Titre de l'histoire érotique : La soeur de ma copine.
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La soeur de ma copine.
En terminale au Lycée Louis Lumière, j’ai actuellement pour copine Agnès, une fille de mon âge mais qui est assez prude. Depuis la rentrée, je lui fais une cour pressante mais, chaque fois que je veux pousser un peu plus le flirt, elle m’oppose un refus catégorique. A 18 ans, j’ai déjà eu plusieurs copines et une maitresse d’une trentaine d’année qui m’avait initiée à la fin de mon adolescence. Je dois avouer que je suis frustré de ces refus permanents.
Ce jour-là, à la veille des vacances d’automne, nous avons assisté avec deux de nos professeurs à la projection d’un film des années 50. Nous devons analyser et restituer en travail de groupe après la semaine de vacances. Cela fait partie de notre formation aux métiers du cinéma
Agnès et son frère jumeau qui habitent à proximité du lycée dans une grande maison, ont demandé à leur mère de nous préparer un repas de pâtes à l’italienne de façon à ce que, avec un groupe de six autres élèves, nous puissions entreprendre notre travail au cours de la soirée.
Personnellement, j’habite chez mes parents à une vingtaine de kilomètres et je dois prendre le train matin et soir pour le trajet. Avant le repas, nous commençons le travail en nous répartissant en binômes pour que chacun analyse le film selon un schéma que nous établissons à ce moment-là.
Nous étions organisés depuis l’année précédente. Nous avions à notre disposition chez Agnès tout le matériel nécessaire y compris la disposition de plusieurs ordinateurs connectés en réseau.
Aussitôt le repas terminé, nous reprenons notre travail et nos discussions. Soudain, je me rends compte que l’heure de mon dernier train est passée et je n’ai pas de possibilités pour rentrer chez moi. Voyant mon embarras, Caroline la sœur ainée d’Agnès, propose de me reconduire en voiture. C’est la solution. Les vacances commencent le lendemain, je ne veux pas rester en ville inutilement jusqu’à la mi-journée. Nous poursuivons nos discussions entre garçons pendant que les filles aident la mère des jumeaux à ranger.
Vers 23 heures 30, nous avons terminé notre travail et Caroline et moi, nous prenons la route dans sa petite Smart. En un peu plus de trois quarts d’heures elle aura fait l’aller et le retour.
En cours de route, je la remercie encore une fois et nous commençons à bavarder, de tout et de rien puis la conversation a dérivé sur ma relation avec Agnès.
- Tu sais, ma relation avec ta sœur est sérieuse. Je ne comprends pas pourquoi elle se refuse à moi de cette manière.
- Oui, je sais, elle m’en a parlé mais elle est assez coincée de ce côté !
- Elle accepte tout juste quelques caresses sur les seins et des baisers profonds. Je voudrais bien aller plus loin, par exemple qu’elle me masturbe ou me fasse une fellation.
- Alors là, je serais surprise. Chaque fois, ce sera NON ! Elle n’est pas prête à aller plus loin, elle se trouve trop jeune.
Caroline me dit que sa sœur lui avait parlé de mon insistance et elle lui avait répondu que si elle n’acceptait pas d’aller un peu plus loin, elle risquait de me perdre. Si elle tenait vraiment à moi, elle devait faire des concessions. Bref, Caroline était allée, sans le savoir, dans mon sens.
Soudain, alors que nous approchons du village dans lequel habitent mes parents, Caroline prend un petit chemin à l’écart de la route et s’arrête. Elle éteint les phares de sa voiture. Nous sommes juste éclairés par la pleine lune.
Elle se tourne vers moi et commence à masser mon entrejambes. La conversation précédente et cette caresse a fait monter la pression dans mon slip où ma bite a commencé à bander.
