Titre de l'histoire érotique : LA MERE DE MA COPINE VEUT TOUT SAVOIR
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 216 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alainylon ont reçu un total de 1 919 464 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 8 927 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Titre de l'histoire érotique : LA MERE DE MA COPINE VEUT TOUT SAVOIR
Je mettais stationné à seulement quelques mètres de la grille du lycée pour attendre fabienne, une copine de cul. Un coup d’œil sur l’horloge du tableau de bord pour m’apercevoir que j’ai devant moi un bon quart d’heure d’attente avant qu’elle sorte. Pour que mon attente soit moins pénible, je me suis saisi de la valisette placé derrière mon siège là même je stockais mes K7. Mon choix se porta sur le best of Supertramp. Je sortais la cassette de sa boite de protection et j’enfilais dans la fente de l’auto radio. Après quelques secondes de crachouille, les premières notes vinrent titiller agréablement mes oreilles.
La tête en appui sur le haut de mon siège je me laissais bercé par la musique. Mais cela fut de courte duré. La porte passager s’ouvrit à la volé sur la mère de Fabienne. Stupeur… Panique…Vision d’apocalypse.
Pas le temps de trouvé une riposte, qu’elle avait déjà assiégé le siège passager, et refermer la portière. Elle avait des cernes sous les yeux et le teint pâle, comme si elle avait mal dormi. Je sentais son trouble s’accroître de seconde en seconde.
- J’imagine que tu attends là ma fille ? Fit-elle, me jetant un regard mélangés de colère et de mépris.
- Oui… oui, j’attends Fabienne… fis-je, malgré la panique qui m’avait submergé. Cherchant un échappatoire à cet dramatique épisode.
- Vous êtes peut-être… madame, venue la chercher. Si cela est le cas je peux quitter les lieux sur le champs.
- Et puis quoi encore. Il n’était pas question que je vienne chercher ma fille. Tout cela est un pure hasard. Je passais dans les parages quand je t’es aperçus. Alors je me suis de venir à ta rencontre. Un besoin de te parler. Mais je désire que cette entrevue reste secret, si tu vois ce que je veux dire. Alors il me semble qu’il serait préférable que nous quittions ce lieu. Je te somme de démarrer, je vais te guider jusqu’à un endroit plus adéquat.
- Mais ! Votre… fille ?
- Quoi ma fille ?
- Comment va-t-elle rentrait ?
- Et bien à pied. En voilà une drôle de question. D’ailleurs cela peut lui faire que du bien. Bon aller… démarre je te dis, je vais de guider jusqu’à un lieu où nous serons tranquille pour converser.
La situation prenait une déchirante tournure. J’appréhendais ce qui allait suivre. Elle me guida à travers les rues, jusqu’à une tour sous laquelle se tenait un sous-sol. Elle me fit prendre la rampe d’accès.
- Trouve une place et coupe le moteur.
Je m’exécutais. Elle attendait que je coupe le contact, pour m’assiégé de question.
- Alors, comme çà tu sors toujours avec ma fille ? Malgré mon interdiction de la fréquenter ?
- Oh ! Madame. Sors… sors, cela est un grand mot. Où allez chercher ça.
- Alors explique moi que fais-tu à l’attendre devant la grille du lycée ?
- Nous…, nous sommes resté ami…
- Nous.. Nous somme. resté ami ! Mon cul…
Cette rencontre m’énervait prodigieusement. Aussi je me devais d’écourté cet entretiens.
- Oui madame… ami… et si vous ne me croyez pas ce n’est pas mon affaire. Maintenant si vous le voulez bien j’ai autre chose à faire. Fis-je, en démarrant le moteur.
- Je suis tout bonnement sa mère, et par ce fait, je dois savoir, répondit-elle en prenant initiation de couper le contact. Et j’aime savoir qui ma fille fréquente… voilà tout !
Après un court silence, elle enchaîna :
- J’espère pour vous que vous n’avez pas commis de bêtise ?
- Qu’entendez-vous dans bêtise ?
