Titre de l'histoire érotique : LA TABLE DE SAPIN 4
Récit érotique écrit par Alainylon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Titre de l'histoire érotique : LA TABLE DE SAPIN 4
- Tu vas pas me croire. Mais tu sais… après notre petite affaire, au téléphone, eh bien je me suis effondré lessivé dans ce fauteuil. Et là je ne sais comment, je me suis assoupie.
- Mon pauvre chou. Il faut avouer que ses derniers temps tu te ménages pas.
Elle s’approcha du fauteuil, fixant ma queue à demi rigide, encore luisante de mouille. Preuve de ma précédente relation.
- Tu n’as même pas pris le temps de t’essuyer ! Cochon que tu es.
- Oh… Oui. Je vais le faire pas plus tard que tout de suite. Fils-je, en posant mes mains sur chacun des accoudoirs pour me permettre de me redresser.
- Ce n’est pas grave. Fit-elle, un sourire salace aux lèvres. Je vais m’occuper de ta petite toilette.
Elle me repoussa au fond du fauteuil. Elle se pencha alors, au-dessus de moi. Ouvrait démesurément la bouche. Avaler mon membre maculé de la jouissance de sa sœur. Jusqu’aux couilles. Très vite son visage s’agitait. Ses lèvres montaient et descendaient le long de ma colonne. Je sentais la chaleur de ses joues se creuser sur mon gland. Le noyant de salive. Son travail incessant donna très vite
un résultat. J’imaginais Patricia, la chatte s’humidifiait derrière la porte.
- Dis-donc. Fit-elle, en me recrachant. Ça ne te dirait pas de recommencer.
Confortablement installé dans mon fauteuil, je ne comprenais pas bien ce qu’elle me disait.
- Recommencer quoi .
- Tu vas pas me dire que tu as oublié. Me désignant la table du menton.
- Ah oui ! J’y suis.
Le fameux épisode dans la cuisine de ses parents quelques années plus tôt.
- Pourquoi pas. Fils-je, en m’extirpant de ma place.
- C'est une excellente idée. Non ?
M’extirpant péniblement de ma place, et précédant mon érection, je me dirigeais vers le lieu si chèrement exprimé. Mon premier réflexe fut d’examiner consciencieusement le plateau de la table. Pour savoir s’il n’y avait pas de trace de ma précédente aventure.
Ah cette table ! Pensais-je à moi-même. Heureusement qu’elle ne pouvait pas parler. Que d’épisodes d’adultères vécus grâce à elle.
Je tournais la tête et aperçus Cathy, dans un coin de la pièce se débarrassait un après l’autre de ses vêtements. Qu’elle jeta au fur et à mesure sur une chaise. Une fois nue, elle est venue me rejoindre.
Coïncidence de taille. J’allais une fois encore, culbuter ma femme sous les yeux d’un membre de sa famille. Je sentais mes faits et geste, épié. Je fis installer Cathy, là où je devinais être le meilleur angle de vue, pour Patricia. Ceci fait, je me mis à caresser la chatte de mon épouse. Son sexe bâillait comme un coquillage. Dégoulinait de mouille. J’insinuais deux doigts dans la vulve. Barattait le sexe dilaté qui émettait des bruits mouillés. Cathy grognait de plaisir, alors que je la branlais. Pinçant le bouton entre deux doigts de ma main libre. J’étais fou d’excitation en pensant au spectacle que j’offrais à ma jeune belle-sœur. Dont je devinais ses doigts s’occupant de sa chatte.
Soucieux de lui en montrer un peu plus. Je fis basculer mon épouse,. Le buste au contact de la table. Elle déplora que le plateau soit froid. Volontairement, je me positionnais afin que de sa cachette, elle puisse avoir une vue imprenable.
D’une poussée, ma verge atteignit le fond de son sexe. Ses muscles intimes se contractèrent comme pour me retenir. Je fouillais sa chair tendre, avec des bruits se sucions. Alors que mes couilles claquaient contre son fessier. Elle se mit à geindre. J’avais l’impression aussi, d’entendre Patricia gémir. L’idée qu’elle se masturbe en me regardant, fut pour moi, un truc super-fort au niveau de l’excitation. Dans un geste désordonnait, ma verge sortit de son fourreau. Trop détrempé à mon goût. J’empoignais ma queue et la dirigeais vers son anus. Écartant ses fesses de l’autre main. Je forçais l’entrée avec mon gland. Ses chairs luttèrent avant d’abdiquer. D'une poussée, je m'empalais jusqu’à la garde. Je la saisis par les hanches et lançais mes va-et-vient. Cathy délirait.
