Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°962)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°962)
Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°961) -
Il me banda les yeux et me mit un bâillon équipé d’un anneau large, qui me maintenait la bouche grande ouverte, offerte à qui le voudrait... J’entendis des bruits que je ne reconnaissais pas. Mais quand il me fit monter sur une table carrée, vu que je n’en avais pas vu avant, je supposais que les bruits étaient la table qu’il avait dépliée. Elle n’était pas très grande, juste de quoi y reposer mon dos et le haut de mes fesses. Ma tête pendait donc dans le vide, en arrière, le sang ne tarderait pas à monter dans cette position. Il m’attacha les chevilles et les poignets aux pieds du meuble. J’étais dans l’incapacité totale de bouger, et je ne pouvais absolument rien voir avec le bandeau. J’essayais de ne pas trop m’inquiéter. La journée ne durerait pas indéfiniment. Et je retrouverai bientôt la Dominance saine du Maître Vénéré. En attendant, je ne pus empêcher une pensée d’appréhension quand j’entendis un grand nombre de voix entrée dans la petite arrière-boutique. Bientôt la pièce devint étouffante. Une petite pièce et un grand nombre de personne augmentaient la sensation de chaleur. Très vite, j’entendis bon nombre de phrases du style : « Une belle pute à baiser », « Une bonne chienne à prendre », ou le vendeur qui invitait quiconque le voulait à prendre le trou qu’il voudrait.
- Je vous prierai de bien vouloir vous soulager de temps en temps dans sa bouche, urine ou sperme, pour ne pas que la petite salope à votre disposition ne puisse se déshydrater. Allez-y, tous les trous sont bons à être fourrés !
Alors ce fut une succession de bites dans ma chatte, dans mon cul et dans ma bouche. Parfois, c’était chacun son tour. Parfois, plusieurs queues me prenaient en même temps. Je reçus du sperme dans mes orifices du bas, sur ma peau, jamais dans la bouche. Ils préféraient me pisser directement dedans. Avec l’anneau qui m’écartait la bouche, souvent je m’étouffais avec l’urine qui coulait directement dans ma gorge. Personne n’avait eu l’idée de m’interdire de jouir, donc je cumulais avec joie les orgasmes successifs. Cela dit, les hommes, innombrables qui se succédaient, s’en fichaient bien de savoir si je prenais du plaisir ou non. Ils étaient là pour se vider les couilles, gratuitement ou non, je ne le savais pas. Mais je ne doutais pas que le vendeur fasse un bénéfice sur la caution de la soumise qu’il avait prêtée. Je vécus également deux expériences inédites, dont mes trous se souviendraient longtemps… Alors que j’étais en train de me faire labourer la chatte, qui dégoulinait de sperme et de mouille, car je ne pouvais cacher que j’étais excitée d’être prise en tournante comme cela, je sentis qu’une deuxième queue tentait de pénétrer ma chatte déjà encombrée. Heureusement pour moi, l’homme y alla doucement. Je sentais que mes chaires s’écartaient de plus en plus. Quand elle réussit à rentrer, je ne pus retenir un petit cri, qui passa totalement inaperçu. Jamais je n’avais ressenti cela, surtout que les deux bites ne bougeaient pas au même rythme, et je connus des orgasmes fulgurants, si puissants, si violents … !
