Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1047)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1047)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite) -
Il m’observait sans vergogne et de son autre main, il caressait le dessus de sa braguette fermée .... Je faisais semblant de ne pas lui donner trop d’importance. A un moment, une amie pressée arriva, toujours pétulante, gaie, vive :
- Bonjour Isa, comment vas-tu ?
- Oh Carole que je suis heureuse de te voir. Ca va bien et toi ?
- Oh tu sais, toujours ici et ailleurs, tu connais le métier …
- Ah oui en effet, tu restes un moment.
- Non, je suis très pressée, je pars à Milan ce soir pour un défilé, désolée mais je te rappelle dès mon retour, je file.
- Ok, super ma grande ! A bientôt …
L’homme, qui n’avait pas quitté son regard sur moi, se leva, et vint vers ma table. Parfaitement bien habillé, pardessus sur un veston style Burberry, une canne raffinée car il boitait légèrement
- Bonjour Madame, votre beauté n’a d’égale que la classe qui émane de vous.
- Merci Monsieur, répondis-je négligemment.
- Me permettez-vous de m’asseoir à votre table ?
- Monsieur, le fait de m’offrir un verre, que l’établissement a refusé par bonheur, ne vous permets pas de venir jusqu’à ma table.
- Vous a-t-on remis ma carte Madame.
- En effet Monsieur, mais je ne vous connais pas, je ne vois donc pas à quoi elle pourrait me servir.
- Justement Madame, nous pourrions faire connaissance.
- Ecoutez-moi bien Monsieur, je viens ici pour être tranquille, je n’ai ni besoin de votre conversation, ni de vous, alors, s’il vous plait, veuillez vous retirer.
L’homme me fixait et me dit sur un ton de reproche :
- Il ne serait pas content de savoir que vous vous êtes mal comportée !
- Je vous demande pardon ! De qui parlez-vous Monsieur ? Je vais appeler la sécurité si vous persistez à m’importuner.
- Je parle du Maître, Madame ! Cela vous dit-il quelque chose ?
La foudre venait de nouveau me frapper …
- Du Maî… du Maî… tre… Mais qui êtes-vous Monsieur ?...
- Je suis le vent Madame, je suis celui que l’on ne peut attraper, je suis ici et là et je sais que vous ne vous êtes pas bien comportée lors de votre rendez-vous, rue Daumesnil. Pour sûr, il ne pas être content, du tout, du tout …
Subitement, aussi facilement qu’il m’avait abordée, il tourna les talons et s’en alla sans un mot de plus. J’étais effondrée, plus par le fait que cet homme parfaitement inconnu de moi, savait ce qui s’était passé lors du rendez-vous, que pour toute autre raison. De plus, l’échéance du rendez-vous, pour le lendemain midi du 5 du mois, me revenait en mémoire. Enfin, les propos de cet homme m’instillèrent la peur, car enfin, cela commençait à faire beaucoup de choses nouvelles dans ma vie depuis peu de temps, depuis que j’ai rencontré ce Noble de Marquis. J’ai fait avec lui des choses impensables, je le reconnais, si on m’avait dit cela il n’y a qu’une quinzaine de jours…
Serai-je en train de perdre la tête ou tout simplement le contrôle de ma vie ?... Bon, Isabelle, tu vas arrêter ce cauchemar, te reprendre en main ma belle, sinon tu vas tout perdre. Pour commencer, je vais tenter de joindre quelques amies et j’irai la nuit prochaine en boîtes de nuit au Don Camillo, rue des Saints Pères dans le 7° ou à l’Aristote à Enghien. Je connaissais bien ces deux discothèques et y ai passé souvent des nuits entières à danser ou à… Quelques appels téléphoniques plus tard, et c’était convenu, j’irai au Don Camilo avec Virginie, son mari, Hervé, et France, deux amies très proches, Virginie Hôtesse de l’air chez Air France, France mannequin elle aussi mais dans une autre agence que moi. Le temps de revenir chez moi, prendre un bain, me préparer, nous nous sommes données rendez-vous pour vingt-deux heures en bas de chez moi…
Arrivée devant mon immeuble, je crus reconnaître une voiture, une Rolls-Royce qui démarrait et que je n’ai pu véritablement identifier. Tout de même, la vue de ce véhicule me troubla beaucoup. Et si c’était Lui, qui à nouveau m’épiait ? Mais non, tu as du confondre, je me fais des idées, pensais-je... Entrée chez moi, je me fis couler un bain et tandis que la baignoire se remplissait lentement, je me déshabillais entièrement et dénudée je m’allongeais sur mon lit, bras écartés, les jambes à demi pendantes de chaque côté. Je fermais les yeux… Je tentais de respirer profondément pour effacer ce que je considérais comme un cauchemar ou une obsession. En effet, en m’allongeant sur le lit, une douleur en bas des reins me rappela la marque de la cravache. Rien de d’y repenser, une sorte de dégoût s’emparait de moi, mêlé cependant à une sorte d’envie sexuelle, une excitation diffuse au début, très vague, mais qui peu à peu lentement prenait de la vigueur, en repensant au collier, la laisse. Ah non ! Ça suffit me dis-je tentant à nouveau d’arrêter de penser à ces mauvaises pensées… Je respirais à nouveau profondément, lentement comme je savais le faire en cas de stress. Mais mon clitoris semblait vouloir me jouer des tours. Mon petit clito, mon cher petit clito commençait de mettre le nez à la fenêtre de mes lèvres vaginales comme pour me dire :
‘‘Coucou, tu es là ? Tu sais que tu me fais du bien quand tu me caresses ? Eh bien, tu ne réponds pas ? ’’
Instinctivement, ma main se dirigea vers mon petit et très cher bouton et commença à le caresser tendrement, puis plus vite… Au bout d’un moment, je me souvins tout d’un coup de la baignoire.