- Enfin, voyant ne joue pas l’imbécile. Tu sais parfaitement où je veux en venir. Je veux seulement savoir si tu as couché avec elle… Je sentais l’horizon s’assombrir de plus en plus. Et il n’était pas question pour moi de me dérober. Il fallait que je joue front jeu. Tant pis pour le déluge qui allait suivre.
- J’admets avoir eu des relations protégées avec Fabienne.
Elle se tapa les cuisses avec ses mains et explosa :
- J’en étais sûr !
Elle plongea sur moi son regard froid comme une lame de couteau.
- Gros pervers… répliqua-t-elle, la faciale rouge pivoine. Ta conduite est inqualifiable… Ses yeux brillaient de sadisme.
- Tu as baisé mon bébé… ce n'est pas possible… je fais un cauchemar, là, je vais me réveiller.
Elle était folle de rage.
- Je ne peux pas l’imaginer… mon bébé.
Elle éclata en sanglots. Des larmes inondaient son visage. Elle marmonna sans cesse de façon inintelligible, la même phrase :
- Il a baisé mon bébé… Il a baissé mon bébé…
J’assistais pitoyablement à son effondrement. Et il m’était difficile de rester insensible devant une femme en détresse. Et par ma faute en surcroit. Doucement, j’effleurais ses cheveux de ma main. Comme cela ne provoquait aucune réaction de sa part, j'appuyais un peu plus ma cajolerie. Toujours sans aucun effet. Alors je fis glisser ma main sur son épaule. Elle leva alors son regard. Il était voilé de larmes.
- Je veux que tu me baises aussi. Fais avec mon corps ce que tu fais avec celui de Fabienne… et vite… j’en es un énorme besoin pour atténuer ma peine…
Ma première pensée fut qu’elle divaguait. Que cela allait s'arranger. Mais alors que je restais figé, outré. Elle ! La mère de Fabienne écarta ses jambes, et en se contorsionnant se débarrassa de sa culotte en nylon de couleur noire, qu'elle prit le temps de poser sur le tableau de bord.
- Prends- moi ! Là tout de suite. Tu entends prend…
- Mais madame !
- Quoi madame ! Il n’y a pas de madame. Il n’y a plus de madame… il n'y a que Fabienne dans cette voiture… je suis fabienne… tu ne trouves pas qu’elle me ressemble.
Elle avait pété les plombs. Tout en parlant elle se dénudait le haut. Très vite je fus en face d’une copieuse poitrine. Comme elle ne pouvait pas déboutonner sa jupe, trop nerveuse par l’excitation qui l'a submergé, elle la retroussa. Tout en haut de ses fortes cuisses se tenait un gros buisson de poils noirs qui lui couvrait le ventre et qui débordait de toutes parts.
Prenant le tinte d’une voix plus jeune qui aurait pu avec une grande imagination ressembler à celle de sa fille, elle me supplia :
- Mais tu vas enfin me prendre. Je ne tiens plus… je n’ai pas arrêté de penser à toi pendant mes cours. Je… je me suis même toucher sous le bureau…
Il m’était difficile à ne pas succomber à une telle invitation. Surtout qu’elle était belle femme. Je commençais par sa poitrine. Faisant vagabonder mes mains. Les grosses tétines couleur de brique ne tardèrent pas à s’ériger. Devenant de plus en plus gros et grumeleux. Changeant de couleur. Ils étaient presque marrons. J'enfouissais mon nez avant de les téter à tour de rôle. Elle se laissa faire tout en gémissant.
- Oh ! Oui… oui… Que c’est bon… céda-t-elle d’une voix devenue à présent très douce.
Je prenais plaisir à lui en donner. Ma main glissa le long de son ventre pour atteindre son sexe. J’y plongeais mes doigts dans sa fissure. Une bague brûlante se crispait autour de mes doigts, alors qu’elle se mit à crier. Je les fis bouger pour qu’ils clapotent dans le fourreau poisseux. Elle poussa un soupir de désolation quand je les lui ôtais. Je n’en fus pas le moins étonné de les ressortir trempés.
Je délaissais ses mamelons pour me glisser entre ses jambes.
