Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1117)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1117)
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) -
Ensuite, il s’enfonça sans préambule dans ma chatte gluante, jusqu’au fond, me remontant le col utérin… Là, ses coups de reins se firent plus puissants, plus vifs, et ils déclenchaient cette fois, en moi, carrément des envies de jouissances. Je sentais monter les orgasmes, mon clitoris gonflé, tentait de se montrer, et de temps en temps, Walter passait dessus ses gros doigts … Alors que je le sentais venir, il sortit à nouveau de ma chatte en effervescence, me laissant à nouveau en manque, me fit me mettre à genoux devant, et d’un regard dominateur de sa part, je compris que je devais ouvrir la bouche. Sans plus de précaution, le Majordome s’enfonça dans ma bouche, tandis que ma petite langue commençait à lécher sa tige enduite de ma cyprine alors que ma chatte et mon cul criait famine… Au point d’en avoir des douleurs dans le bas-ventre… Il s’activait tout seul, me tenant par les cheveux, et juta en un long jet saccadé de foutre, que j’avalais rapidement. Il était resté planté dans le fond de ma gorge, m’empêchant de respirer convenablement quand il me dit :
- Tu suces bien mieux qu’à tes débuts, petite chienne, je te trouve bien meilleure lécheuse maintenant…
Ne me demandez pas le pourquoi de ma réaction… je ne le sais pas, mais tandis qu’il me fixait et qu’il avait toujours dans le fond de ma gorge, son gland si doux, qui suintait encore, des larmes arrivèrent à mes yeux au début, légères, puis à force de me fixer de son regard toujours aussi dominant, plus abondantes… Je pleurais tout simplement, car ses mots eurent sur moi un effet d’un tel compliment, que je sus, en cet instant précis, que j’avais passé un palier dans mon dressage. Me prenant par les joues, (ses mains dépassaient la largeur de mes joues) je posais les miennes sur les siennes et frottaient mon visage contre ses mains… Il se laissait faire comme pour le remercier de ce compliment dont je savais que s’il avait été dit par le Majordome, c’est que Monsieur le Marquis d’Evans n’en pensait pas moins, sans me le dire bien sûr. Maître était ainsi qu’il faisait parfois dire à Walter ce qu’Il pensait Lui-même mais, sans pour autant le dire ou s’abaisser à le dire… Le Majordome me laissait verser mes larmes, en comprenant le pourquoi et le sens… Puis, il m’aida à me relever doucement, me fit me tourner, posa sa main sur ma tête, toujours avec douceur mais en appuyant cependant, me faisant comprendre de me pencher en avant… Lentement, j’obéissais, écartais mes jambes, creusais mon bassin…Walter posa ses mains autour de ma taille, délaissant mes fesses meurtries et très marquées, et présenta sa verge déjà redressée, donc à nouveau très raide, posant son gland sur mon clitoris… Son gland, à nouveau, très mouillé, passait et repassait le long de mon clito en un massage chaud de toute sa longueur avec un tel traitement, je ne pus qu’avoir à nouveau envie et lentement, le gland délaissa le clitoris, descendit en dessous, forçant un peu l’entrée de ma grotte merveilleuse, et s’y enfonça doucement, très doucement, me laissant le temps de m’ouvrir et m’adapter à la taille importante de la bite du Majordome.
Enfin, il glissa en moi et à nouveau, sentir ce bâton si gros, si chaud, glisser en moi, envahissant totalement mon espace vaginal, l’écartelant même, me donna de tels frissons d’envies que je l’aidai, par de petits coups de bassin à s’enfoncer encore plus en moi… Alors qu’il était aux trois-quarts entré, la sensation d’emprise que j’avais, de possession en mon corps chaud de désirs, était telle, que d’un coup de cul je m’enfonçais entièrement sur lui, jusqu’au fond me faisant relever la tête violemment dans un :
- Ahhhh c’est bon Monsieur Walter !