- Mon dieu, la baignoire me dis-je en bondissant du lit.
Je filais à la salle de bains et stoppa les robinets in extremis. Une vapeur d’eau bienfaisante flottait dans la pièce parfumée aux huiles essentielles, et je me coulais dans la chaleur du bain, si enveloppante, si parfumée, si bienfaisante, que mes tétons se réveillèrent et mon petit ami le clitoris, également. Cette fois, bien consciente, ma main lui, adressa de telles caresses bienfaisantes qu’il me gratifia d’un orgasme, comme seul lui sait le faire…
Comme par exemple quand mes doigts descendent lentement sur mes seins et les caresse longuement et fortement jusqu’à ce que mes mamelons durcissent … de temps en temps, je pince un téton … ce qui me donne de petites décharges d’électricité tout le long de l’échine du dos. Je parviens même à les lécher en soulevant un sein après l’autre … c’est si bon ! Tout doucement et langoureusement, une de mes mains descend alors le long de mon ventre et atteint mon entrecuisse puis mon sexe… C’est là que je sursaute de bonheur … Ma chatte toute rasée ça permet d’avoir des sensations directes avec la peau et la sensibilité n’en est que plus accrue … mmmhhhh ! Les grandes lèvres de ma chatte s’ouvrent alors naturellement en corolle, à l’appel de mon premier doigt qui va venir titiller mon petit bouton d’amour … Ho mon clito ! Mon cher clitoris ! Il est bien développé et toujours réactif, très sensible aux attouchements … mmmhhhh ! Je suis donc allongée sur le dos et j'écarte à fond les lèvres de ma chatte... Parfois, je m'invente des scénarios torrides inavouables et/ou je regarde de près mon minou humide dans le grand miroir sur le mur d’en face de moi... excitation garantie !... Quand je mouille bien, je retrousse le capuchon de mon ami, le clitoris car j'aime le caresser "à vif" et je plonge les doigts dans mon vagin pour les imprégner de mouille... Je le barbouille bien, mon petit clito, pour que la caresse soit très moelleuse et très douce, et je glisse dessus avec l'index gauche tout doucement sans cesse, je retourne à mon vagin pour maintenir l'humidité sur mon petit bouton d’amour et je tourne tout autour, lentement, en l'effleurant à peine et c'est intense et délicieux ! Je malaxe aussi entre les doigts les petites lèvres de ma chatte qui sont assez proéminentes...
