Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1068)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1068)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1066) -
Le lendemain matin, je me réveillais dans Son lit, me demandant comment j’avais pu arriver là sans me réveiller… Tandis que j’émergeais lentement n’arrivant pas à me dire avec certitude si la nuit précédente, j’avais vécu ou rêvé... Le Maître entra dans la chambre, et alors que j’étais toujours allongée sur le lit, il retira sa robe de chambre et je vis son sexe si dressé, si raide que je compris immédiatement le pourquoi de sa venue.
- Lève-toi et tourne-toi, Ma chienne
- Oui Maître, répondis-je sans plus aucune hésitation à la vue de sa verge en forte érection, mon bas-ventre ayant de suite réagi.
Immédiatement je me mis en position fessier largement offert et Il me prit sauvagement, sans retenue, à la hussarde dirons-nous, me faisant poser un pied sur le rebord du lit pour bien ouvrir ma chatte et surtout, bien le sentir me travailler. Sa manière virile et rapide de me posséder ainsi, dès mon réveil me mit immédiatement en appétit et je me fis prendre dans un délice savouré par la montée du plaisir… Ses coups de reins pénétrant faisaient claquer ses couilles pendantes à chaque poussée et m’enivraient de mille tourbillons jouissifs lesquels je retenais afin de ne pas laisser éclater un orgasme non autorisé. Mes reins cambrés en arrière afin de favoriser cette saillie vaginale étaient maintenus en cette position offerte grâce à Ses puissantes mains qui fermement agrippaient mes hanches me tirant à Lui et à la cadence de ses coups de boutoirs puissants. Ses ahanements successifs digne d’un mâle en rut, me faisaient comprendre et ressentir aussi toute l’énergie déployées à me posséder de la sorte quand dans d’ultimes coups de reins, il lâcha de longs râles de plaisirs et jouit bruyamment déversant Sa noble semence en ma chatte en feu, sans faire attention à moi comme pour me marquer de son foutre dès le lever du jour. J’étais sa chienne, donc c’était normal. Je commençais de comprendre ce que voulait dire « être à disposition » Sitôt éjaculé, sa queue ressortit de ma chatte béante et trempée :
- Nettoies-là, chienne, je suis pressé ce matin
- Oui Maître
Je nettoyais avec dévotion le sexe du Maître lui faisant rendre ses dernières gouttes, il me tapota la joue, et me dit :
- File à la douche, on t’y attend.
- Oui Maitre.
Je me relevais, fourbue par la nuit mais en forme quand même et m’en étonnais. Je n’aurais jamais cru qu’une soirée au restaurant et la nuit qui s’en suivit en forêt aussi avilissantes me mettrait dans une telle forme ! Quand je sortis de la chambre du Maître, me rendant à la salle de bains des esclaves, je croisais d’autres esclaves, mâles ou femelles qui évoluaient tous la tête baissée et souvent en quadrupédie... mais je croisais aussi des membres personnel Dominant du Domaine, vaquant à leurs occupations... Arrivée à la salle de bains, soumise Keira MDE me fit signe pour me faire comprendre qu’elle m’attendait et me doucha, à l’eau glacée, debout, avec un jet d’eau, me lava sans ménagement, puis me sécha, me créma, me parfuma, me changea, et me dit :
- Madame Marie, la cuisinière, est déjà là, tu vas la rejoindre dans la salle informatique, elle t‘y attend avec un technicien (Plus doucement, à l’oreille, elle ajouta) - Fais attention, elle n’est pas commode.
- Merci soumise Keira MDE, répondis-je !
Je parcourus à nouveaux des couloirs demandant où était la salle informatique, des esclaves femelles m’orientèrent, juste par des indications de la main car elles n’étaient pas autorisées à me parler, tandis que je remarquais qu’elles étaient bien marquées sur les reins et fesses. J’arrivais enfin dans la salle. Madame Marie était là en effet, avec un technicien esclave. Elle réglait, comme je compris, un problème de branchement ardu semblait-t-il puisqu’un technicien en informatique faisant partie du Cheptel et qui avait du intervenir. En arrivant, je lui lançais à mi-voix et avec respect, tout en baissant la tête :
- Bonjour Madame Marie !
