Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°988)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°988)
Olivier au Château – (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°987) -
- Ouvre ton cul avec tes mains que je te nettoie en profondeur, la pute ! …
Olivier obéit et il sentit alors l’eau s’engouffrer dans son anus encore dilaté. Marie s’approcha encore plus, elle voulait que le jet d’eau force le passage que le chien soumis soit bien propre. Au bout d’un moment estimant que suffisamment d’eau était entrée dans le cul de la lopette-mâle, elle stoppa le jet.
- Petite pute, tu vas maintenant garder cette eau en toi, il faut que tu sois bien propre pour tout à l’heure.
Olivier sentait que son colon devait être rempli d’une certaine quantité d’eau, la pression devint alors trop forte, ses sphincters malgré ses efforts étaient en train de le trahir et un jet d’eau sortis alors de son cul provoquant les moqueries de Marie.
- Voilà une bonne chose la salope qui pisse du cul ! Tu seras bien propre pour tout à l’heure ? vient, prend cette brosse et montre-moi comment tu fais pour te nettoyer
Olivier se saisit de la brosse, il commença à frotter son corps ; les crins durs au contact de sa peau lui faisait mal, mais en grimaçant il continua, le regard de Marie ne lui laissait de toute façon aucun échappatoire. Il devait obéir et la brosse laissa sur sa peau des grosses marques rouges mais il savait que ce traitement aurait une récompense avec le rendez-vous avec le Maître des Lieux. Au bout de dix minutes, Marie estima qu’Olivier était maintenant présentable sa peau rougit par la brosse témoignait de cela. Elle mit un terme au traitement. Olivier était maintenant prêt à rencontrer le Châtelain mais il restait encore une chose à faire. Le Noble voulait qu’Olivier soit équipé d’un appareil de son invention, il s’agissait d’une planche qui était pourvu d’une rangée de clous, elle était fixé juste au-dessus de sa nouille, les clous dirigés vers son pénis, une sangle en cuir maintenait le tout. Olivier remarqua que le cuir était marquait aux Initiales de Monsieur le Marquis, MDE propriété de Monsieur le Marquis, Le soumis ne savait pas si cela indiquait qu’il était la propriété du Seigneur ou que l’objet appartenait au Châtelain, mais la question n’était pas là, qu’elle en était la fonction réelle de cette invention ? Le Maître détenait la réponse, l’appareil était le fruit de ses réflexions et Walter attentifs aux ordres du Maître avait su le confectionner. Ainsi appareillé, Olivier fut enfin conduit auprès de Monsieur le Marquis d’Evans dans son salon de musique où on pouvait entendre une sonate de Mozart, le Châtelain était en train de répondre aux nombreux courriers qu’il recevait. Walter poussa Olivier dans la pièce, le Noble posa alors son stylo, Olivier compris alors que c’était le bon moment pour déclamer la phrase de la journée
- J’ai été enculé ce matin par Le noble Seigneur, Le Maître et je porte en moi les traces de Sa jouissance.
- Bien, tu es une bonne salope-lopette obéissante, dit le Maître des Lieux, je t’ai fait venir pour que l’on puisse discuter ensemble. Mais pour l’instant, garde le silence et écoute-moi avec attention.
Olivier écouta avec avidité les mots de Monsieur le Marquis d’Evans, le ton de la voix, le rythme, mais surtout la prestance du Seigneur, le fait de savoir qu’il allait passer un moment avec lui faisait monter un sentiment de plénitude. Sa nouille manifesta alors sa satisfaction d’être nue en compagnie du Maître et d’écouter cette divine parole. Le début d’érection fit tendre le sexe, l’afflux de sang dans la verge fit décalotter le gland et les quelques centimètres d’érection qu’Olivier ne pouvait contrôler lui provoqua soudainement un cri. Il venait de comprendre à quoi servait l’invention de Monsieur le Marquis quand son gland rentra en contact avec un des clous de l’appareil et cette sensation était extrêmement douloureuse, c’était le bût cherché par Monsieur le Marquis, discuter avec son soumis et provoquer chez lui ce sentiment d’insatisfaction de souffrir en bandant pour le Maître. Cet instrument fort efficace était également pervers dans sa fonction même ! Le Noble Seigneur repris son discours :
- Tu as été un bon chien hier, mes amis ont appréciés de te voir ainsi soumis, ce matin ton cul bien serré fut un délice à forcer, tu seras je pense un bon élément de Mon Cheptel.
