Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°981)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°981)
Olivier au Château – (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°980) -
Olivier sentait la noble semence couler sur ses cuisses, les Invités narquois remarquaient que son sexe bandait au zénith, car en effet cette humiliation d’être pris en public avait été pour lui un moment d’intenses excitations qu’il convenait maintenant de calmer. Une Domina avait pour spécialité de mater les chiens esclaves dont la nouille était trop souvent en érection, elle demanda à ce qu’on lui amène de la glace. On lui apporta alors un broc rempli de glace pilée. La Domina prit la parole devant l’assemblée :
- Monsieur le Marquis, regardez cette salope mâle comme elle bande ! Je vais lui appliquer un traitement qui devrait rapidement lui rappeler qu’il n’a qu’une nouille comme sexe, car la glace que je vais lui appliquer va le ramener à la réalité de son état servile …
Elle demanda à Marie de remplir un sac en plastique de glace pilée et d’en appliquer sur le pubis d’Olivier, elle dit alors :
- Petite pute, tu vas rapidement débander et pour te calmer définitivement, j’ai dans mon sac une cage de chasteté qui devrait t’aller à merveille, je te conseille aussi de ne pas bouger quand Marie va te toucher, tu vois cette cravache, tu auras de violents coups sur ton cul de pute si tu bouges d’un iota, compris ?
Olivier fit l’erreur de ne rien dire et un coup sec de cravache tomba sur ses fesses
- Alors, petite salope, tu oublies les formules de politesse ?, tu te rappelles qui je suis ? Je suis une Domina quand je te parle, tu réponds oui Maîtresse ! Ok, salope ?
Et de nouveau, elle donna un coup marquant sa volonté de mater cet orgueilleux soumis. Oliver baissa la tête et rapidement balbutia un :
- Oui Maîtresse
- Voilà qui est mieux, dit l’amie de Monsieur le Marquis, maintenant voyons si le froid aura de l’effet sur toi.
Marie appliqua fortement le sac de glace sur le sexe d’Olivier, la morsure du froid sur son corps agissait comme une brûlure. Olivier ne put s’empêcher de bouger et la cravache s’abattit encore plusieurs fois sur lui, la Domina savait ce qui était bon pour Olivier. L’application de la glace et les coups de cravache firent rapidement débander le soumis, celui-ci compris que tant qu’il bougerait il serait doublement punis par le froid de la glace et les coups sur ses fesses qui rougissaient à vue d’œil. Il se mit alors à respirer d’une manière plus forte afin de calmer ses sens, sa verge rapidement débanda et quand Marie enleva le sac de plastique, elle n’était plus qu’un bout de chair rabougri, mou et pendant. Satisfaite, la Domina lui dit d’approcher pour avoir sa récompense, la cage de chasteté était un modèle en métal inoxydable qui enserrait la nouille du soumis tout en maintenant celle-ci au contact des testicules. Avec ce type de cage de chasteté, l’érection était vraiment contrainte donc impossible, voire douloureuse si le soumis ne savait pas se contrôler. L’amie de Monsieur le Marquis d’Evans prit alors la verge d’Oliver et la mise en place de la cage prit trois minutes. Une fois l’installation terminée, elle indiqua à son Hôte :
- Cher Marquis, Cher ami, maintenant ce soumis va comprendre qu’il ne bandera que lorsqu’il en sera autorisé, vous vous souvenez de ce mâle soumis arrogant qui bandait sous nos coups comme un âne et qu’on a contraint pendant plus d’un mois à porter une cage. Sa nouille à la fin était tout petit, il bandait mou même !...
Olivier compris que son sort était peut-être de perdre tout signe de virilité, de devenir une lopette mâle en devenir. Une chienne à dresser, à soumettre aux caprices des Maîtres et Dominas, une lopette obéissante aux ordres de Monsieur le Marquis d’Evans. Mais la Domina continua son discours :
- Venez tous voir comment ce chien est appareillé ! S’exclama-t-elle à l’assemblée !