Sans me regarder, elle me faucha sur place :
- La chienne, tu n’as pas été très discrète la nuit dernière. Au moins, on sait ce qui te fait du bien, salope. (Pour rappel, j’avais passé la Nuit avec le Maître après mon retour de la forêt).
Rouge de confusion jusqu’aux oreilles et sur son ordre, je baissais la tête et mis mes mains derrière ma nuque, et écartais les jambes restant immobile ainsi exposée. Elle renvoya le technicien sans ménagement et une fois celui-ci parti, elle fit le tour de la table pour vérifier ma tenue. Je la laissais insérer sa main entre mes cuisses. Elle vérifia si j’étais humide et trifouilla un instant mon clito :
- Pour ce soir, tu devras être plus raide question clito, je ne te le redirai pas une autre fois. Habitue-toi à m’obéir sans que j’aie à me répéter. Ici, c’est Monsieur le Marquis, le Grand Maître, ensuite Son bras droit Walter et puis après, il y a Moi au niveau de la hiérarchie Dominante et nous avons tous pouvoirs sur les chiennes de ton espèce… Ecarte les bras et offres moi tes pis de chienne !
- Oui Madame Marie, tout de suite !
Je levais les bras et lui tendis ma poitrine. Elle me pinça les seins méchamment.
- Comme je les avais déjà remarqué, je n’aime pas tes pis de chienne, ni tes tétons de jeune fille. On va devoir te gonfler tout ça ! Va voir soumise Emeline, à l’infirmerie, je vais lui donner des instructions. Mais avant va mouiller tes nichons, salope. Et reviens ici tout de suite après, la pute !
J’obéissais au plus vite craignant cette femme si autoritaire. Arrivée à l’infirmerie, je trouvais soumise Emeline qui effectivement m’attendait. Beaucoup plus sympathique que Madame Marie, soumise Emeline m’accueillit avec un grand sourire. Comme moi, elle était nue et portait un collier et des marques violacées se voyaient sur ses seins et cuisses.
- Bonjour esclave, je suis l’infirmière du Château du Maître, me dit-elle, je soigne les petits bobos et les marques. Bien ! Montre-moi tes seins de plus près, Madame Marie m’a dit de te les gonfler et de t’allonger les tétines, ils sont pourtant mignons tes seins... Allez, allonge-toi ici sur la table. Ne crains pas, cela ne te fera pas mal, juste un peu douloureux au début, mais après tu auras une poitrine plus rebondie et des tétons plus... longs.
Je m’installais donc sur la table d’examens.
- Je suis prête lui dis-je. Tu les trouves petits, toi, mes seins ?, demandais-je à soumise Emeline.
- (en riant) mais non ! Je les trouve mignons, même mais tu dois savoir que Madame Marie a des goûts et des exigences précises... En plus s’ils sont plus volumineux, c’est mieux pour les cravacher, dit-elle souvent !
soumise Emeline travaillait vite et bien. Elle injectait un produit avec sa seringue qu’elle plantait un peu partout dans chaque sein et effectivement au bout d’une heure pour le premier, le sein avait doublé de volume, plus gros, plus galbé également. Ensuite, elle plaça un extenseur de téton qui lorsqu’elle en relâchât le ressort, étira fortement le téton l’allongeant de ce fait. Ainsi « transformée » après plus de trois heures d’étirement, soumise Emeline me renvoya retrouver Marie la cuisinière. Celle-ci, toujours occupée en salle informatique, ne porta aucun intérêt à ma présence. Vêtue entièrement de cuir, jupe stricte, corset et petite veste, son aspect sévère, ses lunettes dont la monture noire assombrissait encore plus son regard, elle me donnait plus à penser à une Kapo de l’armée soviétique qu’à une femme. Alors que je restais derrière elle à attendre son bon vouloir, immobile et qu’elle était penchée en avant sur ses branchements informatiques :
- As-tu fini de reluquer mon cul, salope ?