Surpris, le Majordome accéléra alors comme un forcené, avec de tels coups de reins virils et puissants qu’à chaque fois il m’envoyait sur le lit, il me retenait par les épaules pour m’empêcher de lui échapper… Il me labourait violemment, me secouait en tous sens, devenant une barque sur la mer déchaînée, je sentais ses couilles battre mon clitoris en un rythme régulier… je hoquetais… je bavais… ma vue se brouillait… mes seins remuaient en tous sens n’avais plus qu’une envie : jouir, mais Walter en fin limier, savait faire durer le plaisir au point de rendre complètement folle et malléable la femelle qu’il travaillait… Alternant les cadences, les enfoncements profonds et vifs, les forces de pénétrations, il me conduisait là où IL voulait m’emmener… Je devenais son objet de luxure et j’aimais cette sensation d’objet… De temps en temps, il ressortait complètement de ma chatte et je m’entendis dire tout haut :
- Noooon, encoooore !
Il riait alors, et sans avertissement de sa part, s’enfonçait, entièrement, jusqu’au fond de ma vulve trempée, me faisant gémir encore de plaisirs, puis hurler d’envies de jouissances fortes, tant il prenait son temps… Enfin, je sentis que la fin arrivait, ses coups de reins toujours plus forts, puis violents, me relevant du lit, jusqu’à devenir explosifs même… mes fesses suivaient le massage imposé par le bas-ventre de Walter, ses couilles tapaient fortement mon clitoris, la jute n’étais pas loin, moi, je n’en pouvais plus d’attendre, quand soudain, je sentis que son gland durcit puis envoya ses jets de sperme chaud qui vinrent cogner dans mon fond vulvaire. Ces cognements me firent exploser… en des cris de bêtes achevée… je donnais des coups de pieds en arrière, des coups de cul sur sa bite, des coups de reins, je redressais mon torse, l’allongeais à nouveau sur le lit, le relevait encore et encore, tournant la tête en tous sens, mes bras battant l’air les yeux révulsés, la bouche ouverte et laissant s’échapper la salive… Je n’étais plus là, mon esprit était parti ailleurs, seul mon corps vibrait sur une telle fréquence que tous mes muscles de femelle se trouvaient tétanisés, tendus à l’extrême… j’avais la chatte en feu, et la lance du Majordome, après quelques secondes de répit se remit en marche…. Ce jour-là, Walter me baisa trois heures d’affilée… trois heures d’anthologie pour moi, et exténués tous les deux, nous nous sommes affalés sur le lit…. le Majordome sur le dos, et moi sur le ventre, à ses côtés, à moitié posée sur lui, ma cuisse gauche sur ses jambes ainsi que mon bras gauche en un geste d’affection, comme deux amants enlacés… Nous dormions ainsi lorsque Maître entra et ce qu’il vit le ne lui plut pas du tout, mais, vraiment pas du tout ! Il ne dit rien ! Prit un siège, s’assit confortablement puis, fit sonner un réveil ! Le Majordome fut le premier à se réveiller, et à reprendre conscience de notre état prit mon bras, se releva d’un bond à la vue de son patron, Monsieur le Marquis. Il se rendit compte qu’il avait encore son sexe dehors, tandis que moi, toujours couchée sur le ventre, fesses bien marquées et en pointe, cuisses ouvertes, je me vidais de ma chatte où s’écoulait le foutre de Walter… Une grosse tâche de foutre avait marqué le dessus de lit et la couette…
- Monsieur le Marquis, je crois que je me suis endormi, veuillez m’en excuser, dit tout penaud Walter.
- Il me semble, en effet, mon ami, il me semble…. Sais-tu l’heure qu’il est ? 21H15, Walter ! 21h15 ! Le banquet est pour 21h30 ! Tu devrais être prêt et Ma petite chienne aussi, non ? Walter, c’est la première fois que je te trouve ainsi, en si bomme compagnie comme un petit couple qui vient de se retrouver
Le Majordome ne savait plus où se mettre présentant de nouveau ses plates excuses tandis que moi, je dormais du sommeil, béate, repue… Tout d’un coup, je fus réveillée par un coup de canne sur les fesses, de la part du Noble, coup si fort, que je bondis du lit, quelques secondes… ailleurs… même la vue du Maître ne me fit pas « revenir » très vite… assez malheureusement pour m’entendre dire :
- Petite salope, tu me le paieras, sois-en assurée !