A tour de rôle les membres présents s’approchèrent, les regards hautains et moqueurs de cette noble assemblée se posèrent sur les génitaux d’Olivier. Il n‘était plus qu’un chien castré par cette appareillage, les Maîtres et Dominas allaient maintenant lui montrer que d’essayer de bander avec une cage était extrêmement douloureux. La deuxième Domina demanda à la soumise de s’approcher, l’ordre lui fut donner de faire bander Olivier. Véronique était bien entendu dénudée, les tétons de sa poitrine saillaient. Elle s’appuya sur le dos d’Olivier, le frottement de ses seins puis le mouvement de ses douces mains baladeuses et sensuelles sur le ventre d’Olivier dans l’intérieur de ses cuisses excitait le soumis. Elle effectua ces gestes avec douceur, comme seules les femmes savent le faire. Olivier avait eu peu d’expériences avec les femmes et ses sens reprirent le dessus, le sang reflua vers sa verge sauf que le sexe était emprisonné par la cage, la verge remplit rapidement la paroi métallique. Olivier sentait le sang arriver mais sa queue devint tout d’un coup douloureuse, l’érection ne se faisait pas comme il le fallait, il grimaçait de douleur découvrant de nouvelles sensations qui l’excitaient encore plus mais toujours sans pouvoir laisser exprimer une bandaison impossible.
C’est à ce moment-là qu’un ami du Noble s’approcha sexe en main :
- Aller, ma petite pute, tu vas voir que tout cela va te soulager, à genoux et viens sucer ma grosse queue majestueuse, montre-moi que tu aimes la bite, surtout celle des gens de ma position…
Olivier obéit et c’est à genou qu’il reçut en bouche ce sexe gonflé et tendu de désirs alors que le sien était recroquevillé, confiné et contraint dans la cage par obligation, mais il s’appliquait à penser uniquement à la tâche qu’on lui réclamait. Il suça avec application, sa langue parcourant la veine du chibre, sa salive permettant au vit de s’introduire plus en avant dans la gorge. Sa bouche était la représentation d’un vagin féminin, accueillante, chaude et humide ainsi il se donnait à fond dans le bût de procurer le maximum de plaisirs à l’homme Dominateur, Invité de Monsieur le Marquis. En faisant cela, il évitait de penser à sa nouille emprisonnée, il devait donner du plaisir et ne pas penser à en prendre tel était le rôle que le Maître lui avait dévolu. Alors les vas et viens dans sa bouche fut de plus en plus inquisiteurs, plus profonds, le soumis faillit s’étouffer plus d’une fois. Le Dominateur lui prit la nuque afin de lui plaquer la tête et imposer ainsi une cadence rapide quand tout d’un coup on entendit de longs râles de jouissance quand l’homme éjacula en grognant son plaisir tel un mâle en rut. Visiblement, il avait pris beaucoup de plaisirs. Quand son sexe débanda dans la bouche d’Olivier, il s’écarta alors pour laisser la place et c’est un autre phallus masculin qui profita de la situation et ainsi en l’espace de dix minutes Olivier s’appliqua à sucer toutes les verges présentes et son envie de bandaison impossible laissa la place à des sentiments d’abandon face à cette assemblée dominatrice. Il devenait ainsi une trainée, une chienne prête à tout pour sucer et faire jouir des hommes de haute qualité...