Je ne reluquais rien mais étais derrière elle, silencieuse, attendant.
- Montre-moi le travail de soumise Emeline ! (J’obtempère, levant les bras écartés offrant ma poitrine à sa vue)
- Mouais, c’est pas mal, mais on fera mieux la prochaine fois, c’est un début, salope. Place-toi de biais, ici ! (Ses paroles étaient des ordres stricts !) - Monsieur le Marquis m’a donné ordre de m’occuper de toi pendant deux jours et crois-moi ma belle, je vais le faire, j’ai l’habitude de dresser des petites chiennes comme toi. Pour commencer, mets-toi à quatre pattes, et rapporte-moi la cravache que tu vois là-bas sur la table !
- Oui Marie, dis-je
Une superbe paire de gifles me coupa le souffle.
- Pas Marie, grosse salope, tu dois me dire Madame Marie ou Madame, la chienne !
- Ou… Oui Madame Marie.
- Remercie-moi de te dresser, salope !
- Je vous remercie de me dresser, Madame.
- Tu vois, quand tu veux...
Je me mis à quatre pattes et alla prendre la cravache exigée. Alors que je tendais la main pour la prendre :
- Pas avec tes pattes, sale chienne, avec ta gueule !
- Oui Madame, veuillez me pardonner…
Je prenais entre mes lèvres la cravache et la ramenais à Marie la cuisinière qui s’en saisit, et comme remerciement, m’en asséna un fort coup sur les reins. Sous le coup, je serrais les dents, fermaient les yeux de douleurs quand le second arriva.
- Tu dois me remercier à chaque fois que je te dresse, salope, sinon les coups vont continuer de pleuvoir.
- Merci Ma....dame, de me dresser comme vous le faites.
- Bien ! Approche, la pute ! Je dois te préparer à ce que tu honores le Maître au cours de la nuit prochaine. Je vais te dire ce qu’Il aime... Tout d’abord, ne t’avise jamais à jouir avant qu’Il ne te l’ai permis... Je t’assure que tu le regretterais amèrement. Toute jouissance non autorisée est et sera toujours sévèrement punies.
- Oui Madame.
- Autre chose encore, quand tu y iras le voir, sois déjà excitée, ce qui veut dire, que de la mouille doit se voir descendre entre tes cuisses de salope.
- Oui, Madame.
- Arrêt de couiner comme tu le fais, branle-toi que je vois ce que ça donne.
Je commençais à me caresser, mais trouvant que cela n’allait pas assez vite, la perverse cuisinière prit un vibromasseur qu’elle colla sur mon clito et le démarra... Je ne sais pourquoi ni comment, mais ce vibro agissait beaucoup plus fortement que ceux utilisés précédemment, ce qui, très vite, m’excita à un point que de ma chatte commençait de s’écouler de la cyprine...
- Bien !, dit Marie la cuisinière mais pas assez, Monsieur le Marquis n’a cure de petite fontaine Il voit ça chez toutes les femelles. Ce qu’Il veut de toi c’est un torrent... (Disant cela, elle lança le vibro plus fortement ce qui me fit me tordre de plaisir en un mhhh) - Ah, ça t’excite plus je vois, salope !…
- Ahhh ouiii Madame...
- Parfait, parfait, mais retiens-toi de jouir, sinon...
Soufflant, tentant de me contrôler malgré l’extrême envie de lâcher mon orgasme qui me taraudait, elle me dit :
- Ecarte ta chatte de pute et laisse couler ta vulve... Prends cette habitude de laisser couler entre tes cuisses de salope !
