Titre de l'histoire érotique : La star académie: Le sexe des hommes. épisode 3

- Par l'auteur HDS Sabine et Patrick -
Auteur femme.
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Récit libertin : Titre de l'histoire érotique : La star académie: Le sexe des hommes. épisode 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-12-2003 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : La star académie: Le sexe des hommes. épisode 3
Le patron resta silencieux, mais au fond de sa braguette, il était en joie d’avoir employé, (et plus si affinité) la star du petit village.

Dès lors, les résultats de son opération s’inscrivaient dans ses pensées, mais après le départ de Mademoiselle Chapot, c’était des doubles zéros qui obsédaient le patron.


La troisième partie commence ainsi : dans le village, le ciel commençait à virer à l’obscur. Quelques enfants jouaient dans la rue, alors qu’à proximité du restaurant, le voisinage était en train de sortir leurs poubelles. Dans la « pension », cinq tables sont sommairement dressées pour des petits vieux n’ayant plus la force ou la santé pour préparer leur petit dîner. Deux tables sont constituées par un couple, sinon ce soir, les autres septuagénaires dîneront seuls : ici fin d’accablement ! L’œil averti est de suite attiré par une paire de fesses généreuse, moulée dans un jean trop étroit. Des bottes lui remontent jusqu’aux genoux… Christine pousse une servante sur laquelle est posée une grosse marmite bien fumante. Chaque petit vieux qu’elle va servir l’accueille avec un sourire qui ne doit rien à la politesse, mais plutôt au relief d’une poitrine qui a du mal à se dissimuler sous un chemisier largement décolleté. Ils fantasment tous sur Christine et en échange, elle ne peut être que charmante et courtoise. Christian, le patron du restaurant, croise sa nouvelle employée et lui murmure à l’oreille :


- Ce soir, on bat un nouveau record ! Grâce à toi, Christine ! Je n’en reviens pas : cinq tables !


Mademoiselle Chapot esquisse un large sourire, elle est fière d’elle et commence à se mettre à rêver d’un destin similaire pour sa carrière. Soudain, l’un des vieux, un peu trop pressée, l’interpelle très vulgairement :


- Eh ma mignonne ! J’espère que tu as prévu mon petit pichet de rouge !? C’est y pas malheureux tout de même… Ça fait dix minutes que je patiente !!!


Le petit vieux était fier de son petit numéro de séducteur, ses copains du village l’accompagnèrent et poussèrent une vague de rire qui résonna dans toute la salle.

Subitement, agacée, Christine se retourne :


- Je pense à vous Monsieur Guillot ! Ne vous inquiétez pas !

- Vous êtes vraiment charmante ! Si seulement j’avais trente ans de moins ! Qu’en pensez – vous ?

- Je pense que vous sauteriez sur toutes les femmes et pas que sur moi !

- Est-ce une invitation ? Une marque de jalousie ? Seriez-vous fidèle ?

- Oui, je le suis ! Mais j’ai du mal avec les polygames ! Mangez votre soupe !

- Pour vous, je serais prêt à vous accorder l’exclusivité de mon corps ! Vous seriez très surprise de voir ce qu’un septuagénaire est encore capable de faire !!!

- Non, merci ! Ou alors, je préfère dire que j’y réfléchirai ! À votre âge, vous êtes certain de votre prétention ?

- Oui ! Et c’est quand vous voulez !


Les interrogations flottaient dans la pièce et chaque gâteux présent savait ce que le grand-père avait voulu dire par là. C’était étrange car, depuis quelque temps, Christine faisait tout pour ne pas se comporter comme une garce. Mais là, elle constatait que le naturel revenait au gallot. Quelques minutes plus tard, elle le regarda et lui fit comprendre qu’il était un peu ridicule.

