue en dessous comme je m’en doutais.
De la voir comme ça me fait bander direct, en plus je vois ma femme couché sur le lit, au milieux, à poil, les cuisses écartées qui attend que l’on s’occupe d’elle. Avec Laura nous nous plaçons chacun d’un côté, et nous commençons à la caresser, ses seins, ses cuisses, puis nous lui léchons, suçons chacun un sein, un téton, puis nos bouches descendent sur sa minette, nos langues lèchent ses lèvres, se retrouvent et s’emmêlent sur son clitoris, pendant que nos mains caresses son corps, elle gémit de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un cri libérateur que je ne lui connaissais pas.
– Hummm, merci mes amours, c’était trop bon, moi qui aime pas me faire lécher, d’habitude je trouve cela très gênant, ça gâchait mon plaisir, mais là je me suis abandonnée à vos langues, c’était divin, merci, maintenant mon mari, je veux ta bite dans ma chatte, mais c’est moi qui te chevauche !
Je me couche sur le dos à la place de ma femme, je sais que c’est sa position préféré de me chevaucher, ma nièce se place face à elle, sa minette au dessus de ma bouche, elle empoigne ma bite bien raide pour que ma femme s’empale dessus. Les deux femmes se font face et se tiennent mutuellement, je lèche la pêche juteuse de ma nièce en lui tenant les fesses, mes deux pouces enfoncés dans son cul, pendant que ma femme se démène sur ma queue devenu endurante, après la nuit passé avec ma nièce qui m’a bien vidé les burnes. Les deux femmes sont seins contre seins qui se frottent quand ma femme monte et descend, je ne peux pas voir ce qu’elles font, je ne sais pas si elles se tripotent, je pense que oui, c’est surtout ma nièce qui doit tripoter ma femme, elles ne doivent pas se rouler de patins car ma femme ne veut plus que je lui en fasse, et avec sa nièce cela m’étonnerai vu que ma femme n’est pas bi, mais je ne suis plus sur de rien à son sujet. Tout ce que je sais c’est qu’elle prend son pied sur ma bite, car elle est comme une folle dessus, et elle gémit, râle de plaisir en continu, jusqu’à ce que sa jouissance explose en un orgasme comme je ne lui connaissais pas, en criant, elle si discrète normalement, et en plus elle m’a inondé avec sa mouille, elle qui était devenu sèche et qui était obligé de mettre du lubrifiant pour que je puisse l’enfiler, quel changement. Ma femme me rend mon organe surchauffé, et elle vient se coucher à côté de moi, et ma nièce fait de même de l’autre côté, ma femme reprend son souffle et nous déclare :
– Et bien mes chéris il y a longtemps que j’ai pas pris mon pied comme ça, je crois bien même que ça ne m’étais jamais arrivé à ce point là, merci à vous deux, c’était si merveilleux !
Ma nièce lui répond qu’elle a encore beaucoup de chose à découvrir et qu’elle a pas fini d’avoir des orgasmes avec nous deux. Elle ajoute que quand elle était petite, on c’est toujours bien occupé d’elle, et que maintenant c’est à son tour de bien s’occuper de nous deux, que cela lui fait très plaisir de le faire, que cela ne fait même pas encore un jour qu’elle est avec nous, et qu’elle n’a jamais été aussi heureuse.
Je les prend chacune sous un bras pour les serrer contre moi pour un énorme câlin, j’embrasse ma femme en lui disant je t’aime mon amour, puis ma nièce en lui disant, ma petite salope, cette nuit je t’ai promis de t’épuiser, mais je crois que c’est moi, qui vais être vite épuisé, surtout si je m’occupe de vous deux. Ma femme me dit, t’inquiètes pas, moi j’ai eu mon compte, je suis pas très gourmande, mais je t’aiderai bien à m’occuper de notre petite salope, mais je sais pas comment faire. Ma nièce se lève et nous demande d’attendre, elle a une idée, elle va dans sa chambre et revient avec son coffret rempli de sex-toys.
Elle prend un gode qu’elle donne à ma femme, en lui disant, celui ci c’est pour que tu me le fourres dans mon cul, elle m’en donne un autre, et celui là c’est pour mon con, et je prendrai ta bite dans ma bouche, en 69, comme ça j’aurai tous mes trous de comblés en même temps. Elle s’allonge sur le dos, je me mets en 69 sur elle, ma femme se place entre ses jambes. Ma nièce gobe mon gland et avale ma tige avec, ma femme ose pas lui fourrer le gode dans sa rondelle, je lui dis, vas y franchement, elle adore ça notre petite chienne. Du coup elle appuie le gode contre sa rondelle, et celui ci fini par disparaître dans son cul dans un gémissement, je lui bourre sa minette avec le mien, et nous lui branlons d’abord doucement ses deux orifices, pendant qu’elle s’applique sur ma bite. Ma nièce râle, couine, gémis, ma femme s’excite en lui branlant le cul beaucoup plus vite et fort, puis soudainement elle se met à la traiter de tous les noms en continuant de lui astiquer le cul.
– Ah oui, tu aimes ça salope, prends ça dans ton cul de petite pute, salle chienne tu vas déguster !
J’en reviens pas de voir et d’entendre ma femme comme ça, comme pour moi, les couinements de notre nièce l’excite, et du coup elle se lâche, et ma nièce quand elle entend ma femme la traiter ainsi se déchaîne sur ma queue, la preuve qu’elle adore ça, et moi je la branle comme un dingue aussi. Sa mouille gicle hors de sa chatte, son ventre fait des vagues, je sais qu’elle est entrain de prendre son pied, ça m’excite terriblement et je me sens partir dans sa bouche, elle enlève vite mon membre pour avaler, et aussi pour crier son plaisir, son corps est pris de convulsions, sa chatte gicle, un grand jet qui arrose ma femme, très surprise par ce fait, elle hurle maintenant son plaisir, son orgasme est multiple, puissant, nous retirons les godes, ces orifices palpites tout seul, surtout son cul. Elle est épuisée, haletante, prise encore de soubresauts, elle reprend doucement son souffle et ses esprits, puis elle nous murmure :
– Merci, c’était génial, vous m’avez comblé au delà de mes espérances, javais jamais joui aussi fort que ça, c’est la première fois que j’éjacule, que je suis une fontaine, tonton essuies ta bite sur mes seins, tata étale ma mouille partout sur mon corps, j’adore être souillée, n’oubliez pas je suis votre salope à tous les deux maintenant, traitez moi comme votre chienne en chaleur, votre esclave sexuelle, votre jouet, ne ratez pas une occasion de me souiller avec ma mouille ou celle de tata, et avec ton sperme tonton, c’est mon plaisir, c’est ce qui me rendra heureuse avec vous deux.
Nous nous plions de bonne grâce à ses désirs, et nous la tartinons généreusement, tout en l’embrassant, moi sur sa bouche, et ma femme sur sa joue. Une fois ma nièce remise de ses émotions et nous aussi, je propose que l’on aille enfin prendre le petit déjeuner, nous l’avons bien mérité. Nous restons tout nu, ma nièce luisante des sécrétions tartinées sur elle, ma femme en a en partie aussi sur elle, ce petit déjeuner à une saveur inhabituelle, bien particulière, qui nous enchante tous les trois. Ensuite ma femme fait sa toilette en premier, et quand elle a fini, je prend ma douche avec ma nièce, nous nous savonnons mutuellement, je prend un malin plaisir à nettoyer ses orifice dans lesquels j’ai pris tant de plaisirs, et que j’ai si bien souillé. Nous nous rinçons, puis on s’essuie, je me rase, et nous nous habillons, ma nièce comme à son habitude, les seins à l’air sous un t-shirt, et sans culotte sous sa jupe. Je ne rate pas une occasion quand elle passe près de moi pour lui peloter les fesses, la chatte ou les seins, et je m’aperçois avec surprise que ma femme fait de même. Parfois quand je passe ma main sur son cul, j’ai la surprise d’y découvrir un plug, avec lequel je m’amuse un peu, ou dans sa chatte, des boules de geisha, ou autres objets, ses orifices sont rarement libres. Elle ne rate pas une occasion non plus pour me sucer la bite, je suis au paradis avec elle, et ma femme aussi, ma nièce la débloquée, dévergondée, et sa tante devient salope aussi, elle est loin d’être devenu comme ma nièce, mais elle est devenu aussi sacrément cochonne. Ma nièce est restée vivre avec nous, pour notre plus grand bonheur à tous les trois, elle a trouvé du travail, elle a été prise au rendez vous qu’elle avait pour être hôtesse de caisse le dimanche matin et deux jours dans la semaine. Parfois quand je suis trop épuisé, ma nièce découche, et elle trouve des mecs ou des filles dans des bars, et elle passe une nuit avec eux, le temps que je récupère. Elle a des besoins de sexe incroyable, une chienne en chaleur permanente, notre nièce est vraiment une sacré salope, mais nous, nous en plaignons pas, au contraire, c’est pour ça qu’on l’adore, nous formons désormais un ménage à trois des plus heureux, et nous espérons que cela durera très, très, très longtemps.