En une seconde, je revins sur terre, et je compris, mais un peu tard tous les sens des mots dits par le Châtelain. Walter donna ses ordres énergiquement, comme pour se racheter et montrer à son patron qu’il reprenait les choses en mains :
- File prendre une douche, salope, et plus vite que ça, nous allons être en retard…
Le Noble ne bougeait pas, toujours assis sur sa chaise, ses mains posées sur le pommeau de sa canne, semblant même enjoué de ce qu’il venait de voir et de son coup de canne. Je filais vers la douche et jamais de ma vie, celle-ci fut aussi rapide… Quelques rectifications de maquillage, par chance, ma tenue du soir était prête, j’enfilais rapidement bas, porte-jarretelles, escarpins, et la sublime robe prévue pour la circonstance… en taffetas noir, échancrée devant, jusqu’en dessous des seins, derrière jusqu’en bas des reins, montrant le début de ma raie culière… fendue ensuite devant derrière, et sur les deux côtés des cuisses, laissant se mouvoir les pans au grès de mes mouvements, dévoilant aux yeux des Invités à la fois mes jambes galbées et mes intimités… Le Majordome prévint l’intendance d’un « petit retard », et enfin, vers les 21h50, Maître fit son entrée dans la grande salle du mas, avec en sa main levée, me tenant par les doigts, l’humble esclave que je suis… Nous étions suivis par Walter qui s’était douché et changé rapidement… Dans la salle des Invités triés sur le volet par le Maître des lieux…tous des personnages importants de la région, dont certains étaient connus du Châtelain, d’autres non. Ceux-ci étaient présentés à Maître, qui d’un coup de tête les saluait, tandis que le Manadier me présentait aux Invités comme l’esclave préférée de Monsieur le Marquis. Pas moins d’une cinquantaine de personnes étaient présentes, les Messieurs accompagnés de leurs épouses, d’autres venus seuls…j’avais pris place à la droite du Noble tandis que le Manadier était en face de Lui… Le terme « esclave » avait été fort remarqué et les questions fusaient sur le sens exact de ce mot… Maître, un peu énervé par ce qui s’était passé, avant, mais comme à son habitude, masquant tout, me semblait calme, maîtrisant parfaitement ses émotions… coupa court, brusquement aux questions qui fusaient et auxquelles je répondais sans problème. Le Maître s’exclamant haut et fort :
(A suivre …)
Ensuite, il s’enfonça sans préambule dans ma chatte gluante, jusqu’au fond, me remontant le col utérin… Là, ses coups de reins se firent plus puissants, plus vifs, et ils déclenchaient cette fois, en moi, carrément des envies de jouissances. Je sentais monter les orgasmes, mon clitoris gonflé, tentait de se montrer, et de temps en temps, Walter passait dessus ses gros doigts … Alors que je le sentais venir, il sortit à nouveau de ma chatte en effervescence, me laissant à nouveau en manque, me fit me mettre à genoux devant, et d’un regard dominateur de sa part, je compris que je devais ouvrir la bouche. Sans plus de précaution, le Majordome s’enfonça dans ma bouche, tandis que ma petite langue commençait à lécher sa tige enduite de ma cyprine alors que ma chatte et mon cul criait famine… Au point d’en avoir des douleurs dans le bas-ventre… Il s’activait tout seul, me tenant par les cheveux, et juta en un long jet saccadé de foutre, que j’avalais rapidement. Il était resté planté dans le fond de ma gorge, m’empêchant de respirer convenablement quand il me dit :
- Tu suces bien mieux qu’à tes débuts, petite chienne, je te trouve bien meilleure lécheuse maintenant…
Ne me demandez pas le pourquoi de ma réaction… je ne le sais pas, mais tandis qu’il me fixait et qu’il avait toujours dans le fond de ma gorge, son gland si doux, qui suintait encore, des larmes arrivèrent à mes yeux au début, légères, puis à force de me fixer de son regard toujours aussi dominant, plus abondantes… Je pleurais tout simplement, car ses mots eurent sur moi un effet d’un tel compliment, que je sus, en cet instant précis, que j’avais passé un palier dans mon dressage. Me prenant par les joues, (ses mains dépassaient la largeur de mes joues) je posais les miennes sur les siennes et frottaient mon visage contre ses mains… Il se laissait faire comme pour le remercier de ce compliment dont je savais que s’il avait été dit par le Majordome, c’est que Monsieur le Marquis d’Evans n’en pensait pas moins, sans me le dire bien sûr. Maître était ainsi qu’il faisait parfois dire à Walter ce qu’Il pensait Lui-même mais, sans pour autant le dire ou s’abaisser à le dire… Le Majordome me laissait verser mes larmes, en comprenant le pourquoi et le sens… Puis, il m’aida à me relever doucement, me fit me tourner, posa sa main sur ma tête, toujours avec douceur mais en appuyant cependant, me faisant comprendre de me pencher en avant… Lentement, j’obéissais, écartais mes jambes, creusais mon bassin…Walter posa ses mains autour de ma taille, délaissant mes fesses meurtries et très marquées, et présenta sa verge déjà redressée, donc à nouveau très raide, posant son gland sur mon clitoris… Son gland, à nouveau, très mouillé, passait et repassait le long de mon clito en un massage chaud de toute sa longueur avec un tel traitement, je ne pus qu’avoir à nouveau envie et lentement, le gland délaissa le clitoris, descendit en dessous, forçant un peu l’entrée de ma grotte merveilleuse, et s’y enfonça doucement, très doucement, me laissant le temps de m’ouvrir et m’adapter à la taille importante de la bite du Majordome.
