Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1131)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1131)
Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (textes améliorés par MDE) -
- C’est scandaleux ! Comment peut-on laisser faire un comportement pareil sans réagir ?! C’est une honte !
Mon père est rouge de colère. Ses yeux lancent des éclairs aux pauvres serveurs qui rentrent la tête tout en silence pour laisser passer l’orage. Mes parents ont décidé de nous emmener mon frère et nos conjoints dans un grand restaurant étoilé de la région lyonnaise pour fêter leurs 35 ans de mariage. Je jette un œil sur l’objet de son courroux. Une sublime jeune femme dont le visage est masqué par un loup en plumes noires et rouges, corsetée dans une tenue tout en cuir tellement moulante que ses appâts sont presque plus visibles que si elle était nue, déambule à quatre pattes, tirée en laisse par un homme d’une prestance telle que toutes les têtes se tournent vers eux. Son compagnon et lui-même s’installent à une table près de nous et aucun des deux ne semblent prêter attention ni au remue-ménage causé par leur apparition, ni à la jeune femme à leurs pieds, très belle et sauvage dans son attitude digne, même lorsqu’elle boit de l’eau dans la gamelle qu’un des serveurs lui apporte.
Mon bas-ventre répond à cette vue et je ne peux empêcher la cyprine de couler à flot dans mon string, de remuer mon cul sur ma chaise, ce qui élance le plug aux initiales de Maîtresse Céline et m’excite encore plus. Ma mouille devient tellement odorante que je croise les jambes et regarde mon assiette avec la plus grande attention de peur de me trahir. Seul mon mari est au courant pour ma soumission. Lui aussi se concentre sur son mets des plus délicieux, à se demander si nous avons déjà goûté à une tomate tant les saveurs du plat sont incomparables.
- Mais papa…
J’ai beau lui démontrer que la jeune femme semble consentante, qu’elle a l’air plutôt heureuse de sa condition et qu’il n’y a pas d’enfants dans la salle, rien n’y fait. Mon père reste borné et de mauvaise humeur. Je suis extrêmement gênée par son attitude venimeuse. J’ai en plus reconnu l’homme à la prestance impressionnante, au charisme évident, il s’agit du célèbre Marquis d’Evans dont je me délecte de Ses récits D/s qui participent grandement à mon éducation de chienne-soumise aux pieds de Maîtresse Céline. Je trouve que c’est plutôt une chance de le croiser dans ce restaurant, une belle coïncidence inattendue. S’il savait qu’il y avait une autre personne soumise dans ce lieu, autre que la belle femelle qu’il tient avec fierté en laisse à Ses pieds. Je trouve aussi formidable qu’il existe des Dominants, comme Lui, qui permettent d’assouvir notre bestialité et nos pulsions de soumission qui vont avec, sans jugement de leur part. Mais je me garde bien de le dire tout haut. Mes parents ne comprendraient pas, alors quand arrive le milieu du repas, je pars alors discrètement me rafraîchir aux toilettes. Dans le hall de celles-ci séparant les WC des femmes à ceux des hommes, quelle n’est pas ma surprise de tomber nez à nez avec Monsieur le Marquis d’Evans en personne en train de se laver les mains à un des nombreux lavabos alignés ! Se retournant et me voyant, il me prend avec fermeté le bras et me tire plus à l’intérieur dans ce lieu d’aisance. Je garde les yeux baissés en signe de soumission malgré la surprise de ce geste. Je suis à la fois très honorée de son rapide mouvement ferme et intimidée de savoir que mon idole et auteur de mes lectures préférées soit là, en face de moi à me regarder fixement, moi, un peu penaude. Il m’observe encore un moment avec ses yeux bleus, dominants et profonds avant de me demander d’une voix très douce, chaude et enveloppante, caressante presque mais qui relève d’une maîtrise parfaite d’une certaine élégance paradoxale à son geste de m’avoir attrapée par le bras :
- Comment allez-vous, jeune fille ?
- Je … Je vais bien …Monsieur le Marquis, répondis-je en balbutiant mes mots
- Vous m’avez donc reconnu ?