Maintenant, les petits vieillards étaient aux fromages et Christine remarquait que l’un d’entre eux mangeait maladroitement. Elle décidait de venir l’aider à mettre sa serviette et l’homme retrouvait le bonheur en plongeant ses yeux dans le décolleté. Il ne pouvait détacher son regard et devait imaginer ces gros seins entrent les mains de bien plus jeunes que lui. Est-ce par hasard, mais… subitement, Christine enlève quelques miettes sur les cuisses du vieux, sur sa braguette et son ventre. Elle le regarde et insiste sur la braguette ; l’homme rougit et tout le monde le surprend à prendre du plaisir dans cette délicate attention. Mais il n’était pas le seul à rougir, les joues de la belle blonde s’empourpraient et, décontenancée par la libération de sécrétions au fond de son petit string, elle s’en allait dans la cuisine.

Quand elle revint dans la salle, elle surprenait un autre petit vieux en train de vérifier une érection et de se caresser devant cette dureté retrouvée. Dans le dos de Christine, certains font tomber leur serviette, mais elle se sent ridicule et fait semblant de ne rien voir ! Mais elle ne peut ne pas ressentir sur elle et plus particulièrement sur ses atouts, ses regards avides de débauches et prêt à tout pour se régaler de la sensualité d’un corps unique. Derrière ces regards, c’est la perversité, l’expérience qui ressort et soudainement, elle se surprenait à souhaiter être violenté en plein milieu du restaurant ! Elle aurait aimé être sans défense au milieu de ses petits groupe de vieux, être goûtée par de multiples bouches et ne plus savoir qui fait quoi, quels doigts s’enfilaient dans son soutien-gorge, quelles mains couraient sur son corps et quels index s’enfilaient dans ses orifices ! Rien que d’y penser, elle mouillait abondement ! S’en était trop, elle avait besoin de se soulager et si l’un d’entre eux aurait pu faire l’affaire, elle préférait ne pas avoir à choisir et s’enfermer dans le bureau de son patron.


Sur le coup des vingt-deux heures, la rue du centre commençait à voir débarquer les petits vieux du dîner. Il semblait y avoir une belle ambiance et par groupe de trois ou quatre, ils faisaient des commentaires sur leur serveuse préférée. Dans la cuisine, à la plonge, Christine reçoit la visite d’un vieux séducteur plutôt laid :


- Excellent dîner ! Félicitation !

- Ce n’est pas moi qu’il faut remercier ! Je suis juste la serveuse !

- Justement, je ne comprends pas bien ! Mignonne comme vous êtes, je ne comprends vraiment pas pourquoi vous cumulez deux emplois ! Secrétaire de mairie et serveuse la nuit, alors qu’avec le physique que vous avez, vous pourriez être mannequin ! Poser et vous faire pas mal d’argent !


Christine s’interrompait ! C’était la première fois qu’un homme lui disait qu’elle avait le potentiel pour réaliser ses rêves ! Bien sûre, quelque photographe ou amis lui avaient révélé ses qualités physiques, mais, bien entendu, avec ces fameuses louanges, ils attendaient surtout leur tour pour coucher avec elle.

Ces encouragements étaient les bienvenus ! Même ses parents ne lui avaient jamais décliné ce qu’elle aurait aimé entendre. Elle regardait le retraité avec d’autre yeux, ceux d’une amie :


- Je vous remercie pour vos compliments ! J’aimerais quitter la ville pour aller à Lyon ! Peut-être que là-bas, je pourrais essayer de percer ! Je fais tout pour me faire reconnaître, mais ça ne marche pas bien !

- Ecoutez, j’ai l’ami d’une amie qui est photographe, il tient un studio à Villefranche/Saône ! Les séances sont payantes et… très cher, mais je peux éventuellement lui en parler pour qu’il vous fasse un prix ?!

- Oui ! Ce serait très sympathique ! Je participe bien à des concours, je feuillette la presse des spectacles, mais c’est en vain !

- Je crois que son studio s’appelle le « 441 » !

- Ça ne me dit rien ! C’est gentil de me donner un coup de pouce !


D’autres petits vieux venaient faire une bise à Christine quand soudain, un autre vieux débarquait pour faire un petit scandale.


- Christine : je peux te parler une fois que tu auras fini de laver la tronche de ces petits vieux ?