Puis elle fait glisser le zip de mon pantalon pour aller y chercher mon sexe et le prendre en bouche. Cette coquine allait m’offrir ce que sa sœur me refusait depuis quelques semaines, et elle savait y faire. Mon sceptre a atteint rapidement sa taille maximale et elle le faisait coulisser entre ses lèvres, le faisant entrer jusqu’au fond de sa gorge et elle aspirait en gonflant et dégonflant ses joues. Whaaouuuh ! Que c’était bon ! Je passais ma main dans les cheveux de Caroline et je ne pouvais rien faire d’autre en raison de l’étroitesse de l’habitacle : - Ouvre ta portière, je vais faire le tour, ce sera plus facile !
Elle fait le tour de sa voiture pendant que je me tourne et pose les pieds au sol, la bite à l’air dans la braguette ouverte. Elle dégrafe la ceinture de mon jean. Elle fait glisser le pantalon et le slip jusqu’à mes chevilles avant de s’agenouiller devant moi sur un coussin et de me reprendre en bouche. J’avais à peine débandé. Elle reprend sa fellation de plus belle, faisant de longues aspirations et en sortant ma queue pour sucer le gland et agacer le méat.
Même celle qui m’avait initié ne m’avait jamais aussi bien sucé. C’était vraiment un pied d’enfer ! Alors que je pose mes mains sur ses épaules, Caroline se redresse, fait passer son pullover par-dessus tête et ôte son soutif. J’ai devant moi une jolie petite poitrine avec des seins menus et un téton légèrement saillant au centre de l’aréole. Avant de me reprendre en bouche Caroline me dit : - Tu peux les caresser !
Je ne me fais pas prier. Là, j’atteins rapidement le point des non retour. Elle doit le sentir car au moment où j’éjacule, elle dirige ma bite vers sa poitrine sur laquelle je crache quelques bonnes giclées de sperme. A part deux ou trois masturbations, depuis l’été je n’avais plus baisé ! Elle prend quelques gouttes sur ses doigts et elle les suce : - Tu as bon goût mon cochon !
Elle se relève, enfile son pull sans remettre le soutien gorge (elle peut s’en passer). Elle reprend le volant. Je l’embrasse sur la bouche où j’ai retrouvé mon odeur : - Merci Caroline ! C’était merveilleux !
Elle me répond en lançant le moteur : - Ce sera notre secret !
Deux minutes plus tard elle me dépose devant la maison et je regagne discrètement ma chambre.
Ce jour-là, à la veille des vacances d’automne, nous avons assisté avec deux de nos professeurs à la projection d’un film des années 50. Nous devons analyser et restituer en travail de groupe après la semaine de vacances. Cela fait partie de notre formation aux métiers du cinéma
Agnès et son frère jumeau qui habitent à proximité du lycée dans une grande maison, ont demandé à leur mère de nous préparer un repas de pâtes à l’italienne de façon à ce que, avec un groupe de six autres élèves, nous puissions entreprendre notre travail au cours de la soirée.
Personnellement, j’habite chez mes parents à une vingtaine de kilomètres et je dois prendre le train matin et soir pour le trajet. Avant le repas, nous commençons le travail en nous répartissant en binômes pour que chacun analyse le film selon un schéma que nous établissons à ce moment-là.
Nous étions organisés depuis l’année précédente. Nous avions à notre disposition chez Agnès tout le matériel nécessaire y compris la disposition de plusieurs ordinateurs connectés en réseau.
Aussitôt le repas terminé, nous reprenons notre travail et nos discussions. Soudain, je me rends compte que l’heure de mon dernier train est passée et je n’ai pas de possibilités pour rentrer chez moi. Voyant mon embarras, Caroline la sœur ainée d’Agnès, propose de me reconduire en voiture. C’est la solution. Les vacances commencent le lendemain, je ne veux pas rester en ville inutilement jusqu’à la mi-journée. Nous poursuivons nos discussions entre garçons pendant que les filles aident la mère des jumeaux à ranger.
Vers 23 heures 30, nous avons terminé notre travail et Caroline et moi, nous prenons la route dans sa petite Smart. En un peu plus de trois quarts d’heures elle aura fait l’aller et le retour.