Devinant mon projet, elle s’installa de telle sorte qu’elle pouvait ouvrit largement les cuisses. Son odeur capiteuse me monta directement au cerveau. Je lui accordais de petits baisers sur son clitoris impatient. Son niveau d’humidité grimpa en flèche. Je lapai son nectar enivrant avec une application fanatique qui eut pur but de la faire respirer plus rapidement. Mes mains s’emparèrent tant bien que mal de ses fesses et l’amenèrent à ma bouche. Elle eut un cri lorsque je soudai mes lèvres à son bouton saillant, que je me mis en devoir de sucer avec avidité.
À mesure que son plaisir montait, elle ondulait contre mon visage. Sans cesser de la lécher, je glissais mon index dans la fente. Il en ressortit tout imbibé de mouille. Il m’en fallait pas plus pour le glisser plus bas vers l’autre tunnel. Elle l’accueillit d’un charmant petit.
- Je pouvais .
- Ce n’est pas la première fois que tu me le mets. N’est-ce pas ?
Comme je ne répondis pas, elle assista.
- Oui ou non ?
- Oui…
- Alors pourquoi changer les bonnes habitudes.
Je repris mon doigt pour mieux la faire basculer en arrière. Plaquant ses genoux contre sa poitrine pour réaliser mon désir. Celui de nicher mon nez au-dessus de son anus. Pour y sentir son effluve. Je collais ma bouche, et aspirer le trou pour le sucer. Un goût amer se répandit très vite dans ma bouche. Ma langue allait et venait de plus en plus vite dans l’anus élargi. Le visage de la mère de Fabienne était cramoisi. De honte, ou sous l’effet du plaisir qui montait.
Léchage après léchage, l’anus se dilatait et bâillait autour du puits sombre et gluant. Puis je l’ai branlé. Avec deux doigts avec une sorte de rage. Faisant claquer ses fesses lorsque sa main y butait. Je poussais le vice à y associer l’annulaire. Enrageant de ne pouvoir les enfoncer plus loin encore, au fond de son cul. Toutes les dix ou quinze allé et retour, je les retirai brutalement et les portais à ma bouche. Les léchant, les suçant sous les grimaces avides de la mère de Fabienne.
Elle semblait comprendre mes intentions, et continuait à s’offrir. Sans aucune défense. Me donnant droit à tout. Je l’ai alors pénétré lentement à petits coups de reins. Sa bague s’ouvrant à mon passage. Je n’avais rencontré aucune résistance. Au contraire, elle n’attendait visiblement que ça. Et bientôt, je sentais autour de mon gland, puis de ma verge, une tension annulaire qui coulissait facilement le long de ma verge. Et me voilà entièrement introduit dans son anus, ne pouvant aller plus loin. Je la tenais bien. Bien emmanchée. Elle haletait, prononçait des insanités, même des grossièretés. Elle n’avait plus aucune retenue. J’entamai un va-et-vient long et profond. Elle se cala contre moi en soulevant légèrement le bassin en enroulèrent ses jambes autour de ma taille.
J’effectuais de brutaux mouvements de va-et-vient. Mon excitation montait vite. Je me sentais devenu vraiment comme une bête. La mère de Fabienne se donnait corps et âme à ce rapide et brutal ramonage. Elle hurla son plaisir, hurla son enthousiasme de se faire enculer.
- Le salaud ! il m’a enculée… Oh que c’est bon ! … je suis enculée… pour la première fois ! … Oh que c’est bon…
J’essayais bien de retenir ce moment sublime, intense, fort, renversant. Mais c’était plus fort que tout et je ne pouvais résister à la tentation de me laisser jouir. Je me déversais en pleine puissance. De longs jets laiteux dans les entrailles de la mère de Fabienne. Cette éjaculation lui provoqua un délire verbal insensé, ainsi que son orgasme. Je sentais ses muscles internes compresser ma verge comme pour en essorer tous le jus.
Je me retirais difficilement, tant elle me retenait dans ses entrailles comme si elle désirait refaire une partie. Je repris place sur mon siège. Elle passa ses mains derrière ma nuque, et avec un grand sourire, m’embrassa.