Cette histoire est un pure fantasme d’une jeune femme, il y a rien de réel. En effet une jeune femme admiratrice de mes écris, ma contacté par mail, et m’a raconter son fantasme de baiser avec des hommes âgés, tous ce que la nièce raconte dans cette histoire, c’est ce que m’a raconté cette fille, elle aurait voulu être mon objet sexuel. Au début son homme était d’accord pour qu’elle corresponde avec moi, ensuite il a pris peur en voyant que les fantasme de sa copine étaient très forts, et il lui a demandé de ne plus m’écrire. Elle a souhaité que je fasse une histoire avec nos écris, et c’est ainsi qu’elle est devenu ma nièce dans cette histoire, il fallait une raison plausible pour que j’accueille une fille chez moi, donc j’ai trouvé l’idée de la nièce intéressante, et c’est comme ça que cette histoire à pris forme, j’espère qu’elle vous a plu.
Plusieurs fois elle a passé ses vacances avec nous au camping. Il y a toujours eu une certaine complicité entre nous deux, elle adorait se faire câliner par son tonton.
A sa majorité elle s’est trouvé un copain, et elle est parti vivre avec lui dans l’est de la France, et quelques temps après, c’est nous qui somment partis vivre dans le sud ouest. Nous nous sommes perdu de vue, j’avais de ses nouvelles par ses parents et par mes beaux parents, mais plus de contacts direct entre nous deux.
J’ai gardé le souvenir d’une adorable petite brunette aux yeux bleus vert, toute menu, paressant beaucoup plus jeune que son âge, à la bouche pulpeuse, et aux formes très agréables à regarder.
Il y a un an nous nous sommes retrouvés sur un réseau social bien connu, mais on se suivait juste, toujours pas de contact direct entre nous deux. Puis elle a quitter son copain et est revenu habiter provisoirement chez ses parents. C’est à ce moment la que l’on a repris contact sur ce réseau social, et que par la suite on c’est échangé nos adresses mails privées. Au début nous avons parlé de vagues banalités, puis ensuite elle m’a rappelé la complicité que nous avions ensemble quand elle était petite. Elle m’a dit que les câlins de son tonton lui manquait.
J’ai commencé à lui raconter qu’avec sa tante, depuis environs six ans, il n’y avait pratiquement plus de sexe entre nous deux, que sa tante avait toujours refusé de me faire des fellations, et qu’elle avait jamais voulu essayer la sodomie, et que cela me manquait beaucoup, que j’avais toujours beaucoup d’envies sexuelles, et que j’étais frustré.
Elle a commencé à me confier, ses fantasmes, ses envies sexuelles. Elle m’a raconté que quand elle était petite fille, elle a fantasmé sur les hommes âgés, voire très âgés, et ce grâce aux dessins animés japonais, qu’elle regardais à la télévision avec ma fille, et avec moi aussi parfois, un en particulier, DBZ, dans lequel il y avait un vieux maître d’arts martiaux qui était doublé d’un incorrigible vicieux, Tortue Géniale. Elle s’est imaginée de très nombreuses fois à la place de ces jeunes filles, dont il tentait sans cesse de palper les attributs.
Les années passant, ce fantasme ne l’a pas quitté, et elle a substitué à cet homme de dessin animé des acteurs, dont elle imaginait le membre entre ses seins bien formés, ainsi qu’entre ses fesses. Elle a ajouté, tonton tu sauras donc que je fus une adepte de la sodomie dès mon plus jeune âge. Elle m’a expliqué qu’elle faisait toujours plus jeune que son âge, et que lorsqu’elle prenait le train, les contrôleurs lui demandaient toujours sa carte d’étudiante, ils pensent qu’elle a à peine dix huit ans, sûrement à cause de sa petite taille et de sa façon de s’habiller en jean et sac à dos. Elle m’a avoué qu’elle adore porter ce type de tenue, car personne ne peut suspecter que, dessous la culotte qu’elle porte, quand elle en porte, celle ci empêche un godemiché de sortir de sa chatte dégoulinante. Elle ajoute qu’elle aime bien porter aussi des jupes ou des robes, surtout sans culotte, d’autant qu’elles sont parfois complices d’un désir inestimable, qu’elle peu ainsi assouvir facilement, et elle adore sentir le vent sur sa minette toute lisse.
Je commence à me dire que ma nièce est vraiment devenu une sacré coquine, chose que j’avais plus ou moins pressenti dès son plus jeune âge.
Elle me raconte ensuite, qu’il y a peu de temps, elle parcourait les rayons d’un grand supermarché peu peuplé à l’heure matinale qu’elle avait choisie. Elle portait une petite robe bleue ainsi qu’une paire de bottes. La température étant agréable, elle avait les jambes nues, et elle ne s’était pas encombrée de culotte.
Arrivée dans le rayon droguerie, elle voit un homme que je décrirai comme un septuagénaire bedonnant, court sur pattes, dégarni sur le dessus, la bouille très ronde et joviale, bref, un homme qui lui semble immédiatement sympathique. Celui-ci a l’air bien embêté, et elle se permet de lui demander s’il a un problème pour lequel elle pourrait éventuellement l’aider. Il lui dit alors, qu’en rayant un produit de sa liste, son crayon a roulé sous les étals, et qu’avec son arthrite, il peut tout juste se pencher, mais pas se baisser pour tenter de le récupérer.
La voici donc à quatre pattes, les genoux glacés sur le sol si froid, et la main tendue essayant de se faufiler tant bien que mal sous le rayon. Elle sent quelque chose au bout de ses doigts qui pourrait être un crayon en plastique, et elle s’aplatit encore plus pour parvenir à l’atteindre, faisant ainsi ressortir parfaitement ses fesses bien dodues sous sa robe qui, s’il avait pu se baisser, aurait révélé à ce petit vieux une pêche bien juteuse, il lui dit :
– Vous êtes bien aimable, mais ne vous donnez pas tant de peine.
– Vous inquiétez pas monsieur, j’y suis presque !
Sentant qu’il ne manque pas grand chose pour attraper le crayon, elle se recule afin de déplier son bras sur plus de longueur. C’est alors qu’elle sent ses fesses buter contre quelque chose. D’abord surprise, elle s’écarte et tourne la tête. Elle devine alors que le petit vieux est penché, les mains appuyées sur ses genoux, et que son genou gauche se trouve entre ses jambes, il n’a pas bougé. Elle tourne la tête de l’autre côté et réalise qu’ils sont seuls dans cette allée depuis le début.
Elle me confie qu’elle à beau être très cochonne au lit, et adorer se toucher en plein air, elle le fait toujours avec la peur d’être surprise, et elle ne le fait pas en public. De même qu’elle n’a jamais exhibé sa chatte à des inconnus, même en étant souvent nue sous ses vêtements, elle est encore trop peureuse pour faire ça.
Mais là, elle ne sait pas ce qu’il lui a pris, elle a de nouveau fait buter ses fesses contre la main du petit vieux, et elle les a même appuyées dessus. Elle a commencé à se frotter doucement sur cette main, sa jupe se levant et se rabaissant au gré de ses mouvements. Quelques doigts du vieux se redressèrent, elle a senti des phalanges pointer contre sa chatte qui avalait désormais le tissu de sa robe. Elle pense qu’il a comprit qu’à ce moment là, elle ne portait rien en dessous puisqu’il retroussa sa robe. Mais ses doigts eurent à peine le temps de frôler les lèvres de sa minette, qu’elle se redressait, principalement de peur. Elle avait récupéré son crayon, il lui dit :
– Excusez-moi….
– Mais je vous en prie, ça m’a fait plaisir !
Lui répondit-elle dans un sourire alors qu’elle regrettait à la fois d’avoir eu si peur, et à la fois de ne pas avoir su se contrôler. Elle lui a redonné son crayon, et lui a souhaité une bonne journée en quittant ce rayon, oubliant d’ailleurs qu’elle était venu y chercher des piles.
Cette histoire l’a particulièrement troublée, et elle n’a de cesse d’y penser, d’autant que sa libido est très élevée, et vu qu’elle n’a plus de travail, cela lui laisse tout loisir de se faire quotidiennement beaucoup de bien.