- Doucement ! Soyez poli ! Non, je vous demanderai de déguerpir des lieux ! Allez !


Le patron entrait en jeu :


- Eh Christine !!! Un peu de respect envers les clients !

- Sans problème, mais il faut qu’ils respectent mes interlocuteurs !


Le perturbateur n’était autre que le papy qui avait été délicatement nettoyé par les soins chaleureux de Christine ; le premier personnage la quittait et le dernier vieux esquissait un léger sourire comme pour faire pardonner son enthousiasme.


- Dites-moi si je me trompe, mais, il me semble que nous avons bien senti et particulièrement moi, un trouble quand vous avez passé vos mains délicates sur mes cuisses et mon ventre ! Je suis veuf depuis trois ans, je n’ai pas touché de femmes depuis trop longtemps !

- Je pense que vous vous méprenez ! Je ne peux pas ! Non !

- C’est parce que je ne suis pas à votre goût ? Vous préférez sans doute les jeunes, mais j’ai pour moi l’expérience et aucun tabou !


Mademoiselle Chapot se rappelait de sa culotte qu’elle avait trempé et, qu’elle avait dû retirer pour être plus à son aise. Quelques choses de pervers animaient de nouveau son bas ventre et lui faisait regretter de ne pas avoir porter une jupe. La mouille qui avait troublé notre serveuse, quelques demi-heures auparavant, n’y était pas sans raison. Il est vrai que le petit vieux avait encore de beau reste, il n’accusait pas le poids des années ; l’air de la campagne lui avait permis de garder sa carrure de paysan. L’ancien attendait la réponse de Christine, mais il voyait bien qu’il était sur le point de faire mouche ; son expérience lui permettait de voir des choses dans le regard évasif de cette blonde pulpeuse. Mais ce qu’il ne savait pas, c’est qu’après la scène de nettoyage, elle était allée se masturber en secret dans le bureau du patron. Maintenant, elle se repentait de son geste en se disant qu’elle avait mieux à attendre de son généreux rêveur.


- Mademoiselle ?!

- Germain !

- Ne dite rien pour l’instant, je peux attendre ! Mais sachez que je suis encore à la page ! Je pourrais le prouver !

- Non ! Je suis désolée, mais je ne peux pas ! Vous me rappeler mon grand-père et, je ne peux vraiment pas !

- Je peux vous initier à tout ce que j’ai appris au cours de ma vie et vous ne seriez pas déçu, j’en suis certain !

- Oui, mais… non ! Sans façons !


Le papy baissait la tête et tournait le dos avant de partir vers la sortie du restaurant.


- Bon sang !!! Qu’est-ce que tu me fais ?! Je t’y prends à casser le moral des clients !!! Tu veux me faire fermer boutique ?! Je te préviens Christine, encore un coup de ce genre et moi, je te vire !!!

- Je n’y peux rien ! Tout le monde me tourne autour !!! Je ne peux quand même pas accepter de coucher avec tous ces petits vieux en chaleur !!! Passe encore de me faire reluquer le cul et les seins par ces pervers grabataires, mais pas de sexe !

- Qui t'a parlé de sexe ?! Moi, je te demande de faire ton boulot !!! C’est presque tout !


Christian quittait la cuisine laissant Christine terminer de mettre à tremper les couverts. Elle ne pouvait se permettre de lâcher ce travail qui la rapprochait de plus en plus d’une nouvelle vie. Elle repensait aux dires du grand-père qui allait parler d’elle à son ami.


Quelques minutes plus tard, après avoir fait un brin de ménage dans tout l’établissement, vingt-trois heures sonnent, mais il est en fait moins cinq ! Christine se retrouve dans le bureau du patron. Maintenant, ça ne va plus, elle est fatiguée et il en faudrait très peu pour que la future star explose.


- Christine ! Je compte sur toi demain ?


Christian se lève et vient flirter autour d’elle. Christine ne sait plus trop bien comment elle doit prendre ses manières. Tout au long de la journée, il change tellement d’attitude à son égard qu’elle ne sait plus comment s’y prendre avec lui.