L’idée d’être maté avait redoublé mon côté pervers. Un entrain qui avait l’air de mettre en joie mon épouse. Je la martelais de plus en plus vigoureusement. En plein euphorique, je lui criais que je voulais lui mettre aussi mes couilles. Je glissais ma main sur son pubis. De mes doigts, je fouillais ses poils poisseux. À la recherche de son bouton. Une fois trouvé, je me mis à le caresser d’un petit mouvement tournant, jusqu’à ce qu’elle succombe à ma caresse. Emporté par sa jouissance, elle m’échappa. Faisant ressortir ma queue de son cul alors que je la labourais avec frénésie. J’empoignais de nouveau mon engin pour la remettre dans son rectum. Soucieux de conclure, de m’abandonner, la prenant avec encore plus de force. La sodomisant en profondeur. Ma femme criait de plaisir. Sentant de nouveau l’instant fatidique arrivait. Je l’agrippais aux épaules. M’arc-boutant contre elle.
- Tiens ! Prends-le, mon jus ! Rugissais-je.
Et suite à ses paroles, je me vidais les couilles dans son anus, devenu béant. Elle jouit à son tour. Tremblant de tous ces membres. Si fort qu’elle me désarçonna. Je m’affalais sur elle, dans son dernier spasme de plaisir, essoufflé.
De peur de l'étouffer, je me redresse. Je vis de son anus s’échappait une coulée de sperme. Je reprenais peu à peu mon rythme cardiaque. J’en oubliais la voyeuse. En observant ma queue. Je décelais des traces brunes. Discrètement, je me suis avancé jusqu’à la table de travail. À l’aide de feuilles d’essuie-tout, et je me suis essuyé.
- Que c’était bon. Me lança Cathy, dans mon dos. De l’autre côté de la pièce. Elle se rhabillait.
Me revint alors en mémoire le souvenir de Patricia dans les parages. Me demandant bien, qu’elle pourrait être sa tête devant un tel spectacle.
Quelque minute plus tard, nous avions quitté les lieux. Prenant chacun notre voiture. Au volant, je fus pris de remords. Qu’allait faire Patricia .
Alors que je me trouvais devant la télé. Je me rendais compte que me belle-sœur occupait le centre de mes pensées. Après une nuit mouvementée, je fus réveillé par trois sensations. Biens différents les unes des autres.
La première c’était le bruit que faisait la pluie frappant les carreaux.
La deuxième sensation était ma queue. Elle bandait. Oui… mais avec une impression de l’avoir passé dans une essoreuse.
Et la troisième sensation c’était que j’allais de nouveau être confronté à la sulfureuse Patricia. Et c’était cette dernière qui me décida de quitter mon lit.
Je sentais quelque chose me nouer dans mon ventre. Au moment où j’atteignais au volant de ma voiture, les premières maisons.
La clé en main, je me suis avancé jusqu’à la porte d’entrée de chez mes beaux-parents. Je l’ai engagé dans la serrure. Après l’avoir tourné deux fois, la porte s’ouvrit. Toute seule. Sur Patricia.
- Tiens ! Constata-t-elle ironiquement. Tu ne peux pas te passer de moi.
Je la contemplais du haut en bas. Elle avait passé une combinaison de sa mère. Un truc extraordinaire. Sous lequel je la devinais nue. Mon regard effleura son ventre. Là où sous la soie couleur pêche, était presque transparente. Il me semblait bien apercevoir un triangle noir. J’ai pensé dans un premier temps qu’elle portait une culotte. Mais en faisant bien attention, je décelais que c‘était épais et bouclé. .
Il aurait été facile pour moi de lui sauter dessus et de finir ce que j’avais commencé la veille. Mais était-ce d’actualité pour elle. Nul le savait.
Elle s’effaça, me laissant entrer à l’intérieur. Elle referma la porte et se dirigea, sans un mot en direction de la chambre. Je ne sais pourquoi, je l’ai suivi.
La pièce baignait dans une demi-pénombre dorée. Grâce aux rayons de soleil. Remplaçant la pluie. Elle prit position près de la fenêtre. Face à moi. Consciente de m’offrir en transparence des aperçus palpitants sur les contours de son anatomie.