Monsieur le Marquis avait le don pour révéler la vraie nature des individus, Olivier en était encore une fois le vivant exemple. Sa bouche était devenue un réservoir à foutre, maintenant il devait montrer sa résistance au fouet, à la suspension, puis à l’empalement. Le Châtelain concluait toujours ses soirées par un godage imposé, le soumis était mis en suspension et petit à petit, on le faisait descendre sur un godemichet de belle taille et fixé à la verticale, les soumis entravés, n’avaient aucun moyen d’échapper au gland du godemichet qui pointait fièrement vers le haut…. Pour l’instant, c’est par le fouet qu’Olivier allait être dressé, Le Maître s’empara de celui de Walter et apostropha Olivier :
- Je vois que tu as apprécié de sucer les verges de mes amis, maintenant tu vas nous montrer ton potentiel à la résistance physique à la douleur. Un bon soumis doit être endurant, il montre ainsi son respect au Maître. Donc je vais te corriger avec ce fouet...
Et suite à un claquement de doigts du Maître, le soumis prit position montrant ainsi aux amis du Noble sa dévotion et obéissance envers le Maitre. Main sur la tête, bras et jambes écartées, nouille encagés, il était parfaitement en place afin de subir le fouet du Châtelain. Une chienne qui s’assumait totalement, voilà ce qu’était devenu Olivier maintenant face à cette assemblée qui ne perdait aucun détail de la scène. Le Maître des Lieux prit le temps, il s’appliqua à faire danser son fouet devant les yeux d’Olivier, avant de porter le premier coup, Oliver resta bien en place et machinalement se mit à compter les coups, un, deux, trois, quatre, et ainsi de suite. Les coups tombaient sur ses fesses, meurtrissant les chairs, il recevait les lanières du fouet en se mordant la lèvre inférieure. Ainsi une bonne dizaine de coups fut porté et les fesses du soumis plus que rougies étaient marquées de fortes traces mais le Châtelain avait su ne pas aller jusqu’au sang. Quand le Noble fut satisfait du comportement d’Olivier, il s’arrêta et un silence se fit entendre. Le seigneur pris le temps de ranger le fouet, s’adressant à Véronique :
- Il est comme toi, endurant et heureux d’être à ma disposition comme un bon petit chien, il va nous montrer maintenant comment il aime être enculé et écarté, qu’on le suspende !
Walter se saisit d’Olivier…
(A suivre …)
Olivier sentait la noble semence couler sur ses cuisses, les Invités narquois remarquaient que son sexe bandait au zénith, car en effet cette humiliation d’être pris en public avait été pour lui un moment d’intenses excitations qu’il convenait maintenant de calmer. Une Domina avait pour spécialité de mater les chiens esclaves dont la nouille était trop souvent en érection, elle demanda à ce qu’on lui amène de la glace. On lui apporta alors un broc rempli de glace pilée. La Domina prit la parole devant l’assemblée :
- Monsieur le Marquis, regardez cette salope mâle comme elle bande ! Je vais lui appliquer un traitement qui devrait rapidement lui rappeler qu’il n’a qu’une nouille comme sexe, car la glace que je vais lui appliquer va le ramener à la réalité de son état servile …
Elle demanda à Marie de remplir un sac en plastique de glace pilée et d’en appliquer sur le pubis d’Olivier, elle dit alors :
- Petite pute, tu vas rapidement débander et pour te calmer définitivement, j’ai dans mon sac une cage de chasteté qui devrait t’aller à merveille, je te conseille aussi de ne pas bouger quand Marie va te toucher, tu vois cette cravache, tu auras de violents coups sur ton cul de pute si tu bouges d’un iota, compris ?
Olivier fit l’erreur de ne rien dire et un coup sec de cravache tomba sur ses fesses
- Alors, petite salope, tu oublies les formules de politesse ?, tu te rappelles qui je suis ? Je suis une Domina quand je te parle, tu réponds oui Maîtresse ! Ok, salope ?
Et de nouveau, elle donna un coup marquant sa volonté de mater cet orgueilleux soumis. Oliver baissa la tête et rapidement balbutia un :
- Oui Maîtresse
- Voilà qui est mieux, dit l’amie de Monsieur le Marquis, maintenant voyons si le froid aura de l’effet sur toi.
