Titre de l'histoire érotique : La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1148) - histoire érotique

soumise Cypris MDE au Château - (suite de l'épisode N°1040) -

Comblée, aimée, je tombais sans le ressentir dans le pays des songes... Je me réveillais pour la seconde fois dans un confort auquel je n'étais plus habituée. Mais les souvenirs de la nuit me revinrent. La façon du Maître Vénéré à reprendre possession de mon corps m'a prouvée qu'il voulait toujours de moi. J'avais l'impression de le sentir toujours en moi. Plus je sortais des limbes du sommeil et plus je sentais un être dominant et entreprenant dans mon dos. Des caresses avec des mains cajolant mon corps, des baisers dans mon cou et des chuchotements se faisaient de plus en plus présents. Au départ, c'était comme une plume sur ma peau. Puis elles finirent par être très prononcer et je reconnu ce toucher si particulier qui ne pouvait qu'être à Lui.

- Ma petite chienne, j'ai besoin de toi ! Réveille-toi maintenant ! Dit la Voix en augmentant un peu le ton.

J'ouvris les yeux tout de suite. Sentir la Grosse et Noble Verge du Châtelain dans la raie de mes fesses me fît gémir.

- Mets ta jambe au-dessus de la mienne pour ouvrir totalement cette chatte si accueillante. Je vais te prendre comme ça ! Je ne peux plus attendre ! Ma salope …

J'obéis tout de suite. J'étais trempée, la Voix du Maître faisait un tel effet à mon esprit et excitait d’emblée mon corps chaud. Je souhaitais sentir encore et toujours Le Maître en moi. Une fois en position, Le Noble prit position dans ma chatte en un seul coup pour venir buter profondément au fond de mon vagin. Les coups de butoir étaient très profonds et amples. Monsieur le Marquis baisait ma chatte, je voulais crier mais je me rappelais de l'ordre du Maître de ménager ma gorge et mes lèvres. Je me cambrais pour aller à la rencontre des coups de butoir qui me besognaient avec virilité, puissance et cadence.

- C'est ça Ma petite salope ! Viens à moi ! Ma verge est tellement comprimée par ta minette. Est-ce que tu sens comment tu m'enrobes complètement ?
- Oui Maître ! C'est tellement bon de vous sentir !
- Tu vas sentir encore plus de choses, tu peux me croire ! Chienne, Ajouta-t-il.

Je me laissais emporter par les sensations. Je pensais qu'elles ne pourraient pas être plus fortes mais Le Maître sortit de ma chatte dégoulinante de cyprine et prit tout de suite place dans mon cul en feu. De plus, Ses doigts prirent place dans mon sexe et d'autres de Sa deuxième main pincèrent un de mes tétons dressés. Le Châtelain continua un moment ainsi puis m'ordonna de changer de position.

- En levrette, Ma petite chienne ! Je veux te défoncer avant de te laisser continuer ta convalescence pendant que je vais m’occuper de cet esclave désobéissant. Dit-moi si cette position est trop douloureuse pour tes côtes mais je veux trop te prendre comme cela.

Je me plaçais le plus rapidement possible. J'aimais cette position. Je pouvais sentir la grosse verge droite du Maître Vénéré toucher ce point si sensible en moi. Le Noble y allait modérément en moi sans être trop brusque car il savait que j’avais un peu mal aux côtes positionnée ainsi mais je souhaitais plus.

- Maître, plus fort s'il vous plaît ! Suppliais-je
- Plus fort, Ma chienne ? Bien, je vais exaucer ce souhait ! Mais ne jouis pas sans Mon autorisation !
- Bien Maître ! Gémis-je en le sentant augmentant la cadence doucement.

Le Châtelain prenait encore et toujours soin de moi. Je devais l'avouer, j'adorais ça. Je me sentais choyée et bien baisée. Je revins au moment présent alors que Le Maître me donnais des fessées tout en me baisant. Le mélange entre la douleur et le plaisir se faisaient très présent et je ne pouvais décider laquelle de ces sensations me plaisaient le plus. N'ayant aucune douleur, Le Noble changea Sa grosse verge d'endroit et prit à nouveau place dans mon fondement béant. Je le sentis grossir encore, ce qui voulait dire qu'il était sur le point de jouir. Il continua de me culbuter pendant un moment à grands coups de boutoirs.

