Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1125)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1125) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1125)
La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1107) –

- Tu es une bonne chienne en chaleurs bonne pour le cul …

Cette première journée se passa ainsi, toujours attachées et juchées sur la pointe des pieds. Mélanie semblait accepter sa servile condition et était beaucoup excitée. De mon côté, je commençais de ressentir de curieuses sensations. Positionnée comme je l’étais, mes orteils me faisaient souffrir terriblement, mes articulations d’épaules également, je ne pouvais pas bouger, et mes cuisses étaient en feu, bloquées qu’elles étaient par des crampes… Nous étions silencieuses, Mélanie et moi, comme méditant, chacune de notre côté sur notre condition. Depuis les autres cachots, des cris nous parvenaient, cris mêlant souffrances et plaisirs jouissifs. Nous entendions claquer des fouets, mais en même temps ou plutôt, quelques secondes plus tard, de longs cris de jouissances nous parvenaient aux oreilles. Tournant son regard vers moi, Mélanie me dit, tout bas :

- Tu commences à mieux comprendre ce qui se passe ?
- Je ne sais pas, répondis-je, je suis troublée … et excité même, par tout ça
- Oui, tu en jouis, toi aussi…
- Ah oui, dis-je devant reconnaître cette incroyable réalité !
- Tu vois, poursuivis Mélanie, ces poses dures à tenir, te font souffrir, mais en même temps, ne t’empêchent pas de jouir…
- C’est vrai
- Elles te permettent de réfléchir à ta véritable nature et d’en trouver du plaisir à être que tu es…

Tentant de soulager quelque peu mes orteils, mais en vain, je répondais :

- Mais je ne suis pas maso, quand même, j’ai vraiment mal !
- Je ne t’ai pas dit que tu étais maso, je t’ai dit que la douleur et l’immobilisation douloureuse qui est la tienne en ce moment, ne t’empêche nullement de jouir, ce n’est pas la même chose. Tu jouis, parce que Roger t’excite par ce qu’il te fait, tout en souffrant en même temps. Et ne me dis pas que tout en souffrant, tu n’aimes pas ce qu’il te fait.
- C’est vrai ! Oui c’est vrai, j’aime ce qu’il me fait, je l’avoue...

La journée était bien avancée, Roger passait quelques fois, nous regardait toutes les deux, têtes baissées, comme vérifiant notre état. Lorsqu’il voyait que tout « allait bien », il décrochait la cravache qui pendait toujours à sa ceinture et recommençait ses coups, d’abord et en premier sur Mélanie puis ensuite sur moi. Avec Mélanie, il se concentrait surtout sur ses seins et le dessus de ses cuisses, tandis qu’avec moi, c’était à l’intérieur de mes deux seins, sur les côtés, les tétons et également l’extérieur de mes cuisses. Aussi bien Mélanie que moi, étions trempées à la fin de la séance, à l’évidence cela nous excitait d’être traitées ainsi. Pour les repas, de jeunes femelles, nues portant collier, venaient nous faire manger. Dans leurs mains, une écuelle en bois, qu’elles nous tendaient devant la bouche, et nous devions laper la bouille nourrissante qui servait de repas. Après ce repas du soir, Roger revint et me délivra enfin de mes liens. Il dut m’aider à me relever tant j’étais tétanisée des muscles. Les crampes dans les mollets et les cuisses étaient telles que je n’arrivais pas à me tenir debout.

- A quatre pattes me dit-il, tu seras mieux !

Effectivement, dans cette position, j’étais plus à l’aise, étirant de temps en temps ma jambe droite, puis la gauche, goûtant à cette « liberté » de mouvements. Dans cette pose, il regardait mes voûtes plantaires, abimées par les pointes… Après vérification, il m’ordonna :

- Reste sur tes genoux mais relève tes pieds vers moi !

J’exécutais rapidement son ordre. Placé derrière moi, il prit sa cravache et commença, entre les orteils et le talon, un labourage systématique de ma voûte plantaire, évitant les orteils blessés. Les coups étaient secs, puissants, réguliers, je hurlais tant ils ravivaient mes douleurs mais au bout d’un moment, je recommençais de sentir mon ventre se creuser, ma chatte et mon cul, encore dilatés, se remettaient à vibrer comme appelant un mandrin… l’excitation prenait le dessus sur la douleur. Alors que je luttais mentalement contre cette demande excitante de mon corps, demande que je trouvais anormale, les coups de cravache continuaient de tomber, claquant sur ma peau, et ma résistance mentale s’amenuisant de minute en minute, je me mis à mouiller terriblement, j’avais honte mais en même temps, j’aimais ce qui m’arrivait en un curieux mélange de honte et de plaisirs. Les coups terminés, Roger raccrocha sa cravache à sa ceinture mais m’ordonna :

- Laisse tes pieds ainsi relevés !

J’obéissais bien sûr, tandis qu’il apportait un sac nouveau et m’expédiait dehors. Je sortis ainsi, à quatre pattes, pieds relevés en l’air en appui sur mes mains et mes genoux. L’air vif me glaçait, à la porte des autres cachots, d’autres esclaves, comme moi, étaient dehors, dans la même position. On se regardait mutuellement sans un mot. Dans mon cachot, j’entendais Roger remuer des choses en métal, puis :

- Allez revient, m’ordonna-t-il !