Mais la seconde chose que je serais incapable d’oublier, c’est quand un troisième homme avait décidé d’enfoncer son vit dressé dans mon cul. Il eut vraiment du mal à rentrer, j’étais déjà bien remplie. Mais cela ne le découragea pas et il appuya de plus en plus jusqu’à être parvenu à ses fins. Alors là, ce fut une explosion de sensations ! Jamais je ne m’étais sentie aussi pleine ! J’avais l’impression qu’absolument toute la surface de mes parois internes était stimulée en même temps. Le temps qu’ils s’habituent eux même à la situation, ils restèrent immobiles, mais cela ne m’empêcha pas de jouir bruyamment, comme une bonne chienne en chaleur beuglant son plaisir sans retenue tellement c’était bon de n’être considérée que comme un ensemble de trous à bites, un vide-couilles, une bonne salope de chienne à baiser ! Quand tous se furent vidés, toujours sans savoir le nombre d’hommes qui m’étaient passés dessus, quand tous eurent pissé dans ma bouche, se furent vider les burnes dans un orifice ou sur ma peau, ils partirent tous, ainsi que le vendeur, et ils me laissèrent seule, toujours attachée sur la table, épuisée, salie, souillée certes, mais quel pied j’ai pu vivre ! Je sentais ma peau qui s’étirait sous l’effet du sperme qui séchait. Ça avait duré deux bonnes heures au moins ! J’étais épuisée, affamée, n’ayant ingurgité que de l’urine. J’avais mal à la tête à cause de ma tête ballottant toujours dans le vide, et je ne tardais pas à m’évanouir.
Quand je me réveillais, j’étais sur le sol, un drap me recouvrait. Mais j’étais tout de même attachée, les poignets et les chevilles ensemble. Peu de temps après, je vis Maijia ouvrir la porte, un biberon à la main.
- Chut, on se tait et on boit !
Et il me fourra la tétine dans la bouche. Ce que j’ingurgitai avait un goût franchement mauvais. Je ne savais ce que c’était, mais ça me donnait la nausée. Cependant cela eut le bénéfice de calmer ma faim. La journée se poursuivit relativement calmement. Je devais restée à genoux devant les toilettes, et dès que quelqu’un entrait je devais garder la bouche ouverte et recevoir urine et sperme, à la convenance de qui venait soit pisser, soit se branler. J’eus même la visite de quelques femmes qui avaient pris connaissance de ma présence et qui avaient osé entrer dans les toilettes hommes. Elles me pissaient dans la bouche, avant d’exiger que je lèche leur chatte jusqu’à les faire jouir et je devais boire leur liqueur. Certaines me branlaient avec frénésie, me pinçaient les tétons… Je mouillais encore et encore d’excitation et eus encore plusieurs orgasmes malgré la fatigue… Quand j’entendis, enfin, la voix de Monsieur le Marquis d’Evans, je me sentis soulagée et d’un coup très faible, et je l’avoue, un peu honteuse de l’état dans lequel je me trouvais.
- J’ai essayé votre soumise toute la journée. C’est décidé, je vous l’achète ! Entendis-je le Maître dire au vendeur
- Vous voulez l’acheter ou l’échanger ? J’ai un monsieur qui est passé et s’est servi de Votre chienne, et qui aurait voulu l’acheter un très très bon prix !
- Non je suis désolé, mais je ne me sépare pas de Mes biens sans que ce ne soit leur volonté. A moins que Ma soumise MDE n’ait exprimé le souhait de me quitter.
- Non Monsieur le Marquis, elle a été parfaite et n’a pas parlé de la journée.
- Bien, alors allons lui poser la question. Après tout, je peux me tromper sur ses désirs.
Et après que le Maître eut un mouvement d’arrêt en me voyant ainsi souillée et puante, Il me demanda si je préférais partir avec le monsieur en question. Et sur ma réponse véhémente exprimant mon désir de ne jamais le quitter de toute ma vie, les deux hommes retournèrent dans la boutique me laissant à ma place, et retournant voir Chùndù, la soumise asiatique que le Maître allait acquérir. Elle allait rester avec le vendeur jusqu’au lendemain, jour où des personnes employées par le Maître viendraient récupérer tous les biens qu’Il avait acheté ces deux jours… Il revint me chercher dans l’arrière-boutique, après une discussion avec le vendeur sur mon comportement de la journée et tout ce que j’avais vécu. Quand Il ouvrit la porte, je me prosternais immédiatement, considérant que s’Il était revenu, c’est que je repassais, avec bonheur et reconnaissance, sous Ses ordres. Il s’accroupit près de moi et claqua des doigts. Je me mis donc à quatre pattes, tête basse. Il posa un doigt sous mon menton, me releva la tête et exigea que je Le regarde dans les yeux.
