Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°989)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°989) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°989)
Alain au Château – L’arrivée -

Alain vient de recevoir un courrier de son agence intérim. Il est tout excité lorsqu'il ouvre une enveloppe et lit les quelques lignes: Il est embauché à l'essai pour une semaine afin de renforcer une équipe dans un château. Le simple mot château amène Alain à oublier tous ces tracas. Il s'imagine déjà en grande livrée ou en costume de style Renaissance avec perruque dans un décor somptueux pour servir de riches nobles. Il savoure déjà cette ambiance éblouissante fait de soyeux tissus aux couleurs délicates, de cristal, de fines boiseries ou tout autre décor de rêve. Il se voit se faufilant parmi ces attrayantes et instructives discussions qui avivent et stimulent son esprit ouvert… Au jour et à l'heure demandée, Alain se présente à l'adresse indiquée. Il est rapidement rejoint par deux jeunes hommes à peu près de son âge, Pierre et Marc. Ils sont en avance et en profitent pour faire connaissance. Tous trois sont nerveux, animés par les différentes idées qu'ils se font de ce travail, idées qu'ils échangent avec enthousiasme. Quelques minutes avant l'heure, Marc, le plus téméraire, sonne à la grille. Un déclic les surprend et la majestueuse grille s'ouvre. Les trois jeunes hommes traversent l'immense et magnifique parc verdoyant et incroyablement bien entretenu. La demeure qui se présente devant eux semble immense, ils auraient presque besoin d'un vélo pour aller d'une aile à l'autre...

Lorsqu'ils arrivent en haut des escaliers de pierre sur le perron, une jeune fille d'environ leur âge tient la porte ouverte. Elle est simplement vêtue d'un court tablier noir et blanc en fines dentelles, laissant voir le dessous d'un porte-jarretelles. Celui-ci maintient de délicats bas résilles noirs qui mettent en valeur de longues fines jambes gracieuses et plongent dans de magnifiques chaussures de cuir blanc inclinées par de fins talons démesurés. Les trois jeunes hommes apprécient déjà leur travail, ils salivent et sont impatients de voir le reste de la maisonnée, surtout si elle est de la même trempe. Mais ce qui attire surtout le regard d’Alain, est le fin collier de cuir noir ciselé autour du délicat cou de la jeune femme. Malgré sa discrétion, le petit cadenas en forme de cœur hypnotise totalement les yeux d’Alain. Même s’il estime cet accessoire comme simplement décoratif, son imagination et ses nombreux fantasmes déclenchent une chaleur dans son corps, chaleur qui se propage rapidement pour rougir son visage et, pire encore, révéler son émoi dans son pantalon où une bosse se forme sous sa braguette ... A l’évidence, Pierre et Marc sont dans le même état d’excitation que lui. Les trois jeunes hommes présentent leurs lettres de candidature à la belle jeune fille souriante mais toujours silencieuse. Pierre, de plus en plus nerveux, laisse tomber l'enveloppe. Avec une rapidité inattendue, une grâce extrême et une souplesse incroyable, la magnifique jeune fille se penche sans même plier les jambes pour la ramasser. Le spectacle offert à Alain et dont il est le seul bénéficiaire vu son emplacement décalé, le fait tressauter et fait redoubler la rougeur et le gonflement.