- Qui ne connais pas votre célèbre et si géniale Saga ! Je reste une de vos lectrices la plus assidue …
- Ha !ha ! Tout le monde ne lit pas des histoires érotiques et encore moins de Domination/soumission… Mais, je vous remercie Alice pour le plaidoyer que vous avez servi à votre famille pour me défendre, j’ai bien entendu de ma table proche de la vôtre, votre juste réquisitoire. Et je tenais à vous dire qu’il ne fallait pas vous sentir obliger de le faire. J’ai l’habitude de ces réactions et il ne faudrait pas que vous vous mettiez en porte-à-faux avec vos proches parents.
- Bien Monsieur le Marquis, mais comment savez-vous que je m’appelle Alice ?
Il soulève doucement mon menton et remet une mèche derrière mon oreille. Je garde pudiquement les yeux baissés
- Regarde-moi la Chienne, m’ordonne-t-il d’une voix péremptoire. Crois-tu que c’est le hasard, qui ce soir, M’a amené ici dans ce restaurant ? Je vais t’apprendre que Maîtresse Céline est une vieille connaissance et amie à Ma noble personne. Je l’ai revu, il y a peu de temps, à une soirée mondaine et elle m’a parlé de toi … Hier, comme tu l’avais informé que tu venais ici en famille ce soir, elle m’a appelé au téléphone, à ton insu, me demandant un petit service ! Simplement de venir dans ce restaurant, juste pour que je te connaisse ! Elle m’a dit que mon œil avisé devrait très vite s’apercevoir de ta servilité et à voir ta tête baissée, je constate qu’effectivement ta soumission ne fait aucun doute …
Le passage du vouvoiement au tutoiement me donne une décharge électrique. C’est comme un signe de reconnaissance de mon statut qui m’insuffle suffisamment de courage pour soutenir son regard. Ses yeux bleus azurs me transpercent et fouillent mon âme. Il est très difficile pour moi de maintenir mes yeux dans les siens. De plus le fait d’apprendre que cette rencontre a été orchestrée par Maîtresse Céline m’honore en tout point. Ais-je été si obéissante envers Elle, pour mériter une telle rencontre avec un des plus grands et renommés Maîtres du monde !… M’entrainant dans le grand WC pour handicapé, où de fait il y a plus de place, et verrouillant la porte de celui-ci, Il m’ordonne de Sa voix qui se fait plus ferme :
- A genoux et nue, la Chienne !
Je veux faire honneur à l’éducation de Maîtresse Céline et j’obéis avec célérité, trop honorée que cet ordre vienne d’un tel Dominant. J’oublie que mes parents et ma famille sont proches et sans un mot, je retire prestement mon string et je passe la robe par-dessus tête. Etant sans soutien-gorge, je m’agenouille directement en position de soumise. Les mains derrière le dos, je me cambre au maximum et recule mes épaules pour faire ressortir ma mini-poitrine. Monsieur le Marquis d’Evans tourne autour de moi.
- En voilà une petite chienne bien dressée ! Maîtresse Céline a donc bien raison, en effet ton attitude répond parfaitement à ce qu’elle m’a dit sur ton compte ! Me cajole-t-il d’une voix très chaleureuse tout en triturant le rosebud de son pied ce qui a pour effet de m’envoyer des ondes de plaisir.
- Je vous remercie, Monsieur le Marquis.
- Transmets à Maîtresse Céline toute mon amitié de ma part. Et dis-lui combien j’ai apprécié son idée, son souhait que je te rencontre ce soir dans ce restaurant… Ah ? … J’entends qu’on approche, ajoute-il peu après. File vite petite chienne…. Nous nous retrouverons certainement très bientôt...
