Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1096)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1096)
La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
Quand Simon dit, à son tour : …
- Si on l’emmenait au mas du Grand Bois, ils sont équipés là-bas ! Ils ne diraient pas non, eux et surtout Lui !
- Ouais, supère idée !, Oui Il sera content, répondirent les autres…
Nous voilà revenus dans la ferme, un moteur de voiture démarrait, on ouvrit le coffre :
- Grimpe là dedans, ordonna Simon…
Je montais dans le coffre qui se referma sur moi… Les portières claquaient, la voiture se mit en marche. Nous roulions depuis longtemps et je commençais sérieusement à m’inquiéter… Quand enfin la voiture ralentit… puis le moteur s’arrêta. J’entendais des voix nouvelles, des pas qui couraient, et le coffre s’ouvrit enfin ! J’écarquillais les yeux, passant de la pénombre à la clarté des projecteurs inondant l’endroit de leurs lumières… On me faisait sortir du coffre, j’avais les cuisses luisantes de foutre, un homme que je n’avais jamais vu prit la laisse et me fit sortir…
- Ah oui, superbe cocotte ! On dirait une belle salope !
- Ouais, quelle poule, dit un autre
- Ah enfin ! Une femelle avec des seins menus, comme je les aime, dit un troisième…
- Simon… Merci pour le cadeau, on va s’en occuper tu verras, tu restes avec nous bien sûr ?
- Ouais, les mecs, on reste bien sûr…
Une voix plus puissante se fit entendre :
- Amenez-moi la femelle !
Les voix se turent ! Seule La Voix emplissait l’endroit ! Quelqu’un prit la laisse et me tirait comme s’il ne fallait pas faire attendre la Voix ! Je tentais de suivre, mes petits seins ballotaient, ma vulve perdait les foutres qui ostensiblement coulaient encore entre mes cuisses… Les projecteurs me suivaient tandis que d’autres se fixaient à l’entrée de la majestueuse demeure, fortifiée. J’étais surprise du nombre de personnes présentes, beaucoup d’hommes, mais des femmes aussi… Alors, qu’entourée par cette meute, tirée pas la laisse, j’avançais, deux gros chiens arrivaient vers nous, m’entourèrent, me reniflaient entre les jambes, et nous accompagnèrent jusqu’à la Voix. Une sorte de géant, à la stature de colosse, crâne rasé, grande barbe, drapé dans une sorte de toge blanche, assis sur un trône…
- Amenez-là, devant moi ! (Poussée, tirée me voilà devant l’homme) - A genoux salope !...
Il se leva lentement, le silence se fit… Il vint vers moi, posa son index sous mon menton pour me faire relever la tête vers lui… Il me fixait intensément !
- Toi, dit-il…toi…je te veux… - Préparez-là ordonna-t-il !
Immédiatement je fus emmenée vers un poteau, attachée bras en l’air et deux hommes aux airs de sadique arrivèrent, torse nus, armés chacun d’un fouet. La troupe entourait la scène, et les fouets entrèrent en danse….. Ce fut un très long moment de fouet, sur l’ensemble du corps, je dansais, tentant d’éviter les coups mais n’y arrivant pas, tantôt sur un pied, tantôt sur l’autre, les coups arrivaient toujours à leurs buts… Je sentais mon corps brûlant de partout, l’excitation m’envahissait totalement autant que la douleur du fouet… Je mouillais beaucoup mais je ne tenais plus sur mes jambes, ma chatte dégoulinait de cyprine. On me traina ensuite, presque portée vers une cave, plus geôle qu’autre chose, au centre de la cave, un appareil dont je comprenais immédiatement l’usage…
- A quatre pattes la salope de chienne !
