Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1038)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1038)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1037) -
Au bout d’un temps interminable, je sentis l’avion atterrir … et je ne tardais pas à être déchargée, puis il me sembla avoir été oubliée, car j’avais l’impression d’avoir attendu un long moment avant de sentir de nouveau la caisse bouger. Aux voix que j’entendais, je compris que des personnes venaient chercher la caisse pour l’emporter à bord d’un camion. On me débarqua de nouveau. Le papillon était devenu douloureux ainsi que mon bas-ventre, la non jouissance devenait une vraie torture et j’espérais qu’on allait rapidement me libérer. Lorsqu’on enleva l’un des panneaux de bois, je fus éblouie par une lumière artificielle. Je me trouvais dans un hangar. Une femme forte, l’air sévère me regardait avec un sourire pervers.
- Eh bien ! Voilà une chienne qui a l’air bien fatiguée ! Je pense qu’une bonne douche devrait la réveiller. Qu’on la sorte, qu’on l’emmène dans une salle d’eau et qu’on s’occupe de la remettre en état !
Un homme à l’allure carrée, élégamment vêtu, mais portant un collier ras de cou avec un anneau, vint me sortir de la cage. Cela fut très douloureux de devoir me déplier après avoir passé un temps indéfinissable dans cette cage étroite tel un contorsionniste. Mais il ne me laissa pas prendre le moindre temps pour m’étirer et me tira par le bras derrière lui. Nous arrivâmes dans une pièce entièrement carrelée, sol, murs et plafond. Il y avait seulement deux choses dans cette pièce : un tuyau relié à un robinet, et un trou dans le sol près de l’un des murs, où le sol se creusait. Il me fit signe, sans un mot de me dévêtir, d’enlever les lanières qui tenait le papillon toujours vibrant contre mon clitoris douloureux, et de me plaquer au mur dos à lui d’abord. Il ouvrit alors le robinet au maximum et dirigea le tuyau vers moi, d’où sortit un fort jet d’eau qui me parut glacé et qui me plaqua encore plus contre la paroi. Effectivement ça réveillait ! Puis il me fit signe de me tourner et m’appliqua le même traitement, insistant sur mon sexe et mon cul, qu’il me demanda de présenter, écartant pour l’un mes lèvres intimes, pour l’autre mes deux globes charnus, me cambrant pour mieux m’offrir.
Je fus ensuite conduite dans une sorte d’hôtel, du moins vu de l’intérieur. Je sus très vite que plus qu’un hôtel c’était une véritable maison close. L’homme qui m’avait « douchée » m’emmena dans une chambre à la propreté évidente mais minimalement équipée. Il m’ordonna de me reposer un peu. Je m’allongeais donc sur le lit et me laissais bercer par le silence qui régnait et m’assoupis. Il revint, à ce que j’évalue être une bonne heure après et il me tendit ma tenue « de voyage » qu’il me rendit une fois que je fus jugée reposée. Je n’attendis pas longtemps. Très vite un homme arriva, bedonnant, grisonnant, à l’haleine chargée. Je n’avais pas eu l’occasion de voir la lumière du jour depuis que j’avais été encagée. Et la chambre n’avait pas de fenêtre. Je ne savais donc absolument pas l’heure qu’il était. Mais je n’avais, une fois de plus, pas eu de petit déjeuner le matin avant de partir de chez le filleul du Maître, juste une gamelle d’eau. Et je commençais à avoir faim. Cependant, je n’eus pas le temps d’y penser longtemps car l’homme baissa son pantalon, exigea que je me déshabille et me mette en levrette sur le lit, et me prit sans plus de préambule. Comme un porc, il me monta avec des couinements, visiblement affamé de sexe…
L'homme derrière moi, plaqua alors son torse en arc-boutant, épousant ainsi mon dos arrondi afin de bien me prendre la chatte le plus profond possible tout en ayant passé ses bras autour de ma taille pour venir triturer mes mamelons pendants. Toujours en couinant comme un cochon, il les fit rouler entre ses doigts, les tira en avant, je gémis de plaisir et un peu de douleur. Je sentais son souffle et sa mauvaise haleine m’envahir les narines ainsi que les sensations brûlantes qui se diffusaient dans mon corps. Me maintenant ainsi, il donna alors de grands coups de reins pour planter sa queue le plus loin possible dans mon vagin et commença alors une cadence rapide comme s’il voulait au plus vite décharger sa semence en moi tel un animal copulant en rut. Au bout d’un moment, il lâcha prise et se retira sans dire un mot mais toujours en émettant des grognements gutturaux car visiblement il n’avait pas joui. Alors il me regardait quelques secondes, j’étais positionnée toujours en levrette, le cul face à son regard vicieux. J’étais bien penchée en avant et donc mes fesses bien relevées et écartées quand d'un coup sec, l'homme prit possession de mon cul, avec acharnement sans se soucier de s’enfiler profondément à me faire mal. Je fus prise de soubresauts, cela fut un véritable mélange de douleurs et de plaisir physique de se faire ainsi enculer…
