Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°992)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2017 dans la catégorie Dominants et dominés
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Titre de l'histoire érotique : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°992)
Olivier au Château – (Nouvelle saison, nouvelles aventures aux Château) - (suite l'épisode précédent N°991) -
Le lendemain Olivier était donc convoqué par Monsieur le Marquis, le Noble Seigneur prévoyait la mise en place de la deuxième punition qu’il voulait juste mais sévère. Pour rappel, l’objet du courroux du Maître venait qu’Olivier s’était permis d’éjaculer de sa propre initiative contrevenant ainsi aux ordres formels du Maître, ce qui était strictement interdit. Monsieur le Marquis fit agenouiller à Ses pieds le chien soumis, il avait réfléchi à la punition et rapidement avait pris la décision suivante :
- Chien soumis tu as osé jouir sans mon autorisation, ta faute est grande, tu dois être puni, un de mes amis ressent de l’excitation que dans certaine situation. Et donc il bande uniquement s’il estime que le soumis se comporte bien et donc inévitablement il exige beaucoup de leur part pour qu’il puisse jouir. Je vais t’imposer l’obligation de le faire éjaculer, tu verras mon ami est un Maître très exigeant. Tu seras amené à lui pour le satisfaire, c’est un ordre et une punition que je te donne … tu comprendras pourquoi. La rencontre est prévue ce soir.
Le soumis ne cilla pas buvant les paroles du Maître, il attendrait donc maintenant. L’ami de Monsieur le Marquis était un ancien militaire qui avait connu un glorieux passé, il avait expérimenté de ses passages dans les colonies françaises un certain nombre de techniques qui avait pour bût d’obtenir des renseignements de la part de l’ennemi. Aujourd’hui il les mettait à son profit pour obtenir des soumis et soumises une obéissance absolue. Le soir venu, il était en grande conversation avec le Noble quand Walter arriva avec Olivier à sa suite, nu à genoux et en laisse. Le militaire prit la parole :
- Cher Monsieur le Marquis, vous m’avez parlé d’un de Vos soumis qui doit être puni, est-ce bien ce petit bâtard de chien ?
- Oui, cher ami, je l’ai puni pour ce que vous savez, donc il est à votre entière disposition, je vais m’assoir pour profiter du spectacle ! Et n’hésitez pas à le malmener ! Il est à vous !
Alors, l’ami du Châtelain s’approcha d’Olivier et tout en se saisissant de la laisse et engueula le chien soumis
- Espèce de larve insignifiante, cloporte, tu as osé contrevenir aux ordres du Maître. Je suis un ancien militaire je vais te montrer comment on punit les gens de ton espèce pour leur faire comprendre que tu n’as pas droit de gicler ton foutre comme tu voudrais !
Olivier baissa la tête comprenant qu’il n’avait pas affaire à n’importe qui. Le soldat intervint encore :
- Tu vas gouter à mon fouet, puis tu seras mon jouet et tu vas implorer ma clémence …
Olivier fut surpris par la violence des propos et la vision du fouet provoqua chez lui un mouvement involontaire de recul. Le militaire connaissait bien cette réaction et il tira d’un coup sec sur la laisse :
- Hé, le chien pas bougé, t’as compris ! Montre-moi comment tu es obéissant, viens me lécher les pieds !
Le soumis s’approcha alors et docilement se mit à lécher les chaussures du militaire, il avait rapidement intégré que plus il allait être docile et plus la punition se terminerai tôt, enfin il l’espérait ! Mais l’espérait-il vraiment ! Sa nouille se remettant à prendre un peu du volume mais sans être dure pour le moment, ce n’était pas si évident que ça ! Le léchage des chaussures prit un certain temps et seul le militaire avait le pouvoir d’y mettre un terme ce qu’il fit au bout d’un long moment d’un coup de fouet porté sur les fesses du soumis. Le coup porta car Olivier s’affaissa sur le côté, le deuxième coup, puis le troisième coup laissait sur la peau de l’esclave des zébrures, la punition par le fouet était une spécialité du militaire. Ce n’est qu’au dixième coup qu’il s’arrêta :
- Bon, tu as gouté à mon fouet, maintenant je vais te montrer ma verge, sache que je ne bande que si je suis très fortement motivé, je veux éjaculer sur toi et dans ta bouche de petite pute, montre-moi donc tes talents, salope !