Monsieur Le Marquis d’Evans me prend par les épaules et m’aide à me relever. Ses mains sont chaudes et son contact m’électrise. Je remets rapidement ma robe en sentant son regard si intense sur moi. Je me sens transportée et ragaillardie quand je regagne discrètement ma place. Dans ces cas-là, j’ai l’impression que tout est possible. Je l’ai senti si bienveillant à mon égard, plein de sollicitude. Je pense aussi qu’il est très exigeant mais qui ne le serait pas avec une renommée pareille et des pouliches si racées à ses Nobles pieds ? Je reprends le repas somptueux avec mes parents le cœur beaucoup plus léger et je me surprends même à leur pardonner de condamner la soumission. Ils savent si peu de choses à ce sujet… Quelle fut ma surprise de constater que Maîtresse Céline m’a envoyé un mail à mon retour ! Mon Coeur fait un bond dans ma poitrine tandis que je clique sur l’appli de mon portable pour l’ouvrir. :
« Ma chienne, Oui en effet, comme tu le sais maintenant, c’est Moi qui a ‘‘organisé’’ ta rencontre avec Monsieur Le Marquis d’Evans, un très cher et vieil ami, et qui vient à l’instant de me raconter, avec la plume que tu lui connais, sa rencontre avec toi. Tu as lui dû faire une bonne impression puisqu’Il nous invite, me précise-t-il, toutes les deux en son Château dans le Beaujolais le week-end prochain. Cette décision t’appartient. Sache que j’ai toujours respecté et respecterai encore ton choix, quel qu’il soit, et sans aucune conséquence pour la suite de notre relation. J’exige que tu me répondes dans la journée. Maîtresse Céline. »
Je remercie profondément Maîtresse Céline de ne pas me mettre de pression. Je l’imagine me parler de sa voix enveloppante et suave. Je réfléchis à toute vitesse: est-ce que je serai capable de m’abandonner à cet Homme comme je le fais avec la Maîtresse qui daigne me soumettre? Et je pense que oui. Vus tous Ses écrits, la manière déférente dont en parlent Ses esclaves et les quelques instants que j’ai passés au restaurant avec Lui, je serai même fière que Maîtresse Céline souhaite me prêter à Lui et que je devienne Son jouet quelques jours. Je lui réponds donc rapidement et par retour de mail, elle m’ordonne de me tenir prête chez moi comme d’habitude à 18h pour le vendredi à venir et de prévoir mon violoncelle... Le jour J arrive et je suis donc entièrement nue avec mes chaussures à talons aiguilles. Je me suis rasée de près et plus aucun poil ne couvre mon anatomie. J’attends à l’entrée de ma maison en position de soumise, à genoux, les mains derrière le dos et les yeux baissées. 18h sonnent à la pendule et la sonnette retentit dans mon logis. Mon mari va ouvrir. Il est aussi dans le secret et cette complicité me donne encore plus de plaisir.
- Bien le bonjour. Votre Chienne est prête !
- Inspection ! Car on ne va pas chez Monsieur Le Marquis d’Evans sans être impeccable, cingle Maîtresse Céline en claquant des doigts alors qu’elle entre dans ma modeste maison.
- Oui Maîtresse
Je me tourne et présente mon cul en écartant bien les deux lobes avec chaque main.
- C’est bon, ton con et ta rondelle sont impeccables. Mon vieil ami le Marquis d’Evans est comme moi, intraitable sur ce point…
Maîtresse Céline me donne une tenue de chauffeur avec la casquette qui va avec et une jupe qui ne couvre que l’essentiel. Je prends le volant et elle s’installe à l’arrière de sa luxueuse berline. Après une heure et demie de trajet, nous arrivons à l’immense grille ouvragée qui présage l’entrée d’une grande Demeure. Nous sommes à l’orée d’une grande forêt et en ce mois de juillet écrasant de chaleur, l’ombre est la bienvenue. Les bois à perte de vue m’appellent. J’aime cette odeur d’humus, ces arbres qui étendent leur frondaison protectrice au-dessus de nous. La forêt est ma maison, je me sens chez moi, accueillie. Maîtresse Céline me fait me déshabiller et entièrement nue, elle me tend un harnais en cuir comme pour les chiens de traineau en mushing. Ne supportant pas le port de quoique ce soit se serrer autour du cou, même un collier de soumission, Maîtresse Céline a eu l’idée de confectionner ce harnais chez un ami cordonnier. Je lui suis très reconnaissante de cette marque d’affection à mon encontre. J’ai même un petit bijou dessus avec les initiales MC entrelacés en signe d’appartenance.