J’obtempérais et écartais cuisses, j’ouvrais ma chatte…
(A suivre …)
Le lendemain matin, je me réveillais dans Son lit, me demandant comment j’avais pu arriver là sans me réveiller… Tandis que j’émergeais lentement n’arrivant pas à me dire avec certitude si la nuit précédente, j’avais vécu ou rêvé... Le Maître entra dans la chambre, et alors que j’étais toujours allongée sur le lit, il retira sa robe de chambre et je vis son sexe si dressé, si raide que je compris immédiatement le pourquoi de sa venue.
- Lève-toi et tourne-toi, Ma chienne
- Oui Maître, répondis-je sans plus aucune hésitation à la vue de sa verge en forte érection, mon bas-ventre ayant de suite réagi.
Immédiatement je me mis en position fessier largement offert et Il me prit sauvagement, sans retenue, à la hussarde dirons-nous, me faisant poser un pied sur le rebord du lit pour bien ouvrir ma chatte et surtout, bien le sentir me travailler. Sa manière virile et rapide de me posséder ainsi, dès mon réveil me mit immédiatement en appétit et je me fis prendre dans un délice savouré par la montée du plaisir… Ses coups de reins pénétrant faisaient claquer ses couilles pendantes à chaque poussée et m’enivraient de mille tourbillons jouissifs lesquels je retenais afin de ne pas laisser éclater un orgasme non autorisé. Mes reins cambrés en arrière afin de favoriser cette saillie vaginale étaient maintenus en cette position offerte grâce à Ses puissantes mains qui fermement agrippaient mes hanches me tirant à Lui et à la cadence de ses coups de boutoirs puissants. Ses ahanements successifs digne d’un mâle en rut, me faisaient comprendre et ressentir aussi toute l’énergie déployées à me posséder de la sorte quand dans d’ultimes coups de reins, il lâcha de longs râles de plaisirs et jouit bruyamment déversant Sa noble semence en ma chatte en feu, sans faire attention à moi comme pour me marquer de son foutre dès le lever du jour. J’étais sa chienne, donc c’était normal. Je commençais de comprendre ce que voulait dire « être à disposition » Sitôt éjaculé, sa queue ressortit de ma chatte béante et trempée :
- Nettoies-là, chienne, je suis pressé ce matin
- Oui Maître
Je nettoyais avec dévotion le sexe du Maître lui faisant rendre ses dernières gouttes, il me tapota la joue, et me dit :
- File à la douche, on t’y attend.
- Oui Maitre.
Je me relevais, fourbue par la nuit mais en forme quand même et m’en étonnais. Je n’aurais jamais cru qu’une soirée au restaurant et la nuit qui s’en suivit en forêt aussi avilissantes me mettrait dans une telle forme ! Quand je sortis de la chambre du Maître, me rendant à la salle de bains des esclaves, je croisais d’autres esclaves, mâles ou femelles qui évoluaient tous la tête baissée et souvent en quadrupédie... mais je croisais aussi des membres personnel Dominant du Domaine, vaquant à leurs occupations... Arrivée à la salle de bains, soumise Keira MDE me fit signe pour me faire comprendre qu’elle m’attendait et me doucha, à l’eau glacée, debout, avec un jet d’eau, me lava sans ménagement, puis me sécha, me créma, me parfuma, me changea, et me dit :
- Madame Marie, la cuisinière, est déjà là, tu vas la rejoindre dans la salle informatique, elle t‘y attend avec un technicien (Plus doucement, à l’oreille, elle ajouta) - Fais attention, elle n’est pas commode.
- Merci soumise Keira MDE, répondis-je !
Je parcourus à nouveaux des couloirs demandant où était la salle informatique, des esclaves femelles m’orientèrent, juste par des indications de la main car elles n’étaient pas autorisées à me parler, tandis que je remarquais qu’elles étaient bien marquées sur les reins et fesses. J’arrivais enfin dans la salle. Madame Marie était là en effet, avec un technicien esclave. Elle réglait, comme je compris, un problème de branchement ardu semblait-t-il puisqu’un technicien en informatique faisant partie du Cheptel et qui avait du intervenir. En arrivant, je lui lançais à mi-voix et avec respect, tout en baissant la tête :
- Bonjour Madame Marie !