Le soumis regarda alors le militaire qui lui adressait la parole :
- Oui, Monsieur
Le soldat sortit alors sa bite qui pour l’instant ne présentait pas de signe manifeste d’épanouissement. Olivier regardait le chibre du militaire qui prit alors la parole
- Tu vois cette magnifique queue, je veux que tu me fasses bander avant de juter sur toi, montre-moi comment tu t’y prends
Olivier s’approcha quand un coup de fouet le surpris encore, le soldat indiqua alors :
- Je ne bande qu’après avoir corrigé mes soumis au fouet donc tu vas subir autant de coups que ma verge restera de marbre
Olivier compris qu’il devrait donc attendre le bon vouloir du militaire. Monsieur le Marquis l’avait prévenu que c’était bien une épreuve et qu’il devait se monter digne de tout cela. L’ami du Maitre des lieux fit claquer le fouet.
- Debout le chien, face à moi …(Le soumis obéit et prit place) … Mains sur la tête, le chien, écarte bien tes jambes de lopette … j’aime bien viser l’intérieur des cuisses et si je ne suis pas trop maladroit, ta queue va rapidement sentir la lanière de mon fouet …
Le fouet se mit à claquer dans la pièce et le sifflement ne se terminerait que quand la queue du militaire l’ordonnerait. Pour l’instant, Olivier subissait les coups depuis un petit moment et il voyait que son corps se couvrait de lignes rouges là où le fouet l’avait marqué. Le militaire avait l’expérience du maniement de cet objet car les coups étaient portés justes comme ils devaient l’être. L’objectif était de punir, pas de blesser. Olivier avait cessé de compter ceux-ci et il sentait que l’ami du Noble avait évité de viser pour l’instant sa nouille. Le fait d’y penser provoqua une érection involontaire, son sexe se mit à bander de nouveau. Le militaire n’attendait que cela, il allait maintenant corriger ce chien qui se permettait de bander devant lui alors que lui-même restait de marbre. Il visa la verge, le coup porté sur la nouille fit reculer Olivier. Monsieur le Marquis qui assistait au spectacle sans rien dire s’exprima alors :
- Petite pute garde ta position, tu bandes donc c’est que tu aimes, nous allons donc faire cesser cela
Olivier subit alors une volée de coups qui maintenant devenait plus violente, ce qui eut pour effet de le faire très rapidement débander. L’ami du Maître des Lieux poursuivit quand même la punition, le soumis n’en pouvant alors plus demanda alors grâce en suppliant Monsieur le Marquis de le pardonner pour sa faute.