- Oui, Christian ! Je viendrais comme prévu après mon travail.

- Je m’excuse pour tout à l’heure ! Quand on a un beau corps, on suscite toutes les convoitises… Je comprends ta position et je la respecte !

- Merci !

- Je pense que l’on s’entend bien tous les deux ! Je voudrais envisager une collaboration plus étroite, enfin, je veux dire, te laisser plus de liberté au sein de l’établissement… Mais en échange, j’aimerais que… tu te montres… gentille…


Christine le regardait avec prudence. Que voulait-il dire ? Était-ce bien à quoi elle pensait ? Une main virile vint atterrir sur sa fesse gauche et Christine n’eut pas le temps de comprendre que… tout était enregistré ! Elle se retournait et le giflait fermement. Il perdit son sang froid. Il l’étreignit contre lui, pour lui faire ressentir tout son corps et en particulier une bosse qui avait quadruplé de volume en deux secondes. Christine ne disait plus rien, troublée, perturbée et stupéfaite, elle essuyait des baisers sur sa joue et son cou. Que se passait-il ? En réalité, c’était la première fois qu’un homme l’abusait ; en général, ils n’avaient pas besoin d’être trop entreprenant puisqu’elle n’était pas farouche.

Les mains de la jeune femme ont du mal à parler, mais elle sent sa poitrine encore plus opulente que d’habitude, elle caresse Christian avant de déposer ses doigts sur la grosse bosse qui met en relief le pantalon. Christine aime ça ! Elle ne pouvait s’empêcher d’être naturelle, elle n’était pas née pour être sage, mais plutôt pour être salope avec les gens qui avaient envie d’elle. Alors qu’il l’aide à déboutonner sa braguette, elle décide de se rebeller et de reprendre ses distances.


- Non ! Il n’y aura pas de sexe entre nous ! Avec vous Christian, ce sera employeur – employée : point final !

- Petite salope !!! Christine, tu le regretteras ! J’ai beaucoup de choses à te donner et qui sont bien mieux que tes ambitions de rêveuse.

- Vous allez me dire qu’un jour : tout sera à moi ?

- Christine : tu n’es qu’une sale petite pute ! Tu finiras dans le caniveau !


Sur une démarche supérieure et agressive, Christine s’en va derrière le restaurant, s’habille en hâte avant de jeter un coup d’œil vers le bureau où elle regarde son patron avec ironie. Soudainement, il lui montre un doigt ; elle éclate de rire, avant que l’employée de mairie ne se retrouve dans la rue.


Dehors, dans la petite rue du centre, quelques jeunes (16 – 25 ans) l’interpellent sur la sensualité de son corps. Ça lui redonne du baume au cœur, mais elle n’a pas la tête à cela. En s’éloignant de la place du village, trois jeunes lui emboîtent le pas et en se pressant, ils rattrapent la petite allumeuse.


- Eh Christine ! Ça va ?

- Réponds !?!?!? Toi qui nous trouves toujours insolents, tu pourrais dire quelques choses ?!

- Dans deux semaines, on organise une soirée entre garçons, rien qu’entre garçons, alors… on aimerait bien que tu viennes, si tu vois ce que je veux dire !

- Vous me prenez pour une putain ?

- Mais non ! Tout le monde sait que tu es une chaude ! Certains disent même que tu es très perverse et l’on aimerait bien voir ça, avant que tu ne deviennes une star !!! Ne fais pas celle qui ne sait pas ! Nous savons tous que tu aimes bien le sexe et ses satisfactions aux plurielles ! Imagines ces longues tiges, nos langues en toi et nos mains, toutes pleines de doigts pour seulement deux orifices…

- Je m’en passe facilement !

- Oui, mais un jour, tu recommenceras ! Alors autant que ce soit avec nous que tu t’éclates ! Ce n’est pas toi qui as dit que tu aimerais bien tenter une partie à plusieurs, alors nous sommes prêts ! On ne va pas te faire regretter cet instant !

- N’importe quoi ! Vous êtes des malades ! Je ne suis pas tombée aussi bas !