Immédiatement j’obéis, très excitée et on plaça des godes l’un sur mon anus, l’autre à la chatte, tandis qu’au clito était fixé un vibro. La machine se mit en marche, le vibro entra en action, doux au début puis rapidement plus fort, l’anus était forcé tandis que la chatte coulait encore. Les deux godes, mus par la machine ? commençaient leur œuvre, en cadence. Quand l’un entrait, l’autre sortait, tandis que de temps en temps, les deux, en même temps s’enfonçaient en moi synchronisés, puis en alternance et ainsi de suite. Travaillée comme je l’étais, sans aucune humanité, avec la séance de fouet, mes forces déclinaient rapidement, mais cela n’empêchait pas mes instincts de salope lubrique de m’assaillir vigoureusement, encore et encore.
- Je crois qu’elle est à point, dit un homme venu vérifier comment j’étais excitée
Je suis alors relevée, abandonnant les ustensiles de dressage, tenue par le collier, je suis emmenée, trainée devrais-je dire, devant celui qui semblait le chef, le gourou devrais-je dire, tant il me semblait qu’en sa présence, le reste de la troupe lui manifestait une quasi dévotion.
- Mettez cette salope en position ! ordonna le Maître des lieux…
Immédiatement, plusieurs hommes, aux torses nus, pantalons de jeans, bottes, crâne rasé, se saisirent de moi, et me firent me mettre à quatre pattes, sur une espèce de scène… Le chef, assis sur son trône, regardait l’assemblée, tandis que les « fidèles », attroupés et respectueux, chantaient des mélopées… Sur un claquement de doigts, une vingtaine d’hommes, nus se présentèrent, sous les cris des spectateurs déchainés, et une dizaine de jeunes filles arrivèrent par la suite, nues également et portant toutes collier et laisse. Un bandeau fut posé sur mes yeux, me plongeant dans le noir absolu… Excitée par les appareils, je mouillais encore comme une truie en rut, de ma chatte écartée, s’écoulait des paquets de cyprine, en longs filaments translucides, qui finissaient par tomber entre mes jambes… Clitoris sorti de sa gangue, complètement décalotté, il remuait tout seul, tant j’avais envie de jouir… Même mon cul, ouvert, semblait appeler les queues comme suppliant de le prendre… j’avais le cul en feu et mouillé de surcroît…
Une partie du groupe de la communauté, tapait sur des tam-tams, et le rythme des tambourins devenait lancinant, envoutant même, et propice aux débordements sexuels. Tandis que je ne voyais rien, je sentis en revanche, beaucoup de mains qui touchaient mon corps, mon dos, mes reins, tandis que d’autres me pressaient les tétons, les étiraient vers le bas, les allongeaient, d’autres encore, entraient dans ma vulve, sans précaution aucune, me fouillant honteusement jusqu’au fond de ma chatte, ressortaient, s’essuyaient sur mes fesses, d’autres entraient dans mon cul aussi profond qu’ils le pouvaient, faisaient des cercles élargissant ma muqueuse anale…
Soudain un claquement de mains… plus rien. Les tam-tams se turent, les mains ne me touchaient plus… Jusqu’au moment où les tam-tams reprirent sur un rythme plus vigoureux, plus rythmés, plus envoutant encore… J’entendais des pas derrière moi, puis, une bite se posa sur ma rosette, et s’enfonça sans ménagement jusqu’au fond, elle resta ainsi plantée en coït anal profond un grand moment dans mon fondement, ne bougeant plus, puis se mit en mouvement suivant le rythme imposé par les tambourins. Le propriétaire de la grosse bite raide se livrait à des coups de reins d’une rare violence tandis que son tronc d’arbre, très long et volumineux ravageait mon fondement de chienne lubrique… En fait, il suivait les rythmes imposés par la cadence des tam-tams, sans état d’âme, mais sans mollir aussi…
Bien limé, mon anus qui s’était adapté au fort calibre, vibrait comme jamais encore, le sexe coulissait dans son conduit… Mes sens en exergue de plus en plus sollicités, les tam-tams en cadence, la bite dans le cul, les coups de reins, je mouillais de plus belle… Soudain l’homme accéléra en même temps que les tambourins et finit par juter en de longs jets saccadés, il se retira lentement, tandis qu’un second prenait sa place immédiatement après et pour la première fois, celui qui venait de sortir, me prenait par la chatte, légèrement en travers…. Les deux bites se mirent en action en même temps et dans cette position, ma sensation fut incroyable. L’énorme tige de celui qui venait de m’enculer me dilater totalement la vulve, et entrant légèrement en travers, sa grosseur en dilatait encore plus l’ouverture.