Il me besogna longuement, ayant visiblement du mal à approcher de la jouissance encore une fois, malgré et toujours avec ses grands coups de boutoirs au plus loin de mes entrailles qu’il pouvait s’enfoncer. Ses grosses couilles cognant contre mes fesses. Alors il se retira de nouveau après donc avoir goûté mes deux orifices et il me fit mettre à genoux et exigea que je me débrouille pour le faire juter dans ma bouche. Je mis alors tout le savoir-faire que mon éducation aux pieds du Maître Vénéré m’avait conféré. Mais il me fallut de très longues minutes, le nez contre un pubis poilu et malodorant, pour réussir à recueillir finalement une assez maigre « récompense ». Il se rhabilla alors et avant de quitter la chambre, déposa dans une urne près de la porte 50 euros en précisant qu’il était content d’avoir découvert les fkk (Frei-Körper-Kultur, ou culture du corps libre) de Düsseldorf. Je compris donc que je me trouvais en Allemagne, où ce terme qui normalement désigne le naturisme, était ici utilisé pour parler des maisons closes. Je sus bien plus tard que dans ce type d’établissement, on proposait pour 50 euros la journée les repas, un accès libre au bar et à la piscine, ainsi qu’un catalogue de femmes se trouvant là pour agrémenter la visite des clients, soit en tant qu’accompagnatrice, et plus si affinités, soit purement pour être baisée et ne quittant pas les chambres. Pour tout rapport sexuel, les clients étaient facturés 50 euros supplémentaires.
Je sus également plus tard que j’étais restée douze heures dans cet établissement. Durant douze heures, je fus pénétrée, besognée, salie, humiliée par tous mes orifices. Comme si un message avait été passé prévenant que je n’étais qu’un morceau de viande, juste bonne à vider les couilles de qui le voudrait, de toutes les manières possibles et inimaginables ! Je n’avais de répits que les quelques minutes que prenait un client pour se rhabiller, ou seulement se réajuster car certains ne faisaient que sortir leur bite de leur pantalon, se vider et repartir, jusqu’au moment où un autre prenait sa place. Et je n’eus pour toute nourriture que du sperme ou même de l’urine à avaler. Certains en profitaient pour assouvir leurs fantasmes. Ainsi je me retrouvais masseuse, chienne (ça ce n’était pas une nouveauté pour moi !), serveuse, attachée aux montant du lit la tête en bas, attachée en étoile, devant prendre des positions du Kâma-Sûtra que je ne connaissais pas mais qui, à mon sens, auraient pu paraître en gymnastique olympique…
Mais ce qui me marqua le plus, et que j’espérais ne plus jamais avoir à revivre fut ce moment-là. L’arrivée d’un homme, à peu près 35 ans, très classe, costume, cravate. Il me regarda longuement. J’étais assise sur le lit, face à la porte. Il avait un air étrange, l’air de quelqu’un qui n’est pas sûr de savoir ce qu’il voulait vraiment. J’étais déjà nue. Dans ce genre d’endroit, quand on ne se trouve pas à racoler les gens dans les parties communes, être vêtue est un inconvénient et une perte de temps. Il finit par bouger. Il enleva chacun de ses vêtements, lentement comme s’il voulait repousser le moment qui allait finir par arriver, les pliants chaque fois soigneusement. Puis il ouvrit la mallette qu’il avait apporté avec lui et en sortit un martinet. Il le regarda, me regarda, puis exigea que je me mette à quatre pattes par terre, et il commença à jouer des lanières sur mon dos, mon fessier, mon sexe, mes jambes, partout où elles pouvaient se poser. Mais assez vite, il s’arrêta et resta un moment immobile à m’observer. Puis il me releva sans un mot, et il baissa la tête, avant de rester de nouveau immobile. Je ne comprenais pas ce qu’il attendait. Quand d’un mouvement brusque, il se laissa tomber à genoux, et me tendit le martinet de ses deux mains ouvertes, paumes vers le plafond.