Elle me confie encore, que même si elle consomme énormément de pornographie, sous toutes ses formes, elle ferme forcément les yeux à un moment donné et elle s’imagine palpée, doigtée, léchée, défoncée, enculée par un vieux, dont le gland serait gros, la bite courte et un peu molle. Il la biflerait avec, la traitant de tous les noms, et elle le pomperait intégralement, le nez dans ses poils grisonnants, ses gros seins plaqués contre ses cuisses.
Elle ajoute, tu sais tonton, j’adore sucer, être forcée par mes partenaires, prise dans mon sommeil, j’adore avaler du foutre et, ou en avoir partout, je raffole vraiment de sodomie, à sec également, de tous types d’insertions, et de mots très, très, très, très crus, comme de situations excitantes. Obsédée, oui, c’est le mot que mes partenaires ont toujours eu en commun à mon égard. Pour les mots plus pervers, je devais les placer dans leur bouche, ils m’ont tous avoué qu’ils n’osaient pas m’insulter spontanément. De même que j’aime révéler l’intello sous l’apparente adolescente, j’adore baisser mon jean, ma culotte, et montrer le gode qui s’y trouve, parfois le plug anal, remplaçant l’intello par la salope et surprendre agréablement mes partenaires.
Tonton tu ne dois pas douter du fort potentiel érotique que les hommes mûrs peuvent exercer sur les plus jeunes. C’est sans doute plus répandu que tu ne l’imagines. Ma meilleure amie a également ce fantasme, et elle est pourtant moins salope que moi, pas de sodomie, d’insertion, d’éjaculation faciale, etc, alors même qu’elle est plus jolie. Elle est grande, aux yeux bleus, et dotée de ces fameuses jambes qui n’en finissent pas.
Donc tonton de grâce, ne doutes pas de ma bonne foi, et crois moi quand je te dis que j’ai envie de toi, que je suis obsédée par toi, que je voudrai être avec toi, que je voudrai ta bite dans tous mes orifices, avaler ton foutre, être badigeonnée avec.
Je t’imagine avec moi, je sens mes seins qui se gonflent à l’idée du simple frôlement de tes doigts. Mon clitoris qui s’érige alors que je t’imagine dans ma chambre, entre mes jambes bien ouvertes, ta langue jouant avec mes lèvres, ton nez qui se presse contre mon bouton alors que je relève mon bassin sous l’excitation, tes mains sous mes fesses qui les maintiennent écartées et qui chatouillent parfois, presque innocemment, mon petit trou.
Oui tonton il y a très longtemps que j’ai envie de toi, je veux m’offrir à toi avec le plus grand plaisir. Tu m’as dit que tata s’occupait plus beaucoup de toi, qu’elle te refusait des plaisirs que j’adorerai t’offrir, laisses moi m’occuper de toi, accueils moi chez toi, je sais qu’il y a maintenant une chambre de libre, depuis que ma cousine est partie vivre avec son copain. Je prendrai comme prétexte que je viens chercher du travail vers chez vous, que l’on m’a fait une proposition de travail, je vais d’ailleurs commencer à en cherchez vers chez vous. Parles en à tata, si elle veux bien m’accueillir chez vous, lui parle pas de mes envies de sexe avec toi bien sur, mais crois moi tu ne le regretteras pas.
L’idée d’être avec toi m’excite au plus haut point, et je t’avoue que je me suis à l’instant enfoncé la boule d’un des montant de mon lit, dans ma chatte trempée par la lecture de tes messages et l’écriture de celui-ci. Je m’imaginais en le faisant, que tu me regardais en me traitant de petite chienne en chaleur, et c’était absolument divin.
Je vais rêver que tu viens cette nuit, écarter ma couette sous laquelle je dors complètement nue, et que tu vas me palper, te frotter partout sur moi, me murmurer des cochonneries, forcer ma bouche, te vider dans tous mes trous, j’aimerai me réveiller pleine de ton foutre.
Demain j’aimerai découvrir ton mail me décrivant comment tu m’as baisée, comment j’ai réagi quand tes coups de bite m’ont réveillés, ce que tu as dis, combien j’ai mouillé, combien ma rondelle serrée t’a surprise, on m’a toujours dit que c’était un anus de vierge, mais je reconnais que comme je, et, on m’encule souvent à sec, et donc que je, et, on m’y enfonce jamais des calibres démesurés. Dis moi tout, s’il te plaît, dis moi ce que tu rêverais de me faire.
Et surtout dis moi que je peux venir vivre chez toi, j’ai bien trop besoin de toi tonton, j’espère que tu l’as bien comprit après tout ce que je t’ai écrit. Tu es le premier à qui je me confie comme ça, totalement et impudiquement. Je te rassure, je ne cherche pas l’amour avec toi, je suis trop libre pour cela, je ne veux pas d’une relation exclusive et contraignante, j’ai quitté mon ancien copain à cause de cela, j’ai un besoin de liberté totale, de pouvoir baiser avec qui je veux quand je veux, homme ou femme, je suis bi avec une préférence pour les hommes, je te l’ai dit, j’ai des besoins de sexe énorme, J’espère que tu me comprends, mais mon besoin principal c’est toi, je te le dis, c’est même vitale pour moi, mais j’espère que tu accepteras de me partager avec d’autres, que tu me laisseras libre de ce point de vue là.
Réponds moi vite, je te demande pas de quitter tata pour moi, je sais que de toute façon tu ne le feras jamais, je te demande juste de me prendre avec toi, de t’occuper de moi, comme je m’occuperai de toi, d’être mon Tortue Géniale très vicieux, et moi je serais ta chienne en chaleur, en rut, ton objet sexuel, ta vide couille, ton sac à foutre, ton esclave sexuelle, tu ne peux pas imaginer à quel point j’en ai besoin, s’il te plaît, je t’en conjure, je te le demande à genoux, dis moi oui, tonton.
Je suis vraiment très surpris par son mail, par ce qu’elle me confie. Le plus surprenant pour moi, c’est son irrésistible envies se sexe avec moi, qu’elle puisse préférer avoir des relations sexuelles extravagantes avec son vieux tonton, plutôt qu’avec des jeunes de son âge, que je puisse faire fantasmer une fille de son âge, qui de plus se trouve être ma nièce. Qu’elle soit devenue une vrai salope, folle de sexe, me surprend moins, que le fait qu’elle veuille être ma salope, mais cette perspective m’excite au plus haut point, je ne peux pas expliquer pourquoi, mais ma nièce m’a toujours excité, et aujourd’hui pouvoir découvrir et abuser de son corps de jeune femme sans tabous, librement, m’enchante vraiment, je vais pouvoir satisfaire son fantasme et le mien, d’autant plus qu’elle paraît toujours très jeune, et quelle l’est encore.
Il ne me reste plus qu’à convaincre ma femme d’héberger notre nièce, cela ne devrait pas être très difficile, depuis le départ de notre fille, elle trouve la maison bien vide, et en plus elle a toujours adoré notre nièce.
Le lendemain comme je le pensais ma femme a donner son accord, j’envoie un mail à ma nièce.
Ma délicieuse Laura, si coquine, ma petite salope, ta tante et moi sommes d’accord pour que tu viennes vivre chez nous, tu peux venir quand tu veux. Tu m’as demandé de t’écrire ce que j’aimerai te faire la nuit dans ton lit. Je n’en ferais rien, je préfère t’en faire la surprise quand tu seras à la maison. Cela ne sera pas facile avec ta tante toujours présente, mais tu sais qu’elle est un peu sourde, et que la nuit elle ronfle et a un sommeil très lourd, je devrais donc pouvoir te rejoindre dans ton lit sous ta couette quand elle dort, il faudra juste que tu restes discrète et moi aussi dans nos ébats. Nous pourrons en profiter plus librement la journée quand elle ira faire des courses, ou nous prendrons ta voiture ou la mienne, sous un prétexte quelconque, et on se trouvera un endroit tranquille, c’est l’avantage de vivre à la campagne. J’ai hâte que tu sois là, j’ai trop envie de toi, trop envie de caresser chaque centimètre de ton corps, j’ai trop envie de goûter ta peau, ta bouche, tes seins, ta minette, tes fesses, j’ai trop envie de fourrer ma bite dans tous tes orifices, de te remplir de ma semence, de te recouvrir de mon foutre. Il y a trop longtemps que j’ai envie de toi, que j’ai envie d’abuser de toi, nous sommes tous les deux, adultes et consentants, et la morale ont s’en fou, il n’y a plus rien désormais qui nous empêche de faire des cochonneries ensemble, et je compte bien que l’on en fasse beaucoup. Bien sur je te laisserai libre de pouvoir baiser avec qui tu veux, quand tu le veux, de toute façon je ne pourrai jamais satisfaire toutes tes envies sexuelles, elles sont trop nombreuses pour moi, j’aurai besoin que d’autres hommes ou femmes me donnent un coup de main, je te partagerai avec plaisir. J’ai hâte que tu sois à la maison avec nous, que je puisse te toucher, que je puisse vérifier que tout ceci n’est pas un rêve, mais que c’est bien réel.