- Ahhh, criais-je…
L’envie furieuse de jouir me taraudait alors je laissais échapper mes orgasmes explosifs à n’en plus finir en criant comme une folle mes jouissances extrêmes ressentant des décharges électriques fulgurantes de plaisirs orgasmiques… Alors que je jouissais encore, je sentis, alors un sexe se plaquer sur ma bouche… C’était un sexe féminin, que je commençais de lécher de haut en bas… Les tambourins reprenaient de la vigueur, les bites suivaient le tempo, la femelle à ma bouche ondulait d’envies non dissimulées, elle couinait, elle bavait, tant et si bien que je ne savais plus où donner de la langue. Je l’aspirais, je la tétais, son clitoris s’allongeait tandis que je l’aspirais comme je sais faire, et c’est en cet instant, que je sentis quelqu’un venir sous moi…
- Ouiii, hurlait la femelle à ma bouche en craquant littéralement sous ma langue, m’envoyant des jets d’urines sur le visage…
- Ahhhh, hurlais-je à mon tour, tandis que la personne sous moi avait avalé mon ami, mon cher clito qui n’en demandait pas moins…
Les deux bites n’avaient pas encore juté, tandis que mon clitoris en feu était l’objet de toutes les attentions d’une langue experte… Je dandinais du cul, me trémoussais comme une salope en rut, une autre chatte s’était présentée à ma bouche… je faisais feu de toutes parts, mais j’assurais cependant… Les tam-tams accéléraient leur cadence, les bites suivaient, j’allais exploser je le sentais quand, les deux bites jutèrent en même temps… La sensation des jets simultanés en moi me firent donner des coups de reins et cul si puissants que j’éjectais les deux bites en même temps. Un violent coup de cravache me cingla à hauteur des reins, me faisant me cabrer, abandonnant la chatte que je léchais et m’arrachant de la bouche qui en faisait de même avec mon clito. Un second coup de cravache m’atteignit en travers du dos, tandis que les deux bites entraient à nouveau en mes orifices...
Je levais mon cul pour leur faciliter la tâche comme une véritable furie de cul d’une femelle en chaleurs… La bouche reprenait mon clito abandonné ce qui me fit glousser comme une damnée… Quelqu’un versait sur mon dos et épaules de la cire fondue, tandis que je recevais des jets de foutre dans les cheveux, le cou, les épaules, sous le rythme maintenant endiablé des tam-tams. Les bites jutaient à nouveau et se retiraient très vite… J’étais de nouveau au bord de l’explosion finale car la bouche, sur mon clito ne me lâchait plus, la personne ayant passé ses mains au-dessus de mes reins me plaquait sur sa bouche… En cet instant, j’avais le cul et la chatte libre, mais un baobab se présenta à l’anus. Je dis baobab car jamais encore je n’avais senti de tentative d’introduction aussi monstrueuse. Même et surtout les yeux bandés, je n’avais que mon ressenti pour imaginer et ce que j’imaginais me paraissait terriblement excitant…
- Encule-la cette salope, hurlait une voix, tandis que les tam-tams frappaient encore plus vite.
Derrière moi, celui qui poussait m’avait attrapée par la taille et en poussant, ses mains faisaient l’inverse m’attirant à lui. Je sentais son gland monstrueux, un gland d’une bite que je devinais énorme, était posé sur ma rosette pourtant ouverte, forçait sous les coups de reins et la force d’attraction des mains, faisant s’ouvrir encore plus mais très lentement mon trou du cul…
(A suivre …)
Quand Simon dit, à son tour : …
- Si on l’emmenait au mas du Grand Bois, ils sont équipés là-bas ! Ils ne diraient pas non, eux et surtout Lui !