- Je suis fier de toi, ma chienne. Je sais que tu as passé une journée intense et fatigante, et surtout dégradante, mais que tu as obéi à tout ce qu’on a exigé de toi, comme la bonne chienne obéissante et bien dressée MDE que tu es. Tu as fait honneur à l’éducation que tu as reçu, et à la réputation que j’ai à travers les continents. Maintenant nous allons rentrer, mais demain tu seras récompensée. Suis-moi, nous allons trouver un endroit où tu pourras te nettoyer, te laver ...
Nous trouvâmes un hangar-sanitaire où il y avait des douches, froides évidemment mais avec du savon liquide à disposition. Le Maître me laissa seule pour me nettoyer. Cela me fit énormément de bien de pouvoir me débarrasser de tout ce sperme, cette urine, cette odeur qui me collait à la peau, odeur remplacée par celle, salvatrice, du savon… Comme le jour précédent, je m’endormis dans le coffre sur le trajet du retour. Le Châtelain ne me réveilla que lorsqu’Il m’eut déposée sur Son lit.
- J’ai décidé de commencer à te récompenser dès ce soir. Tu vas passer la nuit avec moi, dans Mon lit ! Demain, tu auras le droit à une douche chaude, et à rester avec Moi toute la journée.
Je me précipitais hors du lit, et me prosternais à Ses pieds laissant couler mes larmes. Cette position et mes larmes étaient pour moi le meilleur moyen de Le remercier le plus sincèrement qu’il m’était possible. C’était à mon sens plus expressif que des mots, et Sa caresse tendre sur ma tête, ma joue et mon épaule me confirmèrent que mon message de reconnaissance et de dévotion était bien passé…
(A suivre …)
Il me banda les yeux et me mit un bâillon équipé d’un anneau large, qui me maintenait la bouche grande ouverte, offerte à qui le voudrait... J’entendis des bruits que je ne reconnaissais pas. Mais quand il me fit monter sur une table carrée, vu que je n’en avais pas vu avant, je supposais que les bruits étaient la table qu’il avait dépliée. Elle n’était pas très grande, juste de quoi y reposer mon dos et le haut de mes fesses. Ma tête pendait donc dans le vide, en arrière, le sang ne tarderait pas à monter dans cette position. Il m’attacha les chevilles et les poignets aux pieds du meuble. J’étais dans l’incapacité totale de bouger, et je ne pouvais absolument rien voir avec le bandeau. J’essayais de ne pas trop m’inquiéter. La journée ne durerait pas indéfiniment. Et je retrouverai bientôt la Dominance saine du Maître Vénéré. En attendant, je ne pus empêcher une pensée d’appréhension quand j’entendis un grand nombre de voix entrée dans la petite arrière-boutique. Bientôt la pièce devint étouffante. Une petite pièce et un grand nombre de personne augmentaient la sensation de chaleur. Très vite, j’entendis bon nombre de phrases du style : « Une belle pute à baiser », « Une bonne chienne à prendre », ou le vendeur qui invitait quiconque le voulait à prendre le trou qu’il voudrait.
- Je vous prierai de bien vouloir vous soulager de temps en temps dans sa bouche, urine ou sperme, pour ne pas que la petite salope à votre disposition ne puisse se déshydrater. Allez-y, tous les trous sont bons à être fourrés !