Je reçois rapidement en retour un mail de sa part, dans lequel elle m’écrit :
Tonton je suis folle de joie de pouvoir venir vivre chez toi et ma tante. J’ai jamais été aussi heureuse, mon rêve de petite fille va enfin pouvoir se réaliser, et le tien aussi par la même occasion, j’étais sur que l’on partageait la même envie de sexe l’un envers l’autre depuis très longtemps, et que tu avais jamais osé me le dire et passer à l’acte avec moi. Nous allons pouvoir rattraper le temps perdu, je vais pouvoir te faire profiter de tout ce que j’ai appris dans le domaine du sexe, tu pourras tout me demander, tout me faire, même des choses que j’ai toujours refusé de faire, pour toi je suis prête à tout subir, je veux être ton esclave obéissante et très vicieuse, tu n’auras aucune limite avec moi. Je sais qu’avec tata vous avez pas beaucoup d’argent, j’en ai un peu de côté, et j’espère bien trouver du travail près de chez vous, j’ai d’ailleurs déjà un rendez vous pour un travail, qui serait le dimanche et deux jours par semaine dans un supermarché, comme hôtesse de caisse, je pourrais vous aider financièrement, participer aux frais, je veux pas que vous m’entreteniez. Normalement je serais chez vous dans deux jours, si cela vous dérange pas. Mon rendez vous pour le travail est dans quatre jours.
La journée et le lendemain passe vite, entre la préparation de sa chambre, et quelques échanges mails. Le jour tant attendu arrive, elle est partie de très bonne heure pour pouvoir être chez nous pour le repas de midi. Elle arrive un peu avant treize heure, elle est ravissante, comme dans mes souvenirs, elle fait toujours très jeune effectivement, plus adolescente que femme de vingt sept ans, elle est habillée en mini jupe et avec un chemisier qui laisse deviner qu’elle a les seins nus en dessous, je n’aperçois pas de soutien gorge dans l’échancrure de son décolleté, et ses tétons pointent à travers le tissu. Elle a toujours ses magnifiques yeux, bleus verts, qui m’ont toujours attirés, et dans lesquels je vois maintenant ses envies de sexe. Nous décidons de passer à table, on s’occupera de décharger sa voiture, et de son installation ensuite. Après le repas, nous discutons un peu, de ce qui c’est passé pendant ces huit ans, de son rendez-vous pour du travail à trente kilomètres de chez nous, ma femme lui demande ce qu’elle aime prendre au petit déjeuner, ses préférences alimentaire, car elle va allez faire quelques courses. Avant que ma femme parte, nous déchargeons sa voiture, et amenons ses affaires dans sa chambre. Ma femme me demande d’aider notre nièce à s’installer pendant qu’elle va faire les courses, elle sera absente environ une heure.
A peine ma femme partie, Laura se jette sur moi pour me rouler un patin comme j’en ai pas eu depuis que j’ai connu ma femme quand nous étions jeunes. Elle m’entraîne dans sa chambre, enlève son chemisier et sa jupe, elle est nue sous ses vêtements, comme je m’en doutais, elle ne porte pas de soutien gorge, et elle n’a pas de culotte non plus. Elle est ravissante, un corps superbe, des seins pas très gros, mais bien ronds et fermes, avec des tétons qui pointent, sa chatte est toute lisse. De mon côté j’enlève ma chemise, pendant qu’elle m’enlève mon pantalon et mon slip. Elle se met à genoux et gobe ma bite goulûment, je bande directe, sa bouche chaude sur mon gland est un délice, sa langue se promène sur ma tige comme sur une sucette. Je lui demande d’y aller doucement, car comme je suis privé, je risque de vite éjaculer dans sa bouche. Elle me dit c’est pas grave, j’aime avaler le sperme, je veux que tu gicles dans ma bouche, que tu l’a remplisse de ton foutre.
Je lui demande de s’allonger sur le lit, nous poussons la couette pour ne pas la salir. Et je me place en 69 au dessus d’elle, j’ai trop envie de déguster son coquillage. Celui ci est très beau, avec des lèvres charnues qui font de grosses dentelles, son odeur est enivrante, ma langue part en exploration sur ce délicieux abricot, d’abord sur ses lèvres que je lèche et prend entre mes lèvres en tirant doucement dessus, puis sur son clitoris, que je sens gonfler et se tendre, ma langue glisse dans sa fente très humide, elle gémit de plaisir, elle a un goût délicieux, un peu acidulé. Pendant ce temps elle reprend sa fellation, c’est ma première, un vrai délice, je suis aux anges, elle m’excite beaucoup trop, je vais pas tenir longtemps, je suis tellement excité que je lui bouffe sa chatte comme un malade, je lui mets un doigt dans sa minette pendant que je déguste sa pêche juteuse comme un mort de faim. Je sens ma bite qui commence à palpiter, je grogne de plaisir, je ne peux plus résister, c’est trop divin, et j’éjacule puissamment dans sa bouche, plusieurs jets bien fournis, elle avale tout difficilement, et continu à me sucer doucement, je sens ma bite ramollir un peu. Elle reprend sa pipe tout en me caressant la rondelle, je suis surpris, mais je trouve se doigt inquisiteur excitant, j’aime ce qu’elle me fait avec, et ma verge retrouve petit à petit de la vigueur, quand son doigt pénètre mon petit trou, cela m’excite un maximum et me fait bander bien raide, elle lâche ma queue et me demande de la baiser, elle veut sentir ma bite dans son con.
Je me fait pas prier, je me retourne, et je lui roule un patin, je sens le goût de ma semence dans sa bouche, j’aime bien, je connais son goût, je la goutte à chaque fois que je me branle et que je me fais jouir. Elle prend ma queue dans sa main et frotte son clitoris avec, avant de la présenter devant sa fente, je pousse un peu, elle glisse toute seule dans son fourreau si humide, gluant de sa cyprine. Son vagin est relativement serré, elle me fait penser à une jeune fille, et cela m’excite encore plus, et je me mets à la baiser bestialement, elle couine, gémit, me dit que c’est trop bon, qu’elle adore que je la baise comme ça comme une pute. Mais je manque d’entraînement et je m’essouffle rapidement, je suis obligé d’arrêter pour reprendre mon souffle.
Elle me demande de m’allonger sur le dos pour qu’elle puisse me chevaucher, je me laisse faire, j’ai presque repris mon souffle. Elle s’empale sur ma tige tendu, m’offrant la vue de ses seins, que je m’empresse d’embrasser, de téter, rapidement elle se met à me chevaucher comme une folle, je malaxe ses seins, les pétri, puis je m’accroche à ses fesses, je ne contrôle plus rien, je sens mon excitation grandir, ma bite gonfler et palpiter, je grogne à n’en plus finir, elle aussi couine, gémi, je sens son vagin faire des vagues sur ma tige, ma jouissance arrive brutalement, je cri mon plaisir, cela déclenche aussi son orgasme, elle aussi cri son plaisir, je gicle dans son con, je sens sa mouille et ma semence gicler hors de son vagin, couler sur mes couilles. Elle s’écroule sur moi en m’embrassant, en me roulant des pelles, entre deux remerciements.
– Merci tonton, c’était merveilleux, j’avais trop envie de toi, merci, merci !
– C’est moi qui te remercie, j’avais jamais eu de fellation, c’est trop bon, il y a trop longtemps que j’avais pas baiser comme ça, moi aussi j’avais trop envie de toi, merci ma nièce, merci beaucoup !