Comme je ne bougeais toujours pas, il me supplia d’utiliser le martinet sur lui. Je commençais alors timidement à laisser les lanières claquées sur lui, mais il m’implorait toujours d’y aller plus fort, de me lâcher. J’essayer au mieux de le satisfaire, mais Dominer n’était vraiment pas ma nature, et j’étais très mal à l’aise. Quand je m’arrêtais finalement, malgré ses supplications, mais commençant à avoir mal au bras et au poignet, n’ayant pas l’habitude de cet exercice, il se prosterna devant moi et vint me baiser les pieds, des larmes coulant abondamment sur ses joues. Je ne le laissais dans cette position que le temps de revenir de mon étonnement, et je le relevais très vite. Il finit par me parler. Il avait dans sa vie professionnelle et privée de nombreuses responsabilités, qui finissaient par l’étouffer. Il se détendait donc en lisant des récits, d’abord tous les styles, m’apprenant qu’il avait lu les « Dix petits nègres » d’Agatha Christie, ou énormément de Molière. Mais que depuis peu, c’était un tout autre genre de littérature qu’il avait commencé à découvrir. Disant cela, il me tendit un livre qu’un ami lui avait prêté. En regardant la couverture, je souris franchement. Il s’agissait de … « La Saga des esclaves… » de Monsieur le Marquis d’Evans.
Il m’avoua qu’il s’était retrouvé tellement excité en le lisant qu’il avait commencé à se poser des questions, et qu’il avait voulu tester, brièvement avec moi, les deux côtés du manche du martinet, et que ce qu’il craignait c’était réalisé. Il ne pouvait pas en effet cacher son sexe qui s’était tendu à l’extrême lorsque c’était moi qui le maniait, alors qu’il n’avait pas réagi en me frappant. Sachant que le Maître étudiait toute proposition qu’il recevait avec beaucoup d’attention et de respect pour la personne, j’avouais alors à celui qui m’apprit s’appeler Jean, que j’appartenais à l’auteur du livre qu’il tenait dans sa main, que j’étais Sa soumise, et je lui conseillais de le contacter via le site dont l’adresse se trouvait dans la biographie. Je pensais avec raison, que d’ici peu de temps le Maître Vénéré recevrait une nouvelle candidature pour intégrer Son Cheptel.