Alors ce fut une succession de bites dans ma chatte, dans mon cul et dans ma bouche. Parfois, c’était chacun son tour. Parfois, plusieurs queues me prenaient en même temps. Je reçus du sperme dans mes orifices du bas, sur ma peau, jamais dans la bouche. Ils préféraient me pisser directement dedans. Avec l’anneau qui m’écartait la bouche, souvent je m’étouffais avec l’urine qui coulait directement dans ma gorge. Personne n’avait eu l’idée de m’interdire de jouir, donc je cumulais avec joie les orgasmes successifs. Cela dit, les hommes, innombrables qui se succédaient, s’en fichaient bien de savoir si je prenais du plaisir ou non. Ils étaient là pour se vider les couilles, gratuitement ou non, je ne le savais pas. Mais je ne doutais pas que le vendeur fasse un bénéfice sur la caution de la soumise qu’il avait prêtée. Je vécus également deux expériences inédites, dont mes trous se souviendraient longtemps… Alors que j’étais en train de me faire labourer la chatte, qui dégoulinait de sperme et de mouille, car je ne pouvais cacher que j’étais excitée d’être prise en tournante comme cela, je sentis qu’une deuxième queue tentait de pénétrer ma chatte déjà encombrée. Heureusement pour moi, l’homme y alla doucement. Je sentais que mes chaires s’écartaient de plus en plus. Quand elle réussit à rentrer, je ne pus retenir un petit cri, qui passa totalement inaperçu. Jamais je n’avais ressenti cela, surtout que les deux bites ne bougeaient pas au même rythme, et je connus des orgasmes fulgurants, si puissants, si violents … !
Mais la seconde chose que je serais incapable d’oublier, c’est quand un troisième homme avait décidé d’enfoncer son vit dressé dans mon cul. Il eut vraiment du mal à rentrer, j’étais déjà bien remplie. Mais cela ne le découragea pas et il appuya de plus en plus jusqu’à être parvenu à ses fins. Alors là, ce fut une explosion de sensations ! Jamais je ne m’étais sentie aussi pleine ! J’avais l’impression qu’absolument toute la surface de mes parois internes était stimulée en même temps. Le temps qu’ils s’habituent eux même à la situation, ils restèrent immobiles, mais cela ne m’empêcha pas de jouir bruyamment, comme une bonne chienne en chaleur beuglant son plaisir sans retenue tellement c’était bon de n’être considérée que comme un ensemble de trous à bites, un vide-couilles, une bonne salope de chienne à baiser ! Quand tous se furent vidés, toujours sans savoir le nombre d’hommes qui m’étaient passés dessus, quand tous eurent pissé dans ma bouche, se furent vider les burnes dans un orifice ou sur ma peau, ils partirent tous, ainsi que le vendeur, et ils me laissèrent seule, toujours attachée sur la table, épuisée, salie, souillée certes, mais quel pied j’ai pu vivre ! Je sentais ma peau qui s’étirait sous l’effet du sperme qui séchait. Ça avait duré deux bonnes heures au moins ! J’étais épuisée, affamée, n’ayant ingurgité que de l’urine. J’avais mal à la tête à cause de ma tête ballottant toujours dans le vide, et je ne tardais pas à m’évanouir.
Quand je me réveillais, j’étais sur le sol, un drap me recouvrait. Mais j’étais tout de même attachée, les poignets et les chevilles ensemble. Peu de temps après, je vis Maijia ouvrir la porte, un biberon à la main.
- Chut, on se tait et on boit !
Et il me fourra la tétine dans la bouche. Ce que j’ingurgitai avait un goût franchement mauvais. Je ne savais ce que c’était, mais ça me donnait la nausée. Cependant cela eut le bénéfice de calmer ma faim. La journée se poursuivit relativement calmement. Je devais restée à genoux devant les toilettes, et dès que quelqu’un entrait je devais garder la bouche ouverte et recevoir urine et sperme, à la convenance de qui venait soit pisser, soit se branler. J’eus même la visite de quelques femmes qui avaient pris connaissance de ma présence et qui avaient osé entrer dans les toilettes hommes. Elles me pissaient dans la bouche, avant d’exiger que je lèche leur chatte jusqu’à les faire jouir et je devais boire leur liqueur. Certaines me branlaient avec frénésie, me pinçaient les tétons… Je mouillais encore et encore d’excitation et eus encore plusieurs orgasmes malgré la fatigue… Quand j’entendis, enfin, la voix de Monsieur le Marquis d’Evans, je me sentis soulagée et d’un coup très faible, et je l’avoue, un peu honteuse de l’état dans lequel je me trouvais.