Je reprends le volant et nous arrivons en vue d’un magnifique Château flanqué au fond d’un immense parc fleuri aux pelouses parfaitement entretenues et sur lesquelles de nombreuses statues de nus grecs décorent l’ensemble du parc. Nous arrivons devant un bel et large escalier en pierre qui nous permet d’accéder au perron où trônent de chaque côté deux statues de lions rugissants et dressés sur leur pattes avant. Témoins silencieux de l’histoire, ces lions dressés me rappellent le motif des Armoiries de la famille Evans que Maîtresse Céline m’a montré avant de venir… Un homme grand et svelte se tient debout et semble nous attendre. Grande fan de la Saga, je reconnais immédiatement Walter, le fidèle Majordome du Marquis d’Evans. Je me gare devant le dit perron et me précipite dehors pour m’installer à quatre pattes à côté de la portière arrière. Walter descend pour venir lui ouvrir la porte de la voiture et lui souhaiter la bienvenue. Altière, Maîtresse Céline passe la laisse à l’anneau prévu à cet effet…
(A suivre …)
- C’est scandaleux ! Comment peut-on laisser faire un comportement pareil sans réagir ?! C’est une honte !
Mon père est rouge de colère. Ses yeux lancent des éclairs aux pauvres serveurs qui rentrent la tête tout en silence pour laisser passer l’orage. Mes parents ont décidé de nous emmener mon frère et nos conjoints dans un grand restaurant étoilé de la région lyonnaise pour fêter leurs 35 ans de mariage. Je jette un œil sur l’objet de son courroux. Une sublime jeune femme dont le visage est masqué par un loup en plumes noires et rouges, corsetée dans une tenue tout en cuir tellement moulante que ses appâts sont presque plus visibles que si elle était nue, déambule à quatre pattes, tirée en laisse par un homme d’une prestance telle que toutes les têtes se tournent vers eux. Son compagnon et lui-même s’installent à une table près de nous et aucun des deux ne semblent prêter attention ni au remue-ménage causé par leur apparition, ni à la jeune femme à leurs pieds, très belle et sauvage dans son attitude digne, même lorsqu’elle boit de l’eau dans la gamelle qu’un des serveurs lui apporte.
Mon bas-ventre répond à cette vue et je ne peux empêcher la cyprine de couler à flot dans mon string, de remuer mon cul sur ma chaise, ce qui élance le plug aux initiales de Maîtresse Céline et m’excite encore plus. Ma mouille devient tellement odorante que je croise les jambes et regarde mon assiette avec la plus grande attention de peur de me trahir. Seul mon mari est au courant pour ma soumission. Lui aussi se concentre sur son mets des plus délicieux, à se demander si nous avons déjà goûté à une tomate tant les saveurs du plat sont incomparables.
- Mais papa…
J’ai beau lui démontrer que la jeune femme semble consentante, qu’elle a l’air plutôt heureuse de sa condition et qu’il n’y a pas d’enfants dans la salle, rien n’y fait. Mon père reste borné et de mauvaise humeur. Je suis extrêmement gênée par son attitude venimeuse. J’ai en plus reconnu l’homme à la prestance impressionnante, au charisme évident, il s’agit du célèbre Marquis d’Evans dont je me délecte de Ses récits D/s qui participent grandement à mon éducation de chienne-soumise aux pieds de Maîtresse Céline. Je trouve que c’est plutôt une chance de le croiser dans ce restaurant, une belle coïncidence inattendue. S’il savait qu’il y avait une autre personne soumise dans ce lieu, autre que la belle femelle qu’il tient avec fierté en laisse à Ses pieds. Je trouve aussi formidable qu’il existe des Dominants, comme Lui, qui permettent d’assouvir notre bestialité et nos pulsions de soumission qui vont avec, sans jugement de leur part. Mais je me garde bien de le dire tout haut. Mes parents ne comprendraient pas, alors quand arrive le milieu du repas, je pars alors discrètement me rafraîchir aux toilettes. Dans le hall de celles-ci séparant les WC des femmes à ceux des hommes, quelle n’est pas ma surprise de tomber nez à nez avec Monsieur le Marquis d’Evans en personne en train de se laver les mains à un des nombreux lavabos alignés ! Se retournant et me voyant, il me prend avec fermeté le bras et me tire plus à l’intérieur dans ce lieu d’aisance. Je garde les yeux baissés en signe de soumission malgré la surprise de ce geste. Je suis à la fois très honorée de son rapide mouvement ferme et intimidée de savoir que mon idole et auteur de mes lectures préférées soit là, en face de moi à me regarder fixement, moi, un peu penaude. Il m’observe encore un moment avec ses yeux bleus, dominants et profonds avant de me demander d’une voix très douce, chaude et enveloppante, caressante presque mais qui relève d’une maîtrise parfaite d’une certaine élégance paradoxale à son geste de m’avoir attrapée par le bras :
- Comment allez-vous, jeune fille ?