Ses yeux sont rivés vers les deux globes parfaits maintenant révélés sous la dentelle. Mais le choc vient du métal luisant qui sépare ces deux astres. Alain comprend de suite l'usage de cette incroyable bande métallique. Une ceinture de chasteté qui apparemment doit être verrouillée. L'esprit d’Alain dérive rapidement vers tous les fantasmes, les livres et les films dans lesquels tous les seigneurs possédaient leurs donjons de plaisirs. Toujours dans un inquiétant silence, la jeune servante conduit les trois nouveaux venus à travers un dédale de luxueux couloirs somptueusement décorés pour s'arrêter finalement devant une magnifique double-porte de bois vernie et finement ciselé. Après avoir frappé délicatement, après une courte attente qui sembla interminable, une voix d’autorité leur dit d'entrer. La vue est époustouflante, le bureau est immense et richement orné de grands tableaux de portraits austères sur les murs en boiseries. Le plancher luisant reflète la chaude lumière que diffuse un énorme lustre de cristal resplendissant. De très belles tentures de soie de couleur bordeaux décorent les hautes fenêtres. Au centre de cette pièce d'un autre temps, se trouve un magnifique bureau de bois massif style Louis XV derrière lequel un homme est assis dans un confortable fauteuil du même style couvert de luxueux velours d’ameublement. De suite, la prestance de l'homme fait oublier l'immensité et la beauté de la pièce. Il doit être le propriétaire de ce lieu… L'homme au charisme impressionnant se lève. Il est dans un costume à la coupe impeccable et raffinée qui à l’évidence provient d’un grand couturier. Les trois compagnons reculent d'un pas, impressionnés. Après une longue période de silence, l'homme à l’apparence sévère esquive un léger sourire tout en les dévisageant un par un puis se rassoit. Alain, Pierre et Marc restent sans voix, figés sur place, hypnotisés. S'ensuit une nouvelle période de silence, interminable, angoissante durant laquelle le Maître des lieux examine minutieusement de nouveau les trois garçons. Aucun n'ose bouger, c'est vraiment comme s'ils passaient un scanner face à l’autorité naturelle que dégage cet homme. Finalement, au grand soulagement des candidats, l'homme détourne les yeux pour lire les lettres. Il semble satisfait et ouvre un tiroir dans son bureau pour sortir quelques papiers. D'un ton froid et sec, l'homme appelle le premier garçon, Pierre. Il tend un des papiers et, avec un seul ordre :

- Signe !

Il lui présente le papier et un stylo. Pierre n'ose même pas ouvrir la bouche. Il avance rapidement vers le bureau, les yeux baissés vers le sol, signe sans se tracasser de ce qui est écrit et retourne à sa place, totalement accablé voire hypnotisé par ce Châtelain aux apparences des plus stricts. Les deux autres ne font pas mieux. Une fois les papiers signés, l'homme claque des doigts :

Instantanément, tout se chamboule. La jeune soubrette descend sur ses genoux et rampe sous le bureau. Le spectacle est hallucinant. Tandis que tous les yeux sont rivés sur cette ferme jeune croupe nue et offerte aux regards des trois jeunes hommes, un bruit de fermeture éclair suivi d'un froissement de tissu fait saliver les trois jeunes engagés. La joie, l'incrédulité, l'inquiétude et l'excitation se lit sur leur visage. Leurs yeux écarquillés examinent la scène, depuis ces deux douces sphères bien rondes et fermes séparées par une étrange bande de métal, vers les grands yeux du Maître de maison rivés sur eux, examinant chacune de leurs réactions et puis, la légère oscillation gracieuse du divin postérieur qui fait chavirer l'imagination des jeunes hommes dont les trois visages rouges trahissent différentes émotions. Un choc de plus…. Quand une magnifique grande Dame à la carrure imposante surgit par une porte dans le fond de la pièce. Elle porte une sublime robe moulante en cuir noir luisant qui rehausse toutes ces admirables formes. Mais son visage carré et austère fait immédiatement perdre le sourire béat sur les lèvres des trois jeunes hommes. Dès qu'elle ouvre la bouche, Alain, Pierre et Marc se figent, oubliant instantanément les délices du spectacle sous leurs yeux. Il n'existe plus qu'elle dans la pièce. Le premier mot, les fait tressaillir :

- Serviteurs.... Ensuite, elle présente : - Monsieur le Marquis d'Evans, propriétaire de ce lieu et Votre propriétaire dès à présent... Quant à moi, je suis Marie la cuisinière du Château. …

Tandis que le discours continue, l'esprit des trois serviteurs reste figé sur ces derniers mots. Ils ne les comprennent pas, ne réalisent pas leur signification. Alain les réentend vaguement :

- Déshabillez-vous, j’ai dit.

Un brusque claquement ramène les trois jeunes hommes à la réalité. La sévère Marie tape une nouvelle fois sa cravache contre sa botte droite avant de répéter ces derniers mots :

- Déshabillez-vous, devrais-je le répéter encore une fois ? s’exclame la cuisinière d’un ton beaucoup plus sévère.

Alain avait bien entendu. Il regarde incrédule ses deux compagnons puis commence, lentement, à retirer son pull, à déboutonner sa chemise. Un nouveau claquement l'interrompt :

- Ceci n'est pas un strip-tease. Activez !