- J’ai essayé votre soumise toute la journée. C’est décidé, je vous l’achète ! Entendis-je le Maître dire au vendeur
- Vous voulez l’acheter ou l’échanger ? J’ai un monsieur qui est passé et s’est servi de Votre chienne, et qui aurait voulu l’acheter un très très bon prix !
- Non je suis désolé, mais je ne me sépare pas de Mes biens sans que ce ne soit leur volonté. A moins que Ma soumise MDE n’ait exprimé le souhait de me quitter.
- Non Monsieur le Marquis, elle a été parfaite et n’a pas parlé de la journée.
- Bien, alors allons lui poser la question. Après tout, je peux me tromper sur ses désirs.
Et après que le Maître eut un mouvement d’arrêt en me voyant ainsi souillée et puante, Il me demanda si je préférais partir avec le monsieur en question. Et sur ma réponse véhémente exprimant mon désir de ne jamais le quitter de toute ma vie, les deux hommes retournèrent dans la boutique me laissant à ma place, et retournant voir Chùndù, la soumise asiatique que le Maître allait acquérir. Elle allait rester avec le vendeur jusqu’au lendemain, jour où des personnes employées par le Maître viendraient récupérer tous les biens qu’Il avait acheté ces deux jours… Il revint me chercher dans l’arrière-boutique, après une discussion avec le vendeur sur mon comportement de la journée et tout ce que j’avais vécu. Quand Il ouvrit la porte, je me prosternais immédiatement, considérant que s’Il était revenu, c’est que je repassais, avec bonheur et reconnaissance, sous Ses ordres. Il s’accroupit près de moi et claqua des doigts. Je me mis donc à quatre pattes, tête basse. Il posa un doigt sous mon menton, me releva la tête et exigea que je Le regarde dans les yeux.
- Je suis fier de toi, ma chienne. Je sais que tu as passé une journée intense et fatigante, et surtout dégradante, mais que tu as obéi à tout ce qu’on a exigé de toi, comme la bonne chienne obéissante et bien dressée MDE que tu es. Tu as fait honneur à l’éducation que tu as reçu, et à la réputation que j’ai à travers les continents. Maintenant nous allons rentrer, mais demain tu seras récompensée. Suis-moi, nous allons trouver un endroit où tu pourras te nettoyer, te laver ...
Nous trouvâmes un hangar-sanitaire où il y avait des douches, froides évidemment mais avec du savon liquide à disposition. Le Maître me laissa seule pour me nettoyer. Cela me fit énormément de bien de pouvoir me débarrasser de tout ce sperme, cette urine, cette odeur qui me collait à la peau, odeur remplacée par celle, salvatrice, du savon… Comme le jour précédent, je m’endormis dans le coffre sur le trajet du retour. Le Châtelain ne me réveilla que lorsqu’Il m’eut déposée sur Son lit.
- J’ai décidé de commencer à te récompenser dès ce soir. Tu vas passer la nuit avec moi, dans Mon lit ! Demain, tu auras le droit à une douche chaude, et à rester avec Moi toute la journée.
Je me précipitais hors du lit, et me prosternais à Ses pieds laissant couler mes larmes. Cette position et mes larmes étaient pour moi le meilleur moyen de Le remercier le plus sincèrement qu’il m’était possible. C’était à mon sens plus expressif que des mots, et Sa caresse tendre sur ma tête, ma joue et mon épaule me confirmèrent que mon message de reconnaissance et de dévotion était bien passé…
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