- Nous ne serions qu’une dizaine ! Que des amis à toi !!! Ce serait idiot de dire non ! Si c’est pour les précautions, ne t’inquiète pas, je me charge de tout ! Ce sera toi la reine du bal !

- Lâchez-moi !!! Allez vous branler ailleurs, bande de pervers !

- Maison veut que ce soit toi qui nous branles !!! Tous les trois, on veut être à tes pieds ! Baises – nous !


Les trois acolytes continuèrent d’escorter Christine sur cent mètres. Jusqu’aux abords de la propriété de ses parents, les trois garçons lui mirent la pression, mais Christine ne concédait rien. Là, les trois chieurs décidèrent de rebrousser chemin, ils avaient épuisé tous leurs arguments et, Christine commençait à s’interroger, sur le ton du regret, en repensant aux bienfaits qu’aurait pu lui prodiguer une partie à trois.


À vingt-trois heures quarante, c’est la chaleur d’une maison conviviale qui réchauffait le cœur de Christine. Depuis le corridor de l’entré, elle percevait les clameurs d’un stade. Tout en hésitation, elle passait devant le salon et croisait le regard de son beau-père qui, pour une fois, restait silencieux. Que se passait-il ?! L’avait-elle surpris ? Non ! Regardait-il vraiment un match de foot ? En tout cas, Elisabeth n’était pas là et Christine n’en avait rien à faire !

Elle gagnait sa chambre. Enfermée dans son château, elle se mettait à son aise et ne manquait pas de regarder son corps sexy dans le miroir. Avait-elle maigri depuis ce matin ? Il semblait que non. Elle se regardait sous toutes les coutures pour être certaines de ses convictions et en final, elle était fière de son physique. « P’tit bec » jetait un coup d’œil sur les courriers qu’elle avait reçus, enveloppes petits et grands formats, avant d’en sélectionner trois ou quatre sur un sourire. Rapidement, elle prenait deux vêtements de couleur au ton sentimental, avant de sortir de sa chambre pour aller dans la salle de bain.


Après une vingtaine de minutes, elle revint tout habillée de rose : un T-shirt moulant à manches courtes. Était-ce dû à sa poitrine ou à la coupe ratée, mais le tissu remontait jusqu’à mi-ventre ! Elle avait brossé ses longs cheveux et révélée une crinière de lionne. Elle avait revêtu une petite et très légère jupe rose pâle mi-cuisses. Elle se regardait à nouveau dans la glace, quand soudain, un bruit claquait contre les vitres de sa chambre. Pendant quatre secondes, Christine restait immobile, pétrifier, avant d’oser s’aventurer prudemment près de la fenêtre. Un coup d’œil sur la nuit, la demeure voisine aux fenêtres allumées et, deux garçons sur sa droite, en bout de toit et en équilibre précaire : ils étaient à quatre mètres d’elle !


- Qu’est-ce que vous foutez là !!! Si mon père vous voit, il vous tue !!!

- On est venu te voir, Christine ! On a quelques choses pour toi ! Tes CD !!! On peut entrer ?

- À cette heure ?! Vous êtes malade ! Vous n’avez rien autre à faire ?


Soudain, le plus naïf des deux manquait tomber du toit et Christine, ayant eu sa dose de frayeur, décidait de les laisser entrer dans sa chambre, après qu’ils aient joué les équilibristes sur un muret de dix centimètres de largeurs.

Les deux garçons étaient des amis d’amies. Des connaissances rencontrées aux hasards de soirée en discothèque. Bien que Xavier se présentait le premier, c’était sur le second, Yves, que le regard de Christine se teintait d’ironie. Yves était un garçon plutôt maladroit et timide de nature. Elle le soupçonnait d’être vierge et s’il ne s’était jamais affiché avec les autres garçons de son âge, tout le monde l’aurait pris pour un gogol. Xavier lui, était plein d’assurance, plus vieux que Christine, vingt-quatre ans, il était l’un des seuls garçons à ne pas l’intéresser.