Olivier sentait sa queue de chien prendre de l’ampleur, il bandait pour Monsieur le Marquis et sa verge frottait maintenant les clous de la planche, cette invention était diabolique car Olivier ne pouvait réprimer son érection, et sentait de fortes piqures provoquée par les pointes des clous sur son gland violacé. Monsieur le Marquis savait cela, il avait déjà expérimenté son invention sur d’autres soumis et savait donc que généralement des érections très puissantes étaient provoquées par Sa simple présence. Les queues des autres soumis, à chaque phrase qu’Il prononçait, se tendaient en avant prouvant bien le degré d’excitation d’être traitées comme des lopettes. Et soumis Olivier était comme tous les autres ! Un chien soumis et les saccades de sa nouille tendue vers la planche cloutée étaient le signe de son avilissement, de sa dévotion, de son état même de soumis heureux. Il était meurtri dans sa chair piquée par les clous et pourtant il bandait comme un cerf. Et plus le Noble parlait, plus Olivier bandait, malgré les douleurs sur le gland piqué qui lui procuraient paradoxalement du plaisir masochiste fort. Douleurs fortes et envies d’éjaculer se mélangeaient. Monsieur le Marquis continua :
- Je sais par Walter que tu as joui ce matin, sache que cela n’est pas tolérable, c’est inacceptable et strictement interdit d’éjaculer sans Mon ordre. Tu seras donc sévèrement puni pour cette impardonnable faute, comme te l’a déjà dit Walter. Mais comme tu me sembles un soumis convenable, et en attendant ladite punition, je veux que tu te masturbes devant moi, si tu sais bien t’y prendre, tu jouiras rapidement car tu y es autorisé juste pour maintenant et tu sauras diriger ta nouille vers le bas il ne faudrait pas que tu heurtes brutalement ces clous si tu ne veux pas écorcher ton gland… Tu sais que c’est moi qui ai inventé cet appareil ?
Olivier bandait de plus belle, et à l’ordre de Monsieur le Marquis, il commença les mouvements de la main, maladroitement il chercha sa verge qu’il ne pouvait pas voir à cause de l’invention du Noble Seigneur. Sa main contourna l’objet en bois et se saisit de sa queue, le premier mouvement de masturbation provoqua une vive piqure, en effet le gland venait de heurter brutalement un clou qui heureusement ne fit pas saigner le gland. Il prit conscience que sa nouille devait être dirigée vers le bas et il pouvait le faire en écartant les jambes, Olivier avait enfin compris comment il devait s’y prendre. Le Noble constatait que le soumis s’appliquait à se masturber pour prendre du plaisir, il n’y voyait pas d’inconvénients puisque le soumis ne faisait qu’obéir à Ses ordres. Le soumis malheureusement ne pouvais pas éviter le contact du sexe avec un des clous de la planche et cela faisant il ruinait ses chances d’éjaculer, il était pris au piège de ce pervers appareil. A chaque contact douloureux avec les clous il devait faire attention à ces gestes et rediriger son sexe vers le bas, il réduisait ainsi la possibilité d’une jouissance rapide, il était ainsi bien pris au jeu du Noble Seigneur. Le Châtelain pris la parole :
- Tu ne peux plus jouir petite lopette, pourtant je t’ai donné un ordre, tu dois arrêter de diriger ta nouille vers le bas car je sais par expérience que la seule méthode pour éjaculer et que tu acceptes que ta nouille de chien entre en contact avec les clous, soit digne de Moi, c’est un mauvais moment à passer
Olivier se montra courageux pour satisfaire le Maître son gland heurtait maintenant les clous, mais en faisant ainsi il donnait satisfaction au Noble Seigneur et à cette évocation il éjacula en grognant au risque d’écorcher le gland, la douleur était pourtant forte tout en ayant un plaisir jouissif. Douleur qui stoppa dès que la nouille débanda.... Seul le plaisir de satisfaire Monsieur le Marquis était là, il était en ce moment un chien soumis dont le bût était d’être aux pieds du Maître… Et sur ordre de Celui-ci, Olivier se mit en levrette, l’appareil entre les jambes, afin de lécher son propre sperme tombé sur le luxueux tapis d’Orient … Alors qu’il était en train de faire le chien renifleur, tout en léchant le tapis à ramasser son foutre au bout de sa langue, il sentit qu’on le maintenait fermement par les hanches. En effet le Noble entreprit de le sodomiser de nouveau …
(A suivre …)
- Ouvre ton cul avec tes mains que je te nettoie en profondeur, la pute ! …
Olivier obéit et il sentit alors l’eau s’engouffrer dans son anus encore dilaté. Marie s’approcha encore plus, elle voulait que le jet d’eau force le passage que le chien soumis soit bien propre. Au bout d’un moment estimant que suffisamment d’eau était entrée dans le cul de la lopette-mâle, elle stoppa le jet.