Je lui dis, allons nous faire un peu de toilette vite fait, car ta tante va pas tarder à revenir, il faudra que l’on soit plus discret quand on baise, si elle nous entend gueuler comme on vient de le faire, on va avoir des problèmes, et on éclate de rire tous les deux. Je me passe un coup de gant sur la figure, elle aussi, et on se nettoie nos intimités avec des lingettes. Nous nous rhabillons, pour aller mettre de l’ordre dans sa chambre, et installer en vitesse ses affaires, elle en profite pour me montrer un coffret dans lequel il y a plein de sex-toys différents, elle me dit voilà de quoi bien s’amuser ensemble. Nous venons de finir quand ma femme arrive, nous l’aidons à décharger sa voiture et à ranger les courses. Laura en profite pour faire connaissance avec la cuisine, et voir ou sont ranger les différents ustensiles, et la nourriture. Dès que ma femme a le dos tourné, ou qu’elle se trouve dans une autre pièce ou le jardin, ma nièce ne rate pas une occasion pour me chauffer, au passage elle frotte son cul ou sa chatte contre ma bite, ou ma main, elle soulève sa jupe pour me montrer son cul en se baissant, ou elle s’assoit en face de moi en écartant les jambes et en les relevant pour me montrer sa pêche juteuse et lisse. Je trouve qu’elle joue un jeu dangereux, ma femme peu la surprendre et la voir faire, mais cela à l’air de l’exciter encore plus, et je l’avoue, moi aussi. Du coup je me prend au jeu aussi, et dès que je le peux, je glisse ma main sous sa jupe pour lui peloter ses fesses, ou sa minette dans laquelle je prend plaisir, à y glisser un doigt à la moindre occasion, nous avons retrouvé la complicité que nous avions quand elle était fillette. J’ai l’impression d’être redevenu jeune homme, ma nièce est ma fontaine de jouvence, et un aphrodisiaque permanent. Le reste de la journée se passe ainsi, avec ce petit jeu, et le soir juste avant de se coucher, elle me chuchote à l’oreille en passant à côté de moi :
– Je t’attend cette nuit toute nue sous la couette, tu as pas encore goûté à mon cul, viens m’enculer profond et sauvagement, je laisserai ma petite culotte à côté de mon oreiller, tu me la fourreras dans ma bouche pour étouffer mes cris, et surtout insultes moi pendant que tu me défonces…
Nous allons tous nous mettre au lit, j’ai du mal à ne pas m’endormir de suite, elle m’a bien fatigué cette après midi, mais il faut que je résiste, je dois attendre que ma femme s’endorme profondément. Mais je fini par m’assoupir, et quand j’ouvre les yeux je vois sur le réveil qu’il est minuit, cela fait deux heures que l’on est couché, ma femme dort profondément, je me lève délicatement en prenant toutes les précautions que je peux pour ne pas la réveiller, je me glisse hors de la chambre en vérifiant qu’elle n’a pas bougé. Je suis inquiet à l’idée qu’elle se réveille et qu’elle nous surprenne, et en même temps je suis très excité, et je bande déjà, je suis tout nu, je dors toujours ainsi, ou avec un maillot quand il fait plus froid, mais j’ai toujours les fesses et le sexe à l’air qu’elle que soit la saison pour dormir.
C’est la pleine lune, et celle ci éclaire faiblement l’intérieur de la maison à travers les persiennes. Ma nièce a laissé sa porte entre ouverte, je me glisse silencieusement dans sa chambre, sous sa couette, elle dort en me tournant le dos, je me colle contre elle, sa peau est douce et chaude. J’aperçois sa petite culotte sur l’oreiller, je la prend dans ma main gauche, et je commence à la caresser un peu partout avec ma main droite, cela la réveille, je lui fourre sa culotte dans la bouche. Mes mains reprennent leurs explorations nocturne, mes doigts glissent sur elle, effleurent sa peau si douce, essayant de découvrir tout ses trésors cachés. Je caresse délicatement ses seins, leurs galbes magiques, ses tétons qui se dressent rapidement, elle échappe de petits gémissements. Mes mains explorent maintenant ses fesses rebondies et si douces.
Mon majeur glisse entre ses fesses, son sillon si doux est un délice pour mon doigt, il arrive sur sa rondelle que je masse doucement. Je sens que mon doigt glisse facilement dans son anus, elle est habituée à être sodomisée, elle est détendue, je suis extrêmement excité. Ma verge est tendue, mon gland laisse échapper des gouttes de liquide séminale, je caresse sa rondelle avec mon gland gonflé et humide.
Je lubrifie l’entrée de sa grotte secrète et serrée en me frottant ainsi, je force un peut l’entrée, mon gland commence à glisser lentement dans son intimité. Elle grogne, j’attends, je bouge plus, son anus n’est pas contracté, je m’enfonce doucement un peu plus. Je commence à m’activer lentement dans son cul, je la prend dans mes bras, en l’enserrant pour l’empêcher de bouger. Je reprend ma besogne dans son antre serrée, je la tiens par les hanches et je lui pilonne le fion sans ménagement. Elle gémit, je sens que cela lui plaît, je lui murmure à l’oreille :
– Tu es une petite cochonne, tu vas avoir ce que tu aimes.
Et je reprends de plus belle ma baise anale, je suis tellement excité, son anus est tellement serré, que je jouis rapidement. Je la remplis de longs jets, puis je me retire, la retournant sur le dos au passage. Je lui caresse les jambes, les seins, tout son corps.
Puis je lui écarte les jambes, je me place entre ses jambes, j’ai envie de goutter à sa chatte toute lisse.
J’embrasse sa vulve, je lèches ses lèvres, ma langue caresse son clitoris, je le suce, ma langue glisse dans sa fente serrée. Celle ci s’ouvre comme une fleur qui s’épanouit, elle est très humide, elle me tient la tête pour la plaquer encore plus sur son intimité, elle gémit, elle murmure :
– Encore, encore, c’est bon, ouiii…
Elle m’étouffe, je me dégage, je reprends mon souffle, je viens poser ma bite qui bande bien mou, sur sa chatte.
– Espèce de petite chienne en chaleur, prend ma bite dans ta main et masturbes toi avec.
Elle ne se fait pas prier, et elle caresse son clitoris avec mon gland, elle me branle en même temps, elle gémit beaucoup, je lui fourre à nouveau sa culotte dans sa bouche pour étouffer ses gémissements, ses couinements.
C’est une sacré cochonne, elle finit par m’exciter à nouveau, par ce qu’elle me fait, et par ses couinements de petite fille en chaleur.
Ma bite est maintenant bien dur, mon gland bien gros et gonflé, je l’embroche sans ménagement comme une chienne qu’elle est, je lui murmure :
– Espèce de salope, tiens prend ça !
Je la baise sans ménagement, ses couinements m’excitent et me déchaînent, je ne me contrôle plus.
Je suis devenu une bête qui la défonce, la pilonne, la ramone profondément, à fond, je sens mon gland buter sur son col de l’utérus.
Plus je la pilonne, et plus elle couine, gémit, et plus cela m’excite, me met hors de contrôle, ma bite à jamais été aussi raide, tendu, dure. J’attrape ses pieds et je les bascule de chaque côté de son visage, je les tiens ainsi bloqués, ses jambes complètement relevées. La vue est très excitante, je reprends de plus belle ma besogne, mon gland arrive en buté à chaque coups, lui arrachant un cri étouffé à chaque fois.
– Ouii, vas y salope, couines, j’adore!
Mon excitation est au maximum, et je lui ai dit cela un peu trop fort, temps pi, et je finis par jouir et éjaculer de grands jets, qui ressortent de son vagin, éclaboussant mes couilles, coulant sur son cul. Je suis toujours dans un état second, et je retire mon pieu de sa chatte, et dans un même mouvement je l’enfonce brutalement dans son cul si bien lubrifié.
Elle crie, heureusement étouffé par sa culotte, mais cela m’excite, et je défonce son cul, je ne débande pas, elle tient tellement bien serré ma bite dans son fion. Je lui défonce le cul, dans un déchaînement de cris de sa part, maintenant mon excitation au maximum, je lui murmure :
– Espèce de salope, tu aimes ça, tu en as jamais assez, tiens prends ça bien dans ton cul, tu vas te rappeler de cette nuit longtemps.
Et je continue sans ménagement à la défoncer profondément, brutalement, ma bite commence à chauffer, à me brûler, je fini par éjaculer au fond de son cul, je me retire. Je relâche ses jambes, et je glisse ma bite entre ses seins, me caressant doucement entre eux, m’essuyant ma verge surchauffée et couverte de ses sécrétions et de mon sperme. Je reprends ainsi mes esprits et mon souffle doucement, je finis par me coucher, m’écrouler, épuisé à son côté, elle me murmure un :
– Merci tonton, tu as été formidable.