Ce fut le seul moment où mon corps ne fut pas massivement, abusivement sollicité. Et toujours sans la moindre alimentation solide, à la fin de la douzième heure, alors que je me tenais penchée en avant, mes mains tenant mes chevilles, me faisant pénétrer brutalement, je finis par perdre connaissance d’épuisement ! Lorsque je rouvris péniblement les yeux, je supposais que je rêvais, que je délirais, car il me sembla reconnaître la chambre du Maître, mais épuisée, je refermais rapidement les yeux et plongeais dans un profond sommeil…
(A suivre …)
Au bout d’un temps interminable, je sentis l’avion atterrir … et je ne tardais pas à être déchargée, puis il me sembla avoir été oubliée, car j’avais l’impression d’avoir attendu un long moment avant de sentir de nouveau la caisse bouger. Aux voix que j’entendais, je compris que des personnes venaient chercher la caisse pour l’emporter à bord d’un camion. On me débarqua de nouveau. Le papillon était devenu douloureux ainsi que mon bas-ventre, la non jouissance devenait une vraie torture et j’espérais qu’on allait rapidement me libérer. Lorsqu’on enleva l’un des panneaux de bois, je fus éblouie par une lumière artificielle. Je me trouvais dans un hangar. Une femme forte, l’air sévère me regardait avec un sourire pervers.
- Eh bien ! Voilà une chienne qui a l’air bien fatiguée ! Je pense qu’une bonne douche devrait la réveiller. Qu’on la sorte, qu’on l’emmène dans une salle d’eau et qu’on s’occupe de la remettre en état !
Un homme à l’allure carrée, élégamment vêtu, mais portant un collier ras de cou avec un anneau, vint me sortir de la cage. Cela fut très douloureux de devoir me déplier après avoir passé un temps indéfinissable dans cette cage étroite tel un contorsionniste. Mais il ne me laissa pas prendre le moindre temps pour m’étirer et me tira par le bras derrière lui. Nous arrivâmes dans une pièce entièrement carrelée, sol, murs et plafond. Il y avait seulement deux choses dans cette pièce : un tuyau relié à un robinet, et un trou dans le sol près de l’un des murs, où le sol se creusait. Il me fit signe, sans un mot de me dévêtir, d’enlever les lanières qui tenait le papillon toujours vibrant contre mon clitoris douloureux, et de me plaquer au mur dos à lui d’abord. Il ouvrit alors le robinet au maximum et dirigea le tuyau vers moi, d’où sortit un fort jet d’eau qui me parut glacé et qui me plaqua encore plus contre la paroi. Effectivement ça réveillait ! Puis il me fit signe de me tourner et m’appliqua le même traitement, insistant sur mon sexe et mon cul, qu’il me demanda de présenter, écartant pour l’un mes lèvres intimes, pour l’autre mes deux globes charnus, me cambrant pour mieux m’offrir.
Je fus ensuite conduite dans une sorte d’hôtel, du moins vu de l’intérieur. Je sus très vite que plus qu’un hôtel c’était une véritable maison close. L’homme qui m’avait « douchée » m’emmena dans une chambre à la propreté évidente mais minimalement équipée. Il m’ordonna de me reposer un peu. Je m’allongeais donc sur le lit et me laissais bercer par le silence qui régnait et m’assoupis. Il revint, à ce que j’évalue être une bonne heure après et il me tendit ma tenue « de voyage » qu’il me rendit une fois que je fus jugée reposée. Je n’attendis pas longtemps. Très vite un homme arriva, bedonnant, grisonnant, à l’haleine chargée. Je n’avais pas eu l’occasion de voir la lumière du jour depuis que j’avais été encagée. Et la chambre n’avait pas de fenêtre. Je ne savais donc absolument pas l’heure qu’il était. Mais je n’avais, une fois de plus, pas eu de petit déjeuner le matin avant de partir de chez le filleul du Maître, juste une gamelle d’eau. Et je commençais à avoir faim. Cependant, je n’eus pas le temps d’y penser longtemps car l’homme baissa son pantalon, exigea que je me déshabille et me mette en levrette sur le lit, et me prit sans plus de préambule. Comme un porc, il me monta avec des couinements, visiblement affamé de sexe…
