Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1003)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1003)
Alain au Château – (suite de l'épisode précédent N°999) – Branlé au petit matin… -
Effectivement, il sent les paumes de ses deux mains chauffer légèrement, picoter...
- Bienvenue dans Ma Demeure.
Une voix chaleureuse mais emplie aussi d’autorité accueille Alain hors du pays des rêves, c'est Monsieur le Marquis, Lui-même. Après un moment d'hésitation, les pensées d'Alain se remettent en place, sa première journée, de la veille, au Château défile rapidement dans son esprit et Alain regarde autour de lui à la recherche de ses deux compagnons dans ce cachot sinistre. Alors, pris d’hésitations, les yeux d'Alain se tournent vers Monsieur le Marquis, puis s'abaissent humblement et c’est en balbutiant :
- Bon… Bonjour Monsieur, heu … Monsieur le … Marquis, heu... Mai... Maître.
- Je t’autorise à garder ton regard sur Ma noble personne …
La voix d'Alain est résignée même si elle montre un fort énervement dû à la sauvage torture de sa nouille. Les encouragements de Monsieur le Marquis pour sa performance de la veille amènent Alain à rougir, un rougissement de fierté mais aussi de honte comme les images des fortes actions de la veille restent dans sa tête. Du haut de sa cage, Alain aperçoit le Maître approcher. Son premier réflexe est de vouloir reculer, mais replié dans sa cage, il ne peut naturellement pas bouger. Au fur et à mesure que le Noble approche, le regard soumis d'Alain se lève lentement. Il observe attentivement et commence à savourer ce corps majestueux qui s'approche dans une démarche emplie d’élégance. Lorsque Monsieur le Marquis est à quelques centimètres de sa cage, les yeux d'Alain sont à hauteur du magnifique visage autoritaire du Maître. Il peut y apercevoir de la douceur et de la tendresse. Ses yeux restent humblement rivés sur ceux du Maître durant un long moment, un incroyable moment de partage d'émotions dans un silence absolu. Mais la douleur tenaille le bas-ventre d'Alain et son regard change en une imploration. Sans que le puissant contact visuel autorisé ne soit brisé, une main vient envelopper affectueusement son sexe. Malgré la douceur du mouvement qui procure un intense plaisir de soumission pour Alain, ce geste réactive le pouvoir calorifique de la crème…
Monsieur le Marquis peut voir l'intensité du supplice refléter une forte supplication, ce qui Lui procure un plaisir immense de Domination. Progressivement, la main se concentre sur un massage de la tige de chair. Malgré la douleur attribuée à la crème, Le Châtelain peut voir une sorte de reconnaissance, une gratitude dans les yeux hypnotisés d'Alain. La scène entière prend toute sa place dans la formation du soumis. Alain reconnaît et accepte sa dépendance, Le soumis accepte et reconnaît le contrôle sur lui, sur son corps, sur son plaisir et tout se transforme tout à coup en lui. Le Maître voit ce changement attendu, cette transformation catégorique dans les yeux d'Alain et Alain peut voir la joie, la satisfaction et le pouvoir dans les merveilleux yeux bleus, si Dominants de Monsieur le Marquis. Les effroyables douleurs d'Alain deviennent un incroyable plaisir et, bientôt, le corps d'Alain se rigidifie, un spasme le traverse, des frissons de plaisirs l’irradie sur tout son corps épilé et Alain, la hampe au zénith d’une raideur extrême au gland violacé qui contracte avec le vert de la crème, gicle une impressionnante quantité de sperme à travers les barreaux tandis que Monsieur le Marquis se recule pour contempler le spectacle. Les puissants jets saccadés se succèdent et semblent durer une éternité et le corps d'Alain se détend et se relaxe sur le plancher de sa cage. Dans un sursaut, Alain se ressaisit pour offrir de sincères remerciements au Maître. Il réussit plus ou moins à se mettre à quatre pattes, la tête humblement penchée en soumission volontaire. Même si Alain reprend graduellement conscience des monstrueux picotements maintenant principalement au niveau de son sac à couilles. Il reste figé là-bas, attendant le bon plaisir du Noble, attendant à un ordre du Maître... Celui-ci ne tarde pas car le Châtelain passe la main entre les barreaux pour la présenter sous le menton du soumis :