À peine dans la chambre, Christine leur demanda de faire un minimum de bruit et en réponse, Xavier lui donna un paquet qui contenait trois CD :


- C’est l’intégral !!! J’ai trouvé ça sur Internet !!!

- C’est vraiment super génial, merci Xavier ! Merci Yves !


Christine leur faisait la bise avant de commencer à discuter avec eux. Elle s’asseyait sur le bord du lit, les jambes croisées, pendant qu’eux préféraient rester debout à regarder sous tous les angles la star du village.

Peu à peu, la conversation prit un ton paisible, sans arrière-pensée ; Christine s’absentait aux toilettes et pendant ce temps, Xavier et Yves se regardaient et commençaient à commenter les formes torrides du gros bonbon rose.


- Bon sang ce qu’elle est bonne !!!

- Dommage qu’elle n’accroche pas sur nous ! Tout à l’heure, j’ai bien failli lui sauter dessus.

- Son père n’est pas loin !


Tous les deux soupiraient… L’érection de chacun commençait à tout déformer, mais pas la braguette d’un jean. Sur le regard paniqué d’Yves, Xavier déboutonnait un bouton, puis descendait le zip de sa fermeture éclair. Son sexe se dressait de suite, une fière allure qu’il empoigna en pleine main pour se calmer. Soudain, un bruit dans le couloir et Xavier allait se cacher dans un coin de la chambre.

Christine revenait et de suite, elle senti bien, au propre comme au figuré que quelques choses se passaient. Ses joues commencèrent à devenir écarlates, plus que celle d’Yves qui ne savait plus où se mettre !!! Elle refermait la porte de sa chambre, elle découvrait le dos de Xavier et le mutisme de son ami. La petite secrétaire de mairie avait une piètre opinion de ses deux garçons de seconde zone et en tout cas, elle ne les sucerait jamais, même pas pour aller à la star Académie.

Mais quand Xavier se retourna, Christine regarda l’érection des deux garçons et se dit qu’il n’y avait pas de mal à faire plaisir à tout le monde.


- Étant donné que mes parents ne sont pas là, nous allons être simples. Rien de… torride, sinon, j’appelle mon père et il vous tue !

- Mais ce n’est pas ton père !

- On peut faire un 69, si tu n’as pas peur de la mort ?!…

- D’accord Chris, on fera tout ce que tu voudras !

- Pour commencer : ne m’appelez plus jamais Chris !!!


Il n’en fallait pas plus pour que les deux hommes se mettent aux ordres de la blonde sulfureuse. À distance d’eux, elle commençait à baisser sa jupe pour dévoiler un petit string blanc ; puis lentement, elle enlevait son T-shirt pour révéler une poitrine qui faisait rêver tant de personne. Yves avait dégainé son arme et à l’instar de son ami, il branlait en cadence sa verge chétive. Le naïf baissait son pantalon et ne semblait plus lui-même en regardant les auréoles foncées.


- Christine : ils sont vrais !?!? Ils sont tellement gros !

- C’est de la qualité ! Tu auras le droit de toucher si tu es sage ! C’est quand même mieux qu’une balle dans les couilles ?!

- Oui ! On fera tout ce que tu demanderas !!!


Les deux hommes commençaient à enlever leur pantalon, à exhiber franchement de ridicules caleçons, alors qu’Yves prenait l’initiative en révélant tout de son intimité. Il révélait fièrement au regard de Christine, une paire de testicules bien gonflés. Xavier possédait un corps plus torride que son ami. Tous les deux s’étaient assis confortablement sur le lit pendant que Christine s’avançait un peu plus près d’eux. Quand elle fut à proximité des garçons, ils se levaient sur les genoux et commençait à la toucher ; les mains commençaient à courir sur ses épaules, son ventre et toutes ses formes rebondit qui fascinaient les deux hommes. Sa toison brune et le petit minou étaient la destination finale des vingt doigts et le petit string ne résistait pas à l’impatience des deux chacals.