Marie appliqua fortement le sac de glace sur le sexe d’Olivier, la morsure du froid sur son corps agissait comme une brûlure. Olivier ne put s’empêcher de bouger et la cravache s’abattit encore plusieurs fois sur lui, la Domina savait ce qui était bon pour Olivier. L’application de la glace et les coups de cravache firent rapidement débander le soumis, celui-ci compris que tant qu’il bougerait il serait doublement punis par le froid de la glace et les coups sur ses fesses qui rougissaient à vue d’œil. Il se mit alors à respirer d’une manière plus forte afin de calmer ses sens, sa verge rapidement débanda et quand Marie enleva le sac de plastique, elle n’était plus qu’un bout de chair rabougri, mou et pendant. Satisfaite, la Domina lui dit d’approcher pour avoir sa récompense, la cage de chasteté était un modèle en métal inoxydable qui enserrait la nouille du soumis tout en maintenant celle-ci au contact des testicules. Avec ce type de cage de chasteté, l’érection était vraiment contrainte donc impossible, voire douloureuse si le soumis ne savait pas se contrôler. L’amie de Monsieur le Marquis d’Evans prit alors la verge d’Oliver et la mise en place de la cage prit trois minutes. Une fois l’installation terminée, elle indiqua à son Hôte :
- Cher Marquis, Cher ami, maintenant ce soumis va comprendre qu’il ne bandera que lorsqu’il en sera autorisé, vous vous souvenez de ce mâle soumis arrogant qui bandait sous nos coups comme un âne et qu’on a contraint pendant plus d’un mois à porter une cage. Sa nouille à la fin était tout petit, il bandait mou même !...
Olivier compris que son sort était peut-être de perdre tout signe de virilité, de devenir une lopette mâle en devenir. Une chienne à dresser, à soumettre aux caprices des Maîtres et Dominas, une lopette obéissante aux ordres de Monsieur le Marquis d’Evans. Mais la Domina continua son discours :
- Venez tous voir comment ce chien est appareillé ! S’exclama-t-elle à l’assemblée !
A tour de rôle les membres présents s’approchèrent, les regards hautains et moqueurs de cette noble assemblée se posèrent sur les génitaux d’Olivier. Il n‘était plus qu’un chien castré par cette appareillage, les Maîtres et Dominas allaient maintenant lui montrer que d’essayer de bander avec une cage était extrêmement douloureux. La deuxième Domina demanda à la soumise de s’approcher, l’ordre lui fut donner de faire bander Olivier. Véronique était bien entendu dénudée, les tétons de sa poitrine saillaient. Elle s’appuya sur le dos d’Olivier, le frottement de ses seins puis le mouvement de ses douces mains baladeuses et sensuelles sur le ventre d’Olivier dans l’intérieur de ses cuisses excitait le soumis. Elle effectua ces gestes avec douceur, comme seules les femmes savent le faire. Olivier avait eu peu d’expériences avec les femmes et ses sens reprirent le dessus, le sang reflua vers sa verge sauf que le sexe était emprisonné par la cage, la verge remplit rapidement la paroi métallique. Olivier sentait le sang arriver mais sa queue devint tout d’un coup douloureuse, l’érection ne se faisait pas comme il le fallait, il grimaçait de douleur découvrant de nouvelles sensations qui l’excitaient encore plus mais toujours sans pouvoir laisser exprimer une bandaison impossible.