Enfin, il glissa en moi et à nouveau, sentir ce bâton si gros, si chaud, glisser en moi, envahissant totalement mon espace vaginal, l’écartelant même, me donna de tels frissons d’envies que je l’aidai, par de petits coups de bassin à s’enfoncer encore plus en moi… Alors qu’il était aux trois-quarts entré, la sensation d’emprise que j’avais, de possession en mon corps chaud de désirs, était telle, que d’un coup de cul je m’enfonçais entièrement sur lui, jusqu’au fond me faisant relever la tête violemment dans un :
- Ahhhh c’est bon Monsieur Walter !
Surpris, le Majordome accéléra alors comme un forcené, avec de tels coups de reins virils et puissants qu’à chaque fois il m’envoyait sur le lit, il me retenait par les épaules pour m’empêcher de lui échapper… Il me labourait violemment, me secouait en tous sens, devenant une barque sur la mer déchaînée, je sentais ses couilles battre mon clitoris en un rythme régulier… je hoquetais… je bavais… ma vue se brouillait… mes seins remuaient en tous sens n’avais plus qu’une envie : jouir, mais Walter en fin limier, savait faire durer le plaisir au point de rendre complètement folle et malléable la femelle qu’il travaillait… Alternant les cadences, les enfoncements profonds et vifs, les forces de pénétrations, il me conduisait là où IL voulait m’emmener… Je devenais son objet de luxure et j’aimais cette sensation d’objet… De temps en temps, il ressortait complètement de ma chatte et je m’entendis dire tout haut :
- Noooon, encoooore !
Il riait alors, et sans avertissement de sa part, s’enfonçait, entièrement, jusqu’au fond de ma vulve trempée, me faisant gémir encore de plaisirs, puis hurler d’envies de jouissances fortes, tant il prenait son temps… Enfin, je sentis que la fin arrivait, ses coups de reins toujours plus forts, puis violents, me relevant du lit, jusqu’à devenir explosifs même… mes fesses suivaient le massage imposé par le bas-ventre de Walter, ses couilles tapaient fortement mon clitoris, la jute n’étais pas loin, moi, je n’en pouvais plus d’attendre, quand soudain, je sentis que son gland durcit puis envoya ses jets de sperme chaud qui vinrent cogner dans mon fond vulvaire. Ces cognements me firent exploser… en des cris de bêtes achevée… je donnais des coups de pieds en arrière, des coups de cul sur sa bite, des coups de reins, je redressais mon torse, l’allongeais à nouveau sur le lit, le relevait encore et encore, tournant la tête en tous sens, mes bras battant l’air les yeux révulsés, la bouche ouverte et laissant s’échapper la salive… Je n’étais plus là, mon esprit était parti ailleurs, seul mon corps vibrait sur une telle fréquence que tous mes muscles de femelle se trouvaient tétanisés, tendus à l’extrême… j’avais la chatte en feu, et la lance du Majordome, après quelques secondes de répit se remit en marche…. Ce jour-là, Walter me baisa trois heures d’affilée… trois heures d’anthologie pour moi, et exténués tous les deux, nous nous sommes affalés sur le lit…. le Majordome sur le dos, et moi sur le ventre, à ses côtés, à moitié posée sur lui, ma cuisse gauche sur ses jambes ainsi que mon bras gauche en un geste d’affection, comme deux amants enlacés… Nous dormions ainsi lorsque Maître entra et ce qu’il vit le ne lui plut pas du tout, mais, vraiment pas du tout ! Il ne dit rien ! Prit un siège, s’assit confortablement puis, fit sonner un réveil ! Le Majordome fut le premier à se réveiller, et à reprendre conscience de notre état prit mon bras, se releva d’un bond à la vue de son patron, Monsieur le Marquis. Il se rendit compte qu’il avait encore son sexe dehors, tandis que moi, toujours couchée sur le ventre, fesses bien marquées et en pointe, cuisses ouvertes, je me vidais de ma chatte où s’écoulait le foutre de Walter… Une grosse tâche de foutre avait marqué le dessus de lit et la couette…
- Monsieur le Marquis, je crois que je me suis endormi, veuillez m’en excuser, dit tout penaud Walter.