- Lèche mes doigts, salope, tu as osé souiller ma noble main de ton foutre de petite lopette de chienne en chaleur … Lèche et ne laisse aucune souillures …
Alors Alain, en un bon chien obéissant, s’applique du mieux qu’il peut, passant sa langue entre chaque doigt du Noble, nettoyant consciencieusement cette noble main jusqu’à un parfait nettoyage... La croupe d'Alain oscille légèrement par la douleur, sinon Alain reste en place, son corps et son âme offerts. Monsieur le Marquis rompt le contact mais Alain ne bouge pas même si ce manque insupportable ramène ses pensées entre ses jambes, vers cette crème verte et douloureuse toujours présente... Quand un puissant jet d'eau glaciale vient heurter sa croupe, mais Alain ne bronche pas. Ce vigoureux rafraîchissement diminue progressivement le supplice et les horribles picotements de la crème se transforment en légères démangeaisons qui disparaissent lentement mais sûrement. Le corps d'Alain dégouline maintenant et cette douche a ravivé tous ses muscles, Alain est pleinement éveillé. Après avoir déposé le tuyau d’arrosage, Monsieur le Marquis contourne la cage et la pousse dans un mouvement de rotation. Alain ne bronche pas et le pourtour de la pièce défile devant ses yeux, interrompu à chaque tour par la noble vue du Maître. Un martèlement métallique sur la cage le fait sursauter. Le fracassant bruit sourd s'approche de son visage tandis que la cage pivote toujours lentement. Le battement arrive au niveau de son oreille et Alain lutte pour ne pas bouger, il arrive devant ses yeux. Alain voit la petite barre de métal dans la puissante main du Maître. Le soumis cligne des yeux, le bruit déchirant passe devant son autre oreille et s'éloigne. Le manège dure un certain temps tandis que la rotation prend de la vitesse, amenant rapidement un étourdissement dans la tête d'Alain. Alain n'a pas bougé, concentrant ses pensées sur l'apparition régulière du Maître.
À un moment donné, la cage s'arrête net. Il est face au Maître et c'est sa récompense. Mieux encore, Monsieur le Marquis s'approche et commence une douce caresse de sa chair imberbe. Plus inattendu, mais ô combien merveilleux, deux nobles doigts explorent de nouveau la bouche du soumis tandis que l'autre main continue les caresses et frappe alternativement toutes les places accessibles de son corps. Cette fois pas de foutre à lécher, juste le plaisir immense d’avoir en bouche les doigts du Châtelain. Cette sensualité amène de nouvelles démangeaisons, mais celles-ci sont d'un grand bonheur. Le soumis ne se languit pas d'adorer ces divins doigts, il leur fait l'amour avec gratitude. Lorsque leur nombre augmente, Alain ressent un reste de douleur dans ses mâchoires et les rudes images de sa formation de la veille envoient des frissons de reconnaissance dans tout son corps. Les doigts s’enfoncent jusqu’à la gorge et ressortent lentement dans une pénétration buccale parfaitement maitrisée. Avec régularité, ils vont et viennent de longues minutes. Parfois le Noble les fait tourner sur eux-mêmes afin de bien prendre place et d’occuper, d’investir tout l’espace possible dans la bouche du soumis… Les mains se retirent pour créer de nouveau un vide, un immense manque tandis que son corps se déplace doucement à la recherche d'un contact pour ne trouver que celui des barreaux durs et froids. Monsieur le Marquis n'est plus dans son champ de vision et ses oreilles se dressent dans un long silence. Il entend finalement un déclic et sa cage suspendue commence à descendre. Une fois posée sur le sol, la porte est déverrouillée et, sans un mot, Alain est poussé dehors par de longs coups de fouet. Alain rampe hors de la cage...
- Une Règle importante au Château est qu'aucune semence ne peut être gaspillée.
C'est la voix de Walter et un signe des doigts fait comprendre au soumis que quelques gouttes de sperme sont tombées sur le sol en plus de celles qu’il a nettoyé sur les divins doigts du Maître. Alors Alain se précipite pour lécher rapidement en quadrupédie, le museau à ras le sol, son propre sperme. Tandis qu’une large main accroche une laisse à son collier...