C’est à ce moment-là qu’un ami du Noble s’approcha sexe en main :
- Aller, ma petite pute, tu vas voir que tout cela va te soulager, à genoux et viens sucer ma grosse queue majestueuse, montre-moi que tu aimes la bite, surtout celle des gens de ma position…
Olivier obéit et c’est à genou qu’il reçut en bouche ce sexe gonflé et tendu de désirs alors que le sien était recroquevillé, confiné et contraint dans la cage par obligation, mais il s’appliquait à penser uniquement à la tâche qu’on lui réclamait. Il suça avec application, sa langue parcourant la veine du chibre, sa salive permettant au vit de s’introduire plus en avant dans la gorge. Sa bouche était la représentation d’un vagin féminin, accueillante, chaude et humide ainsi il se donnait à fond dans le bût de procurer le maximum de plaisirs à l’homme Dominateur, Invité de Monsieur le Marquis. En faisant cela, il évitait de penser à sa nouille emprisonnée, il devait donner du plaisir et ne pas penser à en prendre tel était le rôle que le Maître lui avait dévolu. Alors les vas et viens dans sa bouche fut de plus en plus inquisiteurs, plus profonds, le soumis faillit s’étouffer plus d’une fois. Le Dominateur lui prit la nuque afin de lui plaquer la tête et imposer ainsi une cadence rapide quand tout d’un coup on entendit de longs râles de jouissance quand l’homme éjacula en grognant son plaisir tel un mâle en rut. Visiblement, il avait pris beaucoup de plaisirs. Quand son sexe débanda dans la bouche d’Olivier, il s’écarta alors pour laisser la place et c’est un autre phallus masculin qui profita de la situation et ainsi en l’espace de dix minutes Olivier s’appliqua à sucer toutes les verges présentes et son envie de bandaison impossible laissa la place à des sentiments d’abandon face à cette assemblée dominatrice. Il devenait ainsi une trainée, une chienne prête à tout pour sucer et faire jouir des hommes de haute qualité...
Monsieur le Marquis avait le don pour révéler la vraie nature des individus, Olivier en était encore une fois le vivant exemple. Sa bouche était devenue un réservoir à foutre, maintenant il devait montrer sa résistance au fouet, à la suspension, puis à l’empalement. Le Châtelain concluait toujours ses soirées par un godage imposé, le soumis était mis en suspension et petit à petit, on le faisait descendre sur un godemichet de belle taille et fixé à la verticale, les soumis entravés, n’avaient aucun moyen d’échapper au gland du godemichet qui pointait fièrement vers le haut…. Pour l’instant, c’est par le fouet qu’Olivier allait être dressé, Le Maître s’empara de celui de Walter et apostropha Olivier :
- Je vois que tu as apprécié de sucer les verges de mes amis, maintenant tu vas nous montrer ton potentiel à la résistance physique à la douleur. Un bon soumis doit être endurant, il montre ainsi son respect au Maître. Donc je vais te corriger avec ce fouet...
Et suite à un claquement de doigts du Maître, le soumis prit position montrant ainsi aux amis du Noble sa dévotion et obéissance envers le Maitre. Main sur la tête, bras et jambes écartées, nouille encagés, il était parfaitement en place afin de subir le fouet du Châtelain. Une chienne qui s’assumait totalement, voilà ce qu’était devenu Olivier maintenant face à cette assemblée qui ne perdait aucun détail de la scène. Le Maître des Lieux prit le temps, il s’appliqua à faire danser son fouet devant les yeux d’Olivier, avant de porter le premier coup, Oliver resta bien en place et machinalement se mit à compter les coups, un, deux, trois, quatre, et ainsi de suite. Les coups tombaient sur ses fesses, meurtrissant les chairs, il recevait les lanières du fouet en se mordant la lèvre inférieure. Ainsi une bonne dizaine de coups fut porté et les fesses du soumis plus que rougies étaient marquées de fortes traces mais le Châtelain avait su ne pas aller jusqu’au sang. Quand le Noble fut satisfait du comportement d’Olivier, il s’arrêta et un silence se fit entendre. Le seigneur pris le temps de ranger le fouet, s’adressant à Véronique :
- Il est comme toi, endurant et heureux d’être à ma disposition comme un bon petit chien, il va nous montrer maintenant comment il aime être enculé et écarté, qu’on le suspende !
Walter se saisit d’Olivier…
(A suivre …)
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