- Petite pute, tu vas maintenant garder cette eau en toi, il faut que tu sois bien propre pour tout à l’heure.
Olivier sentait que son colon devait être rempli d’une certaine quantité d’eau, la pression devint alors trop forte, ses sphincters malgré ses efforts étaient en train de le trahir et un jet d’eau sortis alors de son cul provoquant les moqueries de Marie.
- Voilà une bonne chose la salope qui pisse du cul ! Tu seras bien propre pour tout à l’heure ? vient, prend cette brosse et montre-moi comment tu fais pour te nettoyer
Olivier se saisit de la brosse, il commença à frotter son corps ; les crins durs au contact de sa peau lui faisait mal, mais en grimaçant il continua, le regard de Marie ne lui laissait de toute façon aucun échappatoire. Il devait obéir et la brosse laissa sur sa peau des grosses marques rouges mais il savait que ce traitement aurait une récompense avec le rendez-vous avec le Maître des Lieux. Au bout de dix minutes, Marie estima qu’Olivier était maintenant présentable sa peau rougit par la brosse témoignait de cela. Elle mit un terme au traitement. Olivier était maintenant prêt à rencontrer le Châtelain mais il restait encore une chose à faire. Le Noble voulait qu’Olivier soit équipé d’un appareil de son invention, il s’agissait d’une planche qui était pourvu d’une rangée de clous, elle était fixé juste au-dessus de sa nouille, les clous dirigés vers son pénis, une sangle en cuir maintenait le tout. Olivier remarqua que le cuir était marquait aux Initiales de Monsieur le Marquis, MDE propriété de Monsieur le Marquis, Le soumis ne savait pas si cela indiquait qu’il était la propriété du Seigneur ou que l’objet appartenait au Châtelain, mais la question n’était pas là, qu’elle en était la fonction réelle de cette invention ? Le Maître détenait la réponse, l’appareil était le fruit de ses réflexions et Walter attentifs aux ordres du Maître avait su le confectionner. Ainsi appareillé, Olivier fut enfin conduit auprès de Monsieur le Marquis d’Evans dans son salon de musique où on pouvait entendre une sonate de Mozart, le Châtelain était en train de répondre aux nombreux courriers qu’il recevait. Walter poussa Olivier dans la pièce, le Noble posa alors son stylo, Olivier compris alors que c’était le bon moment pour déclamer la phrase de la journée
- J’ai été enculé ce matin par Le noble Seigneur, Le Maître et je porte en moi les traces de Sa jouissance.
- Bien, tu es une bonne salope-lopette obéissante, dit le Maître des Lieux, je t’ai fait venir pour que l’on puisse discuter ensemble. Mais pour l’instant, garde le silence et écoute-moi avec attention.
Olivier écouta avec avidité les mots de Monsieur le Marquis d’Evans, le ton de la voix, le rythme, mais surtout la prestance du Seigneur, le fait de savoir qu’il allait passer un moment avec lui faisait monter un sentiment de plénitude. Sa nouille manifesta alors sa satisfaction d’être nue en compagnie du Maître et d’écouter cette divine parole. Le début d’érection fit tendre le sexe, l’afflux de sang dans la verge fit décalotter le gland et les quelques centimètres d’érection qu’Olivier ne pouvait contrôler lui provoqua soudainement un cri. Il venait de comprendre à quoi servait l’invention de Monsieur le Marquis quand son gland rentra en contact avec un des clous de l’appareil et cette sensation était extrêmement douloureuse, c’était le bût cherché par Monsieur le Marquis, discuter avec son soumis et provoquer chez lui ce sentiment d’insatisfaction de souffrir en bandant pour le Maître. Cet instrument fort efficace était également pervers dans sa fonction même ! Le Noble Seigneur repris son discours :
- Tu as été un bon chien hier, mes amis ont appréciés de te voir ainsi soumis, ce matin ton cul bien serré fut un délice à forcer, tu seras je pense un bon élément de Mon Cheptel.