Sans me regarder, elle me faucha sur place :
- La chienne, tu n’as pas été très discrète la nuit dernière. Au moins, on sait ce qui te fait du bien, salope. (Pour rappel, j’avais passé la Nuit avec le Maître après mon retour de la forêt).
Rouge de confusion jusqu’aux oreilles et sur son ordre, je baissais la tête et mis mes mains derrière ma nuque, et écartais les jambes restant immobile ainsi exposée. Elle renvoya le technicien sans ménagement et une fois celui-ci parti, elle fit le tour de la table pour vérifier ma tenue. Je la laissais insérer sa main entre mes cuisses. Elle vérifia si j’étais humide et trifouilla un instant mon clito :
- Pour ce soir, tu devras être plus raide question clito, je ne te le redirai pas une autre fois. Habitue-toi à m’obéir sans que j’aie à me répéter. Ici, c’est Monsieur le Marquis, le Grand Maître, ensuite Son bras droit Walter et puis après, il y a Moi au niveau de la hiérarchie Dominante et nous avons tous pouvoirs sur les chiennes de ton espèce… Ecarte les bras et offres moi tes pis de chienne !
- Oui Madame Marie, tout de suite !
Je levais les bras et lui tendis ma poitrine. Elle me pinça les seins méchamment.
- Comme je les avais déjà remarqué, je n’aime pas tes pis de chienne, ni tes tétons de jeune fille. On va devoir te gonfler tout ça ! Va voir soumise Emeline, à l’infirmerie, je vais lui donner des instructions. Mais avant va mouiller tes nichons, salope. Et reviens ici tout de suite après, la pute !
J’obéissais au plus vite craignant cette femme si autoritaire. Arrivée à l’infirmerie, je trouvais soumise Emeline qui effectivement m’attendait. Beaucoup plus sympathique que Madame Marie, soumise Emeline m’accueillit avec un grand sourire. Comme moi, elle était nue et portait un collier et des marques violacées se voyaient sur ses seins et cuisses.
- Bonjour esclave, je suis l’infirmière du Château du Maître, me dit-elle, je soigne les petits bobos et les marques. Bien ! Montre-moi tes seins de plus près, Madame Marie m’a dit de te les gonfler et de t’allonger les tétines, ils sont pourtant mignons tes seins... Allez, allonge-toi ici sur la table. Ne crains pas, cela ne te fera pas mal, juste un peu douloureux au début, mais après tu auras une poitrine plus rebondie et des tétons plus... longs.
Je m’installais donc sur la table d’examens.
- Je suis prête lui dis-je. Tu les trouves petits, toi, mes seins ?, demandais-je à soumise Emeline.
- (en riant) mais non ! Je les trouve mignons, même mais tu dois savoir que Madame Marie a des goûts et des exigences précises... En plus s’ils sont plus volumineux, c’est mieux pour les cravacher, dit-elle souvent !
soumise Emeline travaillait vite et bien. Elle injectait un produit avec sa seringue qu’elle plantait un peu partout dans chaque sein et effectivement au bout d’une heure pour le premier, le sein avait doublé de volume, plus gros, plus galbé également. Ensuite, elle plaça un extenseur de téton qui lorsqu’elle en relâchât le ressort, étira fortement le téton l’allongeant de ce fait. Ainsi « transformée » après plus de trois heures d’étirement, soumise Emeline me renvoya retrouver Marie la cuisinière. Celle-ci, toujours occupée en salle informatique, ne porta aucun intérêt à ma présence. Vêtue entièrement de cuir, jupe stricte, corset et petite veste, son aspect sévère, ses lunettes dont la monture noire assombrissait encore plus son regard, elle me donnait plus à penser à une Kapo de l’armée soviétique qu’à une femme. Alors que je restais derrière elle à attendre son bon vouloir, immobile et qu’elle était penchée en avant sur ses branchements informatiques :
- As-tu fini de reluquer mon cul, salope ?