- Maintenant jouis sur Ma bite, ma petite chienne docile ! Exigea-t-il en retournant dans ma chatte, ce qui me fit venir tout de suite alors qu'il butait sur mon point G.
- Ouiiiii Maître ! Criais-je de plaisir.
- Je t'ai interdit de crier Ma chienne ! Me tança Le Maître en m'administrant une fortes claque sur les fesses bien plus douloureuse que les précédentes.
- Je vous prie d'accepter mes excuses, Maître, mais je n'ai pu réussir à m'en empêcher.
- Je les accepte ! Dit-moi, comment te sens-tu ?
- Je me sens comblée, Maître.
- Je le souhaite Ma chienne. Et tu m'as parfaitement satisfait ! Mais je parle de ta tête et de tes côtes ?
- Mes côtes sont un peu douloureuses mais c'est très supportable, Maître. Quant à ma tête, pour le moment ça va. Puis je vous demander une chose, Maître ?
- Oui Ma chienne, je t'écoute ?
- Je dois vous avouer avoir faim et que je recommence à être somnolente. Est-ce que c'est normal ?
- Oui c'est normal ! Le Doc a dit que tu aurais besoin de repos pendant quelques jours. Si tu le souhaites, je peux te laisser faire ta convalescence tranquillement ! J'entends par là que je peux me passer de ton corps pendant c'est quelques jours ?
- Non Maître ! S'il vous plaît. Je me sens bien et vous avoir avec moi-même pour quelques heures et un privilège et un honneur. Je souhaite vous combler. Laissez-moi vous promettre de vous tenir informer si j'ai le moindre inconfort ! Déclarais-je en me mettant en position de soumission à genoux sur le lit devant le grand Maître de ce Château.
- Bien, nous ferons comme cela ! Je vais te laisser te reposer et te faire emmener un repas ainsi que les médicaments prescrits par Marc ! Tu dois te reposer donc tu vas rester dans cette chambre jusqu'à nouvelle ordre. D'ailleurs, je t'autorise et t'incite à utiliser la salle de bain et l'eau chaude. Cela te fera le plus grand bien. Tu trouveras tout ce dont tu pourrais avoir besoin.
- Je vous remercie, Maître, de prendre aussi bien soin de Votre soumise. Je vais aller prendre une douche tout de suite et me reposer.
- Très bien petite chienne ! Je vais aller à la salle de bain avec toi. Passe devant ! M'ordonna-t-il, reste debout Cypris MDE : ajouta Le Noble alors que j'allais me mettre en position de quadrupédie.

Je me redressais et je partis prendre une douche. Je pouvais sentir le regard du Châtelain sur mes formes et surtout sur mes fesses et la courbe de mes reins. J'allumais la lumière de la pièce et je stoppais ma respiration. Cette salle de bain était magnifique et une douche à l'italienne en marbre était installée à la robinetterie en or. Je me dirigeais à l'intérieur quand je sentis le corps du Noble se mouler au miens.

- Qui y a-t-il Ma chienne ?
- Cette pièce et surtout la douche est incroyable, Maître.
- C'est une des chambres de l'infirmerie ! Je souhaite que mes esclaves-soumis se remettent le plus rapidement possible alors rien n'est trop bien ou beau pour cela. Viens ! Ordonna-t-il en me tirant par le bras.

Il me conduisit sous la douche et fit couler celle-ci. Je laissais l'eau couler sur mon corps en formant les yeux. C'était tellement relaxant, j'avais l'impression qu'une éternité était passée depuis ma dernière douche. Je rouvris les yeux et put observer le regard de Monsieur le Marquis sur moi. Alors qu'il levait les yeux sur mon visage, je baissais mon regard. Je n'oubliais pas qui j'étais.

- Regardes moi ! Ordonna Le Maître en mettant un doigt sous mon menton. Laves-moi avec tes mains !

Je pris du gel douche et commença par laver le dos du Maître. Je faisais appuyer mes seins sur son magnifique torse poilu. Je descendis mes mains sur Ses fesses puis Ses cuisses jusqu'à Ses pieds. Je contournais le Maître et je repris de le nettoyer en commençant par le bas. Je frottais toute la peau en douceur puis en arrivant au niveau de la Sa verge, je pus observer que Le Maître était en érection. Je levais les yeux vers Lui et je pus voir que Ses yeux étaient devenus sombres. J'étais déçu de ne pas pouvoir prendre son sexe dressé en bouche mais je me permis de laisser traîner ma langue sur toute sa longueur et de déposer un baiser sur le gland violacé de cette bite qui grossit encore à vue d’oeil.

- Cypris MDE, patiente ! Tu auras bientôt Ma noble et grosse verge dans ta bouche ! En attendant termine de me nettoyer et pose tes mains à plats sur le mur en te cambrant au maximum.

Je terminais ma tâche un peu plus rapidement qu'au départ mais toujours avec ardeur. J'exécutais l'ordre donné quand subitement je sentis la bite du Maître me prendre sauvagement.

- Vois dans quel état, tu me mets ? Tu es une bonne salope de chienne à fourrer ! Je vais le faire vite et bien car tu m'as informé de ta fatigue mais sache que ton corps reste tout de même Ma propriété et que tes orifices resteront toujours à Ma disposition ! J'ai hâte que tes lèvres soient autour de ma queue mais en attendant ton cul et ta chatte sont parfaits.
- Hummmmmmm ! C’est trop … trop… bon … hummm ! … Maître, puis je venir, s'il vous plaît ?
- Retient-toi encore, Ma petite chienne-salope !

Le Noble accentua Ses coups de reins et je pouvais sentir Sa queue grossir et devenir encore plus dure en moi, prouvant qu'il n'était pas très loin de lâcher Sa noble semence. En reculant, il prit directement possession de mon fondement où il m'ordonna de jouir. Je pouvais sentir sa bite avoir des soubresauts. Le Maître resta profondément planté en moi pendant un moment avant de sortir et de laisser l'eau nettoyer Sa Queue ramollie.

- Ma petite chienne, lave-toi et recouche-toi ! Je te ferais parvenir un plateau repas ! Ajouta Le Châtelain avant de quitter la douche après m'avoir embrassé profondément.

J'obéis au Maître à la lettre sans traîner car la fatigue était en train de m'emporter. Je me lavais le corps et les cheveux puis je les brossais. Je me rendis dans le lit et m’endormis rapidement, fatiguée mais heureuse et comblée...

(A suivre …)