Les trois serviteurs s'exécutent rapidement, de plus en plus inquiets. Ils rangent plus ou moins proprement les vêtements à leurs pieds et, comme si de connivence, ils s'arrêtent tous trois une fois en slip et se replacent face au bureau au garde-à-vous, excepté leurs mains qui protègent la vue de leur jeune virilité en émoi.
La grimace sur le visage de Marie montre clairement son mécontentement. Chacun essaie de traduire, Alain gonfle son torse et redresse ses épaules, Marc corrige sa tenue en retirant les mains protectrices, révélant une bosse de taille considérable et Pierre observe les deux autres du coin des yeux. Un nouveau claquement de cravache, un nouvel ordre :

- À poil ! Plus vite que ça !

Marc obéit directement et exhibe fièrement son énorme hampe de chair tendue vers le plafond. Pierre observe toujours, ses yeux maintenant rivés sur ce pôle d'intérêt. Alain hésite, essayant d'amener des images moins perverses dans sa tête pour perdre sa bandaison… mais sans résultat. Baissant les yeux, il peut même voir une grosse tâche humide assombrissant le devant de son slip avant de le baisser lentement, le corps rouge de honte et d'humiliations. Finalement, Pierre suit le mouvement et trois corps totalement nus et trois sexes tendus sont offerts à la vue des hôtes. Complètement perdu, le regard d’Alain retourne vers les jolies jeunes fesses qui s'agitent de plus en plus. Il peut entendre un râle discret et voit la jeune fille reculer, se relever. Alain peut discerner un fluide blanc et épais dégouliner du coin de la bouche de la jeune servante avant que celle-ci ne l'essuie du revers de la main. La jeune fille contourne le bureau pour se placer derrière le Maître. C'est à cet instant seulement qu’Alain prend pleinement conscience de sa nudité. Son visage et tout son corps devient cramoisi, il voudrait fuir, ramper sous le plancher. La honte et l'excitation font bataille dans sa tête. Monsieur le Marquis regarde son bas-ventre alors que ses mains sont sous le bureau, il semble rajuster ses habits. Monsieur le Marquis se lève et se dirige vers ses nouvelles recrues. Au passage, il attrape une petite cravache avec sa main droite. Les garçons sont effrayés mais ne bronchent pas. Dans un silence glacial, Le Noble inspecte chacun des trois jeunes hommes, tournant plusieurs fois autour, tapotant de temps en temps un muscle ou l'autre avec sa cravache. Alain est malade, il se sent comme un animal en vente, il a comme des nausées à cause de l’appréhension, il est en sueur et a de légers tremblements...

Mais, lorsque vient son tour, sa hampe palpite et dégouline de plus belle. Une ferme caresse de la cravache sur sa tige lui arrache un doux gémissement. Tout ceci est dégradant et pourtant son entrejambe trahi d'autres sentiments pour une satisfaction visible sur le visage de Monsieur le Marquis. Une fois l'inspection terminée, Monsieur le Marquis retourne, toujours sans un mot, derrière son bureau tandis que Marie commence la lecture du règlement de la maison, règlement fait de devoirs, d'interdictions et d'obligations. Alain est au bord des larmes, ses rêves sont brisés. Aucun des serviteurs n'a même pas la force de résister, de réclamer, de s'opposer. À la fin de la lecture, les trois jeunes hommes nus sont résignés, toujours au garde-à-vous, la tête penchée, les yeux vers le sol. Alain repense à la seule chose positive dans ce Château, les pétillantes fesses fermes qui s'étaient agitées devant ses yeux ébahis et l'incroyable bande de métal luisant qui les sépare. Même le retentissement d’une clochette, s’ensuit le lourd claquement d'une porte qui s'ouvre, ni même l'apparition subite d'un grand homme incroyablement musclé vêtu seulement d'un minuscule slip de cuir, le corps totalement imberbe et la tête rasée ainsi que trois sublimes jeunes créatures femelles dénudées aux longs cheveux blonds, totalement nues excepté pour une ceinture métallique autour des hanches, un collier métallique enserrant le cou, aux tétons annelés ainsi que des manchettes métalliques aussi autour des chevilles et des poignets et portant de gros coffrets de bois, ne ramena l'esprit d'Alain à sa réalité …

(A suivre …)

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