Le lendemain, Fabienne vint comme à son habitude me rejoindre, s'empressant de me dévoiler :
- Dit Alain, je crois que ma mère se doute de quelque chose.
- Ah oui ! Et qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Hier quand je suis entrée, elle m’a demandé si j’avais mal au cul. Tu ne trouves pas ça bizarre .
Je la regardais avec un petit sourire en coin.
- Non…
La tête en appui sur le haut de mon siège je me laissais bercé par la musique. Mais cela fut de courte duré. La porte passager s’ouvrit à la volé sur la mère de Fabienne. Stupeur… Panique…Vision d’apocalypse.
Pas le temps de trouvé une riposte, qu’elle avait déjà assiégé le siège passager, et refermer la portière. Elle avait des cernes sous les yeux et le teint pâle, comme si elle avait mal dormi. Je sentais son trouble s’accroître de seconde en seconde.
- J’imagine que tu attends là ma fille ? Fit-elle, me jetant un regard mélangés de colère et de mépris.
- Oui… oui, j’attends Fabienne… fis-je, malgré la panique qui m’avait submergé. Cherchant un échappatoire à cet dramatique épisode.
- Vous êtes peut-être… madame, venue la chercher. Si cela est le cas je peux quitter les lieux sur le champs.
- Et puis quoi encore. Il n’était pas question que je vienne chercher ma fille. Tout cela est un pure hasard. Je passais dans les parages quand je t’es aperçus. Alors je me suis de venir à ta rencontre. Un besoin de te parler. Mais je désire que cette entrevue reste secret, si tu vois ce que je veux dire. Alors il me semble qu’il serait préférable que nous quittions ce lieu. Je te somme de démarrer, je vais te guider jusqu’à un endroit plus adéquat.
- Mais ! Votre… fille ?
- Quoi ma fille ?
- Comment va-t-elle rentrait ?
- Et bien à pied. En voilà une drôle de question. D’ailleurs cela peut lui faire que du bien. Bon aller… démarre je te dis, je vais de guider jusqu’à un lieu où nous serons tranquille pour converser.
La situation prenait une déchirante tournure. J’appréhendais ce qui allait suivre. Elle me guida à travers les rues, jusqu’à une tour sous laquelle se tenait un sous-sol. Elle me fit prendre la rampe d’accès.
- Trouve une place et coupe le moteur.
Je m’exécutais. Elle attendait que je coupe le contact, pour m’assiégé de question.
- Alors, comme çà tu sors toujours avec ma fille ? Malgré mon interdiction de la fréquenter ?
- Oh ! Madame. Sors… sors, cela est un grand mot. Où allez chercher ça.
- Alors explique moi que fais-tu à l’attendre devant la grille du lycée ?
- Nous…, nous sommes resté ami…
- Nous.. Nous somme. resté ami ! Mon cul…
Cette rencontre m’énervait prodigieusement. Aussi je me devais d’écourté cet entretiens.
- Oui madame… ami… et si vous ne me croyez pas ce n’est pas mon affaire. Maintenant si vous le voulez bien j’ai autre chose à faire. Fis-je, en démarrant le moteur.
- Je suis tout bonnement sa mère, et par ce fait, je dois savoir, répondit-elle en prenant initiation de couper le contact. Et j’aime savoir qui ma fille fréquente… voilà tout !
Après un court silence, elle enchaîna :
- J’espère pour vous que vous n’avez pas commis de bêtise ?
- Qu’entendez-vous dans bêtise ?
- Enfin, voyant ne joue pas l’imbécile. Tu sais parfaitement où je veux en venir. Je veux seulement savoir si tu as couché avec elle… Je sentais l’horizon s’assombrir de plus en plus. Et il n’était pas question pour moi de me dérober. Il fallait que je joue front jeu. Tant pis pour le déluge qui allait suivre.
- J’admets avoir eu des relations protégées avec Fabienne.
Elle se tapa les cuisses avec ses mains et explosa :
- J’en étais sûr !
Elle plongea sur moi son regard froid comme une lame de couteau.