(A suivre …)
Effectivement, il sent les paumes de ses deux mains chauffer légèrement, picoter...
- Bienvenue dans Ma Demeure.
Une voix chaleureuse mais emplie aussi d’autorité accueille Alain hors du pays des rêves, c'est Monsieur le Marquis, Lui-même. Après un moment d'hésitation, les pensées d'Alain se remettent en place, sa première journée, de la veille, au Château défile rapidement dans son esprit et Alain regarde autour de lui à la recherche de ses deux compagnons dans ce cachot sinistre. Alors, pris d’hésitations, les yeux d'Alain se tournent vers Monsieur le Marquis, puis s'abaissent humblement et c’est en balbutiant :
- Bon… Bonjour Monsieur, heu … Monsieur le … Marquis, heu... Mai... Maître.
- Je t’autorise à garder ton regard sur Ma noble personne …
La voix d'Alain est résignée même si elle montre un fort énervement dû à la sauvage torture de sa nouille. Les encouragements de Monsieur le Marquis pour sa performance de la veille amènent Alain à rougir, un rougissement de fierté mais aussi de honte comme les images des fortes actions de la veille restent dans sa tête. Du haut de sa cage, Alain aperçoit le Maître approcher. Son premier réflexe est de vouloir reculer, mais replié dans sa cage, il ne peut naturellement pas bouger. Au fur et à mesure que le Noble approche, le regard soumis d'Alain se lève lentement. Il observe attentivement et commence à savourer ce corps majestueux qui s'approche dans une démarche emplie d’élégance. Lorsque Monsieur le Marquis est à quelques centimètres de sa cage, les yeux d'Alain sont à hauteur du magnifique visage autoritaire du Maître. Il peut y apercevoir de la douceur et de la tendresse. Ses yeux restent humblement rivés sur ceux du Maître durant un long moment, un incroyable moment de partage d'émotions dans un silence absolu. Mais la douleur tenaille le bas-ventre d'Alain et son regard change en une imploration. Sans que le puissant contact visuel autorisé ne soit brisé, une main vient envelopper affectueusement son sexe. Malgré la douceur du mouvement qui procure un intense plaisir de soumission pour Alain, ce geste réactive le pouvoir calorifique de la crème…
Monsieur le Marquis peut voir l'intensité du supplice refléter une forte supplication, ce qui Lui procure un plaisir immense de Domination. Progressivement, la main se concentre sur un massage de la tige de chair. Malgré la douleur attribuée à la crème, Le Châtelain peut voir une sorte de reconnaissance, une gratitude dans les yeux hypnotisés d'Alain. La scène entière prend toute sa place dans la formation du soumis. Alain reconnaît et accepte sa dépendance, Le soumis accepte et reconnaît le contrôle sur lui, sur son corps, sur son plaisir et tout se transforme tout à coup en lui. Le Maître voit ce changement attendu, cette transformation catégorique dans les yeux d'Alain et Alain peut voir la joie, la satisfaction et le pouvoir dans les merveilleux yeux bleus, si Dominants de Monsieur le Marquis. Les effroyables douleurs d'Alain deviennent un incroyable plaisir et, bientôt, le corps d'Alain se rigidifie, un spasme le traverse, des frissons de plaisirs l’irradie sur tout son corps épilé et Alain, la hampe au zénith d’une raideur extrême au gland violacé qui contracte avec le vert de la crème, gicle une impressionnante quantité de sperme à travers les barreaux tandis que Monsieur le Marquis se recule pour contempler le spectacle. Les puissants jets saccadés se succèdent et semblent durer une éternité et le corps d'Alain se détend et se relaxe sur le plancher de sa cage. Dans un sursaut, Alain se ressaisit pour offrir de sincères remerciements au Maître. Il réussit plus ou moins à se mettre à quatre pattes, la tête humblement penchée en soumission volontaire. Même si Alain reprend graduellement conscience des monstrueux picotements maintenant principalement au niveau de son sac à couilles. Il reste figé là-bas, attendant le bon plaisir du Noble, attendant à un ordre du Maître... Celui-ci ne tarde pas car le Châtelain passe la main entre les barreaux pour la présenter sous le menton du soumis :