Tandis que je retrouvais Mélanie dans la même pose, il avait tout changé de mon côté. M’attrapant par les cheveux, il me tirait en un autre endroit du cachot, face, cette fois à Mélanie. Arrivée au mur recouvert de moisissures, mur qui suintait d’humidité, il me fit me tourner sur place, toujours tenue fermement par les cheveux, et me plaqua les fesses et les pieds contre le mur. J’étais toujours à genoux. Sur le mur, trônait un anneau, duquel partaient deux crochets avec pour le premier une chaîne ayant en son extrémité, un collier métallique, et du second, deux autres chaînes terminées par des colliers de même nature. Roger me fit me redresser et attacha mon cou à l’une des chaînes, tandis qu’il enfermait mes chevilles avec les deux autres colliers. Les chaînes étaient si tendues que j’avais les voûtes plantaires collées au mur ainsi que les fesses, tandis que la chaîne me tenant par le cou, me redressait fermement. Roger plaça entre le mur et mes reins, une calle en bois qui appuyait fortement sur mes reins, me fonçant à me cambrer, dans cette pose, ma poitrine était bien exposée. J’avais à nouveau les poignets entravés dans le dos, tandis qu’une sorte de ceinture passant sous mes seins, les relevait fortement.

- Tu vas rester ainsi toute la prochaine journée, me dit Roger, c’est une autre pose moins dure que la première mais tu ressentiras ça toute seule…

Il se recula un peu, regardant son œuvre, reprit sa cravache, et en asséna un premier coup, très sec sur mon téton droit. Surprise, je me mis à hurler de douleur. Un second arrive encore plus durement frappé qui aviva la douleur du premier coup. Il frappait encore et encore, avec méthode, sur le bout du téton qui se mettait à enfler… Il regardait son travail ainsi que le téton grossi et allongé. Roger se mit de travers par rapport à moi et poursuivit son œuvre sur le téton, par des coups donnés en travers. 10, 20, 30 coups s’abattaient me faisant à la fois hurler mais je sentais en même temps que de ma chatte entrouverte, coulait ma liqueur vaginale. Roger m’observait avec attention tout en poursuivant ses coups et me dit :

- Tu aimes ? chienne !
- Ouiiiiii ! J’ai envie Monsieur, fut ma réponse spontanée…

Il se mit à rire non pas sarcastiquement mais avec une sorte de « bonté » me disant :

- Tu commences à comprendre ce que tu es réellement ?
- Aïe, criais-je alors qu’un énième coup arrivait.

A partir de ce coup, chaque suivant me faisait mouiller de plus en plus… Se reculant un peu, le téton droit très gonflé, il regardait, puis s’inclinant un peu plus, ses yeux se portaient entre mes cuisses, très trempées maintenant.

- Tu mouilles vraiment petite salope ! me dit-il et Oh !, que vois-je là, quel beau clito bien raide … Présente-le moi, salope, toi-même…
- Monsieur, entravée comme je le suis, ce n’est pas facile, répondis-je…
- Je sais, dit sèchement Roger. Fais-moi comprendre de toi-même que tu as envie que je m’occupe de ton clito comme je l’ai fait avec ton téton…

Et après avoir dit cela, un coup très fort s’abattit sur mon téton gauche cette fois. Je hurlais ne m’attendant pas au coup sur ce sein délaissé auparavant… Tandis que rapidement, je me positionnais au mieux de ce que je pouvais faire pour présenter à Roger mon clitoris très dressé, tout en ayant, à la fois peur de la douleur mais en même temps très envie… Après avoir apprécié la posture, Roger prit sa place, du bout de la cravache, il tapota le nez du clito qui, à chaque fois qu’il était touché, me transmettait en mon bas-ventre, des sensations érotiques et ultra excitantes très violentes. La mesure de la distance ayant été prise, Roger commença son récital de coups portés au début de façon sèche mais « douce » puis de plus en plus forte, faisant plier vers le bas mon clito entêté qui a chaque fois, se redressait aussitôt comme en en demandant de nouveaux. Au bout d’un moment, la douleur, quoique très présente, était remplacée par des envies de plus en plus volcaniques. Ma cyprine coulait maintenant en longs fils translucides, formant, par terre une flaque, fils qui tombaient en paquets quand mon excitation devint plus violente. Chaque coup porté me faisait répondre par un « paquet » de glaire, devenant une sorte de fontaine….

- Tu mouilles vraiment, toi, dit Roger, jamais vu une femelle mouiller autant et si vite.

Entendant cela, Mélanie tenta de regarder en tournant sa tête vers moi. D’un coup terrible et non prévu, Roger lui asséna un très violent coup sur un sein, qui fit hurler Mélanie si fort que quelques secondes plus tard, un autre dresseur arriva en courant, demandant ce qui se passait.

- C’est rien, répondit Roger, c’est cette chienne qui a été surprise par un coup qu’elle n’attendait pas.
- Ah ! bon, je comprends, dit le dresseur visiteur.

Ce dresseur devait avoir une trentaine d’années, beau comme un dieu, solide comme un turc. Ses muscles saillants, ses tatouages, tout démontrait une santé florissante, un mâle vigoureux dans toute sa splendeur. Après avoir regardé les seins de Mélanie, il me regarda et ce qu’il vit sembla l’interpeller. J’étais dans la pose que vous savez, la tête redressée en arrière, la bouche ouverte, cuisses écartées, téton droit très marqué, et le clito en feu, tandis qu’entre mes cuisses, des paquets de mouille continuaient de tomber…

(A suivre …)

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Histoire sexe : Une rose rouge
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