Nous avons pas été très discrets tous les deux, j’ai parlé et râlé un peu fort, elle a beaucoup gémit et crié, même étouffé par sa culotte, cela s’entendait bien quand même, sans compter les bruits du lit. Je tend l’oreille, je m’attend à ce que ma femme débarque réveillée par nos exploits, mais aucun bruit, à peine un ronflement qui vient de sa chambre. Je suis rassuré, elle dort toujours, elle a le sommeil lourd, et est un peu sourde, heureusement. Avec Laura nous nous roulons quelques patins, avant que je regagne mon lit précautionneusement, dans lequel je m’endort immédiatement, tellement je suis épuisé.
Bien plus tard dans la nuit, Laura se réveille, mon foutre colle à son corps, il règne une forte odeur de baise dans sa chambre qui lui procure de nouveau des envies. Je ne suis plus à ses côtés et elle ouvre ses cuisses pour se frotter contre le montant de son lit en asticotant ses tétons déjà durs et si sensibles, rendus rugueux, comme le reste de son corps par le sperme séché que j’y ai étalé quelques heures plus tôt. Elle se tortille sur son lit, frottant son abricot tout rose sur tout ce qui se trouve à sa portée, elle donne encore plus l’impression d’être une chienne en rut qui pourrait baiser n’importe quoi. Mais maintenant qu’elle a goûté à ma bite, c’est elle qu’elle veux, elle que tout son corps réclame, de sa rondelle encore ouverte et endolorie par la fabuleuse sodomie dont je l’ai gratifié, à sa bouche pulpeuse qui fait sa fierté de fellatrice. Elle passe sa langue sur ses lèvres pour essayer de retrouver ma texture, ma chaleur, elle déglutit dans l’espoir de retrouver mon goût. Et déjà sa chatte n’en peut plus, elle se contracte, cherche à m’avaler, à me masser de nouveau, à mouiller de nouveau ma bite, ma main, ma bouche.
Prenant son courage à deux mains, elle passe quelques lingettes sur son corps pour rendre sa peau de nouveau douce à mon toucher et elle décide à son tour de se faufiler dans notre chambre dont la porte n’est pas complètement fermée.
Son cœur bat la chamade quand elle constate que ma femme, endormie, lui fait face et qu’elle doit contourner notre lit le plus discrètement du monde pour aller vers moi. Pour prendre de l’assurance, elle se rappelle de cette fois où elle avait du partager une chambre avec ses parents, et où elle avait pu se caresser jusqu’à la jouissance sans qu’ils ne s’en aperçoivent. Elle se dit que c’est faisable, et qu’elle en a trop envie. Malgré son besoin dévorant de s’empaler immédiatement sur ma bite, elle se déplace à pas de loups,
sa poitrine gonflée par ses inspirations stressées autant que par son désir. La situation l’excite tant, qu’elle a l’impression qu’on pourrait entendre le clapotis de sa chatte à chaque fois qu’elle s’ouvre pour la laisser faire un pas. Ces quelques enjambées vers moi lui semblent interminables et quand elle me voit enfin, couché vers son côté, elle se sent récompensée par ma main glissée sous mon oreiller, et qui sort hors du matelas, un peu au-dessus de mon visage.
Un clair de lune nimbe notre chambre et elle peut distinguer mes traits malgré l’obscurité.
C’est fou comme je l’excite. Comme elle a envie d’être ma chienne, de se faire baiser par moi partout, et tout le temps. Mais la présence de ma femme l’oblige à beaucoup de discrétion et elle décide donc de me cajoler en douceur, comme il lui arrive encore de cajoler ses peluches les plus douces.
Elle penche son buste sur mon visage et ses seins ballottent doucement au-dessus de ma joue, que ses pointes frôlent tendrement. L’envie de les plaquer contre mon visage, même pour une seconde, la dévore, mais elle ne veut pas risquer de me réveiller de cette façon.
Elle joue donc avec ses pointes, les empoigne et les lèche, avant de les passer sur mes lèvres. Mon souffle chaud contre ses tétons la rend folle et elle essaie de les faire rentrer dans ma bouche. Quand ils rencontrent mes dents, elle ne peux retenir un petit gémissement qui l’affole aussitôt, car ma femme change de position et se retourne. Prise de panique elle s’est baissée et reste contre mon lit, sans bouger pendant un moment.
Alors qu’elle entends de nouveau le souffle de sa tante qui dort paisiblement, elle relève juste la tête et constate qu’elle est bien dans le même sens que moi. Si elle se lève, elle verra de nouveau son visage, baigné de lumière bleutée, comme le mien, et elle aura encore plus l’impression qu’elle la regarde. Cette pensée la refait mouiller, étant à hauteur de ma main qui semble se tendre vers elle, elle s’approche d’elle et se sent éprise d’une irrésistible envie de lécher mes doigts, d’enrouler sa langue sur mes phalanges qui lui ont si bien masser le cul, et que j’ai sûrement bien des fois enfourner dans la chatte de sa tante. Elle les lèche, et les lèche, et les lèche, jusqu’à sentir sa chatte lui ordonner de la frotter dessus pour les parfumer encore plus. Elle se lève alors et plie un peu ses jambes pour poser sa chatte dégoulinante sur ma main et se frotter dessus, elle se sent tellement salope, c’est si bon, et elle a une soudaine envie que le monde entier sache qu’elle est ma salope, mon jouet sexuel, auquel je peux faire tout ce qu’il me plaît !
Dans la lumière de la nuit elle voit le visage de ma femme et elle ne peux s’empêcher de penser:
– Si tu savais tout ce que tonton m’a mis dans le cul tout à l’heure ! Il a giclé dans tous mes trous, s’est vidé les couilles dans sa jeune pute qui raffole de sa bite, de sa langue, de ses doigts ! Ce que sa bite est bonne, ce que sa langue est douce et comme il sait bien faire mouiller sa petite chienne docile!
En pensant cela, elle y va de bon cœur sur ma main et elle finit par jouir. Elle m’a bien épuisé quelques heures plutôt, pour son plus grand bonheur et le mien, car je ne me réveille toujours pas. Temporairement apaisée, mais toujours en chaleur, elle me susurre des mots doux à l’oreille :
– Je vais téter ton gland pour avoir ma ration de foutre, tu n’as pas idée à quel point j’ai envie de te faire juter dans ma bouche juste à côté de ma tante, quand tu te réveilleras, mets tes mains sur ma tête, traites moi de pute et baises ma bouche comme tu m’as bourré le cul !
Elle soulève discrètement ma couette et découvre ma queue endormie. Elle parvient à faire doucement basculer mon bassin pour me mettre sur le dos et voir le clair de lune éclairer mon membre. Elle commence par frotter doucement ses lèvres dessus. Elle l’embrasse sur toute la longueur, de même qu’elle embrasse mes couilles. Elle humidifie ses lèvres pour qu’elles glissent bien dessus. Elle adore s’occuper de mes couilles, les sucer, les lécher, les gober, elle adore jouer avec, et elle trouve que les miennes sont tellement bonnes.
Puis elle remonte sur ma queue, la léchant sur la longueur, elle frotte ses lèvres humides dessus et commence à tirer sur le prépuce sous lequel elle a une forte envie de glisser sa langue. Mmmhh… ce que c’est bon !
Elle évite encore le haut du gland pour l’instant et souligne la couronne, de la pointe de sa langue. C’est cette queue là, qui lui a fait tant de bien tout à l’heure, elle veut l’honorer comme il se doit. Je commencez à ouvrir un œil et je dis à haute voix :
– Ha… Petite salope, tu en as pas eu encore assez ?
Ses yeux s’écarquillent et elle me fait signe que ma femme dort à côté. Ma bite se raidit immédiatement et, comme elle est à quatre pattes à côté de mon lit, je passe ma main humide de ses sécrétions sur ses fesses. Mon liquide séminale perle du méat et elle commence à jouer de sa langue sur cette zone là. Je ferme les yeux et je chuchote :
– Tu t’es faite toute propre pour te baiser sur mes doigts, tu avais envie que je te souille hein ? Tu veux de nouvelles giclées sur ton corps de petite chienne hein, c’est ça ?
Elle atteste en m’avalant d’un seul coup jusqu’au fond de sa gorge, ses joues sont bien creusées et elle m’aspire, me draine, je gémis de ravissement en lâchant un :
– Oh oui ma salope, tu l’aimes ma bite !