L'homme derrière moi, plaqua alors son torse en arc-boutant, épousant ainsi mon dos arrondi afin de bien me prendre la chatte le plus profond possible tout en ayant passé ses bras autour de ma taille pour venir triturer mes mamelons pendants. Toujours en couinant comme un cochon, il les fit rouler entre ses doigts, les tira en avant, je gémis de plaisir et un peu de douleur. Je sentais son souffle et sa mauvaise haleine m’envahir les narines ainsi que les sensations brûlantes qui se diffusaient dans mon corps. Me maintenant ainsi, il donna alors de grands coups de reins pour planter sa queue le plus loin possible dans mon vagin et commença alors une cadence rapide comme s’il voulait au plus vite décharger sa semence en moi tel un animal copulant en rut. Au bout d’un moment, il lâcha prise et se retira sans dire un mot mais toujours en émettant des grognements gutturaux car visiblement il n’avait pas joui. Alors il me regardait quelques secondes, j’étais positionnée toujours en levrette, le cul face à son regard vicieux. J’étais bien penchée en avant et donc mes fesses bien relevées et écartées quand d'un coup sec, l'homme prit possession de mon cul, avec acharnement sans se soucier de s’enfiler profondément à me faire mal. Je fus prise de soubresauts, cela fut un véritable mélange de douleurs et de plaisir physique de se faire ainsi enculer…
Il me besogna longuement, ayant visiblement du mal à approcher de la jouissance encore une fois, malgré et toujours avec ses grands coups de boutoirs au plus loin de mes entrailles qu’il pouvait s’enfoncer. Ses grosses couilles cognant contre mes fesses. Alors il se retira de nouveau après donc avoir goûté mes deux orifices et il me fit mettre à genoux et exigea que je me débrouille pour le faire juter dans ma bouche. Je mis alors tout le savoir-faire que mon éducation aux pieds du Maître Vénéré m’avait conféré. Mais il me fallut de très longues minutes, le nez contre un pubis poilu et malodorant, pour réussir à recueillir finalement une assez maigre « récompense ». Il se rhabilla alors et avant de quitter la chambre, déposa dans une urne près de la porte 50 euros en précisant qu’il était content d’avoir découvert les fkk (Frei-Körper-Kultur, ou culture du corps libre) de Düsseldorf. Je compris donc que je me trouvais en Allemagne, où ce terme qui normalement désigne le naturisme, était ici utilisé pour parler des maisons closes. Je sus bien plus tard que dans ce type d’établissement, on proposait pour 50 euros la journée les repas, un accès libre au bar et à la piscine, ainsi qu’un catalogue de femmes se trouvant là pour agrémenter la visite des clients, soit en tant qu’accompagnatrice, et plus si affinités, soit purement pour être baisée et ne quittant pas les chambres. Pour tout rapport sexuel, les clients étaient facturés 50 euros supplémentaires.
Je sus également plus tard que j’étais restée douze heures dans cet établissement. Durant douze heures, je fus pénétrée, besognée, salie, humiliée par tous mes orifices. Comme si un message avait été passé prévenant que je n’étais qu’un morceau de viande, juste bonne à vider les couilles de qui le voudrait, de toutes les manières possibles et inimaginables ! Je n’avais de répits que les quelques minutes que prenait un client pour se rhabiller, ou seulement se réajuster car certains ne faisaient que sortir leur bite de leur pantalon, se vider et repartir, jusqu’au moment où un autre prenait sa place. Et je n’eus pour toute nourriture que du sperme ou même de l’urine à avaler. Certains en profitaient pour assouvir leurs fantasmes. Ainsi je me retrouvais masseuse, chienne (ça ce n’était pas une nouveauté pour moi !), serveuse, attachée aux montant du lit la tête en bas, attachée en étoile, devant prendre des positions du Kâma-Sûtra que je ne connaissais pas mais qui, à mon sens, auraient pu paraître en gymnastique olympique…
Mais ce qui me marqua le plus, et que j’espérais ne plus jamais avoir à revivre fut ce moment-là. L’arrivée d’un homme, à peu près 35 ans, très classe, costume, cravate. Il me regarda longuement. J’étais assise sur le lit, face à la porte. Il avait un air étrange, l’air de quelqu’un qui n’est pas sûr de savoir ce qu’il voulait vraiment. J’étais déjà nue. Dans ce genre d’endroit, quand on ne se trouve pas à racoler les gens dans les parties communes, être vêtue est un inconvénient et une perte de temps. Il finit par bouger. Il enleva chacun de ses vêtements, lentement comme s’il voulait repousser le moment qui allait finir par arriver, les pliants chaque fois soigneusement. Puis il ouvrit la mallette qu’il avait apporté avec lui et en sortit un martinet. Il le regarda, me regarda, puis exigea que je me mette à quatre pattes par terre, et il commença à jouer des lanières sur mon dos, mon fessier, mon sexe, mes jambes, partout où elles pouvaient se poser. Mais assez vite, il s’arrêta et resta un moment immobile à m’observer. Puis il me releva sans un mot, et il baissa la tête, avant de rester de nouveau immobile. Je ne comprenais pas ce qu’il attendait. Quand d’un mouvement brusque, il se laissa tomber à genoux, et me tendit le martinet de ses deux mains ouvertes, paumes vers le plafond.