- Lèche mes doigts, salope, tu as osé souiller ma noble main de ton foutre de petite lopette de chienne en chaleur … Lèche et ne laisse aucune souillures …
Alors Alain, en un bon chien obéissant, s’applique du mieux qu’il peut, passant sa langue entre chaque doigt du Noble, nettoyant consciencieusement cette noble main jusqu’à un parfait nettoyage... La croupe d'Alain oscille légèrement par la douleur, sinon Alain reste en place, son corps et son âme offerts. Monsieur le Marquis rompt le contact mais Alain ne bouge pas même si ce manque insupportable ramène ses pensées entre ses jambes, vers cette crème verte et douloureuse toujours présente... Quand un puissant jet d'eau glaciale vient heurter sa croupe, mais Alain ne bronche pas. Ce vigoureux rafraîchissement diminue progressivement le supplice et les horribles picotements de la crème se transforment en légères démangeaisons qui disparaissent lentement mais sûrement. Le corps d'Alain dégouline maintenant et cette douche a ravivé tous ses muscles, Alain est pleinement éveillé. Après avoir déposé le tuyau d’arrosage, Monsieur le Marquis contourne la cage et la pousse dans un mouvement de rotation. Alain ne bronche pas et le pourtour de la pièce défile devant ses yeux, interrompu à chaque tour par la noble vue du Maître. Un martèlement métallique sur la cage le fait sursauter. Le fracassant bruit sourd s'approche de son visage tandis que la cage pivote toujours lentement. Le battement arrive au niveau de son oreille et Alain lutte pour ne pas bouger, il arrive devant ses yeux. Alain voit la petite barre de métal dans la puissante main du Maître. Le soumis cligne des yeux, le bruit déchirant passe devant son autre oreille et s'éloigne. Le manège dure un certain temps tandis que la rotation prend de la vitesse, amenant rapidement un étourdissement dans la tête d'Alain. Alain n'a pas bougé, concentrant ses pensées sur l'apparition régulière du Maître.
À un moment donné, la cage s'arrête net. Il est face au Maître et c'est sa récompense. Mieux encore, Monsieur le Marquis s'approche et commence une douce caresse de sa chair imberbe. Plus inattendu, mais ô combien merveilleux, deux nobles doigts explorent de nouveau la bouche du soumis tandis que l'autre main continue les caresses et frappe alternativement toutes les places accessibles de son corps. Cette fois pas de foutre à lécher, juste le plaisir immense d’avoir en bouche les doigts du Châtelain. Cette sensualité amène de nouvelles démangeaisons, mais celles-ci sont d'un grand bonheur. Le soumis ne se languit pas d'adorer ces divins doigts, il leur fait l'amour avec gratitude. Lorsque leur nombre augmente, Alain ressent un reste de douleur dans ses mâchoires et les rudes images de sa formation de la veille envoient des frissons de reconnaissance dans tout son corps. Les doigts s’enfoncent jusqu’à la gorge et ressortent lentement dans une pénétration buccale parfaitement maitrisée. Avec régularité, ils vont et viennent de longues minutes. Parfois le Noble les fait tourner sur eux-mêmes afin de bien prendre place et d’occuper, d’investir tout l’espace possible dans la bouche du soumis… Les mains se retirent pour créer de nouveau un vide, un immense manque tandis que son corps se déplace doucement à la recherche d'un contact pour ne trouver que celui des barreaux durs et froids. Monsieur le Marquis n'est plus dans son champ de vision et ses oreilles se dressent dans un long silence. Il entend finalement un déclic et sa cage suspendue commence à descendre. Une fois posée sur le sol, la porte est déverrouillée et, sans un mot, Alain est poussé dehors par de longs coups de fouet. Alain rampe hors de la cage...
- Une Règle importante au Château est qu'aucune semence ne peut être gaspillée.
C'est la voix de Walter et un signe des doigts fait comprendre au soumis que quelques gouttes de sperme sont tombées sur le sol en plus de celles qu’il a nettoyé sur les divins doigts du Maître. Alors Alain se précipite pour lécher rapidement en quadrupédie, le museau à ras le sol, son propre sperme. Tandis qu’une large main accroche une laisse à son collier...
(A suivre …)
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