- Je n’ai pas besoin de te dire que j’ai assisté à ton… enfin avec ma sœur. Tu as aimé cela . M’interrogea-t-elle. Se décalant un peu.
Je sus à cet instant qu’elle ne portait rien.
- Il faudrait peut-être que tu t’habilles. Tu ne crois pas. Disais-je, d’une voix légèrement étranglée. Émue que j'étais, par le spectacle qui m'était offert.
Elle pivota sur elle-même et se pencha pour ramasser ses frusques, rangée en tas à même le sol. Comme l’aurait fait un promontoire.
- Oh ! J’ai le temps. Fit-elle, consciente de la perspective plongeante qu’elle m’offrait dans cette position.
- Ah bon ! Murmurais-je. Lançant ses vêtements en boule sur les draps.
Elle prit place sur le lit. Le creusa sous le poids de sa croupe.
- Oui… d’ailleurs il est trop tard pour celui de 11H00. Fit-elle, avec un petit rire.
Je me laissais tomber à son côté.
- Et le prochain est à quelle heure ? Interrogeais-je.
Elle se laissa aller en travers le lit. Posée sur un coude.
- Je ne sais pas… et je m’en fous. Tu es pressé . Toi.
Elle me regarda.
- Non… Elle posa sa main sur la mienne, tout en douceur.
- Dommage pour hier. Dit-elle. Un sourire salace aux lèvres.
- Oui… - Enfin je parlais pour moi.
Après un court silence, elle poursuivit.
- Toi à ce que j’ai pu constater, tu as pris ton pied. Chuchota-t-elle.
Je souris sans répondre. Elle rampait. Sur le ventre au milieu du lit.
- Tu le sais peut-être pas. Mais moi hier… il m'a manqué quelque chose… si tu vois ce que je veux te faire comprendre. Alors j’ai pensé. Il serait bien de finir ce que tu as commencé hier. Souffla-t-elle d’une voix chaude.
Elle se redressa sur les coudes.
- Je veux jouir autant que ma sœur. Si tu vois ce que je veux dire .
Elle posa la main sur mon pantalon. Enveloppant sans complexe ce qui appartenait normalement à sa sœur. Avec des gestes d’infirmière elle me débarrassa de tous ce qui l'a gêné.
- Baise-moi. J’en crève d’envie.
Ses doigts avaient commencé à me masser. D’une souplesse et d’une précision diaboliques. Devenue bien dure, elle la dirigea au plus intime d’elle-même.
M’inclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sœur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en l’air. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, le dos contre le mur. M’inclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sœur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en l’air. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, le dos contre le mur.
Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle s’empala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins.
J’allais et venais en elle. Ses yeux n’exprimaient que du plaisir.
Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme l’auraient fait des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle faisait le grand écart.
Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle s’empala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins.
J’allais et venais en elle. Ses yeux n’exprimaient que du plaisir.
Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme l’auraient fait des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle faisait le grand écart.
Agitée de soubresauts d’une violence inouïe, elle se mettait à rebondir contre mes hanches. N’obéissant plus qu’à son plaisir. Cherchant à s’empaler encore plus profondément.
Son plaisir qui fit germer le mien. Incapable de me retenir plus longtemps, j’éjaculais avec violence. La clouant contre le mur de coup de boudoirs. Elle accueillit ma semence avec un grand sourire sentant mes jambes fléchir. Je reposais Patricia sur le lit.
Elle me jeta alors, d’un regard avide.
- Fais-moi encore jouir… je veux profiter de toi jusqu’au bout !
Son envie réveilla ma perversion. Ça m’excitait terriblement de la besogner ainsi offerte, totalement abandonnée.
Nous avions changé de position quatre à cinq fois. Patricia avait joui plusieurs fois. À intervalles réguliers.
Je me suis demandé où j’avais trouvé mes ressources. Je m’étais payé une érection fabuleuse. Comme je n’en avais pas connu depuis longtemps. Il faut avouer que Patricia était pour quelque chose.
À suivre…
- Mon pauvre chou. Il faut avouer que ses derniers temps tu te ménages pas.
Elle s’approcha du fauteuil, fixant ma queue à demi rigide, encore luisante de mouille. Preuve de ma précédente relation.