- Il me semble, en effet, mon ami, il me semble…. Sais-tu l’heure qu’il est ? 21H15, Walter ! 21h15 ! Le banquet est pour 21h30 ! Tu devrais être prêt et Ma petite chienne aussi, non ? Walter, c’est la première fois que je te trouve ainsi, en si bomme compagnie comme un petit couple qui vient de se retrouver
Le Majordome ne savait plus où se mettre présentant de nouveau ses plates excuses tandis que moi, je dormais du sommeil, béate, repue… Tout d’un coup, je fus réveillée par un coup de canne sur les fesses, de la part du Noble, coup si fort, que je bondis du lit, quelques secondes… ailleurs… même la vue du Maître ne me fit pas « revenir » très vite… assez malheureusement pour m’entendre dire :
- Petite salope, tu me le paieras, sois-en assurée !
En une seconde, je revins sur terre, et je compris, mais un peu tard tous les sens des mots dits par le Châtelain. Walter donna ses ordres énergiquement, comme pour se racheter et montrer à son patron qu’il reprenait les choses en mains :
- File prendre une douche, salope, et plus vite que ça, nous allons être en retard…
Le Noble ne bougeait pas, toujours assis sur sa chaise, ses mains posées sur le pommeau de sa canne, semblant même enjoué de ce qu’il venait de voir et de son coup de canne. Je filais vers la douche et jamais de ma vie, celle-ci fut aussi rapide… Quelques rectifications de maquillage, par chance, ma tenue du soir était prête, j’enfilais rapidement bas, porte-jarretelles, escarpins, et la sublime robe prévue pour la circonstance… en taffetas noir, échancrée devant, jusqu’en dessous des seins, derrière jusqu’en bas des reins, montrant le début de ma raie culière… fendue ensuite devant derrière, et sur les deux côtés des cuisses, laissant se mouvoir les pans au grès de mes mouvements, dévoilant aux yeux des Invités à la fois mes jambes galbées et mes intimités… Le Majordome prévint l’intendance d’un « petit retard », et enfin, vers les 21h50, Maître fit son entrée dans la grande salle du mas, avec en sa main levée, me tenant par les doigts, l’humble esclave que je suis… Nous étions suivis par Walter qui s’était douché et changé rapidement… Dans la salle des Invités triés sur le volet par le Maître des lieux…tous des personnages importants de la région, dont certains étaient connus du Châtelain, d’autres non. Ceux-ci étaient présentés à Maître, qui d’un coup de tête les saluait, tandis que le Manadier me présentait aux Invités comme l’esclave préférée de Monsieur le Marquis. Pas moins d’une cinquantaine de personnes étaient présentes, les Messieurs accompagnés de leurs épouses, d’autres venus seuls…j’avais pris place à la droite du Noble tandis que le Manadier était en face de Lui… Le terme « esclave » avait été fort remarqué et les questions fusaient sur le sens exact de ce mot… Maître, un peu énervé par ce qui s’était passé, avant, mais comme à son habitude, masquant tout, me semblait calme, maîtrisant parfaitement ses émotions… coupa court, brusquement aux questions qui fusaient et auxquelles je répondais sans problème. Le Maître s’exclamant haut et fort :
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