- Je … Je vais bien …Monsieur le Marquis, répondis-je en balbutiant mes mots
- Vous m’avez donc reconnu ?
- Qui ne connais pas votre célèbre et si géniale Saga ! Je reste une de vos lectrices la plus assidue …
- Ha !ha ! Tout le monde ne lit pas des histoires érotiques et encore moins de Domination/soumission… Mais, je vous remercie Alice pour le plaidoyer que vous avez servi à votre famille pour me défendre, j’ai bien entendu de ma table proche de la vôtre, votre juste réquisitoire. Et je tenais à vous dire qu’il ne fallait pas vous sentir obliger de le faire. J’ai l’habitude de ces réactions et il ne faudrait pas que vous vous mettiez en porte-à-faux avec vos proches parents.
- Bien Monsieur le Marquis, mais comment savez-vous que je m’appelle Alice ?
Il soulève doucement mon menton et remet une mèche derrière mon oreille. Je garde pudiquement les yeux baissés
- Regarde-moi la Chienne, m’ordonne-t-il d’une voix péremptoire. Crois-tu que c’est le hasard, qui ce soir, M’a amené ici dans ce restaurant ? Je vais t’apprendre que Maîtresse Céline est une vieille connaissance et amie à Ma noble personne. Je l’ai revu, il y a peu de temps, à une soirée mondaine et elle m’a parlé de toi … Hier, comme tu l’avais informé que tu venais ici en famille ce soir, elle m’a appelé au téléphone, à ton insu, me demandant un petit service ! Simplement de venir dans ce restaurant, juste pour que je te connaisse ! Elle m’a dit que mon œil avisé devrait très vite s’apercevoir de ta servilité et à voir ta tête baissée, je constate qu’effectivement ta soumission ne fait aucun doute …
Le passage du vouvoiement au tutoiement me donne une décharge électrique. C’est comme un signe de reconnaissance de mon statut qui m’insuffle suffisamment de courage pour soutenir son regard. Ses yeux bleus azurs me transpercent et fouillent mon âme. Il est très difficile pour moi de maintenir mes yeux dans les siens. De plus le fait d’apprendre que cette rencontre a été orchestrée par Maîtresse Céline m’honore en tout point. Ais-je été si obéissante envers Elle, pour mériter une telle rencontre avec un des plus grands et renommés Maîtres du monde !… M’entrainant dans le grand WC pour handicapé, où de fait il y a plus de place, et verrouillant la porte de celui-ci, Il m’ordonne de Sa voix qui se fait plus ferme :
- A genoux et nue, la Chienne !
Je veux faire honneur à l’éducation de Maîtresse Céline et j’obéis avec célérité, trop honorée que cet ordre vienne d’un tel Dominant. J’oublie que mes parents et ma famille sont proches et sans un mot, je retire prestement mon string et je passe la robe par-dessus tête. Etant sans soutien-gorge, je m’agenouille directement en position de soumise. Les mains derrière le dos, je me cambre au maximum et recule mes épaules pour faire ressortir ma mini-poitrine. Monsieur le Marquis d’Evans tourne autour de moi.
- En voilà une petite chienne bien dressée ! Maîtresse Céline a donc bien raison, en effet ton attitude répond parfaitement à ce qu’elle m’a dit sur ton compte ! Me cajole-t-il d’une voix très chaleureuse tout en triturant le rosebud de son pied ce qui a pour effet de m’envoyer des ondes de plaisir.