Je me doigte dans l’excitation, passant sans cesse du vagin au clito dénudé, décalotté que je sens grossir et chauffer sous mes doigts... Quelquefois, je rajoute de la salive pour que la caresse soit encore plus glissante car plus c'est mouillé et meilleur c'est... J'avoue que je ne touche pas toujours mes seins quand je me masturbe... je suis surtout focalisée sur mon bouton érigé que je triture sans relâche progressivement, ainsi je sens monter le plaisir, je transpire, mon coeur bat la chamade, ma chatte dégouline, mon clitoris se dresse encore plus et reluit et puis je jouis, intensément et violemment... Je ne me contente jamais d'une seule fois car quand je suis "partie" je suis capable de jouir plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort... Je m'astique le clitoris jusqu'à ce qu'il devienne incapable de supporter que je continue à le titiller ! Parfois quand je n’ai que mes doigts à disposition, je continue des mouvements de rotation d’abord lents et puis de plus saccadés, à ne plus pouvoir s’arrêter … Je sens alors la tension monter et que je vais « venir » … je frotte, tourne, titille jusqu’à ce que je sente un orgasme qui arrive … et là avec une brusque et furtive sensation de syncope, je gémis des cris rauques de plaisir … Ooouuuiiiiii !!! Je me lèche les doigts langoureusement et savoure cet instant divin dans ma chatte trempée … Je repasse à plusieurs reprises mes doigts sur mon clitoris pour perpétrer l’effet de jouissance … mmmhhhh ! Après de telles séances, je reste souvent un long moment essoufflée et continue quelques petits mouvements des fesses juste pour essayer de prolonger ces délicieux moments ! …
A côté les hommes peuvent prendre des cours ! Mon clitoris et moi, une longue histoire. Que de choses agréables il m’a fait vivre. Combien de fois, grâce à lui, suis-je grimpée très haut dans les ciels des orgasmes. Il est vrai que je suis une grosse jouisseuse, j’aime me masturber, et dès le premier orgasme, en général très violent, après quelques secondes, le second arrive, plus vite et plus violent, et le troisième, plus dévastateur ainsi de suite. C’est pour moi, physiquement un véritable marathon que de me branler, je suis à la fin tétanisée musculairement parlant et le lendemain, j’ai des cuisses et des mollets durs comme la pierre tant j’ai joui.
Bon ce n’est pas tout ça, petit clito, je sais que tu aurais aimé que je recommence, mais vois-tu, il est 21h00, je dois me préparer car je sors ce soir, et oui ! Mais rassure-toi, je t’emmène avec moi, petit clito, mon meilleur ami qui ne me quitte jamais. Je me fais violence pour quitter mon bain et commencer de me préparer parce que je sais qu’Hervé est toujours à l’heure et qu’on s’est donné rendez-vous pour 22 heures. Tout en me crémant, me maquillant, me parfumant, je vous dirai dans un prochain épisode combien j’aime mon petit clito, et comment il me fait grimper très très très haut, découvrant même parfois un semblant d’éternité… 21h55 sonnait au clocher de l’église Saint Honoré, plus proche église de l’avenue Foch, avenue de ma résidence. Hervé sonnait à l’interphone :
- Isabelle, tu es prête, on est en bas
- J’arrive…
(A suivre …)
Il m’observait sans vergogne et de son autre main, il caressait le dessus de sa braguette fermée .... Je faisais semblant de ne pas lui donner trop d’importance. A un moment, une amie pressée arriva, toujours pétulante, gaie, vive :
- Bonjour Isa, comment vas-tu ?
- Oh Carole que je suis heureuse de te voir. Ca va bien et toi ?
- Oh tu sais, toujours ici et ailleurs, tu connais le métier …
- Ah oui en effet, tu restes un moment.
- Non, je suis très pressée, je pars à Milan ce soir pour un défilé, désolée mais je te rappelle dès mon retour, je file.
- Ok, super ma grande ! A bientôt …
L’homme, qui n’avait pas quitté son regard sur moi, se leva, et vint vers ma table. Parfaitement bien habillé, pardessus sur un veston style Burberry, une canne raffinée car il boitait légèrement
- Bonjour Madame, votre beauté n’a d’égale que la classe qui émane de vous.
- Merci Monsieur, répondis-je négligemment.
- Me permettez-vous de m’asseoir à votre table ?
- Monsieur, le fait de m’offrir un verre, que l’établissement a refusé par bonheur, ne vous permets pas de venir jusqu’à ma table.
- Vous a-t-on remis ma carte Madame.
- En effet Monsieur, mais je ne vous connais pas, je ne vois donc pas à quoi elle pourrait me servir.
- Justement Madame, nous pourrions faire connaissance.
- Ecoutez-moi bien Monsieur, je viens ici pour être tranquille, je n’ai ni besoin de votre conversation, ni de vous, alors, s’il vous plait, veuillez vous retirer.
L’homme me fixait et me dit sur un ton de reproche :
- Il ne serait pas content de savoir que vous vous êtes mal comportée !
- Je vous demande pardon ! De qui parlez-vous Monsieur ? Je vais appeler la sécurité si vous persistez à m’importuner.
- Je parle du Maître, Madame ! Cela vous dit-il quelque chose ?
La foudre venait de nouveau me frapper …
- Du Maî… du Maî… tre… Mais qui êtes-vous Monsieur ?...