- Gros pervers… répliqua-t-elle, la faciale rouge pivoine. Ta conduite est inqualifiable… Ses yeux brillaient de sadisme.
- Tu as baisé mon bébé… ce n'est pas possible… je fais un cauchemar, là, je vais me réveiller.
Elle était folle de rage.
- Je ne peux pas l’imaginer… mon bébé.
Elle éclata en sanglots. Des larmes inondaient son visage. Elle marmonna sans cesse de façon inintelligible, la même phrase :
- Il a baisé mon bébé… Il a baissé mon bébé…
J’assistais pitoyablement à son effondrement. Et il m’était difficile de rester insensible devant une femme en détresse. Et par ma faute en surcroit. Doucement, j’effleurais ses cheveux de ma main. Comme cela ne provoquait aucune réaction de sa part, j'appuyais un peu plus ma cajolerie. Toujours sans aucun effet. Alors je fis glisser ma main sur son épaule. Elle leva alors son regard. Il était voilé de larmes.
- Je veux que tu me baises aussi. Fais avec mon corps ce que tu fais avec celui de Fabienne… et vite… j’en es un énorme besoin pour atténuer ma peine…
Ma première pensée fut qu’elle divaguait. Que cela allait s'arranger. Mais alors que je restais figé, outré. Elle ! La mère de Fabienne écarta ses jambes, et en se contorsionnant se débarrassa de sa culotte en nylon de couleur noire, qu'elle prit le temps de poser sur le tableau de bord.
- Prends- moi ! Là tout de suite. Tu entends prend…
- Mais madame !
- Quoi madame ! Il n’y a pas de madame. Il n’y a plus de madame… il n'y a que Fabienne dans cette voiture… je suis fabienne… tu ne trouves pas qu’elle me ressemble.
Elle avait pété les plombs. Tout en parlant elle se dénudait le haut. Très vite je fus en face d’une copieuse poitrine. Comme elle ne pouvait pas déboutonner sa jupe, trop nerveuse par l’excitation qui l'a submergé, elle la retroussa. Tout en haut de ses fortes cuisses se tenait un gros buisson de poils noirs qui lui couvrait le ventre et qui débordait de toutes parts.
Prenant le tinte d’une voix plus jeune qui aurait pu avec une grande imagination ressembler à celle de sa fille, elle me supplia :
- Mais tu vas enfin me prendre. Je ne tiens plus… je n’ai pas arrêté de penser à toi pendant mes cours. Je… je me suis même toucher sous le bureau…
Il m’était difficile à ne pas succomber à une telle invitation. Surtout qu’elle était belle femme. Je commençais par sa poitrine. Faisant vagabonder mes mains. Les grosses tétines couleur de brique ne tardèrent pas à s’ériger. Devenant de plus en plus gros et grumeleux. Changeant de couleur. Ils étaient presque marrons. J'enfouissais mon nez avant de les téter à tour de rôle. Elle se laissa faire tout en gémissant.
- Oh ! Oui… oui… Que c’est bon… céda-t-elle d’une voix devenue à présent très douce.
Je prenais plaisir à lui en donner. Ma main glissa le long de son ventre pour atteindre son sexe. J’y plongeais mes doigts dans sa fissure. Une bague brûlante se crispait autour de mes doigts, alors qu’elle se mit à crier. Je les fis bouger pour qu’ils clapotent dans le fourreau poisseux. Elle poussa un soupir de désolation quand je les lui ôtais. Je n’en fus pas le moins étonné de les ressortir trempés.
Je délaissais ses mamelons pour me glisser entre ses jambes.
Devinant mon projet, elle s’installa de telle sorte qu’elle pouvait ouvrit largement les cuisses. Son odeur capiteuse me monta directement au cerveau. Je lui accordais de petits baisers sur son clitoris impatient. Son niveau d’humidité grimpa en flèche. Je lapai son nectar enivrant avec une application fanatique qui eut pur but de la faire respirer plus rapidement. Mes mains s’emparèrent tant bien que mal de ses fesses et l’amenèrent à ma bouche. Elle eut un cri lorsque je soudai mes lèvres à son bouton saillant, que je me mis en devoir de sucer avec avidité.