J’appuie mes deux mains sur sa tête, les larmes lui montent aux yeux, elle a le nez plaqué contre mes poils, elle me sens si profondément qu’elle ne sait plus si elle va jouir ou étouffer, j’ôte mes mains et voilà ma bite dégoulinante de sa salive qui coule comme un torrent jusque sous mes couilles. Elle me lèche de nouveau, le temps que ma main aille lui doigter la rondelle et qu’elle reprenne un peu sa respiration. Mais elle a trop envie de ma bite, et elle l’avale de nouveau, me pompe comme une affamée tout en exécutant un va et vient dont le fort bruit mouillé ne m’inquiète plus. Il n’y a plus d’épouse, plus de clair de lune, plus de chambre. Il n’y a que ma bite qui rentre qui sort de sa bouche de jeunette très salope, à quatre pattes à mes côtés, les seins ballotants en rythme, les fesses frémissantes sous mes doigts. Il n’y a plus que nous, son regard humide plongé dans le mien, me faisant comprendre combien elle aime me pomper, et mes yeux brillants, bien réveillés, qui lui laissent entrevoir que je vais bientôt juter. Je lui enfonce de nouveau mon membre tout au fond de sa gorge et elle sent mes jets de foutre se déverser loin à l’intérieur d’elle. Ses joues se gonflent, ma giclée, plus ma bite, elle est complètement remplie. Une fois mon étreinte relâchée, elle lève la tête vers le plafond pour faire couler plus facilement ma semence dans sa gorge, je lui murmure.
– Divine salope, demain, c’est moi qui t’épuiserait !
– Mmmmhhh… J’ai hâte tonton !
Je mordille ses tétons et je lui glisse de nouveau un petit doigt dans les fesses avant qu’elle retourne dans sa chambre, elle s’aperçoit que ma femme à de nouveau changé de côté sans que nous ne nous en soyons rendu compte, ce qui l’oblige de nouveau à quitter la chambre en se trouvant face à elle.
En refermant un peu plus la porte de notre chambre, elle lui jette un regard plein de gratitude, et la remercie intérieurement de laisser une petite salope comme elle, être le sac à foutre de son vieux vicieux de tonton.
Le matin quand je me réveille je suis seul dans le lit, ma femme est déjà levée, je l’entend qui prépare le petit déjeuné. Je me demande si cette nuit, j’ai rêvé, ou si c’était bien réel. Je me lève, je sens machinalement mes doigts, il y a une forte odeur de cul et de moule que m’a laissé ma petite salope de nièce, donc je n’ai pas rêvé. Je m’habille et je vais rejoindre ma femme dans la cuisine, elle me regarde et elle me dit :
– Tu as l’air fatigué, tu as bien dormi ?
– Oui je crois, il me semble que j’ai fait de beaux rêves.
– Eh bien moi j’ai rêvé de choses bizarres, je regardai un porno, mais j’étais présente avec les personnes, j’étais dans le porno comme spectatrice.
Elle me dit ça d’un air ironique, je me demande si elle est sérieuse, ou si elle se moque de moi, et que cette nuit elle a tout vu parce qu’elle faisait semblant de dormir, elle coupe court mes pensées, car je l’entend dire :
– Bonjour Laura, toi aussi tu as l’air fatigué, tu as bien dormi ?
– Bonjour, oui tata, j’ai bien dormi, j’ai fait plein de beaux rêves merveilleux.
Je me retourne et je vois ma nièce en pyjama qui nous sourit, elle vient nous faire la bise à tous les deux.
– Alors comme ça tata tu as rêvé que tu regardais un porno !
– Oui, tu m’as entendu le dire à tonton, j’étais présente, voyeuse, c’était un couple qui ressemblait à vous deux, un homme de l’age de tonton avec une fille de ton age. La fille était super cochonne, et elle n’en avait jamais assez, l’homme la baisait comme un salop en l’insultant, en la traitant de tous les noms, je sais pas pourquoi ça m’a excité, et je me suis réveillée ce matin la minette toute trempée. Mon mari viens toucher, tu vas voir ça fait longtemps que tu l’as pas senti comme ça !
Nous nous regardons discrètement avec ma nièce en nous demandant ou elle veut en venir. Je m’approche de ma femme, celle ci me prend ma main droite et la porte à son nez en la reniflant.
– Eh bien mes salops, c’est bien ce que je pensais, vu les odeurs qui restent sur cette main, j’ai pas rêvé, c’était vous deux cette nuit en vrai, alors mon mari comment tu l’as trouve ma chatte ?
Et elle me fourre ma main sous sa nuisette, sur sa chatte qui est effectivement très humide, et elle se masturbe un peut avec, avant de me la rendre. Avec Laura on se regarde hagard, ne sachant pas quoi dire et faire.
– Eh bien vous en faites une tête tous les deux ! Alors mon mari, toi qui aime les chattes mouillées, elle te fais envie ta femme ?
Je bafouille, tellement je suis surpris, et ne sachant pas trop quoi faire et dire :
– Bien sur que tu me fais envie, mais il y a Laura, c’est gênant.
– Dis donc mon salop, cette nuit ça te gênais pas, ça m’a pas gêné moi, au contraire, ça ma excitée, alors mes deux coquins, allons tous les trois dans la chambre, j’ai besoin que l’on s’occupe un peu de moi aussi.
Et elle nous attrape chacun par un bras et elle nous entraîne dans notre chambre. Elle enlève précipitamment sa robe de chambre et sa nuisette, elle est toute nue devant nous.
– Allez tous les deux, tout le monde à poils, vous étiez plus vif cette nuit !
Et pendant que l’on se déshabille, elle nous explique que ça ne la dérange pas que moi et Laura nous baisions ensemble, même devant elle, car elle trouve ça excitant, surtout quand je traite ma nièce de chienne, salope, pute, sac à foutre, c’est de m’avoir entendu la baiser en la traitant de tous les noms qui la excitée et lui a redonné des envies. Mais comme elle ne veut pas me satisfaire sur certain points, comme les fellations et la sodomie, elle trouve très bien que notre nièce puisse s’en charger à sa place, elle nous demande juste d’essayer de ne pas faire ça la nuit, car elle aimerait pouvoir dormir, et que nous aussi cela nous ferait du bien de dormir la nuit aussi. Elle accepte que je dorme avec ma nièce, comme ça je l’embêterais pas la nuit et elle pourra dormir tranquillement. Nous pourrons baiser le soir en se couchant, et, ou le matin au réveil, et toute la journée si on le veut.
Ses seules conditions, c’est que l’on s’occupe d’elle quand elle en a envie comme ce matin, et que l’on soit discret pour que les voisins ne se doutent de rien. Il m’a fallu tout le temps de son discourt pour me déshabiller, ma nièce a été beaucoup plus rapide, elle a vite fait d’ôter son pantalon et son haut de pyjama, elle était nue en dessous comme je m’en doutais.
De la voir comme ça me fait bander direct, en plus je vois ma femme couché sur le lit, au milieux, à poil, les cuisses écartées qui attend que l’on s’occupe d’elle. Avec Laura nous nous plaçons chacun d’un côté, et nous commençons à la caresser, ses seins, ses cuisses, puis nous lui léchons, suçons chacun un sein, un téton, puis nos bouches descendent sur sa minette, nos langues lèchent ses lèvres, se retrouvent et s’emmêlent sur son clitoris, pendant que nos mains caresses son corps, elle gémit de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un cri libérateur que je ne lui connaissais pas.
– Hummm, merci mes amours, c’était trop bon, moi qui aime pas me faire lécher, d’habitude je trouve cela très gênant, ça gâchait mon plaisir, mais là je me suis abandonnée à vos langues, c’était divin, merci, maintenant mon mari, je veux ta bite dans ma chatte, mais c’est moi qui te chevauche !
Je me couche sur le dos à la place de ma femme, je sais que c’est sa position préféré de me chevaucher, ma nièce se place face à elle, sa minette au dessus de ma bouche, elle empoigne ma bite bien raide pour que ma femme s’empale dessus. Les deux femmes se font face et se tiennent mutuellement, je lèche la pêche juteuse de ma nièce en lui tenant les fesses, mes deux pouces enfoncés dans son cul, pendant que ma femme se démène sur ma queue devenu endurante, après la nuit passé avec ma nièce qui m’a bien vidé les burnes. Les deux femmes sont seins contre seins qui se frottent quand ma femme monte et descend, je ne peux pas voir ce qu’elles font, je ne sais pas si elles se tripotent, je pense que oui, c’est surtout ma nièce qui doit tripoter ma femme, elles ne doivent pas se rouler de patins car ma femme ne veut plus que je lui en fasse, et avec sa nièce cela m’étonnerai vu que ma femme n’est pas bi, mais je ne suis plus sur de rien à son sujet. Tout ce que je sais c’est qu’elle prend son pied sur ma bite, car elle est comme une folle dessus, et elle gémit, râle de plaisir en continu, jusqu’à ce que sa jouissance explose en un orgasme comme je ne lui connaissais pas, en criant, elle si discrète normalement, et en plus elle m’a inondé avec sa mouille, elle qui était devenu sèche et qui était obligé de mettre du lubrifiant pour que je puisse l’enfiler, quel changement. Ma femme me rend mon organe surchauffé, et elle vient se coucher à côté de moi, et ma nièce fait de même de l’autre côté, ma femme reprend son souffle et nous déclare :
– Et bien mes chéris il y a longtemps que j’ai pas pris mon pied comme ça, je crois bien même que ça ne m’étais jamais arrivé à ce point là, merci à vous deux, c’était si merveilleux !