Olivier sentait sa queue de chien prendre de l’ampleur, il bandait pour Monsieur le Marquis et sa verge frottait maintenant les clous de la planche, cette invention était diabolique car Olivier ne pouvait réprimer son érection, et sentait de fortes piqures provoquée par les pointes des clous sur son gland violacé. Monsieur le Marquis savait cela, il avait déjà expérimenté son invention sur d’autres soumis et savait donc que généralement des érections très puissantes étaient provoquées par Sa simple présence. Les queues des autres soumis, à chaque phrase qu’Il prononçait, se tendaient en avant prouvant bien le degré d’excitation d’être traitées comme des lopettes. Et soumis Olivier était comme tous les autres ! Un chien soumis et les saccades de sa nouille tendue vers la planche cloutée étaient le signe de son avilissement, de sa dévotion, de son état même de soumis heureux. Il était meurtri dans sa chair piquée par les clous et pourtant il bandait comme un cerf. Et plus le Noble parlait, plus Olivier bandait, malgré les douleurs sur le gland piqué qui lui procuraient paradoxalement du plaisir masochiste fort. Douleurs fortes et envies d’éjaculer se mélangeaient. Monsieur le Marquis continua :
- Je sais par Walter que tu as joui ce matin, sache que cela n’est pas tolérable, c’est inacceptable et strictement interdit d’éjaculer sans Mon ordre. Tu seras donc sévèrement puni pour cette impardonnable faute, comme te l’a déjà dit Walter. Mais comme tu me sembles un soumis convenable, et en attendant ladite punition, je veux que tu te masturbes devant moi, si tu sais bien t’y prendre, tu jouiras rapidement car tu y es autorisé juste pour maintenant et tu sauras diriger ta nouille vers le bas il ne faudrait pas que tu heurtes brutalement ces clous si tu ne veux pas écorcher ton gland… Tu sais que c’est moi qui ai inventé cet appareil ?
Olivier bandait de plus belle, et à l’ordre de Monsieur le Marquis, il commença les mouvements de la main, maladroitement il chercha sa verge qu’il ne pouvait pas voir à cause de l’invention du Noble Seigneur. Sa main contourna l’objet en bois et se saisit de sa queue, le premier mouvement de masturbation provoqua une vive piqure, en effet le gland venait de heurter brutalement un clou qui heureusement ne fit pas saigner le gland. Il prit conscience que sa nouille devait être dirigée vers le bas et il pouvait le faire en écartant les jambes, Olivier avait enfin compris comment il devait s’y prendre. Le Noble constatait que le soumis s’appliquait à se masturber pour prendre du plaisir, il n’y voyait pas d’inconvénients puisque le soumis ne faisait qu’obéir à Ses ordres. Le soumis malheureusement ne pouvais pas éviter le contact du sexe avec un des clous de la planche et cela faisant il ruinait ses chances d’éjaculer, il était pris au piège de ce pervers appareil. A chaque contact douloureux avec les clous il devait faire attention à ces gestes et rediriger son sexe vers le bas, il réduisait ainsi la possibilité d’une jouissance rapide, il était ainsi bien pris au jeu du Noble Seigneur. Le Châtelain pris la parole :
- Tu ne peux plus jouir petite lopette, pourtant je t’ai donné un ordre, tu dois arrêter de diriger ta nouille vers le bas car je sais par expérience que la seule méthode pour éjaculer et que tu acceptes que ta nouille de chien entre en contact avec les clous, soit digne de Moi, c’est un mauvais moment à passer
Olivier se montra courageux pour satisfaire le Maître son gland heurtait maintenant les clous, mais en faisant ainsi il donnait satisfaction au Noble Seigneur et à cette évocation il éjacula en grognant au risque d’écorcher le gland, la douleur était pourtant forte tout en ayant un plaisir jouissif. Douleur qui stoppa dès que la nouille débanda.... Seul le plaisir de satisfaire Monsieur le Marquis était là, il était en ce moment un chien soumis dont le bût était d’être aux pieds du Maître… Et sur ordre de Celui-ci, Olivier se mit en levrette, l’appareil entre les jambes, afin de lécher son propre sperme tombé sur le luxueux tapis d’Orient … Alors qu’il était en train de faire le chien renifleur, tout en léchant le tapis à ramasser son foutre au bout de sa langue, il sentit qu’on le maintenait fermement par les hanches. En effet le Noble entreprit de le sodomiser de nouveau …
(A suivre …)
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