À mesure que son plaisir montait, elle ondulait contre mon visage. Sans cesser de la lécher, je glissais mon index dans la fente. Il en ressortit tout imbibé de mouille. Il m’en fallait pas plus pour le glisser plus bas vers l’autre tunnel. Elle l’accueillit d’un charmant petit.
- Je pouvais .
- Ce n’est pas la première fois que tu me le mets. N’est-ce pas ?
Comme je ne répondis pas, elle assista.
- Oui ou non ?
- Oui…
- Alors pourquoi changer les bonnes habitudes.
Je repris mon doigt pour mieux la faire basculer en arrière. Plaquant ses genoux contre sa poitrine pour réaliser mon désir. Celui de nicher mon nez au-dessus de son anus. Pour y sentir son effluve. Je collais ma bouche, et aspirer le trou pour le sucer. Un goût amer se répandit très vite dans ma bouche. Ma langue allait et venait de plus en plus vite dans l’anus élargi. Le visage de la mère de Fabienne était cramoisi. De honte, ou sous l’effet du plaisir qui montait.
Léchage après léchage, l’anus se dilatait et bâillait autour du puits sombre et gluant. Puis je l’ai branlé. Avec deux doigts avec une sorte de rage. Faisant claquer ses fesses lorsque sa main y butait. Je poussais le vice à y associer l’annulaire. Enrageant de ne pouvoir les enfoncer plus loin encore, au fond de son cul. Toutes les dix ou quinze allé et retour, je les retirai brutalement et les portais à ma bouche. Les léchant, les suçant sous les grimaces avides de la mère de Fabienne.
Elle semblait comprendre mes intentions, et continuait à s’offrir. Sans aucune défense. Me donnant droit à tout. Je l’ai alors pénétré lentement à petits coups de reins. Sa bague s’ouvrant à mon passage. Je n’avais rencontré aucune résistance. Au contraire, elle n’attendait visiblement que ça. Et bientôt, je sentais autour de mon gland, puis de ma verge, une tension annulaire qui coulissait facilement le long de ma verge. Et me voilà entièrement introduit dans son anus, ne pouvant aller plus loin. Je la tenais bien. Bien emmanchée. Elle haletait, prononçait des insanités, même des grossièretés. Elle n’avait plus aucune retenue. J’entamai un va-et-vient long et profond. Elle se cala contre moi en soulevant légèrement le bassin en enroulèrent ses jambes autour de ma taille.
J’effectuais de brutaux mouvements de va-et-vient. Mon excitation montait vite. Je me sentais devenu vraiment comme une bête. La mère de Fabienne se donnait corps et âme à ce rapide et brutal ramonage. Elle hurla son plaisir, hurla son enthousiasme de se faire enculer.
- Le salaud ! il m’a enculée… Oh que c’est bon ! … je suis enculée… pour la première fois ! … Oh que c’est bon…
J’essayais bien de retenir ce moment sublime, intense, fort, renversant. Mais c’était plus fort que tout et je ne pouvais résister à la tentation de me laisser jouir. Je me déversais en pleine puissance. De longs jets laiteux dans les entrailles de la mère de Fabienne. Cette éjaculation lui provoqua un délire verbal insensé, ainsi que son orgasme. Je sentais ses muscles internes compresser ma verge comme pour en essorer tous le jus.
Je me retirais difficilement, tant elle me retenait dans ses entrailles comme si elle désirait refaire une partie. Je repris place sur mon siège. Elle passa ses mains derrière ma nuque, et avec un grand sourire, m’embrassa.
Le lendemain, Fabienne vint comme à son habitude me rejoindre, s'empressant de me dévoiler :
- Dit Alain, je crois que ma mère se doute de quelque chose.
- Ah oui ! Et qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Hier quand je suis entrée, elle m’a demandé si j’avais mal au cul. Tu ne trouves pas ça bizarre .
Je la regardais avec un petit sourire en coin.
- Non…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alainylon
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que de fautes d'orthographe.....
ca gâche le plaisir de lire
ca gâche le plaisir de lire