Ma nièce lui répond qu’elle a encore beaucoup de chose à découvrir et qu’elle a pas fini d’avoir des orgasmes avec nous deux. Elle ajoute que quand elle était petite, on c’est toujours bien occupé d’elle, et que maintenant c’est à son tour de bien s’occuper de nous deux, que cela lui fait très plaisir de le faire, que cela ne fait même pas encore un jour qu’elle est avec nous, et qu’elle n’a jamais été aussi heureuse.
Je les prend chacune sous un bras pour les serrer contre moi pour un énorme câlin, j’embrasse ma femme en lui disant je t’aime mon amour, puis ma nièce en lui disant, ma petite salope, cette nuit je t’ai promis de t’épuiser, mais je crois que c’est moi, qui vais être vite épuisé, surtout si je m’occupe de vous deux. Ma femme me dit, t’inquiètes pas, moi j’ai eu mon compte, je suis pas très gourmande, mais je t’aiderai bien à m’occuper de notre petite salope, mais je sais pas comment faire. Ma nièce se lève et nous demande d’attendre, elle a une idée, elle va dans sa chambre et revient avec son coffret rempli de sex-toys.
Elle prend un gode qu’elle donne à ma femme, en lui disant, celui ci c’est pour que tu me le fourres dans mon cul, elle m’en donne un autre, et celui là c’est pour mon con, et je prendrai ta bite dans ma bouche, en 69, comme ça j’aurai tous mes trous de comblés en même temps. Elle s’allonge sur le dos, je me mets en 69 sur elle, ma femme se place entre ses jambes. Ma nièce gobe mon gland et avale ma tige avec, ma femme ose pas lui fourrer le gode dans sa rondelle, je lui dis, vas y franchement, elle adore ça notre petite chienne. Du coup elle appuie le gode contre sa rondelle, et celui ci fini par disparaître dans son cul dans un gémissement, je lui bourre sa minette avec le mien, et nous lui branlons d’abord doucement ses deux orifices, pendant qu’elle s’applique sur ma bite. Ma nièce râle, couine, gémis, ma femme s’excite en lui branlant le cul beaucoup plus vite et fort, puis soudainement elle se met à la traiter de tous les noms en continuant de lui astiquer le cul.
– Ah oui, tu aimes ça salope, prends ça dans ton cul de petite pute, salle chienne tu vas déguster !
J’en reviens pas de voir et d’entendre ma femme comme ça, comme pour moi, les couinements de notre nièce l’excite, et du coup elle se lâche, et ma nièce quand elle entend ma femme la traiter ainsi se déchaîne sur ma queue, la preuve qu’elle adore ça, et moi je la branle comme un dingue aussi. Sa mouille gicle hors de sa chatte, son ventre fait des vagues, je sais qu’elle est entrain de prendre son pied, ça m’excite terriblement et je me sens partir dans sa bouche, elle enlève vite mon membre pour avaler, et aussi pour crier son plaisir, son corps est pris de convulsions, sa chatte gicle, un grand jet qui arrose ma femme, très surprise par ce fait, elle hurle maintenant son plaisir, son orgasme est multiple, puissant, nous retirons les godes, ces orifices palpites tout seul, surtout son cul. Elle est épuisée, haletante, prise encore de soubresauts, elle reprend doucement son souffle et ses esprits, puis elle nous murmure :
– Merci, c’était génial, vous m’avez comblé au delà de mes espérances, javais jamais joui aussi fort que ça, c’est la première fois que j’éjacule, que je suis une fontaine, tonton essuies ta bite sur mes seins, tata étale ma mouille partout sur mon corps, j’adore être souillée, n’oubliez pas je suis votre salope à tous les deux maintenant, traitez moi comme votre chienne en chaleur, votre esclave sexuelle, votre jouet, ne ratez pas une occasion de me souiller avec ma mouille ou celle de tata, et avec ton sperme tonton, c’est mon plaisir, c’est ce qui me rendra heureuse avec vous deux.
Nous nous plions de bonne grâce à ses désirs, et nous la tartinons généreusement, tout en l’embrassant, moi sur sa bouche, et ma femme sur sa joue. Une fois ma nièce remise de ses émotions et nous aussi, je propose que l’on aille enfin prendre le petit déjeuner, nous l’avons bien mérité. Nous restons tout nu, ma nièce luisante des sécrétions tartinées sur elle, ma femme en a en partie aussi sur elle, ce petit déjeuner à une saveur inhabituelle, bien particulière, qui nous enchante tous les trois. Ensuite ma femme fait sa toilette en premier, et quand elle a fini, je prend ma douche avec ma nièce, nous nous savonnons mutuellement, je prend un malin plaisir à nettoyer ses orifice dans lesquels j’ai pris tant de plaisirs, et que j’ai si bien souillé. Nous nous rinçons, puis on s’essuie, je me rase, et nous nous habillons, ma nièce comme à son habitude, les seins à l’air sous un t-shirt, et sans culotte sous sa jupe. Je ne rate pas une occasion quand elle passe près de moi pour lui peloter les fesses, la chatte ou les seins, et je m’aperçois avec surprise que ma femme fait de même. Parfois quand je passe ma main sur son cul, j’ai la surprise d’y découvrir un plug, avec lequel je m’amuse un peu, ou dans sa chatte, des boules de geisha, ou autres objets, ses orifices sont rarement libres. Elle ne rate pas une occasion non plus pour me sucer la bite, je suis au paradis avec elle, et ma femme aussi, ma nièce la débloquée, dévergondée, et sa tante devient salope aussi, elle est loin d’être devenu comme ma nièce, mais elle est devenu aussi sacrément cochonne. Ma nièce est restée vivre avec nous, pour notre plus grand bonheur à tous les trois, elle a trouvé du travail, elle a été prise au rendez vous qu’elle avait pour être hôtesse de caisse le dimanche matin et deux jours dans la semaine. Parfois quand je suis trop épuisé, ma nièce découche, et elle trouve des mecs ou des filles dans des bars, et elle passe une nuit avec eux, le temps que je récupère. Elle a des besoins de sexe incroyable, une chienne en chaleur permanente, notre nièce est vraiment une sacré salope, mais nous, nous en plaignons pas, au contraire, c’est pour ça qu’on l’adore, nous formons désormais un ménage à trois des plus heureux, et nous espérons que cela durera très, très, très longtemps.
Cette histoire est un pure fantasme d’une jeune femme, il y a rien de réel. En effet une jeune femme admiratrice de mes écris, ma contacté par mail, et m’a raconter son fantasme de baiser avec des hommes âgés, tous ce que la nièce raconte dans cette histoire, c’est ce que m’a raconté cette fille, elle aurait voulu être mon objet sexuel. Au début son homme était d’accord pour qu’elle corresponde avec moi, ensuite il a pris peur en voyant que les fantasme de sa copine étaient très forts, et il lui a demandé de ne plus m’écrire. Elle a souhaité que je fasse une histoire avec nos écris, et c’est ainsi qu’elle est devenu ma nièce dans cette histoire, il fallait une raison plausible pour que j’accueille une fille chez moi, donc j’ai trouvé l’idée de la nièce intéressante, et c’est comme ça que cette histoire à pris forme, j’espère qu’elle vous a plu.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire hyper bandante. Je me suis super bien branlé en la lisant et je n'ai juté qu'à la fin de ma lecture. Mes couilles étaient...gonflées à bloc ! Mer
vraiment SUPER
Même si il s'agit d'un fantasme, c'est une belle hsitoire...
Les jeunes filles ou femmes sont souvent fascinées par des hommes plus âgés... Elles pensent qu'ils lui apporteront plus de jouissance qu'un jeune...
à plusieurs reprises, j'ai eu des maîtresses plus jeunes avec parfois 15 ou 20 ans de moins... Cherchez bien dans mes récits "Le Matou libertin" et vous verrez !
Les jeunes filles ou femmes sont souvent fascinées par des hommes plus âgés... Elles pensent qu'ils lui apporteront plus de jouissance qu'un jeune...
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