- Tu n’as même pas pris le temps de t’essuyer ! Cochon que tu es.
- Oh… Oui. Je vais le faire pas plus tard que tout de suite. Fils-je, en posant mes mains sur chacun des accoudoirs pour me permettre de me redresser.
- Ce n’est pas grave. Fit-elle, un sourire salace aux lèvres. Je vais m’occuper de ta petite toilette.
Elle me repoussa au fond du fauteuil. Elle se pencha alors, au-dessus de moi. Ouvrait démesurément la bouche. Avaler mon membre maculé de la jouissance de sa sœur. Jusqu’aux couilles. Très vite son visage s’agitait. Ses lèvres montaient et descendaient le long de ma colonne. Je sentais la chaleur de ses joues se creuser sur mon gland. Le noyant de salive. Son travail incessant donna très vite
un résultat. J’imaginais Patricia, la chatte s’humidifiait derrière la porte.
- Dis-donc. Fit-elle, en me recrachant. Ça ne te dirait pas de recommencer.
Confortablement installé dans mon fauteuil, je ne comprenais pas bien ce qu’elle me disait.
- Recommencer quoi .
- Tu vas pas me dire que tu as oublié. Me désignant la table du menton.
- Ah oui ! J’y suis.
Le fameux épisode dans la cuisine de ses parents quelques années plus tôt.
- Pourquoi pas. Fils-je, en m’extirpant de ma place.
- C'est une excellente idée. Non ?
M’extirpant péniblement de ma place, et précédant mon érection, je me dirigeais vers le lieu si chèrement exprimé. Mon premier réflexe fut d’examiner consciencieusement le plateau de la table. Pour savoir s’il n’y avait pas de trace de ma précédente aventure.
Ah cette table ! Pensais-je à moi-même. Heureusement qu’elle ne pouvait pas parler. Que d’épisodes d’adultères vécus grâce à elle.
Je tournais la tête et aperçus Cathy, dans un coin de la pièce se débarrassait un après l’autre de ses vêtements. Qu’elle jeta au fur et à mesure sur une chaise. Une fois nue, elle est venue me rejoindre.
Coïncidence de taille. J’allais une fois encore, culbuter ma femme sous les yeux d’un membre de sa famille. Je sentais mes faits et geste, épié. Je fis installer Cathy, là où je devinais être le meilleur angle de vue, pour Patricia. Ceci fait, je me mis à caresser la chatte de mon épouse. Son sexe bâillait comme un coquillage. Dégoulinait de mouille. J’insinuais deux doigts dans la vulve. Barattait le sexe dilaté qui émettait des bruits mouillés. Cathy grognait de plaisir, alors que je la branlais. Pinçant le bouton entre deux doigts de ma main libre. J’étais fou d’excitation en pensant au spectacle que j’offrais à ma jeune belle-sœur. Dont je devinais ses doigts s’occupant de sa chatte.
Soucieux de lui en montrer un peu plus. Je fis basculer mon épouse,. Le buste au contact de la table. Elle déplora que le plateau soit froid. Volontairement, je me positionnais afin que de sa cachette, elle puisse avoir une vue imprenable.
D’une poussée, ma verge atteignit le fond de son sexe. Ses muscles intimes se contractèrent comme pour me retenir. Je fouillais sa chair tendre, avec des bruits se sucions. Alors que mes couilles claquaient contre son fessier. Elle se mit à geindre. J’avais l’impression aussi, d’entendre Patricia gémir. L’idée qu’elle se masturbe en me regardant, fut pour moi, un truc super-fort au niveau de l’excitation. Dans un geste désordonnait, ma verge sortit de son fourreau. Trop détrempé à mon goût. J’empoignais ma queue et la dirigeais vers son anus. Écartant ses fesses de l’autre main. Je forçais l’entrée avec mon gland. Ses chairs luttèrent avant d’abdiquer. D'une poussée, je m'empalais jusqu’à la garde. Je la saisis par les hanches et lançais mes va-et-vient. Cathy délirait.