- Ouais, supère idée !, Oui Il sera content, répondirent les autres…
Nous voilà revenus dans la ferme, un moteur de voiture démarrait, on ouvrit le coffre :
- Grimpe là dedans, ordonna Simon…
Je montais dans le coffre qui se referma sur moi… Les portières claquaient, la voiture se mit en marche. Nous roulions depuis longtemps et je commençais sérieusement à m’inquiéter… Quand enfin la voiture ralentit… puis le moteur s’arrêta. J’entendais des voix nouvelles, des pas qui couraient, et le coffre s’ouvrit enfin ! J’écarquillais les yeux, passant de la pénombre à la clarté des projecteurs inondant l’endroit de leurs lumières… On me faisait sortir du coffre, j’avais les cuisses luisantes de foutre, un homme que je n’avais jamais vu prit la laisse et me fit sortir…
- Ah oui, superbe cocotte ! On dirait une belle salope !
- Ouais, quelle poule, dit un autre
- Ah enfin ! Une femelle avec des seins menus, comme je les aime, dit un troisième…
- Simon… Merci pour le cadeau, on va s’en occuper tu verras, tu restes avec nous bien sûr ?
- Ouais, les mecs, on reste bien sûr…
Une voix plus puissante se fit entendre :
- Amenez-moi la femelle !
Les voix se turent ! Seule La Voix emplissait l’endroit ! Quelqu’un prit la laisse et me tirait comme s’il ne fallait pas faire attendre la Voix ! Je tentais de suivre, mes petits seins ballotaient, ma vulve perdait les foutres qui ostensiblement coulaient encore entre mes cuisses… Les projecteurs me suivaient tandis que d’autres se fixaient à l’entrée de la majestueuse demeure, fortifiée. J’étais surprise du nombre de personnes présentes, beaucoup d’hommes, mais des femmes aussi… Alors, qu’entourée par cette meute, tirée pas la laisse, j’avançais, deux gros chiens arrivaient vers nous, m’entourèrent, me reniflaient entre les jambes, et nous accompagnèrent jusqu’à la Voix. Une sorte de géant, à la stature de colosse, crâne rasé, grande barbe, drapé dans une sorte de toge blanche, assis sur un trône…
- Amenez-là, devant moi ! (Poussée, tirée me voilà devant l’homme) - A genoux salope !...
Il se leva lentement, le silence se fit… Il vint vers moi, posa son index sous mon menton pour me faire relever la tête vers lui… Il me fixait intensément !
- Toi, dit-il…toi…je te veux… - Préparez-là ordonna-t-il !
Immédiatement je fus emmenée vers un poteau, attachée bras en l’air et deux hommes aux airs de sadique arrivèrent, torse nus, armés chacun d’un fouet. La troupe entourait la scène, et les fouets entrèrent en danse….. Ce fut un très long moment de fouet, sur l’ensemble du corps, je dansais, tentant d’éviter les coups mais n’y arrivant pas, tantôt sur un pied, tantôt sur l’autre, les coups arrivaient toujours à leurs buts… Je sentais mon corps brûlant de partout, l’excitation m’envahissait totalement autant que la douleur du fouet… Je mouillais beaucoup mais je ne tenais plus sur mes jambes, ma chatte dégoulinait de cyprine. On me traina ensuite, presque portée vers une cave, plus geôle qu’autre chose, au centre de la cave, un appareil dont je comprenais immédiatement l’usage…
- A quatre pattes la salope de chienne !