- Je vous remercie, Monsieur le Marquis.
- Transmets à Maîtresse Céline toute mon amitié de ma part. Et dis-lui combien j’ai apprécié son idée, son souhait que je te rencontre ce soir dans ce restaurant… Ah ? … J’entends qu’on approche, ajoute-il peu après. File vite petite chienne…. Nous nous retrouverons certainement très bientôt...
Monsieur Le Marquis d’Evans me prend par les épaules et m’aide à me relever. Ses mains sont chaudes et son contact m’électrise. Je remets rapidement ma robe en sentant son regard si intense sur moi. Je me sens transportée et ragaillardie quand je regagne discrètement ma place. Dans ces cas-là, j’ai l’impression que tout est possible. Je l’ai senti si bienveillant à mon égard, plein de sollicitude. Je pense aussi qu’il est très exigeant mais qui ne le serait pas avec une renommée pareille et des pouliches si racées à ses Nobles pieds ? Je reprends le repas somptueux avec mes parents le cœur beaucoup plus léger et je me surprends même à leur pardonner de condamner la soumission. Ils savent si peu de choses à ce sujet… Quelle fut ma surprise de constater que Maîtresse Céline m’a envoyé un mail à mon retour ! Mon Coeur fait un bond dans ma poitrine tandis que je clique sur l’appli de mon portable pour l’ouvrir. :
« Ma chienne, Oui en effet, comme tu le sais maintenant, c’est Moi qui a ‘‘organisé’’ ta rencontre avec Monsieur Le Marquis d’Evans, un très cher et vieil ami, et qui vient à l’instant de me raconter, avec la plume que tu lui connais, sa rencontre avec toi. Tu as lui dû faire une bonne impression puisqu’Il nous invite, me précise-t-il, toutes les deux en son Château dans le Beaujolais le week-end prochain. Cette décision t’appartient. Sache que j’ai toujours respecté et respecterai encore ton choix, quel qu’il soit, et sans aucune conséquence pour la suite de notre relation. J’exige que tu me répondes dans la journée. Maîtresse Céline. »
Je remercie profondément Maîtresse Céline de ne pas me mettre de pression. Je l’imagine me parler de sa voix enveloppante et suave. Je réfléchis à toute vitesse: est-ce que je serai capable de m’abandonner à cet Homme comme je le fais avec la Maîtresse qui daigne me soumettre? Et je pense que oui. Vus tous Ses écrits, la manière déférente dont en parlent Ses esclaves et les quelques instants que j’ai passés au restaurant avec Lui, je serai même fière que Maîtresse Céline souhaite me prêter à Lui et que je devienne Son jouet quelques jours. Je lui réponds donc rapidement et par retour de mail, elle m’ordonne de me tenir prête chez moi comme d’habitude à 18h pour le vendredi à venir et de prévoir mon violoncelle... Le jour J arrive et je suis donc entièrement nue avec mes chaussures à talons aiguilles. Je me suis rasée de près et plus aucun poil ne couvre mon anatomie. J’attends à l’entrée de ma maison en position de soumise, à genoux, les mains derrière le dos et les yeux baissées. 18h sonnent à la pendule et la sonnette retentit dans mon logis. Mon mari va ouvrir. Il est aussi dans le secret et cette complicité me donne encore plus de plaisir.
- Bien le bonjour. Votre Chienne est prête !
- Inspection ! Car on ne va pas chez Monsieur Le Marquis d’Evans sans être impeccable, cingle Maîtresse Céline en claquant des doigts alors qu’elle entre dans ma modeste maison.
- Oui Maîtresse
Je me tourne et présente mon cul en écartant bien les deux lobes avec chaque main.