Je ne reluquais rien mais étais derrière elle, silencieuse, attendant.
- Montre-moi le travail de soumise Emeline ! (J’obtempère, levant les bras écartés offrant ma poitrine à sa vue)
- Mouais, c’est pas mal, mais on fera mieux la prochaine fois, c’est un début, salope. Place-toi de biais, ici ! (Ses paroles étaient des ordres stricts !) - Monsieur le Marquis m’a donné ordre de m’occuper de toi pendant deux jours et crois-moi ma belle, je vais le faire, j’ai l’habitude de dresser des petites chiennes comme toi. Pour commencer, mets-toi à quatre pattes, et rapporte-moi la cravache que tu vois là-bas sur la table !
- Oui Marie, dis-je
Une superbe paire de gifles me coupa le souffle.
- Pas Marie, grosse salope, tu dois me dire Madame Marie ou Madame, la chienne !
- Ou… Oui Madame Marie.
- Remercie-moi de te dresser, salope !
- Je vous remercie de me dresser, Madame.
- Tu vois, quand tu veux...
Je me mis à quatre pattes et alla prendre la cravache exigée. Alors que je tendais la main pour la prendre :
- Pas avec tes pattes, sale chienne, avec ta gueule !
- Oui Madame, veuillez me pardonner…
Je prenais entre mes lèvres la cravache et la ramenais à Marie la cuisinière qui s’en saisit, et comme remerciement, m’en asséna un fort coup sur les reins. Sous le coup, je serrais les dents, fermaient les yeux de douleurs quand le second arriva.
- Tu dois me remercier à chaque fois que je te dresse, salope, sinon les coups vont continuer de pleuvoir.
- Merci Ma....dame, de me dresser comme vous le faites.
- Bien ! Approche, la pute ! Je dois te préparer à ce que tu honores le Maître au cours de la nuit prochaine. Je vais te dire ce qu’Il aime... Tout d’abord, ne t’avise jamais à jouir avant qu’Il ne te l’ai permis... Je t’assure que tu le regretterais amèrement. Toute jouissance non autorisée est et sera toujours sévèrement punies.
- Oui Madame.
- Autre chose encore, quand tu y iras le voir, sois déjà excitée, ce qui veut dire, que de la mouille doit se voir descendre entre tes cuisses de salope.
- Oui, Madame.
- Arrêt de couiner comme tu le fais, branle-toi que je vois ce que ça donne.
Je commençais à me caresser, mais trouvant que cela n’allait pas assez vite, la perverse cuisinière prit un vibromasseur qu’elle colla sur mon clito et le démarra... Je ne sais pourquoi ni comment, mais ce vibro agissait beaucoup plus fortement que ceux utilisés précédemment, ce qui, très vite, m’excita à un point que de ma chatte commençait de s’écouler de la cyprine...
- Bien !, dit Marie la cuisinière mais pas assez, Monsieur le Marquis n’a cure de petite fontaine Il voit ça chez toutes les femelles. Ce qu’Il veut de toi c’est un torrent... (Disant cela, elle lança le vibro plus fortement ce qui me fit me tordre de plaisir en un mhhh) - Ah, ça t’excite plus je vois, salope !…
- Ahhh ouiii Madame...
- Parfait, parfait, mais retiens-toi de jouir, sinon...
Soufflant, tentant de me contrôler malgré l’extrême envie de lâcher mon orgasme qui me taraudait, elle me dit :
- Ecarte ta chatte de pute et laisse couler ta vulve... Prends cette habitude de laisser couler entre tes cuisses de salope !
J’obtempérais et écartais cuisses, j’ouvrais ma chatte…
(A suivre …)
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