Immédiatement j’obéis, très excitée et on plaça des godes l’un sur mon anus, l’autre à la chatte, tandis qu’au clito était fixé un vibro. La machine se mit en marche, le vibro entra en action, doux au début puis rapidement plus fort, l’anus était forcé tandis que la chatte coulait encore. Les deux godes, mus par la machine ? commençaient leur œuvre, en cadence. Quand l’un entrait, l’autre sortait, tandis que de temps en temps, les deux, en même temps s’enfonçaient en moi synchronisés, puis en alternance et ainsi de suite. Travaillée comme je l’étais, sans aucune humanité, avec la séance de fouet, mes forces déclinaient rapidement, mais cela n’empêchait pas mes instincts de salope lubrique de m’assaillir vigoureusement, encore et encore.
- Je crois qu’elle est à point, dit un homme venu vérifier comment j’étais excitée
Je suis alors relevée, abandonnant les ustensiles de dressage, tenue par le collier, je suis emmenée, trainée devrais-je dire, devant celui qui semblait le chef, le gourou devrais-je dire, tant il me semblait qu’en sa présence, le reste de la troupe lui manifestait une quasi dévotion.
- Mettez cette salope en position ! ordonna le Maître des lieux…
Immédiatement, plusieurs hommes, aux torses nus, pantalons de jeans, bottes, crâne rasé, se saisirent de moi, et me firent me mettre à quatre pattes, sur une espèce de scène… Le chef, assis sur son trône, regardait l’assemblée, tandis que les « fidèles », attroupés et respectueux, chantaient des mélopées… Sur un claquement de doigts, une vingtaine d’hommes, nus se présentèrent, sous les cris des spectateurs déchainés, et une dizaine de jeunes filles arrivèrent par la suite, nues également et portant toutes collier et laisse. Un bandeau fut posé sur mes yeux, me plongeant dans le noir absolu… Excitée par les appareils, je mouillais encore comme une truie en rut, de ma chatte écartée, s’écoulait des paquets de cyprine, en longs filaments translucides, qui finissaient par tomber entre mes jambes… Clitoris sorti de sa gangue, complètement décalotté, il remuait tout seul, tant j’avais envie de jouir… Même mon cul, ouvert, semblait appeler les queues comme suppliant de le prendre… j’avais le cul en feu et mouillé de surcroît…
Une partie du groupe de la communauté, tapait sur des tam-tams, et le rythme des tambourins devenait lancinant, envoutant même, et propice aux débordements sexuels. Tandis que je ne voyais rien, je sentis en revanche, beaucoup de mains qui touchaient mon corps, mon dos, mes reins, tandis que d’autres me pressaient les tétons, les étiraient vers le bas, les allongeaient, d’autres encore, entraient dans ma vulve, sans précaution aucune, me fouillant honteusement jusqu’au fond de ma chatte, ressortaient, s’essuyaient sur mes fesses, d’autres entraient dans mon cul aussi profond qu’ils le pouvaient, faisaient des cercles élargissant ma muqueuse anale…
Soudain un claquement de mains… plus rien. Les tam-tams se turent, les mains ne me touchaient plus… Jusqu’au moment où les tam-tams reprirent sur un rythme plus vigoureux, plus rythmés, plus envoutant encore… J’entendais des pas derrière moi, puis, une bite se posa sur ma rosette, et s’enfonça sans ménagement jusqu’au fond, elle resta ainsi plantée en coït anal profond un grand moment dans mon fondement, ne bougeant plus, puis se mit en mouvement suivant le rythme imposé par les tambourins. Le propriétaire de la grosse bite raide se livrait à des coups de reins d’une rare violence tandis que son tronc d’arbre, très long et volumineux ravageait mon fondement de chienne lubrique… En fait, il suivait les rythmes imposés par la cadence des tam-tams, sans état d’âme, mais sans mollir aussi…
Bien limé, mon anus qui s’était adapté au fort calibre, vibrait comme jamais encore, le sexe coulissait dans son conduit… Mes sens en exergue de plus en plus sollicités, les tam-tams en cadence, la bite dans le cul, les coups de reins, je mouillais de plus belle… Soudain l’homme accéléra en même temps que les tambourins et finit par juter en de longs jets saccadés, il se retira lentement, tandis qu’un second prenait sa place immédiatement après et pour la première fois, celui qui venait de sortir, me prenait par la chatte, légèrement en travers…. Les deux bites se mirent en action en même temps et dans cette position, ma sensation fut incroyable. L’énorme tige de celui qui venait de m’enculer me dilater totalement la vulve, et entrant légèrement en travers, sa grosseur en dilatait encore plus l’ouverture.