Maintenant, ils ont enlacé Christine, ils gouttent alternativement à sa bouche ou à ses seins, alors qu’une petite main masturbe lentement le pieu de Xavier. La blonde torride prend l’initiative et alors que les deux hommes s’allongent, ses lèvres viennent se poser sur le gland écarlate du plus timide. Les fesses cambrées vers le plafond, ses pensées deviennent obscènes ; ses doigts emprisonnent la verge de Xavier pour la branler sans révélation. Insatisfait, il se lève et vient pratiquer un cunnilingus d’amateur sur le sexe offert. Christine, quant à elle, s’applique avec sa langue et ses lèvres, la gorge d’Yves ne cesse d’exalter des gémissements de bonheur. Comme un challenge, peu à peu, elle englouti l’intégralité du membre, quand soudain, Yves jouis très fort… Christine se retire, ingurgite, avant de branler la grosse verge avec ses doigts sur lesquelles, la semence de Xavier se déverse par flot important. Elle regarde ce spectacle et la jeune femme est étonnée et… très perverse, elle s’approche humer l’odeur du sperme avant de lécher ses doigts et les grosses flaques bien épaisses sur le regard ahuri d’Yves ! Xavier n’a pas manqué de se rincer l’œil sur les exploits de Christine, il en est ahuri et pendant quelques secondes, il reste stupéfait. Comme par défis, il caresse les grosses fesses et rapidement, il va attarder ses doigts dans la raie où il commence à titiller l’orifice interdit. Il plonge sa langue pour faire le ménage dans une raie récemment douchée, les assauts se transforment bientôt en anulingus qui excite beaucoup Christine. Soudain, le timide s’impose et repousse Xavier pour s’occuper lui-même de l’anus béant de Christine. Xavier s’abaisse et vient prendre la place de son ami dans la bouche de « P’tit bec ». Bientôt, il ne regrette pas son éviction, Christine le suce avec une telle violence, une telle boulimie que s’en est indécent de le décrire. Quelques minutes plus tard, Xavier éjacule violement dans la bouche de la professionnelle qui ne se retire toujours pas. Le sperme dégouline des rebords des lèvres pulpeuses, avant de couler le long de la hampe et se mêler aux poils.

Brièvement, Xavier semble avoir perdu connaissance, mais un regard mi-clos sur les grosses mamelles qui pendent, donne soudainement, un dernier soubresaut à sa verge qui s’est calée sous la poitrine de Christine. La langue d’Yves est saisie de crampes. Quand il écarte les deux grosses miches, il affiche un large sourire, une fierté de l’avoir bien enduite de salive. Il cale sa trique dans ce sillon et reprend un va et viens dans la gorge. Alors que Xavier va quérir et sucer un sein, un bruit immobilise tout le monde. Les trois protagonistes regardent vers la porte, mais personne ne se manifeste.


- Les garçons, je trouve qu’il est tard ! Je travaille demain, je pense que vous devriez y aller ! Vous ne bossez pas ?

- Si ! Il faudrait que l’on remette ça ! C’est trop bon avec toi !

- Oui, on s’entend bien Christine ! (disait Xavier) On peut faire plein de choses pour toi et… si tu nous donnes une autre occasion, la prochaine fois, on peut tout te faire ?!

- Ton idée me plait !


Les deux hommes s’habillèrent rapidement, avant de passer par la fenêtre. Christine était remplie, ou plutôt devrait-on dire, pleine de satisfaction. Elle aimait cet instant, le présent ; elle les avait soumis à ses exigences et c’était ce qui lui manquait le plus dans la vie : que l’on respecte ses ordres pour qu’on la respecte.

Etendue sur le lit, elle prenait sa poitrine en main et commençait à la pétrir avec ses doigts… Elle fermait les yeux et les odeurs de foutre encore présente sur les draps lui permettait un flash-back pas inintéressant. Elle prenait un kleenex avec lequel Xavier s’était essuyé le sexe et elle le portait à ses narines pour humer ces odeurs qui l’obsédaient. Elle continuait de se caresser en pensant à ses deux dragueurs et peu à peu, ses paupières se firent lourdes, très lourdes…


À SUIVRE

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