- Maître, dit Olivier je vous en supplie, ayez pitié de votre chien soumis ... Je ne recommencerai plus, je jure de ne plus me masturber sans votre autorisation, ni d’éjaculer sans votre accord … Mais je vous en supplie, ayez pitié…
En entendant la supplique la verge du militaire se mit alors à bander c’était le moment qu’il préférait de voir un chien soumis aux pieds de son Maître en train de pleurnicher. Il lâcha alors le fouet et s’approcha du chien soumis :
- Viens ici petite pute, tu seras libérer quand j’aurais joui sur toi, viens donc me sucer
Le chien à genoux ouvrit alors la bouche pour répondre à l’attente du militaire, quand deux mains puissantes se saisirent de son visage, le militaire d’un coup de reins brutal introduisit son chibre et commença le mouvement de vas et viens dans le but de lui baiser la bouche et de s’y vider les couilles… Olivier suffoqua mais puissamment maintenu, il ne pouvait que subir. Il s’appliqua alors à creuser sa gorge pour que le phallus puisse rentrer en entier, le militaire apprécia cela quand la jouissance enfin arriva les premiers jets fusèrent dans la bouche et comme prévu il termina d’éjaculer sur le visage d’Olivier. La punition venait de prendre fin …
(A suivre …)
Le lendemain Olivier était donc convoqué par Monsieur le Marquis, le Noble Seigneur prévoyait la mise en place de la deuxième punition qu’il voulait juste mais sévère. Pour rappel, l’objet du courroux du Maître venait qu’Olivier s’était permis d’éjaculer de sa propre initiative contrevenant ainsi aux ordres formels du Maître, ce qui était strictement interdit. Monsieur le Marquis fit agenouiller à Ses pieds le chien soumis, il avait réfléchi à la punition et rapidement avait pris la décision suivante :
- Chien soumis tu as osé jouir sans mon autorisation, ta faute est grande, tu dois être puni, un de mes amis ressent de l’excitation que dans certaine situation. Et donc il bande uniquement s’il estime que le soumis se comporte bien et donc inévitablement il exige beaucoup de leur part pour qu’il puisse jouir. Je vais t’imposer l’obligation de le faire éjaculer, tu verras mon ami est un Maître très exigeant. Tu seras amené à lui pour le satisfaire, c’est un ordre et une punition que je te donne … tu comprendras pourquoi. La rencontre est prévue ce soir.
Le soumis ne cilla pas buvant les paroles du Maître, il attendrait donc maintenant. L’ami de Monsieur le Marquis était un ancien militaire qui avait connu un glorieux passé, il avait expérimenté de ses passages dans les colonies françaises un certain nombre de techniques qui avait pour bût d’obtenir des renseignements de la part de l’ennemi. Aujourd’hui il les mettait à son profit pour obtenir des soumis et soumises une obéissance absolue. Le soir venu, il était en grande conversation avec le Noble quand Walter arriva avec Olivier à sa suite, nu à genoux et en laisse. Le militaire prit la parole :
- Cher Monsieur le Marquis, vous m’avez parlé d’un de Vos soumis qui doit être puni, est-ce bien ce petit bâtard de chien ?
- Oui, cher ami, je l’ai puni pour ce que vous savez, donc il est à votre entière disposition, je vais m’assoir pour profiter du spectacle ! Et n’hésitez pas à le malmener ! Il est à vous !
Alors, l’ami du Châtelain s’approcha d’Olivier et tout en se saisissant de la laisse et engueula le chien soumis
- Espèce de larve insignifiante, cloporte, tu as osé contrevenir aux ordres du Maître. Je suis un ancien militaire je vais te montrer comment on punit les gens de ton espèce pour leur faire comprendre que tu n’as pas droit de gicler ton foutre comme tu voudrais !
Olivier baissa la tête comprenant qu’il n’avait pas affaire à n’importe qui. Le soldat intervint encore :
- Tu vas gouter à mon fouet, puis tu seras mon jouet et tu vas implorer ma clémence …
Olivier fut surpris par la violence des propos et la vision du fouet provoqua chez lui un mouvement involontaire de recul. Le militaire connaissait bien cette réaction et il tira d’un coup sec sur la laisse :
- Hé, le chien pas bougé, t’as compris ! Montre-moi comment tu es obéissant, viens me lécher les pieds !
Le soumis s’approcha alors et docilement se mit à lécher les chaussures du militaire, il avait rapidement intégré que plus il allait être docile et plus la punition se terminerai tôt, enfin il l’espérait ! Mais l’espérait-il vraiment ! Sa nouille se remettant à prendre un peu du volume mais sans être dure pour le moment, ce n’était pas si évident que ça ! Le léchage des chaussures prit un certain temps et seul le militaire avait le pouvoir d’y mettre un terme ce qu’il fit au bout d’un long moment d’un coup de fouet porté sur les fesses du soumis. Le coup porta car Olivier s’affaissa sur le côté, le deuxième coup, puis le troisième coup laissait sur la peau de l’esclave des zébrures, la punition par le fouet était une spécialité du militaire. Ce n’est qu’au dixième coup qu’il s’arrêta :
- Bon, tu as gouté à mon fouet, maintenant je vais te montrer ma verge, sache que je ne bande que si je suis très fortement motivé, je veux éjaculer sur toi et dans ta bouche de petite pute, montre-moi donc tes talents, salope !