- Ahhh, criais-je…
L’envie furieuse de jouir me taraudait alors je laissais échapper mes orgasmes explosifs à n’en plus finir en criant comme une folle mes jouissances extrêmes ressentant des décharges électriques fulgurantes de plaisirs orgasmiques… Alors que je jouissais encore, je sentis, alors un sexe se plaquer sur ma bouche… C’était un sexe féminin, que je commençais de lécher de haut en bas… Les tambourins reprenaient de la vigueur, les bites suivaient le tempo, la femelle à ma bouche ondulait d’envies non dissimulées, elle couinait, elle bavait, tant et si bien que je ne savais plus où donner de la langue. Je l’aspirais, je la tétais, son clitoris s’allongeait tandis que je l’aspirais comme je sais faire, et c’est en cet instant, que je sentis quelqu’un venir sous moi…
- Ouiii, hurlait la femelle à ma bouche en craquant littéralement sous ma langue, m’envoyant des jets d’urines sur le visage…
- Ahhhh, hurlais-je à mon tour, tandis que la personne sous moi avait avalé mon ami, mon cher clito qui n’en demandait pas moins…
Les deux bites n’avaient pas encore juté, tandis que mon clitoris en feu était l’objet de toutes les attentions d’une langue experte… Je dandinais du cul, me trémoussais comme une salope en rut, une autre chatte s’était présentée à ma bouche… je faisais feu de toutes parts, mais j’assurais cependant… Les tam-tams accéléraient leur cadence, les bites suivaient, j’allais exploser je le sentais quand, les deux bites jutèrent en même temps… La sensation des jets simultanés en moi me firent donner des coups de reins et cul si puissants que j’éjectais les deux bites en même temps. Un violent coup de cravache me cingla à hauteur des reins, me faisant me cabrer, abandonnant la chatte que je léchais et m’arrachant de la bouche qui en faisait de même avec mon clito. Un second coup de cravache m’atteignit en travers du dos, tandis que les deux bites entraient à nouveau en mes orifices...
Je levais mon cul pour leur faciliter la tâche comme une véritable furie de cul d’une femelle en chaleurs… La bouche reprenait mon clito abandonné ce qui me fit glousser comme une damnée… Quelqu’un versait sur mon dos et épaules de la cire fondue, tandis que je recevais des jets de foutre dans les cheveux, le cou, les épaules, sous le rythme maintenant endiablé des tam-tams. Les bites jutaient à nouveau et se retiraient très vite… J’étais de nouveau au bord de l’explosion finale car la bouche, sur mon clito ne me lâchait plus, la personne ayant passé ses mains au-dessus de mes reins me plaquait sur sa bouche… En cet instant, j’avais le cul et la chatte libre, mais un baobab se présenta à l’anus. Je dis baobab car jamais encore je n’avais senti de tentative d’introduction aussi monstrueuse. Même et surtout les yeux bandés, je n’avais que mon ressenti pour imaginer et ce que j’imaginais me paraissait terriblement excitant…
- Encule-la cette salope, hurlait une voix, tandis que les tam-tams frappaient encore plus vite.
Derrière moi, celui qui poussait m’avait attrapée par la taille et en poussant, ses mains faisaient l’inverse m’attirant à lui. Je sentais son gland monstrueux, un gland d’une bite que je devinais énorme, était posé sur ma rosette pourtant ouverte, forçait sous les coups de reins et la force d’attraction des mains, faisant s’ouvrir encore plus mais très lentement mon trou du cul…
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