L’idée d’être maté avait redoublé mon côté pervers. Un entrain qui avait l’air de mettre en joie mon épouse. Je la martelais de plus en plus vigoureusement. En plein euphorique, je lui criais que je voulais lui mettre aussi mes couilles. Je glissais ma main sur son pubis. De mes doigts, je fouillais ses poils poisseux. À la recherche de son bouton. Une fois trouvé, je me mis à le caresser d’un petit mouvement tournant, jusqu’à ce qu’elle succombe à ma caresse. Emporté par sa jouissance, elle m’échappa. Faisant ressortir ma queue de son cul alors que je la labourais avec frénésie. J’empoignais de nouveau mon engin pour la remettre dans son rectum. Soucieux de conclure, de m’abandonner, la prenant avec encore plus de force. La sodomisant en profondeur. Ma femme criait de plaisir. Sentant de nouveau l’instant fatidique arrivait. Je l’agrippais aux épaules. M’arc-boutant contre elle.
- Tiens ! Prends-le, mon jus ! Rugissais-je.
Et suite à ses paroles, je me vidais les couilles dans son anus, devenu béant. Elle jouit à son tour. Tremblant de tous ces membres. Si fort qu’elle me désarçonna. Je m’affalais sur elle, dans son dernier spasme de plaisir, essoufflé.
De peur de l'étouffer, je me redresse. Je vis de son anus s’échappait une coulée de sperme. Je reprenais peu à peu mon rythme cardiaque. J’en oubliais la voyeuse. En observant ma queue. Je décelais des traces brunes. Discrètement, je me suis avancé jusqu’à la table de travail. À l’aide de feuilles d’essuie-tout, et je me suis essuyé.
- Que c’était bon. Me lança Cathy, dans mon dos. De l’autre côté de la pièce. Elle se rhabillait.
Me revint alors en mémoire le souvenir de Patricia dans les parages. Me demandant bien, qu’elle pourrait être sa tête devant un tel spectacle.
Quelque minute plus tard, nous avions quitté les lieux. Prenant chacun notre voiture. Au volant, je fus pris de remords. Qu’allait faire Patricia .
Alors que je me trouvais devant la télé. Je me rendais compte que me belle-sœur occupait le centre de mes pensées. Après une nuit mouvementée, je fus réveillé par trois sensations. Biens différents les unes des autres.
La première c’était le bruit que faisait la pluie frappant les carreaux.
La deuxième sensation était ma queue. Elle bandait. Oui… mais avec une impression de l’avoir passé dans une essoreuse.
Et la troisième sensation c’était que j’allais de nouveau être confronté à la sulfureuse Patricia. Et c’était cette dernière qui me décida de quitter mon lit.
Je sentais quelque chose me nouer dans mon ventre. Au moment où j’atteignais au volant de ma voiture, les premières maisons.
La clé en main, je me suis avancé jusqu’à la porte d’entrée de chez mes beaux-parents. Je l’ai engagé dans la serrure. Après l’avoir tourné deux fois, la porte s’ouvrit. Toute seule. Sur Patricia.
- Tiens ! Constata-t-elle ironiquement. Tu ne peux pas te passer de moi.
Je la contemplais du haut en bas. Elle avait passé une combinaison de sa mère. Un truc extraordinaire. Sous lequel je la devinais nue. Mon regard effleura son ventre. Là où sous la soie couleur pêche, était presque transparente. Il me semblait bien apercevoir un triangle noir. J’ai pensé dans un premier temps qu’elle portait une culotte. Mais en faisant bien attention, je décelais que c‘était épais et bouclé. .
Il aurait été facile pour moi de lui sauter dessus et de finir ce que j’avais commencé la veille. Mais était-ce d’actualité pour elle. Nul le savait.
Elle s’effaça, me laissant entrer à l’intérieur. Elle referma la porte et se dirigea, sans un mot en direction de la chambre. Je ne sais pourquoi, je l’ai suivi.
La pièce baignait dans une demi-pénombre dorée. Grâce aux rayons de soleil. Remplaçant la pluie. Elle prit position près de la fenêtre. Face à moi. Consciente de m’offrir en transparence des aperçus palpitants sur les contours de son anatomie.
- Je n’ai pas besoin de te dire que j’ai assisté à ton… enfin avec ma sœur. Tu as aimé cela . M’interrogea-t-elle. Se décalant un peu.
Je sus à cet instant qu’elle ne portait rien.
- Il faudrait peut-être que tu t’habilles. Tu ne crois pas. Disais-je, d’une voix légèrement étranglée. Émue que j'étais, par le spectacle qui m'était offert.
Elle pivota sur elle-même et se pencha pour ramasser ses frusques, rangée en tas à même le sol. Comme l’aurait fait un promontoire.