Le soumis regarda alors le militaire qui lui adressait la parole :
- Oui, Monsieur
Le soldat sortit alors sa bite qui pour l’instant ne présentait pas de signe manifeste d’épanouissement. Olivier regardait le chibre du militaire qui prit alors la parole
- Tu vois cette magnifique queue, je veux que tu me fasses bander avant de juter sur toi, montre-moi comment tu t’y prends
Olivier s’approcha quand un coup de fouet le surpris encore, le soldat indiqua alors :
- Je ne bande qu’après avoir corrigé mes soumis au fouet donc tu vas subir autant de coups que ma verge restera de marbre
Olivier compris qu’il devrait donc attendre le bon vouloir du militaire. Monsieur le Marquis l’avait prévenu que c’était bien une épreuve et qu’il devait se monter digne de tout cela. L’ami du Maitre des lieux fit claquer le fouet.
- Debout le chien, face à moi …(Le soumis obéit et prit place) … Mains sur la tête, le chien, écarte bien tes jambes de lopette … j’aime bien viser l’intérieur des cuisses et si je ne suis pas trop maladroit, ta queue va rapidement sentir la lanière de mon fouet …
Le fouet se mit à claquer dans la pièce et le sifflement ne se terminerait que quand la queue du militaire l’ordonnerait. Pour l’instant, Olivier subissait les coups depuis un petit moment et il voyait que son corps se couvrait de lignes rouges là où le fouet l’avait marqué. Le militaire avait l’expérience du maniement de cet objet car les coups étaient portés justes comme ils devaient l’être. L’objectif était de punir, pas de blesser. Olivier avait cessé de compter ceux-ci et il sentait que l’ami du Noble avait évité de viser pour l’instant sa nouille. Le fait d’y penser provoqua une érection involontaire, son sexe se mit à bander de nouveau. Le militaire n’attendait que cela, il allait maintenant corriger ce chien qui se permettait de bander devant lui alors que lui-même restait de marbre. Il visa la verge, le coup porté sur la nouille fit reculer Olivier. Monsieur le Marquis qui assistait au spectacle sans rien dire s’exprima alors :
- Petite pute garde ta position, tu bandes donc c’est que tu aimes, nous allons donc faire cesser cela
Olivier subit alors une volée de coups qui maintenant devenait plus violente, ce qui eut pour effet de le faire très rapidement débander. L’ami du Maître des Lieux poursuivit quand même la punition, le soumis n’en pouvant alors plus demanda alors grâce en suppliant Monsieur le Marquis de le pardonner pour sa faute.
- Maître, dit Olivier je vous en supplie, ayez pitié de votre chien soumis ... Je ne recommencerai plus, je jure de ne plus me masturber sans votre autorisation, ni d’éjaculer sans votre accord … Mais je vous en supplie, ayez pitié…
En entendant la supplique la verge du militaire se mit alors à bander c’était le moment qu’il préférait de voir un chien soumis aux pieds de son Maître en train de pleurnicher. Il lâcha alors le fouet et s’approcha du chien soumis :
- Viens ici petite pute, tu seras libérer quand j’aurais joui sur toi, viens donc me sucer
Le chien à genoux ouvrit alors la bouche pour répondre à l’attente du militaire, quand deux mains puissantes se saisirent de son visage, le militaire d’un coup de reins brutal introduisit son chibre et commença le mouvement de vas et viens dans le but de lui baiser la bouche et de s’y vider les couilles… Olivier suffoqua mais puissamment maintenu, il ne pouvait que subir. Il s’appliqua alors à creuser sa gorge pour que le phallus puisse rentrer en entier, le militaire apprécia cela quand la jouissance enfin arriva les premiers jets fusèrent dans la bouche et comme prévu il termina d’éjaculer sur le visage d’Olivier. La punition venait de prendre fin …
(A suivre …)
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