- C’est bon, ton con et ta rondelle sont impeccables. Mon vieil ami le Marquis d’Evans est comme moi, intraitable sur ce point…
Maîtresse Céline me donne une tenue de chauffeur avec la casquette qui va avec et une jupe qui ne couvre que l’essentiel. Je prends le volant et elle s’installe à l’arrière de sa luxueuse berline. Après une heure et demie de trajet, nous arrivons à l’immense grille ouvragée qui présage l’entrée d’une grande Demeure. Nous sommes à l’orée d’une grande forêt et en ce mois de juillet écrasant de chaleur, l’ombre est la bienvenue. Les bois à perte de vue m’appellent. J’aime cette odeur d’humus, ces arbres qui étendent leur frondaison protectrice au-dessus de nous. La forêt est ma maison, je me sens chez moi, accueillie. Maîtresse Céline me fait me déshabiller et entièrement nue, elle me tend un harnais en cuir comme pour les chiens de traineau en mushing. Ne supportant pas le port de quoique ce soit se serrer autour du cou, même un collier de soumission, Maîtresse Céline a eu l’idée de confectionner ce harnais chez un ami cordonnier. Je lui suis très reconnaissante de cette marque d’affection à mon encontre. J’ai même un petit bijou dessus avec les initiales MC entrelacés en signe d’appartenance.
Je reprends le volant et nous arrivons en vue d’un magnifique Château flanqué au fond d’un immense parc fleuri aux pelouses parfaitement entretenues et sur lesquelles de nombreuses statues de nus grecs décorent l’ensemble du parc. Nous arrivons devant un bel et large escalier en pierre qui nous permet d’accéder au perron où trônent de chaque côté deux statues de lions rugissants et dressés sur leur pattes avant. Témoins silencieux de l’histoire, ces lions dressés me rappellent le motif des Armoiries de la famille Evans que Maîtresse Céline m’a montré avant de venir… Un homme grand et svelte se tient debout et semble nous attendre. Grande fan de la Saga, je reconnais immédiatement Walter, le fidèle Majordome du Marquis d’Evans. Je me gare devant le dit perron et me précipite dehors pour m’installer à quatre pattes à côté de la portière arrière. Walter descend pour venir lui ouvrir la porte de la voiture et lui souhaiter la bienvenue. Altière, Maîtresse Céline passe la laisse à l’anneau prévu à cet effet…
(A suivre …)
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un grand MERCI d’avoir pris le temps d’écrire des commentaires si encourageants!
Cher lecteur,
Je prends note de vos deux suggestions très alléchantes. Je les garde à l’esprit pour les intégrer dans un autre récit.
Chère Nathalie,
Votre commentaire me fait chaud au coeur et j’espère que la suite vous plaira tout autant
Bien cordialement,
Alice, qui a la joie d’être soumise par Maîtresse Céline
Cher lecteur,
Je prends note de vos deux suggestions très alléchantes. Je les garde à l’esprit pour les intégrer dans un autre récit.
Chère Nathalie,
Votre commentaire me fait chaud au coeur et j’espère que la suite vous plaira tout autant
Bien cordialement,
Alice, qui a la joie d’être soumise par Maîtresse Céline
Super début d’histoire ma très chère Alice
J’ai hâte de lire la suite je bande deja.
Tiens moi au courant quand tu publieras la suite
J’ai hâte de lire la suite je bande deja.
Tiens moi au courant quand tu publieras la suite
J'aime beaucoup ce début que j'aurai aimé vivre moi-même.
J'aurais peut-être juste changer 2 points. Alice n'aurait pas récupéré son string et aurait dû s'assoir directement sur sa chaise pendant le reste du repas (donc pas sûr sa jupe). Le second point aurait été le port du harnais dès le départ de chez elle, quitte à ce qu'elle porte in long veston par dessus.
Je lirai ma suite.
J'aurais peut-être juste changer 2 points. Alice n'aurait pas récupéré son string et aurait dû s'assoir directement sur sa chaise pendant le reste du repas (donc pas sûr sa jupe). Le second point aurait été le port du harnais dès le départ de chez elle, quitte à ce qu'elle porte in long veston par dessus.
Je lirai ma suite.
Génial ! J'adooooooooooooooore !!!!!!!!!!
J'en suis hyper excitée d'imaginer être dans cette situation ...........
A quand la suite ????
Merci encore
Nathalie
J'en suis hyper excitée d'imaginer être dans cette situation ...........
A quand la suite ????
Merci encore
Nathalie