En cours de route, je la remercie encore une fois et nous commençons à bavarder, de tout et de rien puis la conversation a dérivé sur ma relation avec Agnès.
- Tu sais, ma relation avec ta sœur est sérieuse. Je ne comprends pas pourquoi elle se refuse à moi de cette manière.
- Oui, je sais, elle m’en a parlé mais elle est assez coincée de ce côté !
- Elle accepte tout juste quelques caresses sur les seins et des baisers profonds. Je voudrais bien aller plus loin, par exemple qu’elle me masturbe ou me fasse une fellation.
- Alors là, je serais surprise. Chaque fois, ce sera NON ! Elle n’est pas prête à aller plus loin, elle se trouve trop jeune.
Caroline me dit que sa sœur lui avait parlé de mon insistance et elle lui avait répondu que si elle n’acceptait pas d’aller un peu plus loin, elle risquait de me perdre. Si elle tenait vraiment à moi, elle devait faire des concessions. Bref, Caroline était allée, sans le savoir, dans mon sens.
Soudain, alors que nous approchons du village dans lequel habitent mes parents, Caroline prend un petit chemin à l’écart de la route et s’arrête. Elle éteint les phares de sa voiture. Nous sommes juste éclairés par la pleine lune.
Elle se tourne vers moi et commence à masser mon entrejambes. La conversation précédente et cette caresse a fait monter la pression dans mon slip où ma bite a commencé à bander.
Puis elle fait glisser le zip de mon pantalon pour aller y chercher mon sexe et le prendre en bouche. Cette coquine allait m’offrir ce que sa sœur me refusait depuis quelques semaines, et elle savait y faire. Mon sceptre a atteint rapidement sa taille maximale et elle le faisait coulisser entre ses lèvres, le faisant entrer jusqu’au fond de sa gorge et elle aspirait en gonflant et dégonflant ses joues. Whaaouuuh ! Que c’était bon ! Je passais ma main dans les cheveux de Caroline et je ne pouvais rien faire d’autre en raison de l’étroitesse de l’habitacle : - Ouvre ta portière, je vais faire le tour, ce sera plus facile !
Elle fait le tour de sa voiture pendant que je me tourne et pose les pieds au sol, la bite à l’air dans la braguette ouverte. Elle dégrafe la ceinture de mon jean. Elle fait glisser le pantalon et le slip jusqu’à mes chevilles avant de s’agenouiller devant moi sur un coussin et de me reprendre en bouche. J’avais à peine débandé. Elle reprend sa fellation de plus belle, faisant de longues aspirations et en sortant ma queue pour sucer le gland et agacer le méat.
Même celle qui m’avait initié ne m’avait jamais aussi bien sucé. C’était vraiment un pied d’enfer ! Alors que je pose mes mains sur ses épaules, Caroline se redresse, fait passer son pullover par-dessus tête et ôte son soutif. J’ai devant moi une jolie petite poitrine avec des seins menus et un téton légèrement saillant au centre de l’aréole. Avant de me reprendre en bouche Caroline me dit : - Tu peux les caresser !
Je ne me fais pas prier. Là, j’atteins rapidement le point des non retour. Elle doit le sentir car au moment où j’éjacule, elle dirige ma bite vers sa poitrine sur laquelle je crache quelques bonnes giclées de sperme. A part deux ou trois masturbations, depuis l’été je n’avais plus baisé ! Elle prend quelques gouttes sur ses doigts et elle les suce : - Tu as bon goût mon cochon !
Elle se relève, enfile son pull sans remettre le soutien gorge (elle peut s’en passer). Elle reprend le volant. Je l’embrasse sur la bouche où j’ai retrouvé mon odeur : - Merci Caroline ! C’était merveilleux !
Elle me répond en lançant le moteur : - Ce sera notre secret !
Deux minutes plus tard elle me dépose devant la maison et je regagne discrètement ma chambre.
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Excellent comme toujours !!!!!