- Je suis le vent Madame, je suis celui que l’on ne peut attraper, je suis ici et là et je sais que vous ne vous êtes pas bien comportée lors de votre rendez-vous, rue Daumesnil. Pour sûr, il ne pas être content, du tout, du tout …
Subitement, aussi facilement qu’il m’avait abordée, il tourna les talons et s’en alla sans un mot de plus. J’étais effondrée, plus par le fait que cet homme parfaitement inconnu de moi, savait ce qui s’était passé lors du rendez-vous, que pour toute autre raison. De plus, l’échéance du rendez-vous, pour le lendemain midi du 5 du mois, me revenait en mémoire. Enfin, les propos de cet homme m’instillèrent la peur, car enfin, cela commençait à faire beaucoup de choses nouvelles dans ma vie depuis peu de temps, depuis que j’ai rencontré ce Noble de Marquis. J’ai fait avec lui des choses impensables, je le reconnais, si on m’avait dit cela il n’y a qu’une quinzaine de jours…
Serai-je en train de perdre la tête ou tout simplement le contrôle de ma vie ?... Bon, Isabelle, tu vas arrêter ce cauchemar, te reprendre en main ma belle, sinon tu vas tout perdre. Pour commencer, je vais tenter de joindre quelques amies et j’irai la nuit prochaine en boîtes de nuit au Don Camillo, rue des Saints Pères dans le 7° ou à l’Aristote à Enghien. Je connaissais bien ces deux discothèques et y ai passé souvent des nuits entières à danser ou à… Quelques appels téléphoniques plus tard, et c’était convenu, j’irai au Don Camilo avec Virginie, son mari, Hervé, et France, deux amies très proches, Virginie Hôtesse de l’air chez Air France, France mannequin elle aussi mais dans une autre agence que moi. Le temps de revenir chez moi, prendre un bain, me préparer, nous nous sommes données rendez-vous pour vingt-deux heures en bas de chez moi…
Arrivée devant mon immeuble, je crus reconnaître une voiture, une Rolls-Royce qui démarrait et que je n’ai pu véritablement identifier. Tout de même, la vue de ce véhicule me troubla beaucoup. Et si c’était Lui, qui à nouveau m’épiait ? Mais non, tu as du confondre, je me fais des idées, pensais-je... Entrée chez moi, je me fis couler un bain et tandis que la baignoire se remplissait lentement, je me déshabillais entièrement et dénudée je m’allongeais sur mon lit, bras écartés, les jambes à demi pendantes de chaque côté. Je fermais les yeux… Je tentais de respirer profondément pour effacer ce que je considérais comme un cauchemar ou une obsession. En effet, en m’allongeant sur le lit, une douleur en bas des reins me rappela la marque de la cravache. Rien de d’y repenser, une sorte de dégoût s’emparait de moi, mêlé cependant à une sorte d’envie sexuelle, une excitation diffuse au début, très vague, mais qui peu à peu lentement prenait de la vigueur, en repensant au collier, la laisse. Ah non ! Ça suffit me dis-je tentant à nouveau d’arrêter de penser à ces mauvaises pensées… Je respirais à nouveau profondément, lentement comme je savais le faire en cas de stress. Mais mon clitoris semblait vouloir me jouer des tours. Mon petit clito, mon cher petit clito commençait de mettre le nez à la fenêtre de mes lèvres vaginales comme pour me dire :
‘‘Coucou, tu es là ? Tu sais que tu me fais du bien quand tu me caresses ? Eh bien, tu ne réponds pas ? ’’
Instinctivement, ma main se dirigea vers mon petit et très cher bouton et commença à le caresser tendrement, puis plus vite… Au bout d’un moment, je me souvins tout d’un coup de la baignoire.
- Mon dieu, la baignoire me dis-je en bondissant du lit.