- Oh ! J’ai le temps. Fit-elle, consciente de la perspective plongeante qu’elle m’offrait dans cette position.
- Ah bon ! Murmurais-je. Lançant ses vêtements en boule sur les draps.
Elle prit place sur le lit. Le creusa sous le poids de sa croupe.
- Oui… d’ailleurs il est trop tard pour celui de 11H00. Fit-elle, avec un petit rire.
Je me laissais tomber à son côté.
- Et le prochain est à quelle heure ? Interrogeais-je.
Elle se laissa aller en travers le lit. Posée sur un coude.
- Je ne sais pas… et je m’en fous. Tu es pressé . Toi.
Elle me regarda.
- Non… Elle posa sa main sur la mienne, tout en douceur.
- Dommage pour hier. Dit-elle. Un sourire salace aux lèvres.
- Oui… - Enfin je parlais pour moi.
Après un court silence, elle poursuivit.
- Toi à ce que j’ai pu constater, tu as pris ton pied. Chuchota-t-elle.
Je souris sans répondre. Elle rampait. Sur le ventre au milieu du lit.
- Tu le sais peut-être pas. Mais moi hier… il m'a manqué quelque chose… si tu vois ce que je veux te faire comprendre. Alors j’ai pensé. Il serait bien de finir ce que tu as commencé hier. Souffla-t-elle d’une voix chaude.
Elle se redressa sur les coudes.
- Je veux jouir autant que ma sœur. Si tu vois ce que je veux dire .
Elle posa la main sur mon pantalon. Enveloppant sans complexe ce qui appartenait normalement à sa sœur. Avec des gestes d’infirmière elle me débarrassa de tous ce qui l'a gêné.
- Baise-moi. J’en crève d’envie.
Ses doigts avaient commencé à me masser. D’une souplesse et d’une précision diaboliques. Devenue bien dure, elle la dirigea au plus intime d’elle-même.
M’inclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sœur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en l’air. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, le dos contre le mur. M’inclinant, je passais les deux avant-bras entre les jambes de ma belle-sœur. Je la soulevais. Obligeant les cuisses à s’écarter à angle droit. Comme deux branches, les bras de Patricia se nouèrent autour de ma nuque, pour ne pas tomber en arrière. Tandis que je la faisais pivoter en l’air. Jusqu’à ce qu’elle se trouve, le dos contre le mur.
Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle s’empala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins.
J’allais et venais en elle. Ses yeux n’exprimaient que du plaisir.
Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme l’auraient fait des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle faisait le grand écart.
Je la maintenais ainsi. La défiant du regard. Puis je la laissais tomber. Elle s’empala sur mon membre. Elle me regardait avec des yeux immenses. De sa bouche, soudain agrandie, s’échappait un râle interminable. Une sorte de feulement de tigresse.
La maintenant à mi-hauteur du mur à la force des bras. Je coulissais au plus profond de ses entrailles. La soulevant avec mes coups de reins.
J’allais et venais en elle. Ses yeux n’exprimaient que du plaisir.
Ses jambes sur mes avant-bras, se tendirent comme l’auraient fait des ressorts. Toujours suspendue en l’air, elle faisait le grand écart.
Agitée de soubresauts d’une violence inouïe, elle se mettait à rebondir contre mes hanches. N’obéissant plus qu’à son plaisir. Cherchant à s’empaler encore plus profondément.
Son plaisir qui fit germer le mien. Incapable de me retenir plus longtemps, j’éjaculais avec violence. La clouant contre le mur de coup de boudoirs. Elle accueillit ma semence avec un grand sourire sentant mes jambes fléchir. Je reposais Patricia sur le lit.
Elle me jeta alors, d’un regard avide.
- Fais-moi encore jouir… je veux profiter de toi jusqu’au bout !
Son envie réveilla ma perversion. Ça m’excitait terriblement de la besogner ainsi offerte, totalement abandonnée.
Nous avions changé de position quatre à cinq fois. Patricia avait joui plusieurs fois. À intervalles réguliers.
Je me suis demandé où j’avais trouvé mes ressources. Je m’étais payé une érection fabuleuse. Comme je n’en avais pas connu depuis longtemps. Il faut avouer que Patricia était pour quelque chose.
À suivre…
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Les avis des lecteurs
très bien écrit bravo j'aime