Comme je ne bougeais toujours pas, il me supplia d’utiliser le martinet sur lui. Je commençais alors timidement à laisser les lanières claquées sur lui, mais il m’implorait toujours d’y aller plus fort, de me lâcher. J’essayer au mieux de le satisfaire, mais Dominer n’était vraiment pas ma nature, et j’étais très mal à l’aise. Quand je m’arrêtais finalement, malgré ses supplications, mais commençant à avoir mal au bras et au poignet, n’ayant pas l’habitude de cet exercice, il se prosterna devant moi et vint me baiser les pieds, des larmes coulant abondamment sur ses joues. Je ne le laissais dans cette position que le temps de revenir de mon étonnement, et je le relevais très vite. Il finit par me parler. Il avait dans sa vie professionnelle et privée de nombreuses responsabilités, qui finissaient par l’étouffer. Il se détendait donc en lisant des récits, d’abord tous les styles, m’apprenant qu’il avait lu les « Dix petits nègres » d’Agatha Christie, ou énormément de Molière. Mais que depuis peu, c’était un tout autre genre de littérature qu’il avait commencé à découvrir. Disant cela, il me tendit un livre qu’un ami lui avait prêté. En regardant la couverture, je souris franchement. Il s’agissait de … « La Saga des esclaves… » de Monsieur le Marquis d’Evans.
Il m’avoua qu’il s’était retrouvé tellement excité en le lisant qu’il avait commencé à se poser des questions, et qu’il avait voulu tester, brièvement avec moi, les deux côtés du manche du martinet, et que ce qu’il craignait c’était réalisé. Il ne pouvait pas en effet cacher son sexe qui s’était tendu à l’extrême lorsque c’était moi qui le maniait, alors qu’il n’avait pas réagi en me frappant. Sachant que le Maître étudiait toute proposition qu’il recevait avec beaucoup d’attention et de respect pour la personne, j’avouais alors à celui qui m’apprit s’appeler Jean, que j’appartenais à l’auteur du livre qu’il tenait dans sa main, que j’étais Sa soumise, et je lui conseillais de le contacter via le site dont l’adresse se trouvait dans la biographie. Je pensais avec raison, que d’ici peu de temps le Maître Vénéré recevrait une nouvelle candidature pour intégrer Son Cheptel.
Ce fut le seul moment où mon corps ne fut pas massivement, abusivement sollicité. Et toujours sans la moindre alimentation solide, à la fin de la douzième heure, alors que je me tenais penchée en avant, mes mains tenant mes chevilles, me faisant pénétrer brutalement, je finis par perdre connaissance d’épuisement ! Lorsque je rouvris péniblement les yeux, je supposais que je rêvais, que je délirais, car il me sembla reconnaître la chambre du Maître, mais épuisée, je refermais rapidement les yeux et plongeais dans un profond sommeil…
(A suivre …)
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