Je filais à la salle de bains et stoppa les robinets in extremis. Une vapeur d’eau bienfaisante flottait dans la pièce parfumée aux huiles essentielles, et je me coulais dans la chaleur du bain, si enveloppante, si parfumée, si bienfaisante, que mes tétons se réveillèrent et mon petit ami le clitoris, également. Cette fois, bien consciente, ma main lui, adressa de telles caresses bienfaisantes qu’il me gratifia d’un orgasme, comme seul lui sait le faire…
Comme par exemple quand mes doigts descendent lentement sur mes seins et les caresse longuement et fortement jusqu’à ce que mes mamelons durcissent … de temps en temps, je pince un téton … ce qui me donne de petites décharges d’électricité tout le long de l’échine du dos. Je parviens même à les lécher en soulevant un sein après l’autre … c’est si bon ! Tout doucement et langoureusement, une de mes mains descend alors le long de mon ventre et atteint mon entrecuisse puis mon sexe… C’est là que je sursaute de bonheur … Ma chatte toute rasée ça permet d’avoir des sensations directes avec la peau et la sensibilité n’en est que plus accrue … mmmhhhh ! Les grandes lèvres de ma chatte s’ouvrent alors naturellement en corolle, à l’appel de mon premier doigt qui va venir titiller mon petit bouton d’amour … Ho mon clito ! Mon cher clitoris ! Il est bien développé et toujours réactif, très sensible aux attouchements … mmmhhhh ! Je suis donc allongée sur le dos et j'écarte à fond les lèvres de ma chatte... Parfois, je m'invente des scénarios torrides inavouables et/ou je regarde de près mon minou humide dans le grand miroir sur le mur d’en face de moi... excitation garantie !... Quand je mouille bien, je retrousse le capuchon de mon ami, le clitoris car j'aime le caresser "à vif" et je plonge les doigts dans mon vagin pour les imprégner de mouille... Je le barbouille bien, mon petit clito, pour que la caresse soit très moelleuse et très douce, et je glisse dessus avec l'index gauche tout doucement sans cesse, je retourne à mon vagin pour maintenir l'humidité sur mon petit bouton d’amour et je tourne tout autour, lentement, en l'effleurant à peine et c'est intense et délicieux ! Je malaxe aussi entre les doigts les petites lèvres de ma chatte qui sont assez proéminentes...
Je me doigte dans l’excitation, passant sans cesse du vagin au clito dénudé, décalotté que je sens grossir et chauffer sous mes doigts... Quelquefois, je rajoute de la salive pour que la caresse soit encore plus glissante car plus c'est mouillé et meilleur c'est... J'avoue que je ne touche pas toujours mes seins quand je me masturbe... je suis surtout focalisée sur mon bouton érigé que je triture sans relâche progressivement, ainsi je sens monter le plaisir, je transpire, mon coeur bat la chamade, ma chatte dégouline, mon clitoris se dresse encore plus et reluit et puis je jouis, intensément et violemment... Je ne me contente jamais d'une seule fois car quand je suis "partie" je suis capable de jouir plusieurs fois de suite, et de plus en plus fort... Je m'astique le clitoris jusqu'à ce qu'il devienne incapable de supporter que je continue à le titiller ! Parfois quand je n’ai que mes doigts à disposition, je continue des mouvements de rotation d’abord lents et puis de plus saccadés, à ne plus pouvoir s’arrêter … Je sens alors la tension monter et que je vais « venir » … je frotte, tourne, titille jusqu’à ce que je sente un orgasme qui arrive … et là avec une brusque et furtive sensation de syncope, je gémis des cris rauques de plaisir … Ooouuuiiiiii !!! Je me lèche les doigts langoureusement et savoure cet instant divin dans ma chatte trempée … Je repasse à plusieurs reprises mes doigts sur mon clitoris pour perpétrer l’effet de jouissance … mmmhhhh ! Après de telles séances, je reste souvent un long moment essoufflée et continue quelques petits mouvements des fesses juste pour essayer de prolonger ces délicieux moments ! …
A côté les hommes peuvent prendre des cours ! Mon clitoris et moi, une longue histoire. Que de choses agréables il m’a fait vivre. Combien de fois, grâce à lui, suis-je grimpée très haut dans les ciels des orgasmes. Il est vrai que je suis une grosse jouisseuse, j’aime me masturber, et dès le premier orgasme, en général très violent, après quelques secondes, le second arrive, plus vite et plus violent, et le troisième, plus dévastateur ainsi de suite. C’est pour moi, physiquement un véritable marathon que de me branler, je suis à la fin tétanisée musculairement parlant et le lendemain, j’ai des cuisses et des mollets durs comme la pierre tant j’ai joui.
Bon ce n’est pas tout ça, petit clito, je sais que tu aurais aimé que je recommence, mais vois-tu, il est 21h00, je dois me préparer car je sors ce soir, et oui ! Mais rassure-toi, je t’emmène avec moi, petit clito, mon meilleur ami qui ne me quitte jamais. Je me fais violence pour quitter mon bain et commencer de me préparer parce que je sais qu’Hervé est toujours à l’heure et qu’on s’est donné rendez-vous pour 22 heures. Tout en me crémant, me maquillant, me parfumant, je vous dirai dans un prochain épisode combien j’aime mon petit clito, et comment il me fait grimper très très très haut, découvrant même parfois un semblant d’éternité… 21h55 sonnait au clocher de l’église Saint Honoré, plus proche église de l’avenue Foch, avenue de ma résidence. Hervé sonnait à l’interphone :
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